n° 06715 | Fiche technique | 17855 caractères | 17855Temps de lecture estimé : 12 mn | 15/08/03 |
Résumé: Un nouveau déplacement professionnel de Chantal | ||||
Critères: fh 2couples extracon piscine voir exhib fellation pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Chantal |
Je vois !! Vous êtes nouvelle et ne connaissez pas l’endroit !
C’était tout ce qu’il avait trouvé ce type comme entrée en matière lorsque je l’avais giflé. Je suis comme je suis, sans doute un peu légère, mais il y a des limites, des formes à respecter. Ce monsieur que je ne connaissais pas et qui était tout nu à la piscine venait de poser son sexe raide sur mes fesses nues avec la ferme intention de m’investir et il s’étonnait de ma réaction. Il faut que je vous explique un peu sinon vous n’allez rien comprendre alors que par le fruit du hasard j’ai fait une découverte absolument sensationnelle.
J’étais donc partie en voyage professionnel pour une semaine à l’autre bout du pays, sur la côte atlantique. Mais au lieu de me prendre une banale chambre d’hôtel ( voir histoire Le téléphone de l’hôtel) j’avais retenu une chambre dans un gîte rural sur recommandation d’une de mes amies, Brigitte, commerciale comme moi. La coquine m’avait dit « Un gîte rural, dans une ferme, chez les bouseux !! Tu verras tu ne regretteras pas. » La connaissant un peu, ma curiosité avait été éveillée. Effectivement c’était bien une ferme, ou plutôt une ancienne ferme, admirablement située en bordure de mer, un peu à l’écart. De l’extérieur on ne voyait rien de spécial, sinon des murs qui entouraient un grand parc, mais une fois le portail franchi on trouvait un endroit charmant. Dans une grande cour carrée, une maison très ancienne dans un coin et sur tout le tour des bâtiments anciens aussi mais qui avaient été transformés en logements individuels particulièrement confortables. Des arbres, de l’ombre, des oiseaux, et surtout une piscine à usage exclusif des quatre ou cinq logements. Je m’étais installée vite fait et avais commencé ma première journée de travail d’une semaine qui, je ne le savais pas encore, allait être mémorable.
A cette époque du mois de juillet nous vivions une vraie canicule et aller de rendez-vous en rendez-vous, en voiture, pour rencontrer des acheteurs avait tout du chemin de croix. C’est pourquoi j’ai écourté la première journée et suis rentrée tôt dans l’après midi avec dans la tête une idée fixe, faire un plongeon, d’urgence dans la piscine.
Quand je suis arrivée à la ferme, il était aux environs de seize heures, je m’y trouvais absolument seule, ce qui n’avait rien d’étonnant les autres clients devant être encore au travail ou à la plage. Mon logement personnel, de plein pied, était situé à moins de dix mètres de la piscine aussi me suis-je déshabillée en vitesse et me suis-je précipitée dans l’eau sans prendre la peine de mettre quoi que ce soit sur moi. Quel délice !! Le pied absolu cette piscine pour moi toute seule dans cet endroit charmant et désert entièrement clos de murs. J’étais là à faire la naïade à poil depuis une bonne demi-heure quand j’ai entendu arriver une voiture et une portière claquer.
J’étais en train de sortir de l’eau pour regagner mon logement en quatrième vitesse et me mettre au moins un bas de maillot quand j’entendis des pas sur le gravier. Trop tard !! Je n’avais plus le temps de me couvrir. Je m’allongeai à plat ventre sur le premier matelas trouvé en bord de piscine et priai le ciel pour que l’arrivant ne soit pas une vieille pimbêche pudibonde. Non, il ne se passa rien, pas de cri, pas de hurlement au vu de mes fesses nues. Il faut dire qu’elles sont plutôt mignonnes. Au bout d’un moment j’ai tourné la tête pour savoir qui était l’intrus et j’ai vu, à ma grande surprise, un homme de trente cinq ans environ, brun et bien bâti qui était en tain de se déshabiller avec l’intention bien arrêtée de faire un plongeon. Rien que de bien normal par cette chaleur. Ma surprise venait du fait que lui aussi se mettait nu. Comme moi. Puis je me suis dit que me voyant nue il avait peut-être penser que c’était là la coutume ou l’usage.
Toujours est-il qu’il s’est déshabillé totalement ce qui m’a permis de voir rapidement qu’il était fort bien fait, musclé et poilu comme j’aime. Il a plongé, nagé, et fait quelques allers et retours dans un crawl parfait. À chaque trajet il venait faire demi-tour juste à côté de moi en m’éclaboussant de façon délicieuse. Puis il est sorti de l’eau mais à l’autre extrémité de la piscine. C’est à ce moment là que je l’ai vue. Il bandait !! Sa queue était toute droite !! J’avoue que ce n’était pas la première chose que j’avais regardée, la seconde sans doute, mais que jusque là je n’avais vu qu’une queue molle, au repos, ballottant dans une grosse touffe de poils bruns par dessus deux grosses testicules. Il a marché dans cet état tout le long du rebord de la piscine en venant dans ma direction. Puis arrivé à ma hauteur, alors que je me tenais toujours allongée à plat ventre et le cœur battant, il s’est mis au-dessus de moi et j’ai senti tomber des gouttes d’eau fraîche sur ma peau. Il a posé ses mains de part et d’autre de ma tête et s’est étendu sur moi sans autre façon de sorte que sa queue raide est venue se loger dans le sillon qui sépare mes fesses.
C’est à ce moment que, me retournant, je l’ai giflé. C’est aussi à ce moment qu’il m’a dit « Je vois !! Vous êtes nouvelle et ne connaissez pas l’endroit ! » Il s’est assis sur mon matelas, à hauteur de mon visage, tandis que faisant l’offusquée j’affectai de me plonger dans la lecture d’un catalogue de matériaux. En réalité je m’intéressais beaucoup mois aux menuiseries Machin qu’au truc que je voyais à dix centimètres de mes yeux et qui était toujours dans le même état d’excitation. Il s’est mis à parler. Il m’a donné son prénom, Marc, et après m’avoir dit que c’était la troisième fois qu’il venait séjourner ici il m’a parlé de l’endroit. C’est ainsi que j’ai appris que ce n’était pas un gîte rural ordinaire mais un endroit spécial où ne pouvait pas venir n’importe quel client. Qu’il fallait pour loger ici être introduit ( merci Brigitte !!) car il y régnait une atmosphère de grande lubricité amicale et détendue qui nécessitait discrétion. Que me voyant nue au bord de la piscine il avait pensé que j’étais une habituée et qu’il avait fait comme avec une habituée. C’est alors que je lui ai demandé de préciser sa pensée et ses intentions et qu’il m’a avoué candidement qu’il avait été sur le point de m’enfiler. Que la vue de mes petites fesses rondes avait éveillé son désir dans l’eau et que dans un tel cas, avec les habitués en tout cas, mâles ou femelles, c’est ce qui se faisait ici. Allons bon !!
Moi qui, en déplacement professionnel dans les hôtels, suis toujours à la recherche d’un partenaire pour occuper mes nuits et mon lit j’allais visiblement n’avoir aucun mal à en trouver pour cette fois. Brigitte le savait parfaitement et m’a envoyée là à dessein. Je n’allais pas faire l’idiote ou la mijaurée. Il me fallait soit accepter la règle locale soit m’en aller pour aller me loger ailleurs et.. me chercher quelqu’un d’autre à mettre dans mon lit. Absurde dis-je à haute voix. « Qu’est-ce qui est absurde ? » me demanda le type. Rien lui répondis-je en riant et en m’emparant de sa queue que je voyais toujours aussi raide entre ses cuisses à me provoquer. Dès que mes doigts se sont refermés sur sa verge il a écarté les cuisses et s’est mis en appui sur ses coudes pour me laisser le travailler avec ma bouche. Je l’ai pompé, sucé, léché, mordillé pendant qu’il soupirait de bien être en disant de temps en temps « Je savais bien !! Je savais bien !! » Retirant sa queue de ma bouche un instant je lui demandai ce qu’il savait. Il me répondit « Que vous en étiez de la maison !! » Comment lui dire que non et à quoi bon me dis-je en remettant son gland sur ma langue. J’avais de la chance ce type avait une queue superbe, longue, grosse, rebiquant un peu vers le haut, parfaite pour faire ce que j’avais à en faire.
Quand il a été tout à fait à point je lui ai dit « Si nous reprenions les choses au début ? » tout en soulevant mes hanches et en me mettant sur les genoux pour offrir mon postérieur. Il a tout de suite compris et se mettant debout il est allé derrière moi, s’est agenouillé et a remis sa queue à l’endroit qui lui avait valu une gifle. Il a fait descendre son gland tout le long de ma raie, passant au-dessus de mon petit trou, descendant plus bas à la recherche de ma fente. Quand il s’est trouvé en face il a pris mes deux hanches en mains et dans un grognement sourd il m’a investi la chatte. Les yeux fermés j’ai suivi la progression de l’engin en moi. La queue de ce type s’enfonçait en m’écartelant et il est arrivé au fond de mon vagin sans avoir pu tout faire entrer. Je m’en suis réjouie car ainsi il allait pouvoir me défoncer efficacement. C’est bien ce qu’il a fait avec une merveilleuse énergie. C’était la première fois que je me faisais ainsi sauter en plein jour sur le bord d’une piscine. Comme nous étions seuls et à l’abri nous avons laissé libre cours à nos envies parmi lesquelles, lui comme moi, avions celle de crier notre plaisir librement. Il m’a baisée bruyamment et je me suis faite sauter bruyamment. J’ai joui avec beaucoup d’intensité, secouée par plusieurs orgasmes. Puis il a voulu tirer à son tour. Il m’a prévenue à l’avance. J’ai tourné la tête sur le côté pour le voir faire. À genoux sur le matelas il avait le ventre collé contre mes fesses et regardait travailler sa queue. Il alternait les coups de reins puis il arrêtait et me faisait aller et venir et coulisser sur sa queue en me tenant les hanches. J’ai bien senti l’instant où il allait se vider. Sa queue s’est redressée, son gland est resté collé tout au fond et dans un dernier cri il a déchargé. J’ai à nouveau fermé les yeux et j’ai concentré mon attention sur les giclées de sperme qui se déversaient en moi tout en ayant une pensée attendrie pour mon mari.
Après cela nous avons fait un plongeon dans l’eau fraîche puis nous avons parlé tout en pataugeant. Il m’a dit qu’il venait là de temps en temps avec sa femme qui allait le rejoindre en fin de journée. Qu’elle avait un goût prononcé pour l’exhibition et aimait qu’on la regarde se faire baiser. Que l’un comme l’autre ils étaient bi. Qu’il y avait deux autres couples dans le gîte dont un qu’il connaissait . Qu’en fin d’après midi et dans la soirée il y avait bien des chances pour qu’il se passa encore des choses au bord de la piscine et ailleurs. De mon côté je lui ai parlé de moi, de ma vie, de ma famille, de mes enfants et de mon mari, de sa jalousie et de ses habitudes téléphoniques. De ma vie professionnelles croustillantes quand je suis éloignée de chez moi. Marc m’a demandé si mon mari ne me délaissait pas un peu et comment il me baisait. Je lui ai avoué que si mon mari me baisait encore c’était sans aucune imagination, sans fantaisie, et que moi mon goût immodéré pour le sexe ne se concevait pas sans fantaisie, sans nouveautés. Que j’aimais l’exhibition, le voyeurisme, l’amour en groupe avec les hommes comme avec les femmes, qu’en amour j’aimais tout ce qui peut faire plaisir. Que je ne refusais jamais rien.
Sur ces entrefaites un couple est arrivé et nous a rejoint au bord de la piscine. Lui, la quarantaine blonde souriante et elle un peu moins. Une jolie blonde au cheveux courts toute habillée de jean bleu. Le couple s’est approché de nous. Manifestement ces personnes connaissaient déjà mon partenaire Marc. La jolie femme blonde lui a fait un baiser sur les lèvres puis descendant le long du corps nu de Marc elle lui en fit un second sur la queue. L’homme s’est approché de moi et me déposa un baiser sur les lèvres puis mettant ses mains sur mes fesses nues il alla en déposer un autre au creux de ma toison mouillée. Les présentations étaient faites. Stéphane et Brigitte.
Tout en discutant les nouveaux arrivés se sont déshabillés complètement. J’ai bien évidemment jeté un œil curieux sur le corps nu de Stéphane et en particulier sur ses fesses et sur sa queue puisque j’avais parfaitement compris que d’une façon ou d’une autre c’était là un engin qui m’investirait tôt au tard et sans doute sous peu. Une belle queue noyée dans une toison blonde peu fournie. Je notai que ses testicules étaient rasées. Mais ce fut surtout le corps nu de Brigitte qui attira mon attention. La jeune femme était bronzée, intégralement bronzée sans aucun marque blanche sur le corps. Elle avait deux merveilleux petits seins bien ronds et fermes, des fesses adorablement galbées. Mon regard est allé tout droit à son pubis. Tiens ! Elle aussi se rasait, pas complètement heureusement mais quand même rasée. Elle entretenait un délicieux triangle de poils blonds fourni sans excès qui laissait apparaître une fente rose serrée. Une bien jolie femme. Marc et moi sommes restés étendus sur nos matelas à regarder le couple se rafraîchir dans la piscine mais au bout d’un petit quart d’heure j’ai vu que Brigitte, toute ruisselante sortait de l’eau et allait s’installer à califourchon sur Marc en lui disant « Alors mon petit Marc il y a bien longtemps qu’on ne s’est pas vus non ? » Elle était tournée vers le visage de Marc, assise sur son ventre, les mains posées sur les épaules de l’homme, et remuait ses fesses.
Quelques minutes plus tard Brigitte se soulevait un peu, attrapait la tige de jade de Marc comme disaient les chinois et se l’enfilait dans son petit vase, toute heureuse. J’étais là fascinée par le spectacle que donnait Brigitte en se dandinant sur la queue de Marc que j’apercevais de temps en temps, entrant et sortant de la fente de Brigitte. Stéphane sortit de l’eau à son tour. Je savais bien ce qui m’attendait, c’était couru, et comme j’étais sur le dos, j’ai ouvert mes cuisses dès qu’il s’est trouvé entre mes jambes. Il a pris sa queue à la main et tout en s’allongeant sur moi il m’a dit « Il est temps de faire connaissance plus approfondie tous les deux non ? » J’ai dit juste « Oui ! » et il m’a enfilée. Stéphane est manifestement un homme organisé et méthodique. Dès que sa queue a été entrée il a pris mes mollets pour les mettre sur ses épaules ce qui eût pour effet non seulement de faire avancer son membre plus profond mais aussi de me soulever les fesses. Il a alors dit en riant « Mais on dirait que quel qu’un est déjà passé par là il y a peu non ? » J’ai dit « Oui, Marc venait de me tirer quand vous êtes arrivés. » « Parfait c’est encore meilleur. » Stéphane m’a limée tout en douceur avec beaucoup de soin. Il s’efforçait de faire parcourir à sa queue toute la profondeur de mon vagin sans épargner le moindre recoin mais avant tout il cherchait à l’évidence les endroits les plus sensibles de mon anatomie, il voulait me faire jouir.
Trouvant son attention rare et émouvante je me suis efforcée de l’aider, de le guider dans la recherche de mon plaisir. Je gémissais, je criais. Plus il se montrait adroit plus je criais et au bout d’un moment, ne tenant plus, c’est moi qui ait réclamé qu’il me défonce, qu’il accélère le rythme ; je le suppliais de me labourer sans ménagement. Il s’est fait prier un peu et a conservé son allure. C’est Brigitte chevauchant la queue de Marc qui lui a demandé d’accéder à ma demande. « Allez Stéph !! Sois chic avec elle !! Baise-là pour bon !! » A cet instant je crois que j’ai eu envie de Brigitte. J’aurais aimé que ce soit elle qui se tienne entre mes cuisses ouvertes. Stéphane a alors rapproché ses genoux de mes fesses, il s’est reculé un peu et a dit « C’est bon on y va chère Chantal, mais je te préviens quand je suis parti plus rien ne peut m’arrêter ! » Il voulait encore s’assurer de ma parfaite acceptation. « Oui Stéphane vas-y je t’en prie, baise-moi à fond, ouvre-moi en deux et donne ton jus, mets le dans celui de ton copain Marc !! » C’est ce qu’il a fait. Comme une bête. Il était méconnaissable au-dessus de moi. Je ne reconnaissais pas le gentil garçon que j’avais crû rencontrer. C’était un fauve en pleine saillie qui écartait mes genoux et regardait son membre me défoncer la chatte. J’aime cette violence du coït, la force du membre raide, les testicules qui battent et cognent, les râles, le visage écarlate du mâle et ses mots. J’adore les mots du mâle en rut. « Putain je la baise la femelle !! Il faut que je la baise, que je la tire. Elle est étroite la salope Marc !! Elle me serre bien la bite. Il faudra que je me tape son cul après. Oh !! Que c’est bon !! Il faut que je me vide !! » J’encourage l’homme, toujours. « Oui mon cochon baise-moi !! Enfonce ta grosse queue très loin, dans le foutre de Marc, dans celui de mon mari, de mes amants. Vas-y !! Plus loin !! Plus fort !! Encore !! Encore !! Oui !! Oui !! C’est bon là !! Allez !! Envoie ton jus !! »
Là j’ai guetté l’arrivée de l’orgasme sur le visage de Stéphane. J’adore regarder jouir. C’est ce qu’il a fait juste au moment où mon portable sonnait !! Vingt heures !! L’appel de mon chéri !!!