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n° 06717Fiche technique31056 caractères31056
Temps de lecture estimé : 19 mn
15/08/03
Résumé:  Petite scène entre deux ex devant une caméra
Critères:  fh couple piscine photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Ghim
La caméra


J’avais la maison pour moi tout seul en cette période de l’été. Mes parents étaient partis pour quelques jours et je comptais pouvoir en profiter au maximum, soirée, alcool, collègues. Rien de bien spécial, mais juste pour changer d’air un peu, pouvoir me dérober de cet envahissante et intenable idée que je ne m’amusais pas assez et que je n’en profitais pas autant que j’aurai dû.


Ma première soirée que je passais, était pour moi l’occasion de rester un peu seul, de profiter d’un moment de répit, de calme, la sensation d’être le seul habitant de ces lieux et de ne pas avoir mes parents sur mon dos. J’en profitais, j’allais me regarder un DVD, prendre une bière ou deux, me faire à manger et passer la soirée ainsi. Rien de bien spécial, j’avoue, mais parfois c’est dans la simplicité que l’on se sent le mieux, et moi j’adore cela. La soirée débuta, j’étais tranquille, la chaleur de l’été m’obligea à mettre le ventilateur en marche. Il faisait vraiment trop chaud cette année là et rester à ne rien faire, même le soir à 21 heures, relevait d’un véritable défi. La soirée chaude, et étouffante, ne me plaisait guère. J’aurai préféré qu’il fasse quelques degrés de moins.


Le film que je regardais était sympa, mais pas vraiment le film du siècle. C’est alors que j’eus l’idée de sortir et de rester sur ma terrasse à profiter des étoiles et de la nuit. Tant pis pour le film, je pourrais voir la fin plus tard. C’est ainsi que tranquillement installé je profitais du plaisir de contempler le ciel, plaisir certes dérisoire et qui n’apportait pas grand chose à ma condition, mais cela est pour moi un véritable moment de détente, même s’il n’y a pas grand à faire en regardant des points scintiller dans le ciel obscur, mais moi j’adore ça. Bien installé dans le transat, j’appréciai la soirée qui s’offrait à moi lorsque mon portable sonna. Maudit technologie, me dis-je à moi-même comme si j’avais été ramené à notre époque à des années lumières du moment que je vivais, paisiblement. Je décrochais alors le téléphone, et ne fus-je pas surprit d’entendre mon ex à l’autre bout du fil.



Elle raccrocha et c’est à ce moment là que je fus content d’habiter encore chez mes parents, si j’avais pris mon appartement elle serait toujours en train de squatter.

Eryn était une fille très gentille, trop gentille d’ailleurs, le cœur sur la main, mais elle avait le don naturel de la jalousie possessive poussée à son paroxysme, et moi je ne pouvais pas le supporter, cela avait été le coup fatidique de notre relation. J’avais du rompre alors que tout allait bien sur les autres plans. Nous étions le couple qui durait par rapport à nos amis, nous allions bien ensembles, elle était très belle, tous les garçons se retournaient à son passage, et nous nous entendions très bien sexuellement. Elle m’avait fait découvrir des choses, comme moi je l’avais fait. Rien de débridé, rien de salace, mais ce que nous faisions avait été très bien et ni l’un ni l’autre ne le regrettait.


Je bus une gorgée de ma bière et j’attendis, pas longtemps en tout cas. J’entendis sa voiture s’arrêter devant chez moi. À minuit, il n’y avait plus beaucoup de monde pour s’arrêter devant chez moi. Je me levai et passai par le chemin dallé à travers la pelouse pour accéder devant. Elle sortit de sa voiture et la referma. Elle me regarda de ses yeux vert émeraude et sourit. Oui, elle était très belle.

Je ne savais pas si elle avait décidé de m’allumer ce soir, mais elle avait mit une petite jupe plissée et un dos nu. Sa peau bronzée contrastait avec son haut blanc, qui en y regardant de plus près, était quasiment transparent, et me laissait percevoir ses seins ronds et fermes. Ce n’était pas la femme ayant la plus forte poitrine du monde, mais bien au contraire, ils étaient de taille correcte, fermes et ronds. Elle savait jouer des charmes qu’offrait son corps, pour que les gens la regardent. Elle ne s’habillait jamais vulgairement, bien au contraire, très raffinée, classe, mais elle avait un charme qui avait fait tourner la tête à pas mal de mecs.

Personnellement je n’avais jamais compris qu’elle put avoir de l’attirance pour moi, ni même qu’un jour cette attirance puisse se transformer en amour, mais il en était ainsi et comme on dit, on ne peut jurer de rien. Je devais correspondre à ses critères. Je ne faisais qu’un mètre quatre vingt, j’avais les yeux marrons, totalement banals, les cheveux courts, châtains, pas plus musclé que ça, le genre de type que vous croisez tous les jours à toutes les heures et dont vous ne prêtez pas attention tellement qu’il est passe partout.

Enfin bref, elle était là, Eryn, mon ex petite amie avec qui j’étais resté 2 ans. Le portail était fermé. Elle sourit et s’adossa dessus.



Cette fille jouait souvent les femmes fatales, mais il n’en était rien. Elle avait beaucoup de grâce, et de gentillesse. Mais il était vrai que lorsqu’elle voulait quelque chose, elle l’obtenait. Je n’avais pas faillit à la règle. Mais ce côté allumeur se perdait dans un océan de qualité. Une fille superbe à vrai dire.



Nous arrivions devant la piscine. Je n’allumais pas les projecteurs, préférant ainsi minimiser l’effet de son maillot. Elle n’attendit pas longtemps et enleva son haut. Comme je m’en doutais, puisque je l’avais vu, pas l’ombre d’un soutien-gorge à l’horizon ! A la la, la soirée serait rude !

J’allais m’allonger sur le transat et la regardais faire. Elle avait un corps élancé, fin, musclé. Vraiment très belle. Elle nageait en long et large de la piscine. Je devinais son corps, pour le connaître par cœur, qui plus est. Elle arrivait à m’exciter, c’était indéniable, cette fille était forte. Elle sortit alors de la piscine. Elle sourit et s’avança vers moi sans aucune gêne. Mon cœur se mit à palpiter.



Techniquement elle n’avait pas tort, mais cela voulait dire que ma séparation avec elle était bidon.



Mais elle était déjà sûr moi et m’embrassa fougueusement. Sa langue, douce et délicate titillait la mienne, puis elle la passa le long de mes lèvres. Le problème avec elle c’est qu’elle connaissait mes faiblesses. Combattre un ennemi qui vous connaît par cœur, est toujours plus dur. Elle s’assit sur moi et plaqua ses seins contre moi. Ils s’écrasèrent sur mon torse, et j’avoue que j’aimais pouvoir ressentir à nouveau cette sensation. Cela faisait 5 mois que nous nous étions séparés, cela ne faisait pas de mal en réalité.

Vous connaissez tous le gros dilemme des relations post couple après séparation. On se dit que c’est pas grave, on l’a fait déjà des milliers de fois ensembles, dans tous les recoins de notre maison, piscine, le toit aussi… mais ça c’est une autre histoire, et que cela ne fera pas de mal, que l’on connaît la personne, cela n’engage à rien et qu’on moins nous sommes sûrs d’elle. C’est là le problème. Je n’ai pas pour principe de coucher directement avec une femme, mais elle, c’est mon ex, je la connais, je sais comment la faire jouir avec ma langue en peu de temps, je connais ses faiblesses, ce qu’elle aime, ce qu’elle déteste, le parfait mélange pour avoir un orgasme magnifique et partager un moment d’extase non négligeable. Et bien pourtant c’est dans ces moments là qu’il faut savoir dire « non », c’est dur de refuser de faire l’amour à une femme aussi belle, aussi sexy, mais il faut savoir le faire. Rappelez-moi ça la prochaine fois.

Je ne pus me contenir, mes mains caressèrent son dos, glissant vers ses reins. Le bout de mes doigts lui donnèrent des frissons, elle se cambra, exhibant ses seins devant moi. Je ne pus m’empêcher de les embrasser, puis de les titiller du bout de la langue. Ils étaient toujours aussi doux, fermes et excitants.

C’est alors qu’elle commença à se frotter sur mon sexe. Il était trop tard. Lui n’attendait plus qu’une chose.. de l’action. Elle commença à s’exciter sur mon sexe complètement dur. Appuyant de tout son corps son intimité contre la mienne. Je n’en pouvais plus. Elle entendit mes râles et comprit qu’elle avait gagné la partie. J’étais à elle pour la nuit.


A ce moment là elle se leva. Son sexe était devant moi, derrière ce mince morceau de tissu. J’agrippais ses fesses de mes mains, les caressant fortement amenant ce fruit défendu vers moi. Je mordillais doucement puis prit l’initiative de retirer son string. Elle baissa la tête en arrière, se laissant faire et caressant mes cheveux de ses mains. Après avoir enlevé le maillot, je me mit à caresser doucement du bout de la langue sa fente pour lancer de plus en plus son excitation. Puis délicatement je me mis à titiller son clitoris du bout de la langue.



Elle n’était pas adepte des « j’aime que tu lèches ma chatte », et merci, car moi non plus ! Je commençais alors à lécher son clito plus sauvagement, en insistant encore plus, puis je m’arrêtai. Elle me regarda. Ne me dis pas que tu as des remords, je le vivrai très mal à ce moment là de la soirée ! Je souris.



Je la pris dans mes bras et l’embrassai. Puis je la posais sur le transat. Elle écarta les cuisses sans que je le lui demande. Je me mis à genoux et retourna à mes agissements. Je m’attardais encore à titiller son clitoris, le malmenant, puis je passai ma langue dans son trou. Je sentis qu’elle était déjà toute mouillée. Elle fit un sursaut. J’enfonçais ma langue à l’intérieur fouillant son sexe. Elle mit une main dans mes cheveux et m’agrippa l’épaule. Elle avait deux choix pour montrer son plaisir, soit elle criait, soit elle griffait. Nous étions dehors et elle savait rester correcte. Elle prit l’option de me griffer, rien de méchant, mais je le sentis. Personnellement cela m’excitait particulièrement. Je redoublais d’attention à l’égard de sa chatte. Ma langue se plaqua contre son clitoris et de ma main j’introduis deux doigts dans sa fente lubrifiée et je les enfonçais, doucement au départ, puis en accélérant la cadence.



Il était trop tard pour et de toute façon je ne le voulais plus. Elle commença à bouger son bassin plaquant encore plus sa chatte contre mon visage. Elle s’excitait encore plus. La main qui était dans mes cheveux était posée sur l’un de ses seins désormais qu’elle massait avec force. Je relevais la tête pour la voir. Sa beauté était toujours un plaisir. Rien n’est plus beau que de voir une femme atteindre un orgasme. Elle avait le corps entièrement cambré et la tête en arrière, les yeux fermés. Ne t’arrête pas ! C’est bon ! Je repris ma tâche, mais que pour quelques instants. Mes doigts la pénétraient de plus en plus. Je m’arrêtais et j’y mit ma langue. Son odeur était douce comme toujours. Elle savait vraiment être parfaite. C’est alors que je sentis un sursaut qui se crispa. Elle venait de jouir. Elle s’assit me prenant dans ses bras. C’est superbe. J’adore que tu fasses ça.



Elle me plaqua contre le transat et se fit un plaisir d’enlever mon caleçon. Mon sexe dur et droit se releva d’un coup enfin libre de cette prison qui le serrait. Elle me regarda et eut un sourire. Elle savait que j’attendais qu’une seule chose. Elle prit ma queue dans sa main et commença à me branler doucement, prenant soin de bien descendre. Elle continuait de me fixer, pas par défi, non avec beaucoup de tendresse et d’excitation. Elle aimait me voir démuni face à ses caresses, complètement ailleurs. Je fermais les yeux. Elle avait des mains expertes. C’est alors qu’elle commença à m’embrasser le bas du ventre. J’ouvris les yeux et vis sa tête sur mon ventre, son cul remonter. Quelle paire de fesses alors ! Sa langue parcourait mon bas ventre, puis elle descendit, continuant de me branler. Elle se mit à titiller du bout de la langue mes testicules. J’eus un sursaut. Zone très sensible, avec laquelle elle adorait s’amuser. Mes mains se crispèrent sur les bras du transat. Elle remonta du bout de la langue vers mon sexe. Hummm, toujours aussi appétissant celui là. Elle embrassa mon gland. Je n’en pouvais plus, je n’avais qu’une envie, celle de sentit sa bouche se fermer sur mon sexe, l’engloutir, le lécher, le sucer. Mais elle savait faire monter le plaisir. Elle commença à passer le bout de sa langue sur toute la longueur s’arrêtant au gland, puis elle me masturba encore un peu, tout en caressant de l’autre main mes couilles. Elle me regardait droit dans les yeux. Je n’en pouvais plus. Ma respiration saccadée lui prouvait que ses caresses faisaient bon effet. Tu aimes ce que je te fais ?



Elle n’attendit pas plus longtemps et engloutit mon sexe dans sa bouche. Je sentis la douce chaleur de sa bouche sur ma queue. Je posais instinctivement une main sur sa tête pour la guider dans les va-et-vient. Elle suçait comme une déesse. Sa bouche remontait le long de mon sexe, puis enfonçait ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Je me redressais et vis ses fesses. Ces magnifiques globes dévêtus. Je commençais à les caresser, les agrippant lorsque sa bouche me faisait plus d’effet. Puis je commençais à la caresser entre les fesses. Elle sursauta, mais ne s’arrêta pas pour si peu. Elle bougea son cul m’invitant à continuer. Je mis un de mes doigts dans la bouche, l’humidifiant et ensuite je caressais son anus. Quant à elle l’excitation avait l’air de reprendre une place, elle accélérait la cadence, poussant des petits cris de plaisir. Je lui enfonçais mon doigt dans sa rondelle. Elle redoubla d’intensité dans sa fellation, me branlant plus que jamais en même temps qu’elle engloutissait ma queue. C’est alors que je me raidis, sentant que j’allais jouir. Elle s’en rendit compte et accéléra encore la cadence. Sa bouche était en train de réaliser la plus belle pipe qu’elle m’avait offerte. C’est alors que je me mis à éjaculer dans sa bouche, lui déversant mon jus. Elle continua ses va-et-vient, avalant le plus possible. Lorsqu’elle eut fini elle se releva et s’allongea contre moi.



Elle entra par la porte de la cuisine dans la maison. Mes parents adoraient Eryn et ils l’avaient invitée des milliers de fois. Elle connaissait les lieux par cœur. Elle revint avec la caméra et le pied pour l’installer. Elle alluma la piscine.



A ce moment là du récit il ne me restait que deux solutions, une bonne et une mauvaise, je pense que vous serez tous unanimes avec moi pour dire que la bonne solution n’était pas envisageable, surtout lorsque vous avez une femme aussi belle et qui veut faire l’amour dans votre piscine. Tant pis pour la caméra, je plongeais également dans la piscine. Eryn s’approcha de moi, l’air félin. Elle souriait.



Elle plongea dans l’eau et m’aspira la queue. En réalité je ne pense pas que je savais vraiment l’effet que je lui faisais, mais il avait l’air d’être assez important. Elle se remit à me sucer dans la piscine. Ma queue ne mit pas longtemps à se remettre en forme, l’appel du devoir sans doute. Elle remonta m’embrassa le torse et m’embrassa. Elle s’arrêta.



Je n’en revenais pas elle avait fait l’amour avec trois mecs, elle qui était exubérante, certes, mais pas affamée à ce point là !



Bizarrement ce qu’elle disait m’excitait. Elle s’en rendit compte, mes mains avaient atteint son sexe, je le branlais avec force. Elle ferma les yeux.



Je n’en pouvais plus, savoir qu’elle avait été « souillée » m’excitait encore plus, ce qui m’étonnait. Et je te jure que c’était bon, mais alors vraiment bon. Orgasmes sur orgasmes. Le pire c’est qu’ils en redemandaient. Lorsqu’un avait fini de se décharger en moi, un autre prenait place.

C’en était trop. Je plaçais mes mains sur sa taille, la soulevais et la prise d’un coup sec. Elle poussa un cri de plaisir.



Je commençais à la prendre aussi rapidement qu’il m’en étais possible dans l’eau. Elle croisa les bras autour de mon coup et plaça sa tête contre la mienne. Ses cris étaient de plus en plus bruyant. Mais cela n’était plus un problème. Au diable le fait qu’elle sache se contenir, et au diable les voisins, j’en avais envie et rien n’aurait pu m’arrêter. Après un ramonage dans les règles nous sortîmes de la piscine et je m’allongeai. Elle prit ma queue et la dirigea dans son sexe, et commença les va-et-vient. Elle me regardait droit dans les yeux. Je me suis toujours demander si ce n’était pas ce regard qui m’excitait le plus lorsque je faisais l’amour à une femme ? Elle plaça une main derrière elle et accéléra la cadence. Je la tenais par la taille, relevant le bassin pour accentuer la pénétration. J’avais envie d’aller jusqu’au bout. Le fait de sentir son sexe engloutir le mien me ravissait. Je commençais moi-même à donner la cadence et des coups de butoir. Elle adorait ça. Elle se mit à se caresser les seins de sa main libre, puis caressa mon torse. Je me redressais vers elle et l’embrassais, nos langues se mêlant. Elle mit à nouveau ses bras autour de mon coup et sourit. Tu aimes ça ? J’acquiesçais. Elle s’empalait encore plus vite sur ma queue. Moi aussi, j’aime.



C’était trop. Mon excitation était à son comble. Je la relevais.



Je commençai à la pistonner avec délice, les mains posées sur ses hanches. Elle ferma les yeux de plaisir, la caméra filmant tout. Je me surprit à regarder moi-même la caméra. Cela devenait assez vicieux et j’aimais ça, je découvrais que j’aimais. J’accélérais le rythme, faisant claquer mon ventre sur ses fesses. Eryn, avait la tête par terre, et sursautait à chaque coup que je lui infligeais, elle criai de toutes ses forces à présent. Les voisins devaient se régaler s’ils n’étaient pas choqués. Continue ! T’arrête pas ! Je n’en peux plus ! C’est bon ! Fais comme eux ! Défonce-moi ! Cette invitation me conforta dans l’idée qu’elle aimait ce que je lui donnais. J’allais de plus en plus vite, sentant que j’allais bientôt me décharger dans sa chatte. Je ressortis alors mon sexe. Elle me regarda. Qu’est-ce que tu fais !, T’arrête pas.



Je pris ma queue et commença à caresser ses fesses. Elle eut un sourire.



Cela me donna une impulsion et je me mis moi-même au travail. Elle se mit alors à crier.



J’étais complètement surpris qu’elle puisse avoir de tels propos, mais je devais reconnaître que cela m’excitait. Je me retournai vers la caméra et la fixai un instant. Mes va-et-vient se firent de plus en plus insistants. Je vis Eryn se mordre les lèvres en fermant les yeux. Je vais jouir ! cria t-elle.

C’est à ce moment là que je sentis mon sexe décharger. Eryn cria en même temps que moi.



Après quelques coups de butoir après je m’étalais sur le dallage. Eryn se retourna et entreprit de me nettoyer la queue. Elle l’absorba dans la bouche et délicatement la suça. Elle s’arrêta et regarda le travail, puis donna quelques coups de langues pour qu’il ne reste plus rien. Elle s’allongea auprès de moi et se blottit dans mes bras.



A partir de cette nuit-là Eryn et moi avions découverts que l’on pouvait tout faire tant que c’était fait avec amour. Aujourd’hui notre couple s’est reformé, les collègues sont contents pour nous, nous avons chacun fait des concessions et tout se passe bien.