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n° 06711Fiche technique22634 caractères22634
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Temps de lecture estimé : 14 mn
15/08/03
Résumé:  Je me sens de plus en plus proche d'Estelle, tout en me rapprochant franchement de Laetitia
Critères:  fhh couplus entreseins fellation pénétratio fsodo
Auteur : Saul  (JH, 28 ans)            Envoi mini-message

Série : Mes ami(e)s, mes amours, mes emm.....

Chapitre 03 / 04
La naïade et la bimbo


** Jeudi



Cette fois c’est moi qui dépose Laetitia à sa formation. Je retrouve Rémi dans notre bureau. Il a fait une bonne dose de café, heureusement car j’aurai besoin de ça pour tenir aujourd’hui.


La matinée passe lentement, Rémi et moi sommes comme des zombies. Je n’ai pas besoin de lui raconter ma soirée avec Laetitia, il se doute bien de ce qu’il s’est passé. Lui me donne les dernières nouvelles de sa relation avec Nadine. C’est un couple officiel on va dire, mais il arrive fréquemment que l’un des deux ait une aventure. Cette petite originalité dans leur relation leur convient à tous les deux, c’est tout à fait clair entre eux mais pourtant chacun garde ses aventures pour lui, comme une sorte de petit jardin secret. La grande nouvelle, c’est que Nadine semble s’être lassée de cette situation et paraît décidée à passer à quelque chose de plus sérieux. Elle n’a pas parlé de mariage, heureusement pour Rémi, car je ne le vois pas dans une église, mais d’emménager ensemble et surtout, elle a évoqué son désir d’enfants.



Rémi prends une profonde inspiration.



Il a dit ça très lentement, comme s’il chaque mot. Je crois que je ne peux pas lui être d’un grand secours ce matin, alors je le laisse méditer tranquillement et je sors du bureau.


En sortant du bureau, je tombe nez à nez avec Estelle. Elle est toute joyeuse ce matin et sa bonne humeur contraste avec mon air endormi. Ça doit être la première fois que je ma vois sans son éternel tailleur. Elle a l’air d’une petite fille avec son air enjoué et sa jupe plissée. Par contre, son chemisier moule une poitrine qui ne laisse aucuns doutes sur son âge. Je me demande même sil n’est pas plus décolleté que d’habitude.



Elle me présente un paquet sous le nez.



Lorsqu’on arrive à la machine à café, on se met un peu à l’écart de nos collègues pour discuter.



Je suis un peu surpris car je pensais que si elle avait entendu notre conversation, elle ne m’en aurait pas parlé.



Alors, là, je suis scotché.



Elle m’a dit tout ça en chuchotant, pour rester discrets. Heureusement car mon air ahuri est tout sauf discret. Plusieurs questions me traversent l’esprit.



Bien évidemment, je voudrais ordonner toutes mes questions et profiter d’avoir un spécimen de la gent féminine susceptible de m’expliquer leur satanée logique, mais encore une fois elle joue le courant d’air.



Elle lâche une dernière phrase en se retournant.



Cette fille est à la fois irritante et attachante. Mais c’est son côté attachant qui l’emporte et de loin. Vivement ce soir.


Quand je rentre dans le bureau, Rémi est en train de bosser sur une urgence, il a l’air moins dans les vap’. Il engloutit son croissant et apprécie l’attention d’Estelle. Je ne lui dis pas mes plans de ce soir, mais juste que je vais encore à la piscine.



A la pause de midi, re-coup de fil à Marion. Cette fois, sa voix est plus chaleureuse, elle me demande même comment je vais. Les craintes qu’Estelle a fait naître en moi sont ravivées quand elle m’annonce qu’elle doit faire un repas avec ses copines le soir même, un repas entre filles, précise t’elle. J’imagines tout de suite la soirée Chippendales, et je ne suis guère enchanté. Mais bon, elle en a entièrement le droit, faut que je sois logique. Bizarrement, ce coup de fil ne m’a pas appris grand chose, elle ne m’en veut pas, ou ne veut pas le montrer. Un peu comme si on était ensemble sans être ensemble.


Laissons la situation évoluer.


Une urgence me fait encore sortir tard du boulot. Juste avant de partir je regarde ma messagerie, Estelle me dit qu’elle sortira tard elle aussi. Ce qui me laisse le temps de passer au magasin de sport, pour acheter pour la deuxième fois en deux jours maillot, serviette et bonnet de piscine … Faut que je sois mieux organisé, sinon ça va me ruiner cette histoire.


On se arrive sur le parking quasiment en même temps. C’est une chance car je sais pas si j’aurais dû l’attendre ou pas.


Alors qu’on est sur le bord du bassin, en maillot, je cherche un moyen de faire une séance de natation efficace mais conviviale. Ça ne servirait à rien si on passe tout le temps à discuter au bord du bassin. Enfin, j’aimerai bien mais je crois que l’alibi de la piscine serait percé à jour. Apparemment Estelle a une solution.



Elle m’énerve, elle m’énerve …


C’est une vraie anguille cette fille … Je suis sûr qu’elle le fais exprès, cette chipie.


Je me met à l’eau à mon tour et sur les premières longueurs que je fais, je me dis qu’effectivement, elle doit être une anguille ou un autre animal aquatique car elle nage vraiment très bien. Sans être un champion de natation, j’ai un petit niveau mais j’ai du mal à la suivre. Il faut que je sprinte et que je fasse le mâle viril pour arriver à la distancer. Malheureusement, je tiens quelques longueurs et elle finit par me rattraper … Maudites cigarettes.



J’entame donc une série plus cool, ce qui me permet de scruter Estelle à chaque fois que je le peux. Son maillot de piscine ne met hélas pas ses formes en valeurs, mais on voit qu’elle en a. La pratique de la natation lui a donné des épaules larges et une taille fine et surtout un cul bien rebondi et un galbe de cuisse alléchant. Bien qu’aplatie par le maillot, sa poitrine rehausse de belle manière sa silhouette.


Je me demande si elle aussi est en train de me détailler en ce moment …


Tout d’un coup, j’ai un éclair de génie, enfin, je trouve. Comme on était aux échecs, j’essaie d’anticiper les coups de l’adversaire. Et je décide de mettre fin à ma série de fond pour utiliser la planche. Ainsi, lorsqu’elle se mettra à utiliser la planche, c’est elle qui viendra me rejoindre pour discuter. Yess !! Seb, t’es trop fort


Ben quoi ? Il faut bien que quelqu’un me complimente, personne ne le fera sinon.


Le plan fonctionne a merveille, et elle vient me rejoindre pour les battements de pieds. Même si je prends ça pour une victoire, cela ne lui fait ni chaud ni froid et elle entame la discussion le plus naturellement du monde.


On parle du point commun que l’on vient de se découvrir, il s’avère que tout les deux on a fait de la natation pendant des années, on s’est même croisés sur certaines compétitions sans le savoir.


Cette conversation se poursuit dans un café proche de la piscine. Impossible de me rappeler qui a proposé ça à l’autre, c’est venu naturellement. J’ai tout aussi naturellement cessé ma partie d’échec puérile.


La beauté d’Estelle, la complicité qui semble s’établir entre nous, la quiétude que je ressens après ma séance de natation, tout cela fait que je suis dans un état de félicité unique. Bref, je me sens bien.



Je marque un petit temps d’arrêt, je pourrais lui énumérer toutes ces raisons pendant une heure, mais je crois qu’elle les as compris. J’ai l’impression qu’on est tellement en phase qu’on peut se comprendre par télépathie.



Au fur et à mesure de la conversation, nous nous sommes rapprochés imperceptiblement l’un de l’autre au-dessus de la minuscule table de café. Jusqu’à ce que finalement, nos lèvres se touchent et nos langues s’enroulent dans un doux baiser. Presque un baiser d’amoureux. Du dos de la main, je lui caresse la joue, elle garde les yeux fermés, ne voulant sans doute pas reprendre contact avec la réalité. Au moment où elle rouvre les yeux, je devine les mots qu’elle va prononcer.



Evidemment !!


Je laisse échapper un petit soupir de dépit, mais je ne lui en veux pas. Elle est tellement craquante ma petite anguille.


Tiens, elle m’a dit ’à demain’ … Pourtant je croyais qu’elle était en congés demain … Elle voulait sûrement me donner rendez-vous à la piscine. C’est intéressant si ça devient un rendez-vous quotidien.



Sachant que Marion n’est pas dans notre appartement, j’y fais un saut pour récupérer quelques affaires. Je ne peux m’empêcher de faire une petite inspection qui ne révèle rien, pas de caleçons autres que les miens qui traînent. En partant, je lui laisse un petit mot pour lui dire que je suis passé. Je termine ce message en lui disant que je l’embrasse.


Comme la veille et l’avant veille, j’arrive chez Rémi à une heure tardive.


Comme la veille, au moment où je pénètre dans l’appartement, j’appréhende de trouver Laetitia et Rémi enlacés.


Personne dans l’appartement. Je me rends dans la cuisine, j’ai pas spécialement faim, juste une envie de glace à la noix de coco. Etrangement, le pot n’est pas dans le congélateur, mais dans la poubelle, vide. Un mot sur la table m’indique que Laeti et Rem’s sont allé au resto.


Ils ne tardent pas à rentrer, un brin éméchés car ils ont descendu une bouteille de vin à deux. Ils me rejoignent sur la petite table de cuisine et Rémi attrapant au passage une bouteille de digestif. Laetitia s’est faite belle pour cette sortie au restaurant, elle est habillée d’une jupette d’été et d’un chemisier en toile légère, mettant en valeur son opulente poitrine. Je m’aperçois que c’est la première fois que je la voie habillée, si je ne compte pas les t-shirts informes de Rémi et les 5 minutes du matin avant de quitter l’appartement.



Je suis un peu surpris qu’elle en sache autant sur moi. Qu’est ce que cet enfoiré de Rémi lui a raconté d’autre ?

Je me prends au jeu.



Rémi m’explique qu’il a discuté avec Estelle aujourd’hui et qu’elle lui a appris nos séance de piscine. Il a cru déceler une certaine attirance réciproque, et a décidé d’organiser une petite soirée dans la villa de son oncle, parti en congés.



Rémi confirme. Laetitia, pour sa part, a repoussé son retour chez elle à Samedi.



Je pense pas qu’elle est jalouse des autres filles, mais elle doit simplement en avoir marre de nous en entendre parler. Laetitia est une femme d’action, et elle le prouve en posant ses mains sur nos braguettes, massant les bosses qu’elle y forme.



Disant cela, elle recule sa chaise et désigne ses jambes écartées. Rémi comprends le message et, s’agenouillant, vient glisser sa tête sous la jupe de Laetitia. Il écarte le minuscule string et sa langue part à la recherche du clitoris. Laetitia se tourne vers moi, me prends la main et m’invite à passer derrière elle. Debout derrière elle, je lui défait son chemisier, bouton par bouton. Je procède très lentement, lui bisouillant le cou ou massant ses seins. Quand je lui enlève le chemisier, Rémi fait de même avec sa jupe et nous avons entre nous deux notre petite bimbo, si désirable en sous-vêtements raffinés. Son ensemble en dentelle noire est coordonné, la couleur tranche nettement avec sa peau mate. Le soutien-gorge lui soutient tellement la poitrine qu’on dirait que ses seins sont présentés sur un plateau, c’est si tentant que j’y pose ma bouche pour jouer avec. D’abord le haut des seins, si moelleux, ensuite j’écarte les bonnets pour mordiller tout doucement les tétons.


Les mains de Laetitia passent sans cesse du corps de Rémi au mien, massant et palpant tout ce qu’elle peut. Elle insiste particulièrement sur ma verge qui durcit peu à peu. Avec dextérité, elle l’extrait de mon pantalon au moment où je dégrafe son soutien. Alors qu’elle veut se pencher pour me prendre en bouche, j’ai une autre envie : je l’enjambe. Mon sexe se retrouve à hauteur de ses seins, je les empaume et les presse contre ma queue tendue. Mes fesses sont juste au-dessus du crâne de Rémi, il ne faudrait pas qu’il relève les yeux.


Ces pensées sont vite chassées de mon esprit par la douceur des magnifiques mamelles qui me branlent. Mes mouvements de bassin approchent mon gland près de sa bouche pour qu’elle le lèche à chaque passage. Elle le fait volontiers en soutenant mon regard et gloussant de plaisir. Je saisis ses mains pour qu’elle tienne ses seins plutôt que mes fesses et je peux saisir sa tête pour qu’elle me suce plus profondément.


Aux contorsions de Laetitia, je devine que Rémi lui enlève son string. Ensuite, je le sens se redresser, et au passage, il me donne un coup de langue sur les fesses en me complimentant sur leur fermeté … L’enfoiré !


La position de Laetitia n’est pas pratique pour que Rémi parvienne à ses fins. Alors qu’il est à genoux, il l’attire vers lui. Elle glisse de la chaise et pose ses mains au sol pour obtenir une position stable. Du coup, ma queue n’est plus au niveau de ses seins mais de sa bouche. J’abuse de sa position bancale en lui engouffrant encore plus la queue dans la bouche, sa seule réaction est une sorte de rire étouffé. Rémi met une capote, puis Laetitia se cambre et ma queue s’échappe de sa bouche alors que celle de Rémi pénètre sa chatte. La position n’est confortable pour aucun de nous 3, c’est Laetitia qui nous arrête tous en se laissant glisser sur le côté, me faisant tomber au passage.


Elle m’ordonne de rester allongé sur le dos et de mettre un préservatif. Elle se dirige vers moi, à quatre pattes, les seins en obus à cause de la pesanteur. Elle joue de son corps et de son cul pour mimer une démarche féline. C’est réussi, j’ai l’impression d’être la proie d’une panthère. Elle vient se placer au-dessus de moi, met nos deux sexes en contact et s’empale, une flamme dans le regard. La moiteur de son sexe me fait presque défaillir.


Tout à l’heure elle était notre bimbo, mais maintenant c’est moi son jouet : je suis juste un gode entre ses cuisses, je ne lui sers qu’à se branler, elle se sert de ma bite à m’en faire mal, elle la plie littéralement en deux pour atteindre des recoins de sa chatte connus d’elle seule. Elle ne m’autorise même pas à la caresser, elle se fait elle même. Quel dommage de ne pas pouvoir embrasser ces mamelles qui pendent juste devant mes lèvres.


Ses mouvements sont d’une grande amplitude, sa cambrure est impressionnante, elle a sûrement pratiqué la danse intensément. Tout à son plaisir, elle fait signe à Rémi de venir se placer derrière elle. Je me permet une initiative et passe mes mains pour lui écarter les fesses. Rémi fixe l’œillet s’élargir quand sa queue s’immisce dans ses entrailles. Il est rentré sans aucune difficulté, sans même la préparer. Le vagin de Laetitia se resserre un peu autour de ma queue. La sensation de celle de Rémi, à quelques millimètres de la mienne est étrange et lorsqu’il se met à limer le cul de Laetitia, je perçois ses coulissements. Je lâche les fesses de la belle pour la caresser sur tout le corps et elle redevient notre bimbo, encourageant Rémi dans son fondement, orientant mes caresses. Moi je me régale de voir ses seins ballotter au rythme de Rémi, de les peloter, les lécher. À part mes mains et ma bouche, je reste immobile pour que Laetitia continue à se branler sur moi. Au moment où Rémi l’emmanche le plus profondément possible et se répand dans sa capote, Laetitia jouit, le bassin pris de mouvements convulsifs. Elle reste à quatre pattes et je viens prendre la place de Rémi, avant que le petit trou ne se referme. Je m’enfonce en une seule poussée, lente et inexorable, et même maintenant, je suis délicieusement à l’étroit dans ce fourreau. Laetitia tend son cul vers moi, et en quelques vas et viens, je me répand en elle, procurant à ma bimbo un nouvel orgasme.


On trouve la force de se déplacer jusque dans le lit de Rémi, on s’endort immédiatement, nus, la bimbo au milieu du trio.