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n° 06707Fiche technique16255 caractères16255
Temps de lecture estimé : 10 mn
14/08/03
Résumé:  Ma femme absente, je réalise l'un de mes fantasmes et me retrouve avec un joli travesti. Histoire vraie.
Critères:  hh extracon hépilé forêt voiture telnet exhib travesti hmast intermast fellation anulingus hdanus hsodo init
Auteur : Pantxo92      
Florianne, mon inititatrice entre hommes


Voici l’aventure que j’ai vécue il y a quelques jours. Ma femme a pu prendre une semaine de vacances juste après le 14 juillet (merci les RTT) et elle est partie chez ses parents au Pays Basque, me laissant seul en région parisienne. Pour ma part, je ne peux pas prendre de congés avant le 15 août et nous avons programmé de retourner dans le Sud-Ouest.

Nous sommes mariés depuis 12 ans, nous aimons toujours beaucoup et vivons une vie sexuelle satisfaisante quoique assez classique. Elle n’aime pas beaucoup la fellation, pas du tout que j’éjacule dans sa bouche et accepte de temps à autre la sodomie. J’ai essayé de pimenter un peu nos ébats en lui demandant de porter des jupes courtes, des chemisiers très décolletés sur sa poitrine généreuse, des strings, des porte-jarretelles, mais elle préfère généralement être en pantalon. Néanmoins, un jour où elle était très excitée par mes caresses, elle a accepté que je lui rase son minou. Quelle merveille de voir son abricot redevenu juvénile au sommet duquel pointait son petit bourgeon turgescent que je m’empressais de sucer, de rouler entre mes lèvres ! Mais depuis, elle ne veut plus rester glabre et garde toujours un petit duvet coupé court.

Mon plus gros fantasme serait de la voir prise par moi et un autre homme dans ses deux orifices en même temps. Un autre, bien que ne me sentant pas homo, est de me retrouver avec un mec, pas un gros costaud macho poilu, mais un jeune éphèbe glabre avec un beau petit cul de fille et un gros clito. Je crois que j’aimerais tripoter et sucer une belle queue, mais pas me faire sodomiser. J’aime beaucoup quand elle me met un ou deux doigts dans le derrière pendant nos ébats mais, très vite, je me contracte et ça devient douloureux et pénible.


Depuis son départ, nous nous téléphonons tous les soirs pour nous raconter nos journées respectives. Je sais également qu’elle est jalouse et c’est un moyen pour elle de vérifier que je suis bien à la maison, et surtout seul.


Un soir, vers 22 heures, je me morfonds. Je n’ai toujours pas dîner et ai abusé du whisky. J’en ai marre de cette solitude, de ce silence. J’ai l’esprit embrumé par l’alcool et ai envi de jouir, de baiser, mais pas seul, pas avec ma main comme partenaire.


Je me rends dans mon bureau où mon PC est allumé avec l’idée de tchatter sur le Net ou le Minitel et, peut être, de faire une rencontre folle, pleine de sensations et, surtout, sans lendemain. Un petit coup de canif dans le contrat de mariage ne sera pas bien grave.

Je me branche sur le minitel où j’essaie d’abord des sites réservés aux hommes et femmes seuls, aux couples. Sans succès. Les dialogues sont stériles. J’ai l’impression de ne tomber que sur des animateurs qui ne sont là que pour me pomper des unités de téléphone. Mais ce n’est pas ça que je voudrais me faire pomper ! Au bout d’un moment, je me branche sur un site gay en pensant uniquement dialoguer sans espoir ni envie de vivre une expérience en réel.

Comme prévu, les pseudos et les descriptions des connectés, peut être vrais, ne me branchent pas, sauf un :

" Florianne, trav amat en RP sud. "

Moi aussi, je suis dans la banlieue sud. Et il se travestit en plus. Aimer un homme habillé en femme, c’est comme faire l’amour à une femme ! J’envoie un message à Florianne :



C’est un peu bref et laconique comme message, me dis-je juste après l’avoir envoyé. J’aurais pu être un peu plus disert, me présenter, … J’en suis à ces réflexions quand la réponse arrive.



Je ne sais pas si c’est le fait d’être un peu saoul, mais je sens que je vais aller au bout. Je me tripote à travers mon pantalon en dialoguant avec Florianne et ma queue se durcit de plus en plus, réclamant du plaisir.




J’ai répondu sans réfléchir. Je lui ai donné mon numéro de téléphone ! Quelle folie ! Bon, au moins, ce n’est que le portable, pas le fixe et personne d’autre que moi ne l’utilise. Je suis toujours dans mes hésitations de franchir le pas et mon désir de cette première expérience que je souhaite maintenant ardemment, quand mon portable se met à sonner. Une sonnerie, deux sonneries. C’est bien son numéro qui s’affiche. Non, je ne vais pas décrocher.


Néanmoins, je décroche.



Sa voix est douce, pas trop masculine sans être vraiment féminine.



Il me sent hésitant et devient directif.



Il a maquillé le plus possible sa voix pour la rendre plus féminine. C’est décidé, je vais la retrouver cette fille en bas résilles, minijupe avec son gros clito que j’ai envi de tripoter, de sucer. Je m’entends lui répondre :




Et il raccroche.

Je suis maintenant complètement décidé et très excité d’aller retrouver cette Florianne. Je saute dans ma voiture pour la rejoindre. Avant de démarrer, j’ouvre ma braguette et extirpe ma queue de mon caleçon. Elle est bien raide et mon gland est couvert de liquide poisseux et luisant. En roulant, je me tripote et souris en croisant des passants ou d’autres automobilistes qui ne se doutent pas ce que je fais et ce que je suis parti faire. J’en éprouve un sentiment de perversité supplémentaire.

J’ai un peu de mal à trouver sa rue. Il (elle) habite un immeuble neuf et, en arrivant devant son parking, je vois la porte se lever lentement pendant que l’éclairage se met en branle (comme moi d’ailleurs). Je pénètre lentement et, immédiatement, de derrière un pilier de béton surgit une créature brune aux cheveux mi-longs.

J’ouvre la portière et Florianne s’installe à côté de moi en actionnant la télécommande pour rouvrir la porte du parking. À peine assis, sa main gauche attrape ma queue qui dépasse de mon pantalon et la tripote entre ses doigts. Il passe son index sur mon gland en appuyant un peu sur le méat et le porte à sa bouche pour me goûter. Comme j’ai une voiture automatique, je conduis avec la main gauche et, de la droite, explore sa cuisse en remontant vers le haut de celle-ci, là où la résille est retenue par la jarretelle qui dépasse de la minijupe de cuir. Aucun poil n’est perceptible et j’ai l’impression qu’il est complètement rasé. Sous sa perruque brune, Florianne est superbement maquillée et un doux parfum de femme emplit l’habitacle. J’ai vraiment l’impression d’avoir une vraie femme à côté de moi.

Je roule lentement jusqu’à la lisière de la forêt et stationne sur le bas côté de la route. Pendant le court trajet, nous n’avons pas échangé une seule parole. Seules nos mains ont commencé à faire connaissance avec le corps de l’autre. Je coupe le contact et me tourne vers Florianne. Mes deux mains ont investi son corps et la gauche se fraye un chemin sous sa mini de cuir, atteignant son string dans lequel je sens emprisonné un gros membre tout dur. Je le libère de son étreinte et une bosse apparaît sous la jupette. Florianne ne reste pas inactive et, tout en continuant à me branler lentement, me caresse les cuisses et le torse.




Nous sortons chacun de notre côté pour nous retrouver face à face devant le capot. Je soulève sa jupe pour attraper sa queue. C’est la première fois que j’en ai une autre que la mienne en main et je la palpe doucement pour en évaluer la forme. Elle est d’une bonne taille, comme la mienne, un peu plate et entièrement rasée, surmontant deux belles couilles semblant bien pleines.





Nous marchons côte à côte, non pas main dans la main, mais queue de l’autre dans la main, en nous branlant lentement. Abrités par les arbres, nous nous arrêtons et immédiatement, Florianne s’accroupit pour me prendre dans sa bouche, lentement, avec beaucoup d’application, creusant les joues pour aspirer mon pieu rigide, faisant tourner sa langue autour de mon gland. C’est délicieux et je ne regrette pas d’être là. Il a extirpé mes testicules de mon pantalon et les malaxe en douceur. J’ai envie de le prendre ne bouche également et le force à quitter ma queue et à se relever.


Maintenant, c’est moi qui suis à ses genoux. Je remonte lentement mes deux mains le long de ses jambes gainées de résilles et j’ai sous les yeux la bosse qui déforme sa jupette. En arrivant à ses fesses, mes mains soulèvent sa jupe et me voilà avec un bel objet devant le visage. J’avance lentement la bouche et dépose un baiser sur son gland couvert de liquide poisseux, avant d’écarter les lèvres et de le faire pénétrer dans ma bouche. J’ai déjà goûté à ma semence et retrouve ce goût un peu acre du liquide qui s’échappe de sa queue. À mon tour, je lui palpe les couilles, les gobe, lui lèche toute sa tige pour la reprendre dans ma bouche en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents. Il semble apprécier ma fellation, ses deux mains agrippées à ma tête et ondulant du bassin au rythme des va-et-vient dans ma bouche.


Puis il m’oblige à me relever et c’est lui qui reprend sa pipe, avant que je le reprenne en bouche. Ces échanges durent un petit moment et nous faisons tout pour que la jouissance vienne le plus tard possible. Nous avons envi de jouir ensemble et nous nous relevons, nous masturbons mutuellement l’un en face de l’autre. Je n’ai pas envi qu’il décharge dans ma bouche et Florianne ne semble pas le vouloir non plus.


Nos masturbations mutuelles deviennent de plus en plus rapides et c’est lui qui part en premier, éclaboussant le sol, mon pantalon et surtout ma main que je plaque sur ses fesses, le badigeonnant de sa semence, ainsi que son petit trou que je titille avec un doigt. Sous la caresse anale, Florianne a cessé de me branler et je n’ai toujours pas joui.



Nous remontons en voiture, en prenant la direction inverse, jusqu’à l’immeuble de Florianne.



Florianne me quitte pour pénétrer dans son immeuble qui semble endormi et je trouve assez rapidement une place à quelques dizaines de mètres. Je pénètre à mon tour dans l’immeuble et appelle l’ascenseur. Me voyant dans une glace, je m’aperçois que j’ai toujours la queue à l’air et ça me fait sourire de penser que j’ai marché ainsi dans la rue. Pendant que l’ascenseur me conduit au 3ème, je m’astique doucement, heureux du moment que je suis en train de vivre. Au fond du couloir de gauche, une porte est entrouverte. Je la pousse, entre dans l’appartement et ferme derrière moi. Une lueur s’échappe d’une des pièces sur ma droite et je me dirige vers elle. Florianne est agenouillée sur le canapé, les fesses tournées vers la porte, la jupe relevée sur son dos, les cuisses écartées. Le string gît sur la table basse du salon à côté d’un cendrier rempli de préservatifs.


Je m’approche, les yeux rivés sur ce magnifique fessier. La vue de la jupette relevée, des jarretelles et des bas résilles me font bander comme un taureau. Je me penche sur ce beau derrière, y dépose quelques baisers avant de pointer ma langue sur le petit œillet sombre. Je le sens palpiter sous mes coups de langue répétés et s’ouvrir lentement. Je pousse et ma langue pénètre légèrement dans son petit trou d’où s’échappe l’odeur de son sperme que j’ai étalé tout à l’heure. Ça ne m’incommode pas et je trouve même ça délicieux.



Je me relève, dégrafe rapidement mon pantalon qui tombe en bas de mes jambes, vite rejoint par mon caleçon et enfile nerveusement un préservatif.


Je me rapproche de son derrière, attrape ses deux hanches et pointe ma queue sur son petit trou déjà entrouvert. Mon gland est absorbé facilement et je coulisse aisément entre ses fesses jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses, lui arrachant un gémissement de plaisir. Le maintenant fortement aux hanches, j’entame des va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en plus rapides. Florianne contracte parfaitement son sphincter et cette pénétration est délicieuse. Florianne repose sur ses épaules, la tête tournée sur le côté. Elle a projeté ses deux mains sous son ventre, l’une occupée à me malaxer les couilles, l’autre à se branler.


Mon excitation est à son paroxysme et je ne tarde pas, dans un dernier mouvement qui me fait m’empaler au fond de lui, à décharger un volume impressionnant de sperme dans ma capote. Au même moment, Florianne prend de nouveau son pied et éjacule sur son canapé. Toujours fiché au plus profond de son rectum, j’attends de dégonfler complètement pour me retirer de son conduit.


Je me rajuste, Florianne remet un peu d’ordre dans ses vêtements et je prends congé, non sans avoir promis de se revoir.



En rentrant chez moi, je me remémore cette soirée initiatique et au combien merveilleuse. Par prudence, j’efface son numéro de téléphone de la mémoire de mon portable. Je prends une bonne douche et vais me coucher.


Oserai-je renouveler cette expérience une autre fois ? Si je retombe une autre fois par hasard sur Florianne en minitelant, je crois que oui.