n° 06535 | Fiche technique | 44074 caractères | 44074Temps de lecture estimé : 25 mn | 15/06/03 |
Résumé: Betty avait perdu goût aux bonnes choses de la vie. Mais, un jour... | ||||
Critères: fh fhh fplusag gros(ses) grosseins groscul hotel cinéma bus voir exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Etranges Délires Envoi mini-message |
Betty vivait seule. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas connu d’homme, qu’elle avait même de la peine à s’en souvenir.
Quarante-neuf ans, on ne peut pourtant pas dire que ce soit un âge canonique, ni qu’il implique la sénescence. D’ailleurs, dans sa tête, elle se sentait toujours aussi jeune, dynamique, et amoureuse de la vie. De quoi prendre bien conscience de toute l’étendue de cette solitude non désirée.
Son vrai problème était ailleurs, il se situait plutôt aux alentours des 55 kilos qu’elle avait pris depuis son divorce.
Certes, elle n’avait jamais été mince, elle avait toujours eu des formes et des rondeurs. Pourtant, malgré ses 65 kilos bien tassés, elle avait toujours donné l’image d’une femme épanouie, rayonnante et bien dans sa peau.
Mais, maintenant, ce n’était plus pareil, elle avait presque doublé de volume, plus de 120 kilos, vous vous rendez-compte !
Il ne s’agissait d’ailleurs pas uniquement d’un problème de poids, toute sa vie avait peu à peu capoté : Le départ de son mari, la perte de son travail, ses ennuis de santé, elle s’était réfugiée dans les sucreries, elle avait compensé. À cette époque là, durant cette longue période de descente aux enfers, elle grossissait à vue d’œil, elle maudissait la balance chaque jour un peu plus, elle avait fini par la jeter. Elle se morfondait chez elle, elle bouffait à longueur de journée, c’était son seul plaisir, elle bouffait à en vomir. Elle s’était, peu à peu, laissé complètement aller.
Un jour, elle s’était réveillée dans la peau d’une grosse vache pleine de graisse, c’est ainsi qu’elle se voyait désormais. Elle se maudissait, elle se haïssait, elle ne pouvait plus se supporter. Ses seins énormes, gigantesques, qui pendaient le long de son corps, ses hanches pleines de bourrelets, ses cuisses grosses comme des jambons et ses fesses toutes flasques, berk, quelle horreur ! Elle se trouvait horrible, ce qu’elle voyait dans la glace ce n’était plus vraiment elle, c’était une créature monstrueuse et difforme. Et cette créature, elle ne pouvait plus la supporter, elle avait d’ailleurs fini par supprimer tous les miroirs de la maison.
Depuis, elle se laissait complètement aller, elle se lavait un jour sur trois, elle s’habillait comme dans un sac, dans des vieilles robes de mamie d’un autre âge.
Aucun homme n’aurait pu s’intéresser à une fille de sa corpulence, c’est du moins ce qu’elle pensait. Et sa vie amoureuse était désormais réduite à néant ou presque. Quelques séances de minitel, quelques branlettes en solitaire, par hygiène, pour réduire les tensions. Plus rarement elle s’était risquée à se caresser au téléphone avec des inconnus. Elle jouait des rôles, elle se faisait passer pour la jeune femme libérée qu’elle n’était plus depuis longtemps. À vrai dire, rien de bien palpitant.
Et puis, elle ne sortait plus. Elle avait démissionné de la vie sociale pour se recroqueviller sur elle-même. Elle restait cloîtrée, dans sa petite maison, à regarder la télé, en attendant le RMI. Une fois par mois, elle partait en expédition à la ville, pour reconstituer son stock de provisions. Et il y avait toujours une part non négligeable de sucreries, « ses petits plaisirs », comme elle disait, ses compensations. Elle mangeait gras et sans complexe, c’était là son seul plaisir. Et, alors que son médecin n’avait de cesse que celle de l’alerter sur les risques encourus, peu lui importait après tout, c’était comme un lent suicide, un suicide par omission, un suicide par démission.
Plus de restaurant, plus de cinéma, plus de salle de gym, quelle horreur, plus aucune sortie en somme.
Il n’y avait qu’un seul jour par an où elle daignait déroger à cette règle, le jour de son anniversaire : Ce jour là était sacré et il était hors de question de rester toute seule à la maison. Elle se rendait en bord de mer, et se trouvait un petit restau où elle fêtait ça, mais toute seule ! Elle se payait un bon repas, copieusement arrosé, avec ce qu’il y avait de meilleur et de plus cher.
Cette année là, elle avait trouvé une bonne adresse, un peu plus haut sur la côte normande. Une émission de télé, c’était comme ça qu’elle avait eu cette adresse. Un restaurant du terroir, de la bonne vieille cuisine traditionnelle. Elle n’avait pas cru bon réserver, elle ne réservait jamais.
Le restaurant était bondé, probablement un des effets de cette pub télévisuelle. Elle aurait certes préféré un endroit plus tranquille, mais c’était celui-ci qu’elle avait choisi, et elle ne voulait plus en changer.
Dehors, le temps était gris et maussade, il crachotait sans cesse. Elle est rapidement entrée pour se mettre au sec. L’endroit était bondé, un brouhaha assourdissant.
Un serveur lui a annoncé :
Elle s’est retrouvée près du zinc, avec cinq ou six autres personnes qui attendaient déjà. Elle s’est assise sur un tabouret.
Le lieu empestait le tabac, ça lui rappelait son ex, donc plein de mauvais souvenirs. Il l’avait trompée, re-trompée, archi-trompée, il l’avait faite cocue jusqu’à l’os, alors qu’elle lui faisait une confiance aveugle. Et, comble du comble, lorsqu’il s’était barré, il était parti avec leurs économies communes, il l’avait dépouillée, impossible de récupérer quoi que ce soit. Bahh ! Rien que des mauvais souvenirs.
Le serveur au bar était un petit gringalet tout excité, avec un sourire en coin. Il donnait vraiment l’impression de se moquer du monde. Elle n’aimait pas du tout ses manières. En plus, il parlait haut et fort, un peu comme son ex, elle avait appris à détester ce genre d’attitude.
Elle sirotait lentement sa boisson en regardant vaguement une petite télé accrochée dans un coin de la salle… Elle devait penser à quelque chose, mais elle était ailleurs, dans un autre monde, lorsqu’elle a entendu un « Pardon madame » dans le lointain.
C’était un homme entre deux âges, les tempes grisonnantes mais le regard étrangement jeune, un homme qui semblait seul, lui aussi, un homme qui la dévisageait avec un gentil sourire.
Elle hésita un instant mais, après tout, pourquoi pas, elle allait être pompette :
S’en suivi une longue discussion où ils parlèrent de tout, de rien. Il était en déplacement professionnel dans la région et était resté sur place pour le week-end. Tandis qu’il parlait, elle le regarda un peu plus attentivement. Malgré la barbe de trois jours et quelques cheveux gris, son visage paraissait étrangement jeune. Et puis sa voix, beaucoup trop aiguë, lui donnait aussi un air immature.
Cet homme lui rappelait quelqu’un, un amant qu’elle avait eu dans sa jeunesse, quelqu’un qu’elle avait vraiment beaucoup aimé, juste avant son mariage. Une passion démesurée et presque aveugle qui avait duré quelques semaines, peut-être quelques mois. Elle aurait abandonné, sans aucun état d’âme, son fiancé pour son amant, mais celui-ci n’était malheureusement pas prêt pour ce grand saut. C’est pour cette raison que cela ne s’était pas fait, à cause de cela aussi qu’elle avait épousé « l’autre ». S’il en avait été autrement, cela aurait probablement changé le cours des choses. Amers regrets. Ah, si seulement ! Elle regrettait souvent cette époque…
Elle était à nouveau perdue dans ses pensées les plus profondes…
Cela changeait ses plans. Ce repas d’anniversaire en tête-à-tête avec elle-même était prévu de longue date, et elle avait horreur de tous ces changements.
Il l’embobina par quelques ritournelles et elle finit pas céder :
Du coup, elle n’osa pas trop commander, ni s’empiffrer comme une goinfre. Tant pis pour son anniversaire, elle remettrait ça à une prochaine fois.
Il était expert technique, il travaillait sur des chantiers. Divorcé, tout comme elle, depuis 10 ans déjà, il avait pris goût à la solitude et semblait s’en satisfaire, la vie de célibataire avait aussi ses bons côtés.
Elle tourna court à cette discussion. Son aspect physique, c’était un sujet tabou. Maintenant, elle se demandait ce qu’elle faisait là, dans ce restaurant, avec cet inconnu. Par ailleurs fort sympathique, oui, beaucoup trop sympathique. C’était parfois une torture pour elle de communiquer ainsi avec les autres.
Mais, son vis-à-vis était assez fin psychologue, il comprit sa gêne, et il orienta la conversation vers d’autres sujets moins sensibles.
Olivier, puisque tel était son nom, était passionné d’astrologie. Pour lui, c’était un sujet intarissable. Astrologie, ésotérisme, phénomènes paranormaux, il achetait des tonnes de bouquins traitant de ces sujets.
Finalement, elle accepta. Il prit délicatement ses mains boudinées entre ses doigts fins et graciles. Il était doux et délicat, il la manipulait comme un joyau. Elle fut sensible à sa prévenance.
De toute façon elle ne croyait pas à toutes ces balivernes. Et puis, pour l’argent, il n’avait eu aucun mal, c’était elle-même qui lui avait confié ses difficultés financières. Quant à la santé, vu son poids et son embonpoint, ce n’était pas difficile à deviner qu’elle devait avoir quelques problèmes. Mais côté cœur, pfffff, inutile de remuer le couteau dans la plaie, c’était fini depuis bien longtemps tout ça.
Décidément, ils retombaient toujours sur la même discussion. Cela eut le don de l’agacer, elle manifesta son impatience, et s’enferma dans un mutisme. L’atmosphère devenant tendue, il demanda prestement l’addition.
Mis à part cet incident de dernière minute, le déjeuner avait été très agréable. C’était un homme charmant, fin et délicat, avec une grande culture et une intelligence subtile. Il avait vraiment tout pour plaire. Et, décidément, il lui rappelait de vieux souvenirs.
Ils se retrouvèrent sur le trottoir, dans le crachin.
Des dizaines d’années qu’elle n’était pas allée au cinéma. Son mari détestait le cinéma. Elle désirait rentrer, mais il insista beaucoup, et comme il était encore relativement tôt, elle se laissa convaincre.
Les sièges étaient vraiment étriqués dans cette salle vieillotte et, avec ses grosses fesses, elle se sentait particulièrement à l’étroit. Il avait choisi une place un peu à l’écart, un peu dans les hauteurs, « pour mieux voir », lui avait-il dit. Pourtant, la salle était presque vide. Olivier avait choisi un film fantastique : En ce qui la concerne, ce n’était guère sa tasse de thé.
Le film venait à peine de commencer, et ils étaient à peine installés dans le noir, que déjà la main d’Olivier se posait sur sa cuisse. Elle prit tout de suite cette main et la remit fermement à sa place. Et, lorsqu’il lui prit à nouveau l’idée de recommencer, elle se pencha furax à son oreille et dit avec agacement : « Non, n’insistez pas, je vous prie ».
Il obtempéra et resta calme un long moment.
Mais, en ce qui la concerne, cet incident l’avait réellement troublée : Se faire peloter comme une vulgaire gamine dans une salle de cinéma, quelle honte !
Le film était terrifiant, mais surtout pas passionnant.
A la moitié du spectacle, il se pencha à son oreille « Excusez-moi pour tout à l’heure, je ne sais pas ce qui m’a pris ».
« C’est moi, se dit-elle, je ne sais pas ce qui m’a pris, moi ». Maintenant, elle regrettait de l’avoir ainsi repoussé. Après tout, que risquait-elle ? Et puis, cet homme, pourquoi se mentir, c’est vrai qu’il lui plaisait. Dire qu’elle avait tout gâché par sa pudibonderie !
Prenant son courage à deux mains, elle se pencha vers lui à nouveau :
Son audace lui fit monter le sang à la tête, elle crut qu’elle allait se trouver mal.
La main s’était à nouveau posée sur sa cuisse et pétrissait ses chairs. Elle n’aurait jamais imaginé vivre à nouveau pareil moment. Elle désirait qu’il la caresse, elle ne voulait plus de ce bout de tissu entre eux.
Elle remonta sa jupe pour qu’il puisse poser sa main sur sa peau nue. Le contact était électrique. Les doigts agiles glissaient peu à peu vers son entrecuisse.
Elle était folle de se laisser faire ! Dans un lieu public, en plus ! C’était la première fois qu’elle faisait ça de sa vie. Il s’était retourné vers elle et lui embrassait le cou, le lobe des oreilles, tout en remontant prestement avec ses doigts vers son intimité.
Au même moment, sa bouche fut sur ses lèvres et la main sur sa culotte. Il écarta celle-ci prestement tandis que leurs bouches se soudaient. Elle se sentait tout d’un coup comme une adolescente à son premier rendez-vous, leurs langues s’emmêlaient, des doigts la fouillaient, elle se sentait incroyablement humide, sa culotte devait être trempée. Quelle honte, mais aussi quel bonheur !
Il la masturba un long moment tandis que son autre main caressait fiévreusement sa poitrine.
Leurs attouchements furent malheureusement interrompus quand un grand gardien noir fit irruption près de la porte. Elle n’eut que le temps de se rafistoler.
La séance était presque terminée, les lumières se rallumèrent et tout le monde se leva. Lorsqu’ils passèrent près du géant noir, celui-ci lui jeta un clin d’œil complice, et vicieux en diable. Il l’avait vue se faire peloter, c’est certain. Heureusement qu’elle habitait à plus de 50 km, elle n’aurait pas le loisir de le rencontrer de sitôt.
Ils marchaient côte à côte. Olivier l’avait saisie par les épaules malgré son embonpoint, et elle s’était laissée faire. Ils devaient former un couple bien étrange, lui, le gringalet, et elle, l’hippopotame de service.
Un dernier verre, cela voulait dire se faire sauter. Cela la choqua un peu. Sitôt emballée, sitôt baisée, elle eut l’impression de passer pour la pute d’un soir. Elle fut sur le point de refuser, mais finalement l’envie fut la plus forte. Elle avait effectivement terriblement envie de se faire baiser.
L’hôtesse d’accueil de l’hôtel les regarda passer avec un rictus ironique, elle était en train de bavasser avec un employé. Une femme entre deux âges, un peu à l’image de nos deux tourtereaux, mais elle présentait bien et était filiforme. Le petit jeunot qui conversait avec elle, de son côté, n’avait pas l’air complètement fini !
Les regards des deux femmes se croisèrent et Betty crut percevoir ce que l’autre pensait : « T’es qu’une grosse pouffe, une fille facile, une Marie Couche-toi-là, tu dois offrir gratuitement ton gros cul au premier venu pour obtenir un peu d’amour ». Elle baissa les yeux et se mit à rougir.
Les deux employés la toisaient avec dédain, ils avaient l’air de la trouver vulgaire et grotesque, c’est certain. D’ailleurs, la plupart des gens trouvent les grosses femmes vulgaires !
Perturbée par cet incident, quand Olivier tenta de la caresser dans l’ascenseur, elle repoussa ses avances. Ce n’est que dans la chaleur de la chambre, une fois la porte refermée, qu’elle daigna de nouveau se faire tripoter.
Olivier tint absolument à commander une bouteille de champagne. Elle trouva ça ridicule et déplacé. Elle eut cette fois carrément l’impression d’être une pute, ce qui ne l’empêcha pourtant pas de le laisser la trousser et culbuter sur le lit. Sa chatte était incroyablement humide et son clito tout gonflé. Déjà une fois, dans le cinéma, elle avait été au bord de l’orgasme. Mais cette fois-ci, dans l’intimité de la chambrette, c’était encore pire, elle se sentait fontaine. Qu’importait, après tout, de passer pour une pute ! Elle avait envie de jouir, de se faire baiser et de prendre un pied d’enfer.
Olivier l’avait culbutée sur le lit et largement troussée, puis il s’était employé à retirer sa large culotte de coton blanc, dévoilant ainsi sa touffe de poil épaisse. Bien longtemps qu’elle ne s’était pas épilée ! Une fois la culotte retirée, il lui montra son trophée et il lui fit sentir. La culotte était ornée d’une large tache jaune et elle sentait la femelle en chaleur. Il la huma pendant un bon moment :
Elle n’était pas habituée à parler en faisant l’amour, elle avait toujours été timide et coincée de ce côté.
Tout en faisant sauter le dernier bouton, il se pencha vers sa bouche et glissa sa langue en elle. Leurs langues s’emmêlèrent, s’enlacèrent. Effectivement, elle avait très envie d’être baisée. Prestement, et malgré le handicap de son poids, il avait glissé ses mains sous son dos et dégrafé son soutif.
Lorsqu’il décida d’extraire ses mamelles de leur support, elle eut un réflexe pour les cacher, tellement elle avait honte de ces outres flasques et pendantes.
Et comme elle ne répondait pas :
Finalement elle accepta à contre-cœur, pour lui faire plaisir. Il les prit à pleines mains et se mit à les lui malaxer, à les lui téter. Au début, un peu perplexe, car elle pensait qu’ils étaient désormais insensibles, elle commença malgré tout à avoir des sensations. Olivier la tétait comme un nourrisson avec un appétit féroce, elle se mit à aimer ça, des frissons traversèrent tout son corps.
Finalement, il lui a demandé de se relever, de se mettre debout sur le lit, et l’a aidée à finir de se déshabiller.
Debout sur le lit, complètement nue face au regard pervers de son amant, elle se sentait complètement désarmée. Comprenant son désarroi, mais désirant repousser ses limites, il prit un malin plaisir à prendre son temps pour l’ausculter sous toutes les coutures, de loin, sans la toucher. Elle avait l’air toute timide, toute stressée. Alors il lui vint l’idée d’ajouter quelques commentaires :
Elle se sentait comme une vache au comice agricole, détaillée, jaugée, évaluée. Elle eut un instant envie de descendre de son perchoir, et de se cacher sous les draps. Seul le regard lubrique d’Olivier la retint. Il avait sorti un long sexe dressé et lentement se masturbait en la regardant sous toutes les coutures.
Elle obtempéra. Jamais de sa vie elle n’avait fait ça, même quand elle était jeune, belle et acceptable. Et là, elle lui offrait sa laideur en pâture. Mais il aimait cette laideur. Il avait de bien curieuses tendances. Objectivement, la majorité des hommes l’aurait trouvée moche et peu ragoûtante, alors que lui semblait émerveillé par cette horreur. Elle accepta de se triturer les seins devant lui, elle accepta de caresser son clito, elle accepta même d’écarter ses fesses pour lui montrer son petit trou brun. Et, à chaque fois, il la dévorait un peu plus des yeux, complètement fasciné par ce spectacle.
On venait de frapper à la porte, ça a rompu le charme. Immédiatement, elle a plongé sous les draps, tandis qu’Olivier allait ouvrir. Il ne lui laissa même pas le temps de se retourner. Pire, il fit entrer le serveur dans la chambrette. Celui-ci, en voyant la grosse femme sous les draps, eut de la peine à dissimuler un sourire moqueur. Et, quand elle réalisa que tous ses vêtements traînaient épars sur le lit ou sur la moquette, à commencer par sa grande culotte jaunie qui trônait sur la chaise…
Le serveur n’en perdait pas une miette, intérieurement il était hilare, cela se sentait.
Il s’approcha, il était tout près d’elle et ce petit salopard prenait volontairement son temps. Lorsqu’elle le vit sournoisement passer sa langue sur ses lèvres, avec un air de dire « Tu dois être une sacrée salope, toi, la grosse », elle faillit mourir sur place.
Finalement, il se redressa et s’en fut vers la porte.
Mais, alors qu’il allait partir, Olivier le retint.
Oh NON ! Pas ça ! Mais, Olivier s’était rapproché du lit et fermement il écarta le drap d’un geste brusque, elle n’eut pas le temps de l’en empêcher et se retrouva donc entièrement nue devant le regard hilare du serveur. Elle chercha à se cacher, les seins, la chatte, avec ses mains, mais ses petites mains ne pouvaient tout couvrir et le serveur s’en donnait à cœur joie. Elle préféra fermer les yeux pour oublier toute la honte qu’elle éprouvait à cet instant précis. Elle ne les rouvrit que lorsqu’elle entendit la porte se refermer.
Elle était fermement décidée à se rhabiller et à s’en aller.
Mais avec une assurance déroutante, Olivier lui rétorqua :
Elle s’était redressée et commençait déjà à remettre son soutien-gorge.
Il s’était approché d’elle et dégrafait déjà le soutien-gorge qu’elle venait de remettre. Sa bouche posée sur son épaule, il la grignotait. Contre toute attente, elle ne savait plus trop bien pourquoi elle voulait partir, ni d’ailleurs si elle voulait vraiment partir. Et puis le contact d’Olivier sur sa peau… tout ça l’électrisait, ses doigts et sa bouche. Elle aurait dû lui dire « non », foutre le camp, mais elle avait surtout envie de rester, de se faire toucher, embrasser et baiser.
Pour la seconde fois le soutien-gorge s’en fut par terre.
Il avait ressorti sa bite et celle-ci était fière et dressée, juste à portée de sa main. Machinalement, elle saisit ce bâton de chair chaude. Ohh, que c’était agréable à caresser ! Elle entreprit de le branler un peu entre ses doigts boudinés tandis que lui recommençait à lui sucer les tétons, ses gros tétons très bruns et désormais très durs, durs d’un désir fou qui prenait racine au fin fond de son ventre. Et, tandis qu’il la tétait, elle lui tenait fermement la tête, tellement c’était bon. Ses seins devenaient de plus en plus sensibles. De mémoire, ils n’avaient jamais été ainsi. C’était son savoir-faire qui la comblait, il la tétait et la pétrissait à merveille, juste ce qu’il faut pour l’attiser plus encore, mais pas trop au point de lui faire mal. À force, elle se sentait presque au bord de la jouissance, elle qui n’avait jamais eu d’orgasme mammaire.
Les doigts parcouraient son corps de façon incessante, elle ne les contrôlait plus. Un instant sur ses nichons, elle les retrouvait un peu plus tard agrippant ses bourrelets puis posés sur sa chatte brûlante ou malaxant ses grosses fesses. Ils la mettaient dans tous ses états. Elle n’en pouvait plus, elle ne savait plus où elle était, elle avait les yeux complètement révulsés.
Il a suffi qu’il glisse sa langue dans son oreille pour qu’elle jouisse de toute part, tellement elle n’en pouvait plus. Elle se laissa tomber en arrière, sur le lit, le corps secoué de spasmes incontrôlables.
Il en profita pour se glisser immédiatement entre ses cuisses et lécher sa minette luisante de mouille. Trois ou quatre coups de langue et elle jouissait à nouveau, encore plus loin, encore plus fort. Il lui écarta fermement les cuisses pour mieux la bouffer. Chaque nouveau passage de cette langue râpeuse sur son clito était une nouvelle source de jouissance et d’extase. Elle a senti un long jet de mouille s’expulser de sa chatte, elle s’est demandée un instant s’il ne s’agissait pas plutôt de pisse. Mais il a tout bu et tout avalé, sans rien dire. Il continuait à la brouter, à la branler, il enfonçait tous ses doigts en elle. Cela a duré longtemps, très longtemps. Elle ignorait combien de fois elle avait joui. Elle ignorait aussi comment elle avait un instant accepté qu’il lui lèche l’anus et même qu’il enfonce ses doigts dedans. Elle y avait presque pris plaisir, elle qui avait pourtant horreur de ça.
Le pire c’est qu’après tant de jouissance, elle sombra dans les bras de Morphée, complètement repue.
Lorsqu’elle se réveilla un peu plus tard, Olivier venait de se mettre à cheval sur elle et essayait de se branler entre ses lourdes mamelles. Le pauvre, elle se rappelait qu’il n’avait pas encore joui, elle l’avait même à peine caressé.
Il était à cheval sur elle et elle le regardait. Il était très maigre et avait un petit torse, relativement peu poilu. Par contre en se penchant et en découvrant son engin, elle fut surprise par la taille de son mandrin. Maintenant qu’il trônait devant son nez, elle le trouvait énorme même si, évidemment, tout est relatif. Elle ne se serait pas hasardée sur le nombre de centimètres, elle n’y connaissait rien, mais ceux qu’elle avait connus étaient un peu moins longs et surtout beaucoup moins larges.
Betty, une fois bien réveillée, entreprit de le lécher avec sa langue. Elle s’en voulait passablement de s’être endormie et d’avoir laissé le pauvre Olivier insatisfait, elle désirait rattraper le temps perdu. Elle entreprit de la pomper avec une satisfaction non feinte et un appétit vorace. Elle y allait de bon cœur sur cette grosse queue, s’arrêtant juste de temps à autres pour la faire coulisser ardemment entre ses outres.
Elle a senti le jus monter, le bâton se tendre comme un arc, elle a redoublé ses ardeurs jusqu’à ce qu’elle soit inondée par un torrent de foutre chaud qui jaillissait par saccades. Elle en a avalé la moitié et s’est aspergée la figure avec le reste. Jusqu’à extraire la dernière goutte en frottant cette belle bite contre ses seins.
Olivier saisit le téléphone et commanda une collation avant de se remettre entre les énormes cuisses de Betty.
Il lui écarta largement les jambes pour avoir plus accès à sa touffe de poils collés. Hummm, cette odeur enivrante ne tarda pas à le faire à nouveau bander tandis qu’il broutait à nouveau cette large minette. Betty palpitait à nouveau, Olivier revenait sans cesse à son clito, entre deux plongeons dans ses entrailles. Que c’était bon, on ne l’avait jamais sucée aussi bien, elle recommençait à gémir, il lui travaillait la chatte comme un dieu, alternant ses doigts et sa bouche. Elle était à nouveau très, très proche de l’extase.
Quelqu’un frappa à la porte. Réaction de panique. Alors qu’elle cherchait à nouveau à se couvrir, un ordre sans appel, de la bouche d’Olivier :
Le temps pour Olivier de mettre une serviette autour de sa taille et la porte était ouverte.
Le serveur passa le bout de son nez. Betty était offerte de façon obscène à son regard salace. Mais, alors qu’elle aurait dû en avoir honte, elle se souvint des propos d’Olivier, et elle trouva la force en elle pour soutenir son regard. Après tout, peu importe ce que ce jeune con pouvait bien penser, le tout était qu’elle se sente à l’aise. Dans quelques minutes, Olivier allait à nouveau s’occuper d’elle, et pourquoi pas la faire jouir, donc elle se sentait bien et décontractée.
Olivier poussa le vice jusqu’à demander au serveur : « Vous pouvez poser tout ça sur le lit, près de ma femme ». À cette distance, lorsqu’il s’approcha tout près d’elle, il ne pouvait que sentir son odeur de chienne en chaleur. Mais qu’importe, il pouvait la voir comme une grosse pute moche et vicieuse, peu lui importait d’ailleurs d’être effectivement une grosse pute moche et vicieuse aux yeux de l’humanité toute entière. Elle souhaitait prendre son pied, uniquement prendre son pied. Olivier l’aurait offerte au serveur qu’elle aurait même accepté, mais il eut la décence de n’en rien faire.
Et le larbin de service se contenta de repartir avec son large sourire moqueur rempli d’autosatisfaction.
Après une courte pause casse-croûte, Olivier reprit les hostilités. La fente poisseuse de Betty le fascinait. Son odeur était mortellement excitante. Il redoubla d’ardeur pour la bouffer entre les cuisses, n’hésitant pas à aspirer son abricot dans des bruits de succion obscènes, mais revenant sans cesse vers son petit dard turgescent.
La belle, devant tant d’ardeur, ne tarda pas à nouveau à éclater en projetant un jet de jus bien chaud sur la figure de son lécheur. Mais il continuait de plus belle. Elle jouit à nouveau puis encore une fois plus tard. Son corps n’était plus qu’une masse de jouissance, entièrement soumis au bon vouloir de son tortionnaire. Et Olivier insistait encore et encore, il désirait l’entendre rendre grâce alors qu’elle, de son côté, désirait jouir toujours plus, toujours plus fort, toujours plus loin.
Il l’a laissée épuisée, allongée sur le lit, complètement vidée. Il lui a fallu plus d’un quart d’heure pour s’en remettre et se relever péniblement. Ils ont bu une coupe de champagne :
Betty ne put que remarquer qu’Olivier bandait toujours et, à chaque fois qu’il tournait les yeux vers elle, il bandait encore plus fort.
Il la repoussa sur le lit et posa son dard sur son vagin. Elle le sentait dur à l’entrée de sa grotte. Ensuite il a poussé et est rentré sans problème dans son puits d’amour, malgré son gros diamètre, il faut dire qu’elle était encore toute trempée. Il s’est mis à bien la limer en regardant son énorme poitrine se balancer de part en part. Puis, se penchant en avant, il s’est mis à lui téter les seins, tout en continuant à la limer.
Les coups de reins d’Olivier devaient de plus en plus vifs, de plus en plus forts. Betty a joui une nouvelle fois sous la pression des coups de rein de son amant.
Sans lui laisser aucun répit, il la fit se retourner, se mettre à quatre pattes et l’empala d’un coup à quatre pattes sur le lit, la bourrant comme une bête. De voir ses grosses mamelles se balancer sous elle au rythme de ses coups de bite, ça l’excitait au plus haut point. Il la saisit par les hanches et s’acharna entre ses fesses à grands coups de boutoir contre son cul. Betty n’en pouvait plus, elle jouit encore et s’affala tandis que son mâle continuait à la bourrer et à lui en foutre plein la chatte. Cette cadence infernale la pistonnait de part en part, elle hurlait comme une bête à chaque coup de bite. Lui claquait à pleines mains sur ses grosses fesses dodues pour asseoir sa domination. Et, lorsque enfin il éclata dans ses entrailles, elle fut prise une dernière fois d’un orgasme fulgurant qui la terrassa. Tandis qu’Olivier, de son côté, la remplissait copieusement de sa sève.
Une peur la traversa : ils n’avaient pris aucune précaution. Elle calcula vite fait dans sa tête, en plus c’était sa période de fécondation. Mais elle était trop bien, elle n’avait guère envie de se lever pour aller se laver.
Et puis, elle aurait pu également attraper une cochonnerie, après tout elle ne le connaissait pas du tout, c’était sans doute un homme volage. Avec tout ce qui traîne comme saloperies de nos jours.
Par contre, de son côté, lui n’avait guère de soucis à se faire, cela faisait presque 10 ans que personne ne l’avait touchée.
Ils se sont endormis enlacés l’un dans l’autre. Rien que pour cette journée d’amour, elle aurait donné toute sa vie.
Au petit matin, ils recommencèrent une dernière fois avec toujours autant d’intensité. Elle lui demanda simplement de se retirer à la dernière minute, ce qu’il fit en l’aspergeant copieusement sur tout le corps des saccades de son jus brûlant qu’elle étala ensuite avec délectation.
Malheureusement, il était déjà tard et Olivier avait rendez-vous sur un chantier. Ensuite, le soir même, il devait rentrer sur Dijon. Il prit une douche, vite fait.
Lorsqu’il revint, alors qu’elle s’apprêtait à son tour à aller dans la salle de bain, il lui demanda de n’en rien faire. Elle le regarda interloquée.
Il lui demanda de se contenter de se rhabiller. D’abord ils étaient en retard et puis, ensuite, il avait envie qu’elle reste encore couverte de son jus toute la journée. Elle n’eut aucun état d’âme pour exhausser les vœux de son amant. Même quand celui-ci lui demanda de ne pas remettre son soutien-gorge. Il fut convenu qu’elle rentrerait ainsi jusqu’à chez elle, sans soutif et sans culotte.
Elle ne regarda même pas dans la glace pour voir à quel point elle devait être ridicule sans soutien-gorge. Bien sûr que cela devait se voir, quand on a des seins énormes et tombants, les porter sans soutif ne peut que se remarquer. Mais, après tout, qu’importe !
Ils descendirent payer l’hôtel. Le petit serveur n’était pas là, mais l’hôtesse d’accueil, par ses sourires en coin et ses petites remarques, montrait que son collègue lui avait déjà tout raconté dans le menu détail.
Betty la fusilla du regard, histoire de dire « Oui, j’aime me faire baiser comme une pute, et alors, t’es jalouse ? »
Ils se séparèrent tristement sur le trottoir, ils en avaient presque les larmes aux yeux. Olivier lui roula une pelle passionnée en la serrant très fort contre lui, elle s’agrippa à son cou…
Elle le regarda partir, assis à son volant, un petit signe de la main avant de regagner la gare routière pour rentrer chez elle. Ils s’étaient échangé leurs numéros de téléphone et il lui avait promis de revenir la voir « dès que possible ». Mais dès que possible, ça pouvait être bien loin !
Le regard du guichetier lui rappela qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Il mit plus de temps que raisonnable pour lui délivrer son billet en reluquant copieusement ses appendices. Elle regretta presque de ne pas avoir accepté de dégrafer un ou deux boutons. D’ailleurs, lorsqu’elle rejoignit la salle d’attente c’est ce qu’elle fit de suite. La perspective d’exciter des hommes l’excitait désormais. Alors peu importe ceux qui allaient être dégoûtés par son attitude.
Plus tard, en montant dans le car, elle perçut immédiatement le regard insistant d’un petit jeune. Il devait avoir une vingtaine d’années et paressait tout timide. Il rougissait, et ses yeux étaient manifestement rivés sur son corsage. Elle passa devant lui, fut sur le point de s’installer quelques places derrière lui. Le car était presque vide. Mais elle changea d’idée, elle dégrafa un troisième bouton et rebroussa chemin :
Rouge brique qu’il était ! Et il bavait d’envie devant son décolleté. « Quand même, un petit jeune, je ne vais pas les prendre dès la maternelle ! ». Mais l’instant d’après elle se dit : « Après tout, pourquoi pas, si j’en ai envie et s’il en a envie ».
Et tout en s’asseyant, elle s’arrangea pour écarter largement son corsage, pour lui donner une vue plongeante sur ses doudounes.
Cela devait bien faire plus d’une demi-heure qu’ils étaient partis et il ne se passait rien. Juste les regards répétés, et de plus en plus insistants, sur ses mamelles. Elle se décida à tenter quelque chose :
Elle crut un instant qu’il allait avoir une syncope, il passa du rouge au blanc puis à nouveau au rouge. Elle s’en serait voulu qu’il ait une attaque.
Il se mit à bégayer quelque chose qu’elle supposa être une confirmation.
Timidement, il avança sa main sur l’opulente poitrine entièrement offerte et, quelques temps plus tard, il se mit à les pétrir avec ardeur.
Ce soir-là, deux passagers descendirent à Vivières, mais aucun à Mantelay.