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n° 06719Fiche technique8637 caractères8637
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/08/03
Résumé:  Je fais l'amour à sa femme sans qu'elle le sache
Critères:  fhh couple extraoffre copains vacances voir cunnilingu pénétratio échange yeuxbandés init
Auteur : Em  (Homme 42 ans de plaisir)      
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On dit souvent « voyeur ou exhibitionniste ! Il faut choisir son camp ! ». Le mien est choisi. Je suis voyeur. J’aime l’intimité, ce qui est caché, ce que l’on peut surprendre, ce qui est inattendu.


Nous sommes tous des hommes et des femmes que le sexe rapproche pour nous reproduire, pour nous associer. Je ne crois pas aux relations épanouies sans complicité sexuelle. Ou bien parlons d’amitié, d’affection, de tendresse réciproque.

Nos gênes portent notre histoire. Notre histoire d’homme et d’animal.

Certes nous avons évolués et notre intelligence s’est développée mais le sexe est toujours là. C’est ainsi que nous nous reproduisons selon des coutumes et des mœurs que la société nous impose.


Ce que je veux dire ? Que le sexe est bestial, présent au fond de chacun d’entre nous. Faire bien l’amour avec son corps c’est baiser comme un animal qui aurait un cerveau qui assumerait ses pulsions en allant les puiser au plus profond de ses origines. Faire l’amour avec sa tête c’est guider ce corps comme un outil de plaisir pour s’épanouir.


Je pense que ce qu’il y a de plus excitant c’est la surprise. L’imprévisible. Ces moments ou nos pulsions nous guident et nous emportent. Quand on perd légèrement le contrôle et qu’il y a une part de risque dans l’acte.


Mes fantasmes, ou plutôt mes plaisirs ? Sentir mon désir s’emballer sans contrôle ou voir cela chez une femme. Simplement.


Un fantasme réalisé ou à réaliser… à vous de juger :



Mon ami Antoine a une femme délicieuse. Elle me séduit à demi-mots, Antoine n’est pas dupe. Je ne l’ai jamais courtisée par respect pour notre amitié. Mais comme moi il est très porté sur le sexe et les fantasmes. Un jour il m’a demandé brutalement si je voulais baiser sa femme… Il me dit qu’elle en mourait d’envie, comme lui, mais qu’elle n’accepterait jamais de passer à l’acte. Et alors lui dis-je ? Et alors j’ai une idée pour nous trois qui devrait te ravir…

Il m’explique : « Viens nous voir un week-end cet été dans notre location, tu verras…. Je ne t’en dis pas plus ».


Je suis venu. Antoine m’a expliqué qu’il banderait les yeux de sa femme dans la chambre et qu’il la prendrait dans une demi-obscurité.



Ce soir-là nous sommes sortis dîner en ville. Nous étions silencieux. Caroline nous trouvait un peu étrange. Je la regardais à la dérobée en me disant que j’allais peut-être la prendre ce soir… la faire jouir qui sait ? Je la trouvais très excitante et une érection se déclenchait pour un rien… je crois que c’était très psychologique… je vivais mon fantasme !


Nous avions un peu bu. L’humeur était joyeuse et Antoine n’arrêtait pas d’allumer Caro qui se tortillait comme une chatte en chaleur. J’avais vraiment envie de la sauter maintenant. Elle me regardait d’un sourire un peu coquin et moqueur… si elle savait !!!


Après un dernier verre près de la piscine je décidais de m’éclipser. Je dis bonne nuit en lançant à Antoine un regard entendu. Arrivé dans ma chambre j’ai pris une douche en évitant le savon pour retirer toute odeur sur mon corps. J’ai mis un tee-shirt d’Antoine pour être encore plus « ressemblant ». Je les ai entendu monter en ricanant puis rejoindre leur chambre. Antoine alluma la musique pour diminuer encore le risque de me faire repérer en les rejoignant.


J’ai attendu 25 longues minutes que leur lumière s’éteigne pour m’approcher de la chambre à pas de loups… En arrivant, j’entendais déjà des gémissements. C’était extrêmement excitant, mon cœur battait la chamade. La porte était au trois quart ouverte et je n’eu aucun mal à doucement glisser mon corps dans la pénombre pour les observer. La musique était assez forte et l’alcool aidant, il était en effet peu probable que je sois démasqué…


Caroline avait un bandeau sur les yeux. Elle était au milieu du lit et Antoine lui léchait le sexe… elle se tortillait de plaisir en lui caressant les cheveux, elle lui parlait en gémissant… la vision était si forte que mon sexe s’est immédiatement redressé pour devenir dur… je voyais ses seins ronds suivre sa respiration, son visage crispé par le plaisir, la tête d’Antoine qui fouillait son sexe entre ses jambes. Elle était délicieusement excitante, à faire bander un mort !


Antoine s’est alors redressé pour venir entre ses jambes. Je la voyais s’ouvrir et dresser ses fesses vers sa queue qui la pénétra en une poussée. Il la besognait fort et cette vision me fit descendre ma main sur mon sexe pour me caresser… « quelle salope pensais-je, quel pied elle prend ! ».

Sa tête montait au rythme de ses coups de reins, le lit grinçait quand sa queue s’enfonçait au fond de sa chatte que je devinais ouverte et distendue par son membre dressé.

Antoine l’a alors retournée, elle était maintenant à quatre pattes sur le lit. Il la rapprocha le plus près possible du pied du lit comme s’il voulait la prendre debout. Je voyais son sexe ouvert et mouillé à un mètre cinquante de moi, elle se caressait en lui demandant de la prendre….


Antoine s’est doucement reculé et me toucha l’épaule pour me faire comprendre que c’était à moi. J’étais dur comme une brique et plus gros que lui. Je me suis approché et j’ai touché son sexe avec ma queue tendue. Un coup de rein me plongea aisément en elle. Elle s’est alors redressée en gémissant…. J’ai eu peur de lui avoir fait mal. J’entamais doucement un va-et-vient. Elle m’excitait terriblement et je la sentais serrée autour de mon sexe planté en elle. Elle « me » parlait tout en gémissant, lâchant un « baise-moi encore… » ou « tu me rends dingue ! ». J’avais vraiment envie de la baiser fort et mes coups furent vite profonds. Je me retenais de la caresser, notamment ses seins, pour ne pas risquer d’être découvert mais je ne pu m’empêcher de prendre fermement ses hanches pour l’amener contre moi et plonger ma queue au plus profond de son ventre. J’adorais sa peau et son odeur. Je la désirais vraiment. Je la baisais comme une femme que j’aime.


Je la prenais maintenant comme une chienne oubliant les circonstances. Elle lâchait un cri à chaque pénétration dans son ventre… ce qui me rendait encore plus fou…. Je me suis senti venir quand ses fesses se jetaient sur moi pour que le prenne au plus profond…. Je regardais le plafond pour respirer et apprécier chaque seconde de bonheur…ma queue s’est durcie contre ma volonté et les premiers jets de sperme sont partis comme la foudre au fond de son vagin…. Cela a immédiatement déclenché son plaisir emprisonnant mon sexe dans ses contractions… Elle a gémi comme une femme qui a mal, ses râles étaient longs et entrecoupés de spasmes… je restais planté en elle sans penser… jusqu’à ce qu’Antoine me ramène à la réalité en prenant le bras…


J’ai retrouvé ma chambre, un fil de sperme au bout de mon sexe encore gonflé .. Je me suis allongé sur mon lit, souriant, content d’avoir vécu une telle expérience. Je me suis encore masturbé avant de dormir quand je l’entendais gémir sous les assauts d’Antoine visiblement excité par la scène. Ce lit qui grinçait me rendait dingue. Elle a joui très fort et j’ai éjaculé sur mon ventre, je me suis juste rappelé ce moment ou je la sautais, l’odeur de son sexe encore sur ma queue et mes doigts…..


Le lendemain, au petit déjeuner, je demandais comment s’était passée la nuit, s’ils avaient bien dormis ? Caroline parut gênée… Antoine me regarda dans les yeux en disant :



Caroline a pris affectueusement sa main pour y déposer un baiser… je me suis servi un café en me disant que la vie est belle…