Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 06688Fiche technique18228 caractères18228
Temps de lecture estimé : 11 mn
26/07/03
Résumé:  Fraîchement arrivée de Bulgarie pour trouver du travail, la jolie Sylvia découvre l'amour pour une femme
Critères:  f ff grosseins fépilée voir fmast cunnilingu fist fdanus
Auteur : Chino  (Etudiant, amoureux des femmes)
La Belle et la Peintre - Naissance d'une histoire


Chapitre 1 – Naissance d’une histoire




Comme tous les matins depuis maintenant une dizaine de jour, Sylvia, sur sa vieille Vespa, se rendait chez sa récente employeuse, Nadine, le casque sur la tête et le sourire aux lèvres. Car Nadine n’est pas sans laisser notre jeune héroïne dans l’indifférence.


Depuis maintenant 2 mois, Sylvia, jeune Bulgare de 20 ans, arrivait en France dans la clandestinité la plus totale afin de trouver ici ce que son pays n’était depuis longtemps plus en mesure de lui fournir, c’est-à-dire du travail et des conditions de vie convenables. En effet, en cette année 1991, au lendemain de la chute du Rideau de Fer, la vie n’était pas facile dans la capitale bulgare. L’économie, désastreuse, n’offrait que peu de possibilités de réussite et nombre de ses compatriotes avaient choisi comme elle l’exil occidental. Passant de petits boulots en petits boulots, Sylvia fut d’abord femme de chambre, nourrice d’enfants ou encore serveuse dans un bar de la banlieue nord-parisienne, avant de trouver cette petite annonce qui a immédiatement attiré son attention. Elle était depuis peu modèle pour Nadine, jeune artiste-peintre de 25 ans, installée en zone semi-rurale dans l’ouest parisien. Nadine, fascinée par le nu féminin, cherchait en effet une femme plutôt jeune et aux formes harmonieuses pour approfondir sa connaissance du corps et la maîtrise de son trait ; et dire que Sylvia correspondait parfaitement à son attente eut été un euphémisme.

Haute de son mètre 70, et fière de sa poitrine volumineuse et ferme, notre Bulgare avait un visage d’ange, à la bouche pulpeuse et aux grands yeux bleus, le tout encadré d’une très longue chevelure d’or. Sylvia faisait rêver les hommes et elle le savait. Si elle aurait facilement pu tirer son épingle du jeu en usant de ses charmes auprès d’hommes importants, elle s’était toujours refusé de le faire, par respect d’elle-même et de l’amour tel qu’elle l’entendait. En revanche, mettre son corps au service de l’art, qui plus est d’une femme, était pour elle une alternative honorable et valorisante.


Ainsi, après avoir quitté la nationale 10, le bicycle bleu ciel un peu rouillé et surtout toussotant se fraya avec détermination un chemin au milieu des petites routes et chemins qui sillonnent les champs de maïs et, très vite, passa ce qui pourrait être un portail et, doucement, s’arrêta devant une ancienne étable, au charme tout à fait plaisant, baignée du soleil de juillet. Déjà, le cœur de Sylvia s’accélérait, à l’idée de revoir celle qui depuis la veille lui manquait. L’ayant entendue arriver, Nadine eut vite fait d’ouvrir la porte et, esquissant un léger sourire de politesse, laissa entrer son beau modèle.



Nadine sortit alors chercher la cafetière dans sa maison, adjacente à l’atelier, laissant Sylvia se préparer. Cette-dernière ne put s’empêcher de suivre ce magnifique derrière des yeux. Nadine avait en effet un cul à damner un saint. Rond et ferme, il était élégamment mis en valeur par un léger pantalon de soie blanche, qui laissait deviner un string noir au-dessus de ses fesses. Son haut était un vieux t-shirt blanc, peinture oblige, noué à la taille et qui renfermait des seins énormes, du 95D, et tout aussi fermes que ses fesses. Petite-fille d’immigrés marocains, Nadine avait l’avantage d’avoir une peau matte relativement claire, de larges yeux noirs de jais soulignés par de longs cils sombres, et une superbe chevelure bouclée de la même couleur qui lui arrivait jusqu’aux épaules. Nadine ne portait que rarement de soutien-gorge et ainsi Sylvia avait tout le loisir de voir se balancer avec grâce cette opulente poitrine au grès des mouvements de son employeuse.


Une fois la porte refermée, la jeune fille commença donc à se déshabiller, retirant son petit haut rose bonbon et sa jupe blanche, se retrouvant ainsi en dessous. Elle libéra ensuite sa poitrine de sa prison de coton blanc et se débarrassa de sa petite culotte. Passant naturellement sa main sur son sexe, elle put déjà sentir l’effet que provoquait chez elle Nadine. Des idées coquines apparurent dans son esprit, vite avortées par le retour de l’objet de son désir. En effet, si elle avait une envie folle de cette femme, elle ne pouvait se permettre de compromettre ce qui lui apportait son seul revenu en risquant une déclaration. Et puis Nadine lui faisait peur. Se tenant à des rapports strictement professionnels, la maghrébine se montrait depuis leur rencontre relativement froide et désintéressée.



Le café bu, Sylvia prit sa pose et Nadine continua le tableau qu’elle avait entrepris quelques jours auparavant. Les heures passèrent et la belle Bulgare, qui n’avait d’autres choses à faire que penser et rêver, s’imagina à nouveau dans les bras de la peintre. Imperceptiblement, ses doigts, dont la pose exigeait qu’ils côtoient son pubis, s’aventurèrent davantage vers ses lèvres intimes et en commencèrent le massage lent et discret. Discret, c’est du moins ce qu’elle pensait, naïvement car Nadine s’en aperçut vite, même si elle le garda pour elle.



Le scénario se répéta ainsi plusieurs jours, la chaleur de plus en plus insoutenable de juillet dénudant toujours davantage l’artiste, attisant toujours un peu plus le désir de moins en moins caché de Sylvia, sans doute encouragé par la douceur nouvelle de Nadine. Ce vendredi après-midi, cette-dernière avait décidé de ne porter qu’une petite culotte de coton sous son tablier de plastique brun, constellé de taches de peinture. Elle dit enfin :



Quelle ne fut pas la surprise de la jeune étrangère quand elle découvrit sur la toile son énorme chatte dégoulinante de jus, deux doigts plantés au plus profond d’elle. Sa réaction fut immédiate.



Nadine, dépitée, mit quelques secondes à réaliser, puis se lança à la poursuite de celle dont elle se niait l’attirance. Mais Sylvia, de par son vécu bulgare qui l’avait dès sont plus jeune âge menée à savoir fuir et se cacher, avait déjà pris trop d’avance. Heureusement pour Nadine, et pour Sylvia d’ailleurs, cette-dernière dérapa sur une racine et s’écroula à terre, en pleurs.



Soulevant son tablier, Nadine mit la main dans sa culotte, et en sortit un petit bout de papier humide.



Et Nadine s’approcha de son visage, la fixant droit dans les yeux puis, fermant lentement ses paupières, déposa un doux baiser sur les lèvres humides de la pauvre enfant. Il n’en fallut pas plus à Sylvia pour s’émouvoir et lui rendit son geste par une pelle sauvage et affamée, lui mangeant littéralement la bouche, lui léchant la langue, la lui suçant, la lui aspirant. Déjà les deux femmes mouillaient et leur poitrine se durcissaient.



Et à nouveau, les deux bouches assoiffées s’aimèrent, encore plus passionnément et profondément, comme si elles cherchaient à rattraper tout le temps perdu depuis qu’elles se connaissaient. Sylvia prit la tête de Nadine de ses deux mains pour la rendre prisonnière de son étreinte. Nadine n’avait pourtant nullement l’intention de fuir, bien au contraire. Elle en mouillait plutôt abondamment.

Sans en lâcher les lèvres, elle se mit à cheval sur son amante allongée dans, et commença à frotter son sexe contre le bassin de Sylvia, dans un lent va-et-vient. Les deux énormes poitrines se frottaient à travers le plastique du tablier, les tétons durcis s’y écrasaient. Bientôt, Sylvia défit les ficelles qui maintenaient le vêtement à la nuque de la belle marocaine et jeta le tout au loin, donnant à son regard la vision magnifique de ces deux ballons ocres, aux auréoles brunes et aux tétons fièrement tendus, gorgés de désir. Tel un chien sur un os, elle se rua dessus et les embrassa de toute leur surface, y passant la langue de toute part et y semant sa salive. Elle aurait aimé les manger, mais se contenta de les lécher et les sucer, avant de se diriger vers le téton droit qu’elle avala et suça dans un bruit de succion tout à fait obscène.



Prenant Nadine par les hanches, elle la retourna, dos à terre et jambes écartées et se retrouva ainsi à genoux devant son intimité, un sourire coquin aux lèvres qui ne pouvait pour Nadine qu’être prometteur quant à la suite de leurs ébats. Elle passa doucement la paume de sa main sur la culotte de la peintre, sentant le volume de son sexe gonflé, et appuya, appuya. Elle frotta. Nadine déjà, les yeux clos, gémissait de bonheur et d’un geste de la main, força l’allure de sa compagne qui décida alors de passer à la vitesse supérieure. Glissant sa main sous l’élastique de la culotte, elle commença à masser la vulve à même la peau et réalisa qu’elle était entièrement épilée. Ce nouveau détail l’excita davantage encore. Prise d’une fièvre passionnelle, elle agrippa d’un coup le bout de tissu blanc et l’arracha violemment, le laissant en lambeau.

La tournure des évènements alluma le feu en Nadine qui, se redressant, attrapa la nuque de Sylvia et la plaqua contre son sexe avide de câlins. Sylvia s’activa tout de suite sur ce fruit légèrement sucré, enfonçant sa langue au plus profond qu’elle put et lapant l’intérieur du conduit. Avec deux doigts, elle en écarta les lèvres pour un meilleur accès et, dardant sa langue, agit tel un petit pénis, allant et venant dans le sexe humide, arrachant des gémissements de bonheur à Nadine. Elle aimait, tout en lui mangeant le con, fixer du regard sa chère et tendre, les iris scintillants de mille feux et les pupilles dilatées de désir. Nadine n’avait aucun mal à se plonger et se noyer dans ces grands yeux bleus, véritable océan de perdition.

Sylvia fit une petite pause, un sourire complice aux lèvres et, maintenant de ses doigts la chatte de la belle brune ouverte, y entra un doigt de son autre main, et attendit la réaction de son hôte. Sa réaction fut claire. Nadine attrapa sa main et d’un geste l’attira brusquement à son sexe, véritable invitation à une pénétration sauvage. Sylvia y ajouta donc deux doigts et commença à la pilonner avec force, arrachant à chaque mouvement un râle à sa compagne. Sylvia en voulait plus, elle voulait l’entendre crier de tous ses poumons. Elle accéléra encore la cadence , allant toujours plus loin et plus fort. Bientôt elle approcha son autre main de ses fesses légèrement offertes au ras de l’herbe et, crachant sur son œillet pour l’humidifier, y entra un doigt, ce qui eut pour effet de provoquer un nouveau cri chez Nadine, mais qui nullement ne s’opposa à ces caresses. Sans relâcher le rythme de sa pénétration vaginale, elle s’activa lentement dans le conduit anal puis, sentant celui-ci se détendre progressivement, elle y ajouta un second doigt, puis un troisième. Excitée comme jamais, se massant les deux seins avec force, et criant son plaisir, Nadine mouillait comme une rivière, et le travail de Sylvia s’en trouva facilité. À tel point qu’elle tenta ce qu’elle n’avait jusqu’alors jamais osé : rentrer se main entière dans un sexe. Après quelques essais infructueux, elle y parvint, prenant position au sein du sanctuaire humique. Elle y resta immobile quelques instants, savourant les contractions vaginales de son amante et sa respiration saccadée et, lorsque celle-ci lui en donna le feu vert par un simple regard, engagea des petits mouvements circulaires de son poignet.



AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!


Nadine venait de jouir.

Doucement, Sylvia retira sa main de la chatte dégoulinante et ses doigts de l’anus. Sa main luisait de sa cyprine et Sylvia, qui n’avait pas encore eu sa part de plaisir s’en vit davantage excitée. Portant sa main au visage de Nadine, celle-ci la lui lécha avec soin et délice. Il faut dire qu’elle avait bon goût et elle le savait.



Nadine prit alors un sein dans chaque main, même s’ils étaient trop gros pour y tenir entièrement, et commença à les masser par de lents mouvements en cercle. Les voir se mouvoir, se déformer, reprendre leur forme, pointer… quelles sources de plaisir pour Nadine ! Pendant ce temps, Sylvia se masturbait doucement, caressant d’abord son pubis du bout des doigts puis en rentrant un entre ses lèvres. Sa capacité à mouiller n’avait rien à envier à celle de Nadine : elle coulait déjà abondamment, stimulée par les caresses de la maghrébine sur sa poitrine. Cette-dernière entreprit un langoureux travail de succion sur ses tétons, les enfermant à tour de rôle entre ses lèvres et les aspirants tout en leur donnant de tendres coups de langue. Cela eut pour effet de les exciter et ils se mirent à grossir et à durcir. Pendant que sa bouche s’occupait de l’un deux, l’autre était trituré, tiraillé, tendu par l’autre main. Bientôt, ils étaient tellement sollicités qu’ils lui firent mal, mais peu importait, Sylvia aimait cette caresse et le fit savoir à Nadine par une respiration saccadée et des gémissements échappés.


Nadine aurait pu les sucer pendant des heures, tel un nourrisson au sein de sa mère. Seulement voilà, Sylvia voulait jouir, et vite. Elle poussa soudainement Nadine dos à terre et dans le même mouvement se mit à califourchon au-dessus de son visage, lui présentant sa chatte béante d’excitation et luisante de mouille. Attrapant les hanches de la belle blonde à la peau laiteuse, Nadine s’affaira à lui faire du bien avec sa langue. Elle la passa ainsi tout du long de sa fente, lapant littéralement son sexe du bas jusqu’au clitoris, qui commençait à éclore. Elle se mit alors à le lécher du bout de la langue puis le goba et le suça. Au-dessus d’elle, Sylvia ne manquait rien de ce joli visage lui aspirant le clitoris, et continuait de tirer sur ses tétons à s’en faire mal. Ils avaient vraiment atteint une taille remarquable maintenant.

Nadine quant à elle était toute entière disposée à donner du plaisir à celle qui avait si bien su lui en procurer précédemment et à sa caresse buccale y ajouta un doux doigté anal. Il faut savoir, et Nadine l’apprendra vite, que Sylvia a un grand faible pour la sodomie et tout ce qui est jeu anal. Ainsi habitué, l’anus de Sylvia s’offrit facilement aux caresses de Nadine et ses doigts s’enfoncèrent vite au fond avant que Nadine ne les ressorte. Elle réitéra ce processus plusieurs fois, laissant chaque fois le trou béant quelques secondes.

Sylvia haletait de plaisir, les yeux fermés, le visage tourné vers le ciel et, d’un coup, alors que Nadine avait rentré d’un coup sec trois de ses doigts jusqu’à ce que la main vienne claquer sur l’anus et que sa langue avait pénétrée dans sa chatte, elle émit un cri strident, annonciateur d’orgasme, puis s’écroula à terre, fatiguée, mais le visage rayonnant de son plus beau sourire.


Naturellement, Nadine se colla à elle, et lui déposa des baisers sur son visage, son front, ses cheveux, son cou et la serra dans ses bras. Une histoire était née.