| n° 06678 | Fiche technique | 14762 caractères | 14762Temps de lecture estimé : 10 mn | 21/07/03 |
| Résumé: Depuis quelque temps déjà je la frolais, sans illusion... | ||||
| Critères: fh collègues travail fdanus lingerie extracon intermast cunnilingu anulingus pénétratio | ||||
| Auteur : François Envoi mini-message | ||||
Cela faisait déjà trois mois qu’on se côtoyait sans être tout à fait du « même monde ». Elle était maîtresse de maison dans un foyer pour jeunes délinquants et moi chef de service. Le courant avait toujours passé entre nous, nous avons deux ou trois minutes de face à face par semaine, mais cela avait suffit pour que nous parlions de chose presque intime : le mari en déplacement, le gosse qui pleure, la petite dernière qui va bien à l’école, la femme qui est fatiguée… Elle ne me donne que des miettes d’intimes, mais qui me laisse toujours soupirant.
Lors des réunions de foyer, nous nous asseyons toujours aux même places, l’un à côté de l’autre, rituel immuable, qui me fait toujours chavirer un petit peu. Je ne pense pas beaucoup à elle dans la semaine : Le boulot, ma femme et ma fille me demandent et me donnent beaucoup. Mais, ces petits moments où je les place mes jambes près de sa chaise, souhaitant qu’elle les touche, les effleure et laisse enfin sa cuisse contre la mienne , ces petits moments donc me font perdre complètement le fil de la réunion (dont je me fous éperdument). Toutes les semaines, je prends ce temps de plaisir, espérant tout en ne voulant pas plus que ce qui est. De toute façon, Nathalie (plus âgée d’une dizaine d’années mais il fallait vérifier son état civil pour le savoir) se moque bien de ses frôlements et continue à me taper dans le dos et à me prendre le bras comme à un pote de toujours. Bonjour le respect à la hiérarchie !
Novembre, la Toussaint. La ritournelle des vacances : seul dans un bureau, le chef, moi, tape des rapports, des bilans, éventuellement dérangé par le grand manitou qui veut des précisions et des statistiques et une secrétaire qui veut une signature…
A taper sur mon ordinateur comme ça, il va finir par chauffer, et surtout je vais péter un câble moi-même. Je m’arrête pour une pause et perçois quelque chose de pas très clair… Plus de bruit…Ouais, forcément à cette heure-là, tout le monde s’est tiré, d’autant que le grand manitou avait une réunion toute l’après-midi… Non, il y a encore quelqu’un, le sol est impeccable pour ça : j’entends venir les gens à des kilomètres. Je reprends mes élucubrations pédagogiques pour être aussitôt interrompu par le toc-toc à ma porte qui s’ouvre aussitôt.
« Salut !».
La petite et pétillante Nathalie fait son entrée et referme avec vélocité. Elle fait tout toujours vite. Même sa pensée est plus rapide que celle de ses « collègues éducateurs ».
« Qu’est ce que tu fais là encore ? ».
Elle me regarde avec ce petit air malicieux qui me fait chavirer. Elle approche ses deux petits seins près de moi et je n’aurais qu’à me pencher un tout petit peu pour… Je plonge la tête dans l’écran (sans doute un peu rougissant) et lui explique les bilans, les rapports, etc. Je me tourne à nouveau vers elle et m’étonne de sa tenue. En période de vacances scolaires, Nathalie fait le ménage sur l’établissement, ce qui implique des fringues plutôt sport ! Non, pas là, pas aujourd’hui : moi qui suis fana de jupes courtes et de jambes gainées, je suis agréablement surpris par sa tenue et me retrouve scotché dans ma conversation. Sa jupe noire, légèrement brillante et volante laisse dépasser beaucoup de peau qui immanquablement attire mon regard. Qu’est-ce qu’elle fait là ? Elle continue à me parler de la pluie, du patron, des jeunes, et je ne comprends rien à ce qu’elle me dit. Je suis un peu confus. Je n’entends même pas sa question.
J’ai toujours rêvé que les femmes prennent l’initiative, mais face à la réalité je me trouve comme un con.
Elle fait pivoter mon fauteuil vers elle, prend ma main gauche et la voilà sur son petit sein.
Il y a des moments où l’on est content d’être spectateur puis acteur d’une telle situation. Cette fois-ci, je n’ai plus le choix. Ma main gauche toujours sur son sein, Nathalie se charge d’ailleurs de l’appuyer là où elle aime, ma main droite s’approche de sa jupe, si affriolante, je lui caresse tranquillement (ou presque) les fesses. Le tissu de sa robe est fin et je suis presque en prise directe avec ce qui se trouve en dessous. Je descends le long de la jambe droite et ma main gauche, libérée, suit en parallèle sur la jambe gauche. Je dépasse la lisière de sa robe et glisse sur l’arrière de ses cuisses, le nylon crisse sous mes doigts, j’adore ça. Aux mollets, je remonte en la griffant gentiment avec mes ongles. Je ne les mange plus depuis longtemps déjà et ils sont longs et lisses, je les bichonne spécialement pour ne pas qu’ils filent les collants…Je sais que l’arrière des genoux doit être soigné. Je m’y attarde avec joie. Levant la tête, je la vois sourire, ses joues sont roses, elle a un air coquin tout en se trémoussant. Je continue à remonter, utilisant mes ongles mais il y a quelque chose de bizarre, son collant à une démarcation de première…Non ! Des bas ! Ma bite en tressaute de joie et je sens que mon caleçon absorbe déjà une petite goutte de pré-sperme qui vient de se laisser aller.
Le contact de sa peau douce et un peu fraîche me fait frissonner autant qu’elle, elle lâche un petit soupir, elle sait qu’il ne faut pas faire de bruit. Je remonte encore, tout à mon désir de la faire palpiter le plus longtemps possible. Ses fesses sont d’une fermeté que sa crispation renforce encore. J’ai envie de mordre dedans comme dans une pomme. Je la pousse à se retourner et lève enfin sa jupe pour admirer son fessier. Merveille ! Le string de dentelle blanche, le porte-jarretelles tout aussi affriolant : Tout concoure à se jeter sur l’objet du désir ! Elle se cambre un peu pour… pour quoi d’ailleurs ? Je commence à baiser chastement sa peau, elle est recouverte d’un minuscule duvet qui s’érige à mon contact. Je la mordille doucement un peu partout, elle s’agite en chuchotant « encore ». J’ai du mal à ne pas jouir immédiatement devant l’offrande et ces mots susurrés.
Il est temps de passer aux choses sérieuses. Si son string n’est pas vraiment un obstacle à l’amour (ce serait même un appel au viol instantané) il va me gêner pour ce que j’ai en tête. Je commence donc, tout en continuant à mordiller Nathalie, à délicatement descendre ce ridicule morceau de tissu. J’aime passer à l’intérieur, à insérer mon doigt entre la peau et la dentelle, du haut en bas des fesses puis en remontant jusqu’en haut du mont de vénus. Mes dents attrapent l’élastique et tirent vers le bas, mes doigts continuent à effleurer tout un tas d’endroits sensibles et odorants. Le string baissé est jusqu’à mi-cuisse, cela empêche madame de trop écarté ses jambes et la frustre un peu. Elle se tortille mais je tiens mes positions ! Comme elle se cambre, son coccyx saille et je me jette dessus toute langue dehors. Je suce ce petit mont et lèche le haut de son sillon. J’ai un peu de mal, elle se tortille de plus en plus et pousse vers moi son petit cul ferme. Elle s’arrange pour que ma langue effleure son petit trou. Je suis pas fana de ce type d’exercice, mais la situation s’y prête avec malice, je n’hésite pas. Je m’attarde un peu, voire beaucoup. Je lèche, je bave, je lui mouille le derrière à qui mieux-mieux et madame ahane de plus en plus, c’est sûr, ses collègues vont se douter de quelque chose.
Mes mains ne restent pas non plus à rien faire : on est au boulot quand même, faut pas faiblir. Ma main gauche s’avance vers son clitoris. Je ne pensais pas le trouver si facilement : ça remue dans tout les sens et je n’ai pas de gyroscope pour stabiliser le tout. En fait, je suis souvent tomber sur des clitos bien gentils, qui gonflaient petitement sans réelle ampleur. Là c’est un cap, un pic, une péninsule plutôt (il baigne dans le liquide). Aussi gros qu’un téton de femme enceinte, dur comme… un téton de femme enceinte ! et sensible comme …je ne vous le fais pas dire : Nouvelle embardée ! Ca tanguait dans tous les sens avec en prime le rugissement de la marée sur les rochers. C’est sûr, les collègues ont l’oreille collée à la porte. Ma main gauche s’active mais la droite aussi. Mon pouce commence à lisser les grandes lèvres de cette petite bonne femme et j’accentue petit à petit ma pression vers la source. Placé comme je suis, je sais que je vais aller directement derrière le clitoris, là où est situé le point G. Je continue lentement ma reptation, m’arrêtant, revenant en arrière, appuyant plus ou moins fort. Ma main est pleine de jus, de liquide, de cyprine qui tombe entre mes jambes, sur mon fute. Je continue à la lécher, ma langue pointue titille sérieusement son petit trou mais plus cela va, plus elle pousse : ça ne lui suffit pas. Je change de stratégie, elle est plus preneuse de l’introduction du sujet par derrière. Mon pouce droit ressort pour se diriger vers l’anus. Elle s’arrête soudain de bouger et se retourne, ses yeux brillent : c’est bien ce qu’elle veut ! Avec tout le lubrifiant, je n’ai aucun mal à rentrer, c’est encore plus facile, du moins j’en ai l’impression, que pour le vagin. Il est déjà dedans et elle remue son cul comme si elle dansait une samba. Moi je tourne mon pouce et pousse le plus loin possible. Son petit trou ne l’est pas tant que ça, petit. J’ai l’impression que je pourrai y mettre la main. Mais le plus excitant, c’est que je sens parfaitement ses muscles sphinctériens se resserrer et expulser presque mon doigt. Cette fois, il est temps que je prenne aussi du plaisir, ma bite est tendue depuis longtemps vers l’objectif et n’attend plus qu’une chose : se faufiler ! Je retire mon pouce qui, miracle, est toujours ruisselant et j’entends un murmure de désapprobation. « Patience ma hussarde ». Je prends par les hanches et la force à s’asseoir doucement mais sûrement vers mon sexe turgescent (j’adore ces mots complètement creux). Il ne semble plus y avoir de désapprobation de sa part puisque, se penchant, elle attrape ma queue pour la diriger d’une main ferme vers l’objet de nos pensées.
J’ai eu le temps de voir son petit trou humide, détendu près à avaler n’importe quel cylindre qui se présenterait là, maintenant. Ma bite en a eu un sursaut d’avance. Je sens mon gland qui touche puis glisse doucement à l’intérieur de ce gant si doux. Les sensations sont présentes : étreinte, frôlement, douceur des muqueuses l’une contre l’autre. Nous ne sommes pas encore au bout. Par de petits, tout petits va-et-vient, elle se rapproche de moi, elle se laisse défoncer, elle continue de progresser et les sensations se multiplient davantage. Elle s’y prend si bien que j’ai l’impression que je vais exploser et l’abandonner lâchement sans lui avoir donner ce qu’elle veut. Elle est enfin assise sur moi, complètement, et fait une pause bienvenue. Je lui mordille le cou, mâchonne les épaules, lui masse les seins et les tétons. Elle respire fort et sa peau est devenue salée de sueur. Je continue. Elle n’est pas rassasiée et tourne la tête pour m’embrasser et me mordre la lèvre brutalement. Surpris je me révolte contre la douleur : je la soulève et la bascule sur le bureau, mon ordinateur n’en revient pas. Ce bureau est une merveille d’ergonomie, il est lourd (donc ne bouge pas lors de secousses sismiques ou autres), solide (il supporte deux corps aisément), et à la bonne hauteur (je ne suis pas très grand) pour nos travaux d’intérieur (frottage, ramonage, lissage en tout genre). La vision de son cul si rond et si ferme, encadré par le porte-jarretelles et les bas sont une merveille que je saurais garder en souvenir. Nathalie, un temps avachie sur le plateau, s’est redressée et ondule comme jamais du postérieur. Cette fille est une goulue du cul…
Mais a priori, elle n’en a pas encore assez, et se contorsionnant comme une démone, elle grimpe sur le bureau, sans dégainer, et se met à quatre pattes, le cul offert un peu plus et son petit trou s’écartèle encore. Et je m’enfonce d’autant. Je me colle à son dos, m’agrippant à sa chatte comme à une bouée de secours et la malaxant violemment : c’est ce qui la fait hurler une fois, deux fois, trois fois, elle ne s’arrête plus. Les collègues vont débarquer avec un caméscope ou appeler les pompiers ou je ne sais plus… Je vois bien que je perds le contrôle de tout ce qui se passe dans ce bureau : la décence n’est plus de mise, je me met à ahaner également, je ne suis plus très loin du but. D’ailleurs j’y suis… La sensation est énorme, son cul me masse la base du sexe comme avec une main tellement ses contractions sont fortes. Ma jouissance est décuplée par cette pression, mon sexe doit forcer pour que mon sperme passe. Chaque secousse est une décharge électrique que je communique à Nathalie qui crie son plaisir en même temps que moi. Je m’écroule en sueur sur son dos. Nous sommes affalés, grotesques sur le bureau. Haletants, hébétés, nous n’arrivons même plus à penser, à avoir conscience de ce qui nous entoure.
C’est d’ailleurs dans cette position que sa collègue et amie Gaëlle nous a surpris…
Peut-être à suivre suivant vos réactions…