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n° 06672Fiche technique11546 caractères11546
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/07/03
Résumé:  Déroulement surprenant d'une soirée qui s'annonçait des plus agréables mais sur le plan de l'amitié.
Critères:  ffh fbi telnet intermast cunnilingu pénétratio
Auteur : Son Ange
Une Lionne sur un toit brûlant



Si elle savait à quel point je me réjouis également. Marie, je l’ai connue sur le net. C’est une fille absolument merveilleuse. Elle est belle, charmante, drôle et, pour ne rien gâcher, intelligente. Je pense que l’attirance n’est pas réciproque, nous n’avons jamais couché ensemble. Il faut dire que j’ai rien d’un Apollon. J’ai un peu le physique de Mouss Diouf…mais en blanc. Certes balaise, mais tout de même enrobé. Du coup, j’ai parfois du mal à comprendre ces filles qui sont attirées par moi. J’ai du mal à les comprendre mais je ne m’en plains pas. Je dois probablement dégagé un je ne sais quoi qui est un appel au sexe. Ou plus simplement, mon côté romantique et "gentil" se montrerait-il enchanteur?


Quoi qu’il en soit, depuis que je fréquente le net, j’ai rencontré quelques filles avec qui les rapports sont passés d’amicaux à charnels. Ce n’est pas le cas de Marie. Elle, je l’ai rencontrée dans une période difficile de sa vie durant laquelle elle a dû arrêter ses études. Elle a eu la chance de tomber sur moi sur un chat et elle s’est sentie écoutée. Depuis, je suis son grand frère virtuel. Bref, vous n’êtes pas là pour lire une histoire "sociale", partons dans le vif du sujet :-) .


J’avais donc rendez-vous avec Marie à Petaouchnok ce soir à 18h. Et ce n’était pas un hasard. J’avais la ferme intention de me déplacer pour…Laetitia. Je l’ai également connue sur le net. Et nous avons eu une aventure des plus agréables. En fait, c’est un peu plus qu’une aventure. Malheureusement, le destin ne fait parfois les chose qu’à moitié. Laetitia vient de quitter son copain et souffre beaucoup. J’ai décidé de la sortir, histoire qu’elle se change les idées. Elle a donc également rendez-vous à 18h à la gare.


A mon habitude, j’arrive en retard. Marie est déjà là. O vision de splendeur! Elle a posé son mètre 75 dans une robe mi-longue blanche à bouton. Evidemment, elle est dans le contre jour et je peux deviner la forme de ses jambes. Je m’approche d’elle et je vois qu’elle a changé de coiffure, cela lui va plutôt bien. Ce que je n’avais encore jamais remarqué chez elle, c’est la taille de sa poitrine. Ses seins fiers pointent vers le haut et semblent vous attirer vers eux. Va falloir que je conserve mon calme.



Quelques minutes plus tard, Laetitia arrive et je fais les présentations. Bien que les filles semblent heureuses de me voir, la convivialité a du mal à démarrer. Sans doute parce qu’elles ne se connaissent pas. Va falloir que je détende l’atmosphère en faisant le clown. Après des efforts titanesques, j’y parviens et la soirée s’améliore franchement une fois notre pizza terminée.


Que demander de plus? J’ai plutôt bien mangé, nous avons dégusté un exquis chianti et surtout, j’ai 2 créatures de rêve en face de moi.


Le reste de la soirée, nous passons de café en pub, de pub en boîte, nous buvons, nous dansons, nous faisons les fous…Bref, nous nous amusons…


2h du mat’, faut que je pense à rentrer. J’ai encore quasiment 200km à faire. Marie ne veut pas me laisser partir. Elle me dit qu’il est hors de question que je rentre dans cet état. Elle me propose de dormir chez elle et engage Laetitia comme geôlière. Douce prison que celle-ci, n’est-ce pas?


Sur ce, nous retournons danser et Laetitia vient se frotter à moi. Mon pénis réagit au quart de tour et elle le sait. Immédiatement, l’image de son corps me revient à l’esprit. Je rêve d’embrasser ses petits seins et de glisser ma main dans sa culotte pour aller titiller son clitoris. Trop de monde! Sentant que mon désir est monté rapidement, elle s’éloigne de moi avec un sourire mutin. Quelle allumeuse! Là, elle s’approche de Marie pour danser avec elle. Celle-ci ayant compris le jeu de Laetitia, elle a décidé de se rendre complice. De manière lascive, les 2 corps commencent à se toucher. Marie passe derrière Laetitia et se frotte contre elle. Ses mains glissent le long de ses hanches, puis de ses cuisses. Devant ce spectacle, je ne trouve rien d’autre à faire que m’enfuir…Je les observe de loin, elles sont délicieuses. Si seulement…non, je n’ai pas le droit d’imaginer ça…mmmhhh, mon érection me fait mal.


Les filles s’approchent de moi. Il se fait tard, Marie nous propose de rentrer.


Arrivés chez elle, nous ouvrons une bouteille de Champagne. Comme si nous n’avions pas encore assez bu! Laetitia décide que nous allons jouer. Gage ou vérité? Mouais, génial! Et comme elle est l’instigatrice, c’est elle qui commence.



Ouh là, ça s’annonce passionnant, je crois que je vais aller me coucher. Au tour de Marie, attendons de voir…Laetitia choisit le gage. Bois ton verre de champagne cul sec…encore mieux. Oups à mon tour? euh…Marie, fait le poirier pendant 10 secondes…Arghh…je suis pire que les autres, je crois pas…cette soirée avait si bien débuté. Revient le tour de Laetitia. Je la sais coquine, j’espère qu’elle va emballer le jeu. Ah ben non, une question stupide encore…Bon à Marie, et c’est pas sur elle qu’on peut compter…Je vais choisir le gage, je ne risque pas grand chose…



Mais ma parole, je crois rêver! Des lèvres se posent sur les miennes. Je sens une langue venir à la recherche de la mienne. Je connais cette façon d’embrasser, cela ne peut-être que Laetitia. Autant vous dire que j’en profite…Elle me repousse afin que je puisse poser ma question à Marie qui a envie de dire une vérité. Une idée me vient.



Cette question n’avait rien d’un hasard. Laetitia m’a confié un jour qu’elle était attirée par les filles mais qu’elle n’osait pas franchir le cap.


Depuis cette étape, le jeu à continuer à dériver et surtout, à tourner autour des 2 filles. Leur premier baiser, timide, m’avait fait frissonner. Bien vite, elles se libèrent. Je m’éloigne un peu d’elles. Laetitia déboutonne la robe de Marie et lui caresse la poitrine. Les boutons, un à un se libèrent sous la main experte de Laetitia. Chaque bout de peau qui apparaît est parcouru par les lèvres de mon ex-amante. Je me souviens de la douceur de ses baisers et j’envie fortement Marie. La robe complètement ouverte, elle est là, à se caresser le corps pendant que sa partenaire se dévêt. Je ne sais où regarder. Bien que différentes, elles ont des poitrines superbes. Autant ceux de Laetitia sont petits et charmants que ceux de Marie sont lourds et bien fermes. La première se couche sur la deuxième et vient frotter son corps au sien. Les gestes sont un peu maladroits, mais chacune semble apprécier l’expérience. Délicatement, Marie retire la culotte de Laetitia. Elle lui passe un doigt sur la fente et vient titiller son clitoris. Un râle de plaisir s’échappe de la bouche de Laetitia. À son tour, elle retire le string de sa partenaire et la repousse vers le sol…Elle lui demande de se caresser. Marie s’exécute. Ce spectacle me rend complètement dingue. Sentant que Marie va atteindre l’orgasme, Laetitia lui ordonne de s’arrêter et de la regarder à son tour. Et le même manège a lieu dans l’autre sens. Elle s’arrête juste avant d’atteindre le Nirvana. Cette fois, c’est Marie qui rejette Laetitia au sol et elle se penche sur elle. Elle commence par embrasser l’intérieur de ses cuisses. Son souffle chaud atteint la chatte de sa soumise, ce qui à le don de l’exciter plus encore. Elle finit par poser sa langue sur le clitoris tout gonflé de Laetitia. Les mouvements circulaires de sa langue la font se cambrer par spasmes. Lorsque Marie lui introduit un doigt dans sa chatte, elle ne se contrôle plus et un orgasme puissant ne tarde pas à la terrasser. Quelle vision de splendeur. Devant un tel spectacle, je ne peux m’empêcher de sortir mon sexe et de la caresser. Ces jeux continuent et elles s’offrent mutuellement plusieurs orgasmes, avec la langue, avec les doigts. Epuisées, elle finissent par s’endormir collées l’une contre l’autre.


Mon avis est partagé. Je suis un peu déçu de n’avoir pas été invité à ces ébats. Mais d’avoir vu une telle complicité entre 2 filles superbes reste pour moi la quintessence de la sensualité. Sans vouloir tomber dans la barbarie, c’était une façon d’élever l’amour à une forme d’art.


Alors que je pensais qu’il ne me restait plus que mes rêves pour mon autosatisfaction, Laetitia se réveille. Elle s’approche de moi et m’embrasse pour me remercier de lui avoir permis de vivre un de ses fantasmes. Pendant que sa langue effleurait la mienne, sa main glisse dans mon caleçon et avec beaucoup de douceur commence à me branler. Comme elle l’a fait plutôt sur Marie, sa bouche parcoure mon torse, mon ventre avant de se poser sur mon gland. Alors qu’elle s’apprête à me faire une fellation, je la repousse sur le dos. À mon tour, j’embrasse son corps. Ma langue s’attarde sur ses seins et je mordille délicatement ses tétons. Je lui écarte les cuisses, me dresse sur les genoux. Je prends mon pénis en main et m’approche de son sexe. Je pose mon gland sur son clitoris et me masturbe ainsi. La sensation est incroyable. Alors que je sens le plaisir monter, je dirige mon organe vers sa vulve. Je la pénètre très lentement. Puis je ressors. Je recommence ce jeu plusieurs fois jusqu’à ce que son impatience se transforme en un désir insupportable. Puis, en repliant ses jambes autour de ma taille, elle m’attire vers elle, la pénétrant complètement. Mes va-et-vient sont d’abord très lents et très doux. Puis, je me mets à accélérer. De plus en plus vite, jusqu’à en être essoufflé. Et je ralentis à nouveau. Ces changements de rythme la rende folle et nous atteignons l’orgasme en même temps. Tellement puissant que nous ne pouvons nous empêcher de gémir bruyamment. Dans ce plaisir mêlé, nous n’avions pas remarqué que Marie se caressait en nous regardant. Elle s’est approché de moi et a pris mon sexe en bouche. Elle me dit qu’elle voulait connaître le goût de 2 plaisirs mêlés. À la voir sucer ma queue si goulûment, ce jus d’amour doit lui convenir. Nous avons continué à faire l’amour ainsi. Tantôt à deux, ou a trois…


Si elle avait été réelle, quelle nuit ç’eut été…