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n° 06713Fiche technique9806 caractères9806
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/08/03
Résumé:  Un homme et une femme se rencontrent dans un café ...
Critères:  fh inconnu amour fdomine exhib fellation pénétratio ecriv_f
Auteur : Clem
Rencontre dans un café


Je rentrai dans ce café, il avait l’air sympathique avec pas trop de monde, je n’aime pas trop la foule et puis quand je suis seul, j’ai l’impression que l’endroit m’appartient. Je me suis assis dehors sous un parasol, j’ai retiré mes lunettes de soleil. J’étais bien, il faisait beau, j’aime quand il fait beau, je me sens libre. En cet instant précis tout était parfait, la femme là-bas aussi était parfaite. Elle lisait devant un jus d’orange. Ses cheveux, longs et bouclés aux reflets roux, m’intriguaient particulièrement, je les contemplais, j’avais envie de toucher, de caresser, de sentir.



Je regardai de nouveau cette femme, elle me regardait aussi, me sourit et se replongea dans son histoire. Je souris aussi. Est-ce que j’allai l’aborder ? Oui bien sûr.


On m’apporta mon café que je bus lentement, faisant patienter ma conquête. Je l’observais toujours, me demandant ce qu’elle attendait de moi, ce qu’elle aimerait, de nombreuses images me traversaient l’esprit, j’avais envie mais je voulais la faire languir, je voulais qu’elle me désire.



Je passe à l’attaque.



Je m’installai en face d’elle, elle mis ses yeux dans les miens. Quel regard ! Quelle audace ! On se souriait, nous n’avions pas besoin d’autre chose.



Je m’en foutais à vrai dire, je ne savais pas trop comment m’y prendre, elle me déstabilisait, elle le voyait et elle aimait ça d’ailleurs, elle en jouait. Elle se pencha légèrement pour que je puisse voir un peu mieux son décolleté. Et j’ai regardé parce qu’il n’y avait que je puisse faire.


Elle me dit de m’attendre deux minutes, qu’elle revenait de suite. À son retour, pour mon plus grand plaisir et mon plus grand émoi, elle me tendit un bout de chiffon qui n’était autre que sa culotte et son soutien-gorge. Elle faisait comme si de rien n’était, comme si elle n’était pas nue sous sa jupe. J’adorais ça, être le seul à savoir qu’elle ne portait pas de dessous, que l’air lui caressait directement ses cuisses et son sexe. Moi aussi je voulais caresser !



Je lui proposai une petite promenade qui me permettrait de l’amener près de chez moi. Pendant que nous discutions en marchant, nous savions ce que nous allions faire ensemble mais le rapprochement des corps n’était pas pour tout de suite encore. D’attendre, de savoir et de faire semblant de ne pas comprendre la situation nous excitaient.


Arrivés devant ma maison, je l’ouvris, elle n’en fut pas le moins étonnée, elle m’épatait, comment une femme respectable, parce que c’était une femme respectable, pouvait-elle ne même pas faire semblant de ne pas vouloir rentrer chez un inconnu ? Remarquez, moi, ça ne me gênait pas, ça me facilitait la tâche. Cependant j’aimais que ce soit moi qui séduise, je ne supporte pas de ne pas contrôler mes pulsions envers une femme, et là j’avais l’impression quelles m’échappaient, que c’était elle la maîtresse. Il était hors de question de cela, j’allais lui montrer que c’était moi qui dirigeais l’affaire.



Je lui proposai de s’asseoir sur le canapé et je lui offris à boire. Je me suis installé à côté d’elle, tout proche d’elle. J’ai posé une de mes mains sur son genou. Elle continua à me parler. J’aurais aimé mettre ma main directement sur sa peau, mais sa jupe était assez longue pour couvrir ses genoux. Pourquoi avait-elle mis une jupe aussi longue ? Je suis sûr que c’était pour me forcer à faire des efforts pour passer dessous. Alors je fis glisser ma main puis la remontai par-dessous le tissu de sa jupe. Le contact de sa peau douce m’enflammait, je ne pensais déjà plus qu’à une seule chose, la posséder. Mon pénis commençait déjà à se dresser, j’étais serré, j’aurais voulu me débarrasser de ce pantalon inutile.

Ma main caressa son genou jusqu’à ses cuisses. J’étais enfermé dans cette idée obnubilante qu’elle ne portait pas sa culotte, que ma main pouvait toucher directement lorsqu’elle me dit de retirer ma main et de me déshabiller puisque j’étais embarrassé. J’obtempérai, trop ravi de pouvoir me mettre à l’aise. Je déboutonnai vite fait mon jean et retirai tout ça, mes chaussures et mes chaussettes, puis je me retournai vers cette femme, comment s’appelait-elle déjà? Je ne me souvenais plus si je lui avais demandé.



Entièrement ? Elle voulait que je me déshabille entièrement ! J’étais stupéfait, c’était moi qui devais mener la danse et voilà qu’elle me donnait des ordres ! Elle se leva pour se mettre devant moi, je l’attrapai pour la serrer contre moi, mon sexe gonfler contre elle, mes mains sur ses fesses rondes. Elle se recula énergiquement puis revint vers moi et commença à déboutonner ma chemise. Le bouton du haut d’abord, puis un autre, encore et la chemise fut ouverte, elle la fit tomber. Elle me considéra longuement puis lentement, très lentement s’approcha et posa ses lèvres dans mon coup, elle m’embrasait tout doucement, j’adorais ce genre de baiser, doux et fantasmant, j’imaginais déjà les sensations que promettaient ses baisers qui descendaient sur mon torse, Je posai de nouveau mes mains sur ses fesses, elle s’arrêta, me lança un regard noir et attendit que je retire mes mains avant de recommencer ses bisous.


Tout mon torse avait maintenant été parcouru par ses lèvres qui se reposèrent dans mon cou. En même temps, elle fit glisser ses mains le long de mon corps, des épaules jusqu’à mes poignées d’amour et encore plus bas, sous mon caleçon pour le laisser choir à terre. Mon pénis était là, dehors, sans protection, en pleine érection. Elle le mangeait des yeux puis elle recommença ses baisers dans mon coup, sur mon torse, sur mes jambes, elle avait oublié mon sexe, ah non, elle y venait, elle embrassait des parties toujours plus rapprochées, c’était ensorcelant. Je désirais de toutes mes forces sentir ses lèvres entourer mon pénis. Je sentis sa bouche l’effleurer puis elle se releva, me déposa un bisou sur la joue.



Elle se recula d’un ou de pas, se retourna et comme j’avançais vers elle pour la prendre dans mes bras, elle me demanda de ne pas bouger. Je ne bougeai plus. Elle ôta son tee-shirt avec une lenteur enfiévrante. J’en pouvais plus, je me délectais de son dos dénudé, de la poitrine que je ne voyais pas mais dont je devinais la racine. Elle fit la même chose avec sa jupe et je pus alors admirer ses deux fesses que j’avais pu caresser l’espace d’un instant tout à l’heure. Je rêvais à ce qui se trouvait de l’autre côté de son corps.


Plusieurs minutes passèrent sans qu’elle fasse la moindre chose, je ne savais pas si je pouvais avancer vers elle. Je fis un pas pour tester et comme elle ne dit rien, je me suis approché tout près. Je ne la touchais pas mais je pouvais voir ses seins par-dessus son épaule. Deux seins rebondis qui pointent dans la même direction. Je voulais les recouvrir de mes mains. Plus bas, il y avait son sexe, ça aussi j’aimerais bien la couvrir de mes mains, voir même un peu plus.



J’enfouis ma tête dans ses cheveux, ils sentaient bons, ils étaient soyeux, c’était une sensation douce et sensuelle sur mon visage et sur le haut de mon torse, je m’approchai un peu plus d’elle pour la sentir tout contre moi, pour passer mes bras autour d’elle. Mon sexe était collé contre ses fesses et ça me plaisait. Mes mains que j’avais d’abord posées sur son ventre remontèrent jusqu’à sa poitrine, chacune trouva un sein qu’elle put caresser à loisir. Sa tête se posa sur une de mes épaules, elle se donnait. Je la serra encore plus pour qu’elle soit complètement soudée à moi. Impression d’être elle, impression qu’il n’existe plus que nous deux. Mes doigts titillèrent ses tétons puis effleurèrent son coup, son visage, ses bras, ses cuisses et enfin son sexe. Je laissais mes doigts là quelques instants pour que son envie monte puis, lentement, pendant que je lui mordillais son oreille, mes doigts s’enfoncèrent. C’était humide, chaud, accueillant, c’était bon. Mon pénis n’en pouvait plus, il se pressait contre ses fesses en même tant que je lui caressais son intimité.


Je finis par lui prendre la main pour l’entraîner vers le lit. Elle se coucha sur le dos, je me mis sur elle. Nous étions sexe contre sexe et nous nous embrassâmes fougueusement, amoureusement, j’étais son dieu, elle était ma déesse. Je pénétrai en elle délicatement pour ressentir tout le bonheur d’être entourer de quelqu’un. Je ne pensais plus à rien, juste à mon pénis qui s’extasiait. Tout mon corps s’extasiait, tout mon être.


Quand nous eûmes fini, que nous avions joui l’un et l’autre (dieu que c’est beau une femme qui jouit grâce à ses caresses), je la pris dans mes bras. Je reçus un « merci » ravissement tendre et coquin. Ma femme me disait toujours merci quand on jouait à ce genre de petit jeu.