n° 06484 | Fiche technique | 32326 caractères | 32326Temps de lecture estimé : 18 mn | 10/06/03 |
Résumé: J'étais resté près de quinze jours sans nouvelle d'Annie et Pierre et je commençais à désespérer, pensant que notre première soirée ne leur avait pas laissé le petit goût de "reviens-y" que j'espérais. | ||||
Critères: fhh 2couples fbi couplus extraoffre voir exhib fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fdanus fsodo | ||||
Auteur : Dan Cho |
Épisode précédent | Série : Annie Pierre et le loup Chapitre 06 / 06 | FIN de la série |
J’étais resté près de quinze jours sans nouvelle d’Annie et Pierre et je commençais à désespérer, pensant que notre première soirée ne leur avait pas laissé le petit goût de "reviens-y" que j’espérais. Aussi fus-je très heureux d’entendre la voix de Pierre dans mon portable le jeudi soir.
Je faisais allusion à l’engagement de sa femme d’accepter de se faire sodomiser après que Marc ait satisfait à ses exigences (voir Annie Pierre et le loup 3ème partie)
Inutile de préciser que je fus très fébrile toute la soirée du jeudi et le vendredi.
J’arrive donc à l’heure convenue et suis ravi de constater que c’est Annie qui se précipite pour m’accueillir tout sourire au premier coup de sonnette.
Je suis ravi, mais quel choc. La belle Annie est vêtue d’un short en cuir noir à lacets très court découvrant un bon quart de ses superbes fesses rebondies, d’un soutien-gorges assorti faisant pigeonner ses gros seins, les exposant plus qu’il ne les cache, le tout étant recouvert d’une nuisette en tulle noir plus que transparente.
Puis évacuant les éventuelles protestations de son mari, la belle prends du recul et tourne sur elle- même, bras écartés.
Je n’ai pas encore eu le temps de reprendre mes esprits, tant l’entrée en matière fut rapide.
Aussitôt, Pierre plaque ses deux mains sur le postérieur exhibé et s’applique à palper généreusement chacune de ses fesses.
Pierre à tout de même daigné lâcher la croupe de sa femme et s’intéresse maintenant au goulot d’une bouteille de champagne dégoulinante d’eau glacée.
Annie m’a saisie par le bras et me dirige vers le salon.
Pierre, tout sourire, nous tend une coupe que nous nous empressons de porter à nos lèvres non sans avoir porté préalablement un toast aux plaisirs infinis du sexe.
Annie a déjà reposé son verre et s’approche langoureusement de moi.
Et pendant que je sirote nonchalamment mon champagne, la douce perverse extirpe mon sexe à demi gonflé et entreprend de le masturber avec volupté.
En regardant sa coupe, pierre déclare comme pour lui- même:
Et sans lâcher ma queue, elle s’offre une bonne rasade de champagne en prenant soin de ne pas l’avaler. Puis se retournant vers moi, elle se met à genoux et engloutit mon sexe qui se trouve noyé dans le champagne froid et la chaleur de sa bouche. Le contraste est extraordinaire et je ne peux retenir un râle de satisfaction. Annie s’applique à bien conserver l’étanchéité en serrant ses lèvres sur mon gland afin de ne pas laisser échapper la précieuse boisson. Je la sens creuser ses joues comme pour attirer tout mon sang dans mon sexe, tout en faisant jouer sa langue sur mon prépuce pour bien l’exciter.
Pierre s’est rapproché et exhibe à son tour un pénis fièrement dressé dépassant de sa braguette.
En bonne épouse soucieuse d’un partage équitable, Annie abandonne ma queue, prend le temps d’avaler le contenu de sa bouche avant d’ajouter:
Puis refait le plein avant de se saisir de la belle queue raide de son mari.
La belle pistonne la bite de son mari avec ferveur et entrain, laissant couler un fin filet de champagne sur les commissures de ses lèvres. Comme cette fois elle ne s’est pas mise à genoux mais accroupie, j’en profite pour mater ses fesses bien écartées où le short trop serré disparaît en parti dans la raie. Puis me trouvant un peu idiot avec la queue dépassant de ma braguette je décide de me mettre à poil sans plus attendre.
Annie s’apprête à reprendre un peu de Don Pérignon quand …
Ding Dong, la sonnette de l’entrée retentie.
Pierre et moi nous regardons avec étonnement.
Et nous regardons disparaître notre hôtesse d’un pas souple et rapide.
J’interroge Pierre du regard qui n’a pas l’air de comprendre non plus. Mais nous n’avons pas à attendre longtemps, Annie revient dans le salon, mais pas seule.
Annie tient par la main une jeune femme brune, grande et élancée, vêtue d’un long manteau sombre au pied duquel ne dépasse que de fines chevilles et de hauts escarpins noirs.
Pierre et moi restons sans voix, admirant ses grands yeux verts qui nous détaillent des pieds à la tête.
Mais moi à poil et pierre avec la queue qui sort de la braguette nous trouvons dans une situation pour le moins délicate, sinon gênante, devant cette inconnue, belle certes, mais inconnue et inattendue. Et je ne sais pas pour vous, mais pour nous le résultat de cette irruption est immédiat. Une débandaison magistrale du plus mauvais effet sur notre virilité.
Annie, morte de rire, soulage la nouvelle venue de son manteau et nous découvrons une créature de rêve, uniquement vêtue d’une guêpière, d’un mini slip, de porte- jarretelles et de bas roses, le tout d’une couleur saumon du meilleur effet. On aurait dit une véritable star du X. Elle s’approche de moi et souffle à mon intention:
Puis saisissant mon sexe entre le pouce et l’indexe, elle ajoute:
Le doigt posé sur ses lèvres, Annie interrompt toute velléité d’explication et considérant que les actes sont plus parlant que les longs discours, elle saisit Natacha par les hanches et lui roule une gamelle des plus fougueuse.
Les deux femmes se mettent à onduler, se caresser et se frotter l’une contre l’autre devant nos yeux exorbités et nos sexes qui reprennent courages.
D’un commun accord, Pierre et moi laissons s’exprimer devant nous ces désirs lesbiens tout en tripotant sans vergogne nos queues respectives.
La blonde dodue vient de glisser une main dans le slip de sa brune partenaire qui exprime son assentiment par un soupir langoureux. Et comme pour ne pas être en reste, elle débarrasse Annie de sa nuisette afin de mieux palper un sein qui risque de faire exploser à tout moment le soutien-gorge trop étroit.
L’ambiance devient extrêmement chaude et il m’est impossible de rester plus longtemps couilles ballantes sans rien faire. Aussi viens- je me plaquer derrière Annie, emprisonnant ses seins dans mes mains et frottant mon sexe contre ses fesses rebondies. La jolie blonde n’exprime aucune réaction négative, bien au contraire. Elle cambre ses reins pour mieux sentir ma queue raide frotter contre son short sans pour autant délaisser la chatte de son amie qui fait aller et venir son bassin sur la main tripoteuse.
Les deux belles garces n’ont pas décollé leur bouche, prolongeant leur fougueux baiser. Pierre s’est enfin décidé à venir nous rejoindre et caresse dos et fesses de la nouvelle venue. Puis se mettant à genoux, il entreprend de lécher ce petit cul qui s’offre à lui, tout en glissant une main entre les cuisses accueillantes de Natacha.
Annie ne cherche pas à entrer en concurrence avec son mari, et lui abandonne volontiers la chatte pour mieux se consacrer à dégager les deux petits seins de la pulpeuse brune.
Quant à moi, j’ai entrepris de défaire le short en cuir de ma partenaire du moment, ce qui ne se fait pas sans mal car les lanières sont très serrées et Annie est obligée de me venir en aide. Enfin, je peux sentir la peau nue de son cul sur ma bite bandée.
Le soutien- gorge me pose moins de problème et je décongestionne enfin sa somptueuse poitrine. Quel bonheur de sentir ses tétons durcir sous mes doigts! Ses seins sont ronds lourds et fermes. Je prends un véritable plaisir à les malmener.
Pierre vient de faire coulisser le string sur les fines cuisses de sa propriétaire et replonge sa main afin de chatouiller le petit bouton rose qui perle entre les grandes lèvres. Natacha pose un pied sur le canapé pour mieux s’offrir et se retourne vers son cavalier:
Après s’être redressé, Pierre bloque les fines hanches de la belle entre ses mains et la pénètre d’une seule poussée. Elle l’accueille d"un " Hum" de plaisir en crispant ses doigts sur les épaules d’Annie.
Cette dernière me regarde et me fait connaître son fantasme du moment.
Je m’assieds donc entre ces deux femelles et entame une partie de lèche pour deux cons et une langue en rut majeur. Les deux filles se sont resserrées pour mieux se fouiller les amygdales ne me laissant que très peu de place pour exercer mon double cunnilingus.
Je tiens fermement une fesse d’Annie dans une main, tandis que je caresse du mieux que je peux la cuisse de sa compère. Je n’aurais jamais cru pouvoir vivre un tel moment de bonheur, à demi étouffé par deux chattes dégoulinantes de désirs.
Lorsque je me tourne vers le sexe de Natacha, je peux sentir les coups de buttoir prodigués par mon collègue qui se laisse aller à de lents mais fougueux va et viens dans le conduit étroit du vagin.
Tandis que ma langue vole de droite à gauche, ma main s’insinue dans la raie culière de la blonde, glissant un doigt de la fente vers le petit œillet brun. Peu à peu ce dernier s’ouvre à ma caresse et absorbe mon indexe.
Après quelques minutes de ce jeu, Annie roule des hanches de manière de plus en plus anarchique, visiblement très excitée par mes caresses bucco- digitales.
Je me positionne comme souhaité, plus allongé qu’assis, le cul dans le vide. Annie qui me tourne le dos, m’enjambe, écartant bien ses fesses avec ses mains et rajoute:
Tandis que je tiens fermement mon sexe dans ma main, la belle descend lentement son joli cul vers mon pieu. Premier contact et première résistance. Mais déjà bien détendu par mes doigts, le sphincter ne résiste que par pure convenance. Je vois disparaître peu à peu ma queue entre ses fesses.
Je constate alors que nos deux amis ont suspendu leurs ébats pour mieux profiter de la scène.
Je sens les fesses d’Annie peser à présent sur mes cuisses, complètement empalée, les cuisses largement ouvertes, offrant sa chatte béante aux yeux fous des deux autres.
Nat ne résiste pas longtemps à cette vision, et plonge son visage entre les cuisses de son amie, relevant par- là même, bien haut ses propres fesses.
Pierre, toujours planté dans le ventre de la brune, se délecte de la vue de ce petit trou qui s’offre à son regard libidineux. Puis, n’y tenant plus, il vient le titiller de son pouce après l’avoir lubrifié de salive.
Annie s’est rejetée en arrière pour mieux proposer son bouton à la langue concupiscente de son hôtesse qui ne se prive pas de tout son savoir- faire pour lui arracher des cris de béatitude. Je ressens uniquement les contractions de ses reins qui compriment ma queue par spasmes. C’est divin.
Cette fois, c’est trop, je ne peux me retenir et laisse partir de longs jets brûlants au fond de son rectum. Ho c’est trop bon et je me vide les couilles avec un bonheur indescriptible.
Natacha et Pierre se sont décollés pour mieux participer à notre plaisir et tandis que Nat vient caresser doucement la chatte de son amie pour l’aider à reprendre ses esprits, Pierre l’embrasse tendrement.
Annie sanglote et ne peut plus parler. Ses traits sont tirés, ses yeux enfoncés.
Puis amorçant un sourire, elle parvient enfin à articuler.
Pierre s’est déjà saisi de la bouteille et verse le divin nectar que nous accueillons avec délectation.
Annie s’est redressée, mais conserve mon sexe au creux de ses reins. Elle lève bien haut sa coupe et propose un toast.
Me redressant tant bien que mal, je rajoute:
Tout le monde trinque et rit de bon cœur.
Que puis- je faire d’autre sinon m’exécuter ? Je reluque ce petit trou, encore distendu, d’où suinte un liquide épais et blanchâtre. Je prends une fesse dans chaque main pour bien dégager l’anus et donne un premier grand coup de langue. Je recueille au fond de ma gorge une partie de ce que je viens donner avec tant de plaisir et en ressens une certaine excitation. Je poursuis donc mon travail de grand nettoyage avec conviction et application. Annie contracte son sphincter afin d’expulser le maximum de foutre que je lape aussitôt avec délice.
Toujours debout, sirotant leur coupe de Champagne, Pierre et Natacha admirent la scène.
Nat écarte les jambes et cambre son bassin vers l’avant. Pierre tombe aussitôt à genoux et s’empresse de fouiller la fine toison de sa langue avide.
Rapidement la belle émet de petits gémissements et caresse la tête dégarnie de son partenaire tout en sirotant de petites gorgées de champagne.
Annie s’est retournée pour mieux profiter du spectacle oubliant pour un instant mes propres caresses buccales. Je me contente alors de masser son entre cuisse d’une main distraite, histoire d’entretenir un petit feu entre la chatte et le trou du cul.
Natacha en profite pour poser un pied sur mon genou, ouvrant largement son fruit défendu ( pas si défendu que cela ) à la fougue labiale de Pierre.
Tandis que je salive devant cette scène à haute teneur érotique, je sens le pied féminin remonter lentement sur ma cuisse et finir sa course sur mon entre cuisse et ce qui en dépasse. Rapidement, mon sexe encore mou, se retrouve coincé entre le gros orteil et les doigts de pieds de sa propriétaire. Emouvant contact qui a pour conséquence directe de dilater ma verge qui se remet à bander.
Annie abandonne définitivement mes caresses résiduelles pour s’intéresser plus sérieusement à ce qui se passe à nos côtés. Elle s’approche de son amie et vient déposer de tendres baisers sur son cou. Puis elle se saisit d’un sein qu’elle cajole sans modération. Encouragée par les gloussements de Nat, elle s’enhardit et caresse les fesses contractées de la belle brune qui ne demande que cela.
Peu à peu les caresses se font plus précises et ses doigts finissent par s’insinuer au creux de la raie. Il m’est impossible de voir précisément jusqu’où ils pénètrent, mais à en croire les contorsions de Natacha, il me semble qu’ils s’aventurent assez profondément dans le conduit anal.
Pierre n’a que peu d’effort pour accéder à la requête et s’allonge sur le dos, la queue bien raide. Sans hésiter, la brune se met à genoux et s’empale sur la belle bite qu’elle avale d’une seule poussée.
Tandis qu’elle commence un rapide rodéo, Annie la pousse en avant vers son mari, l’enjambe et écarte ses fesses. Tout en titillant l’anus, elle imprime elle- même la cadence de la chevauchée en malaxant de ses mains fermes les deux globes fessiers.
De ma place, je peux voir la queue de Pierre émerger et disparaître au rythme du tempo imposé.
Soudain Annie cesse les mouvements, laissant son amie embrochée jusqu’à la garde sur la queue de son mari. Elle écarte largement les fesses, exhibant le petit trou tendu, prêt à éclater.
Je m’accroupis immédiatement au- dessus de cul offert, la queue dans une main. De l’autre, je dépose rapidement un peu de salive sur l’orifice et présente mon gland.
Le couple s’est immobilisé, me laissant le temps de faire céder le sphincter qui, comme toujours dans ces cas là, a tendance à résister.
Je laisse aller peu à peu mon poids, dilatant millimètre par millimètre les reins de la belle, jusqu’à ce que je sente enfin le petit œillet se rendre. Je m’enfonce alors d’un coup dans cette gaine chaude et serrée.
Pendant quelques secondes, le temps semble s’être arrêté. Plus aucun de nous quatre n’ose le moindre mouvement, profitant de cette accalmie pour prendre pleinement conscience de la situation et du plaisir égoïste que chacun en retire.
Même Annie a retenu son souffle, les yeux écarquillés, la bouche ouverte, fascinée par le spectacle de son amie doublement embrochée.
C’est moi qui prends l’initiative d’un petit va et viens qui peu à peu prend de l’ampleur.
A son tour, Pierre reprend vie et tente de suivre le tempo. Enfin, Natacha semble sortir de sa torpeur et reprend ses gémissements de plaisir.
En appuie sur ses avant bras, les yeux fermés, elle ne laisse émerger de ses lèvres que de longs "Hum" agrémentés de petit "Oui", " c’est bon", " doucement".
Pierre et moi réussissons à nous synchroniser et donner de plus en plus d’ampleur à nos mouvements. Je sens sa queue coulisser contre la mienne, séparée par une fine muqueuse. C’est divin.
Nous avons maintenant bien pris la cadence, quand Pierre sort de la chatte, c’est moi qui m’enfonce à fond dans le cul et inversement. Nos mouvements de reins sont à présent amples et rapides et nous besognons notre partenaire commune avec un enthousiasme qui lui arrache des gémissements de plus en plus sonores.
Le souffle de Natacha est de plus en plus court. Ses cris restent étouffés au fond de sa gorge malgré sa bouche grande ouverte. Elle ne résiste pas longtemps à une formidable vague de chaleur qui l’envahie et ne lâche qu’un petit "Ha" bref quand tout son corps se crispe et se cambre, bloquant tous ses muscles, y compris respiratoires.
Comprenant qu’elle est en plein orgasme, nous ralentissons nos mouvements, ne poursuivant que par petits coups de reins, pour lui permettre de savourer au maximum la déflagration hormonale qui la secoue.
Nat ne peut qu’acquiescer de la tête, la bouche grande ouverte, cherchant l’air qui ne pénètre plus dans ses poumons.
Pierre a cessé tout mouvement se contentant de lui écarter largement les fesses avec les mains. J’en profite pour reprendre mon va et viens au creux de ses reins. Ma queue y coulisse librement, profitant des contractions provoquées par l’orgasme qui semble ne pas s’arrêter.
A voir ma copine jouir comme cela, j’ai failli grimper aux rideaux moi aussi. J’ai trop envie de prendre sa place et de sentir ces deux belles queues me défoncer en même temps.
Marc s’est redressé pour me laisser prendre place. Je préfère présenter mon rectum au vit tendu de mon mari. À genoux, lui tournant le dos, j’entreprends de positionner mon petit trou au-dessus de sa bite dressée. Le premier contact me fait saliver de plaisir et je laisse mon poids m’empaler sur ce pieu de chair. Une petite résistance, que je connais bien à présent, de mon sphincter et rapidement je me sens envahi jusqu’aux intestins. Que c’est bon de se faire enculer, d’autant que la position me permet de m’embrocher bien à fond.
Marc me fait face, les mains sur les hanches et la queue raide, attendant que je sois prête. Je ne peux m’empêcher de lui saisir le sexe d’une main ferme et de le diriger entre mes lèvres (celles de ma bouche). Je le suce avidement, l’engloutissant jusqu’à la glotte. Je soulève légèrement ma croupe et me laisse retomber sur la colonne de chair. Après quelques instants de ce jeu, au combien excitant, je décide qu’il est tant d’aller plus loin.
Marc me prend rapidement, glissant sans problème au fond de mon ventre. C’est la première fois que je me fais prendre par les deux trous en même temps et, vous savez quoi? C’est DIVIN.
Les garçons ne bougent pas d’un poil, butant au fond de mon vagin et de mes reins, attendant que je donne le signal du départ. Marc se contente de me masser délicatement le clitoris avec son pouce.
Je perds toute notion de réalité, me contentant de savourer ces deux sexes qui m’écartèlent les entrailles. J’entends une voix de femme déclarer.
Il me faut faire un effort pour prendre conscience que c’est moi qui parle. Je me sens chienne. J’ai envie de me faire prendre comme une bonne salope, de me faire défoncer jusqu’à en mourir.
Marc continu à me branler le bouton et soudain je me sens partir. Alors je commence à onduler des hanches et les garçons se déchaînent d’un coup. Ils me baisent la chatte et le cul à grands coups de queue et je crie mon bonheur.
Marc me maintient les hanches afin de leur permettre de coulisser en moi sans effort. J’entends comme dans du coton leurs voix.
Et moi je jouis encore plus fort.
Je jouis toujours plus fort.
Mes muscles me font mal tant ils sont tétanisés. Mais je ne peux que subir les assauts des deux mâles déchaînés et je jouis toujours. Pendant un instant, je pense que le plaisir décroît mais Pierre me prend les seins et me les presse à les faire exploser. Mais c’est mon ventre qui explose et des hectolitres d’adrénalines se déversent dans tout mon corps. Mon cœur s"emballe, ma tête se vide et je continue de jouir.
Et soudain, Marc lâche un cri de bête blessée. Je sens alors un jet brûlant au fond de mon ventre. Un jet si puissant, que j’ai l’impression qu’il me remonte dans la gorge.
Et les mains de Pierre se crispent sur mes fesses et je le sens exploser à son tour au fonds de mes reins.
Je n’existe plus, je viens de mourir, mon âme a quitté mon corps, et je jouis encore.
Je ne suis plus qu’un pantin désarticulé, sans volonté. Je les sens encore vaguement bouger en moi, mais je suis loin, trop loin pour comprendre ou appréhender la réalité.
Mon esprit vagabonde dans un environnement chaud et douillet. Impossible de dire où je suis, mais j’y suis bien. Plus d’apesanteur, plus de contrainte, la liberté totale et absolue. Je vole, je flotte comment savoir?
Et puis sans raison, sans avoir rien vu, je me cogne contre de l’invisible. Et je tombe.
Je tombe dans un trou sans fin. Et je me cogne à nouveau. Ma tête part à droite. Nouveau coup, ma tête part à gauche. Ma tête? J’ai une tête? Donc j’ai un corps?
Oui, je le sens, lourd et encombrant. J’ai un corps, mais il ne me sert à rien, il est inerte.
Et puis j’entends au loin une voix qui m’appelle.
Je tombe toujours, mais moins vite, me semble t’il.
Encore un coup, sur la joue cette fois. J’ai des joues? J’ai un corps et une tête?
Un corps lourd mais je devine des membres. Du sang coule dans des veines.
La voix est plus proche, elle m’appelle "Annie, Annie".
Encore une claque. Je soulève mes paupières. Des formes au-dessus de moi. Des voix autour de moi. "Ca y est, elle revient à elle". "Annie, Annie ma chérie, réveille toi."
Je reconnais ces visages, je reconnais ces corps nus. Je me souviens.
Nous nous sommes souvent revus. Nous avons souvent refait l’amour. J’ai souvent re jouis. Mais jamais je n’ai connu de pareil orgasme. Sans doute cela est- il préférable…
Fin