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Temps de lecture estimé : 9 mn
15/08/03
Résumé:  Il m'arrive parfois de me demander si toutes mes pulsions, sexuelles ou non, sont bien naturelles.
Critères:  fh voir exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo ecriv_f
Auteur : Frédérique Wagner
Le devis



Il m’arrive parfois de me demander si toutes mes pulsions, sexuelles ou non, sont bien naturelles. Je suis parfois surprise moi-même de certaines de mes réactions, de mes désirs, de la manière dont je les assume, plus ou moins intensément, ou plus ou moins consciemment.


Certes je prétends être une femme « libérée », assumant un célibat choisi, assumant ma bissexualité totale, n’ayant jamais peur d’appeler un chat un chat (et surtout une chatte, si vous voyez ce que je veux dire), pouvant me comporter comme une chienne en chaleur quand ça me chante, pouvant utiliser les termes les plus orduriers ou pouvant alors me comporter avec une pruderie excessive selon les jours et les humeurs.


J’adore faire l’amour avec un homme, ou une femme, ou les deux en même temps, et j’ai même pratiqué une fois ou deux le gang bang avec le sentiment délicieux de prendre des risques et de les assumer.


Bien sûr je prends ce qu’on appelle pudiquement « des précautions », en un mot j’ai toujours sur moi quelques préservatifs pour les rencontres de « 3ème type » qui pourraient se présenter. Autre chose : quand je dis non, c’est non, et je sais que je suis toujours (ou presque) à même de le dire quand je le juge nécessaire.


En un mot je baise facilement mais avec qui me plaît, heureusement on me plaît assez facilement si on a de l’humour, de la gentillesse et, pourquoi le nier, un joli petit cul, une petite poitrine bien ferme ou une bite affriolante.


Un soir que je m’ennuyais, que la lecture de « Rêvebébé » ne m’avait pas apporté la petite chaleur délicieuse qui monte du ventre et fait mouiller ma petite culotte, j’avais éteint l’ordinateur et je m’étais allongé dans la pénombre sur mon canapé. Je laissais flotter mon esprit et doucement une torpeur m’envahit peu à peu.


Il faut vous dire que je suis assez volontiers exhibitionniste et que j’adore montrer, avec des mine de celle qui ne s’en rend pas compte, mes parties les plus intimes, que ce soit mes seins, mon cul ou ma petite chatte.


J’ai, je crois, une aspect narcissique dans ma personnalité et j’aime me regarder nue.

Malgré ma petite taille (1,55 m), je pense être assez bien foutue, je suis mince (43 kg), avec de jolis petits seins en pomme bien fermes, un cul que l’on dit « spirituel » avec des fossettes sur et au-dessus des fesses. On dit que j’ai un joli visage (le terme minois, que je trouve un peu bébête, est souvent utilisé), encadré par des cheveux châtain mi-longs.


Et puis il y a ce que j’aime le plus en moi, ma petite fente d’amour, mon petit minou que j’aime tant caresser, cette fleur qui aime s’ouvrir à mes doigts fureteurs, à des sexes durcis, à des langues caressantes, à tout ce qui peut lui donner le plaisir qu’il aime rendre en exhalant son « odor di femina » et en laissant couler son suc d’amour ou sa douche d’or. Et, pas très loin, mon petit trou brun, ma rosette, mon petit trou du cul, timide et pourtant si avide, qui aime tant être comblé, ce fourreau de soie qui se moule si bien sur une queue de mâle, sur des doigts inquisiteurs et, aussi, sur un fin poignet féminin.


Ainsi allaient mes pensées quand me vint l’idée, réminiscence de récits érotiques, d’installer des miroirs autour et au-dessus de mon lit.


Me voir, totalement, crûment, indécemment, nue, ouverte, offerte, prise, sodomisée, suçant des sexes, des bites, des chattes, me frottant de leurs spermes, de leurs cyprine, me voyant recevoir dans ma bouche le jet d’or de leurs mictions, voilà ce qu’il me fallait.


Inutile de vous dire que cela ne s’est pas fait en un jour. Pas pour une question de coût, j’ai la chance de gagner largement ma vie même si la Suisse n’est pas bon marché. Le problème fut de trouver un artisan pour le faire !


Puis vint le moment de l’explication de l’installation. Le regard que me jeta cet honnête artisan aux cheveux gris me fit intérieurement marrer. Pour accentuer sa gêne je lui expliquais les raisons de cette installation et je vis très vite que je commençais à l’intéresser plus que mes explications. Il commençait à devenir tout rouge et bégayais en me répondant.


Il me faisait pitié et je m’avançais alors vers lui et je lui mis résolument la main sur la braguette de sa salopette (quelle joli nom, vous ne trouvez pas ?). C’était bien dur.


Affolé il recula et tomba à la renverse sur le lit. J’éclatais de rire. Il ne bougeait pas et ses yeux restaient fixés sur moi. Je commençais alors à lui faire un strip-tease, très lentement, en le regardant au fond des yeux, je commençais à relever mon pull et à lui montrer mes seins pris dans mon soutien-gorge en dentelle noire, leur blancheur ressortant à travers les trous-trous du soutif, et leur pointe roses se dressant sous le tissu fin. Je finissais d’ôter mon pull et relevais alors ma jupe, lentement, en tournant sur moi-même pour qu’il admire mon slip brésilien qui ne laissait pas ignorer grand-chose de mon derrière, le string étant fiché entre mes deux fesses, seul la partie avant cachait (tu parles, soulignait, oui !) la fente de mon sexe et sa toison brune, courte et frisée. Je défaisais alors le zip de ma jupe qui alla rejoindre le pull par terre.


Je relevais mes cheveux avec mes deux mains et continuais de tourner sur moi-même. L’artisan, toujours silencieux, suivait de yeux mon corps, le visage grave et attentif. Je vis sa main droite aller vers sa braguette qu’il ouvrit et il fit apparaître un sexe raidi, le gland décalotté, rose vif, dont l’allure et la vigueur me surprirent agréablement. Il commença alors à faire aller et venir sa main sur ce pieu dressé, lentement, sans me quitter des yeux.


Cela devenait franchement érotique et excitant.


Je fis alors sauter la fermeture de mon soutien-gorge et je mit mes mains en conque sur mes seins, laissant apparaître mes mamelons, roses et dressés, entre mes doigts. Je resserrais mes doigts sur eux et cette sensation délicieuse me fit frémir de plaisir ; je raffermis un peu plus ma pression sur eux et je commençai alors à les saisir entre mon pouce et mon majeur et fit rouler ces pointes en les pinçant fortement. La douleur fut délicieuse et je sentis que mon ventre devenait chaud et qu’une humidité venait alors mouiller mon slip.


Je laissais alors mes seins et fis lentement descendre le brésilien sur mes hanches. La partie centrale resta un instant coincée entre mes cuisses et mes fesses et, comme à regret, tomba à terre. Je me retournai alors et lui montrait mes fesses que j’écartais des deux mains, pour bien lui montrer tous mes trésors et que j’étais totalement offerte et ouverte.


Il était toujours étendu sur le dos, silencieux et attentif, sa main continuait sa lente masturbation. Je montais alors sur le lit et, toujours debout, je l’enjambais. Je mis alors mes pieds de chaque côté de son visage et je me mis à m’accroupir en écartant largement les cuisses pour qu’il puisse bien voir ma chatte s’entrouvrir et laisser apparaître mes lymphes roses entre mes poils noirs. Je m’agenouillais alors et je me mis à me masturber en écartant bien mes lèvres, quelques gouttes de cyprine giclèrent sur son visage. Il cilla un peu mais restait silencieux.


Je me mis alors sur le côté, toujours à genoux, puis je m’assis sur mes talons. Je me penchais alors et j’écartais la main de son sexe. Il se laissa faire sans réagir. Je saisis alors son sexe de ma main gauche et je me mis à le branler lentement, comme il le faisait avant. De la main droite je fis sortir ses couilles et les caressais.


Puis je penchai alors la tête et ma bouche goba son gland, brûlant et doux, ma langue tourna autour, s’attarda un instant sur son méat qu’elle agaça, et je fis pénétrer son sexe jusqu’au fond de ma bouche. Je fis aller et venir ce sexe dans ma bouche un instant puis je l’enfonçai un peu plus et, surmontant un haut-le-cœur, je fis entrer cette queue au fond de ma gorge et je forçai le passage au plus profond.

Un jet de sperme jaillit alors au fond de ma gorge, brûlant et abondant et je sentis les pulsions successives de ce jet gicler au plus profond de moi. Moi qui prétends qu’on doit toujours faire attention, j’avais l’air fine ! Je me rassurais en me disant que ce gars n’avait pas vraiment le profil du partenaire à risques.


Je me redressais alors et entrepris de le déshabiller. Il se laissait faire, comme un enfant ou un malade, et je fis peu à peu apparaître un corps musclé quoiqu’un peu enveloppé. Son sexe avait retrouvé sa vigueur et se dressait fièrement devant moi et mes mains s’en saisirent de nouveau pour en apprécier la taille, la chaleur et la douceur. Je l’enjambais encore et je m’accroupis alors sur lui pour m’empaler le sexe dessus. Je me sentais alors remplie et je redressais alors le buste en arrière et assise face à lui sur sa queue, montant et descendant, je prenais alors un rythme lent pour accentuer mon plaisir.


Au bout d’un instant je le sentis bouger, il me saisit par la taille et me dégagea de sa bite. Il me mit sur le côté et, me prenant par les épaules il me fit baisser le buste et je me trouvais alors les fesses en l’air. Je compris tout de suite où il voulait en venir et un frisson de plaisir me saisit.


« Oui, encules-moi maintenant » lui dis-je, « défonces-moi bien le cul, bourres-moi bien à fond, gicles-moi ton foutre au fond de mon cul, baises-moi à fond, maintenant ».

J’étais devenue ce qui me plaisait tant et me faisait peur à la fois, une chienne en chaleur, ne voulant plus rien que des coups de bite dans le cul, dans le con ou dans la bouche, voulant me régaler de foutre, voulant sucer, lécher ce sexe, son cul, ses couilles. Je n’étais plus moi et pourtant j’étais bien.


Je sentis son haleine sur mes fesses et sur mon anus, puis je sentis sa bouche se poser sur mon œillet pour un baiser inattendu et un peu râpeux. Sa langue tournait autour de mon anus qu’elle força peu à peu. Sa langue était une petite bite qui m’enculait et c’était délicieux.


Mes doigts avaient trouvé ma chatte et s’activaient sur mon clitoris qui avait émergé de son petit abri, petite perle ronde et rose que j’humectais de ma mouille et que je caressais frénétiquement en le faisant rouler entre mes doigts.


Puis je sentis sa queue brûlante qui se plaça devant mon petit trou. J’en sentais la chaleur entre mes fesses et sur mon anus. Puis il commença à pousser et à forcer mon passage étroit. Je sentais mon anus se dilater lentement, mouillé par sa salive il laissa lentement passer le gland. Il resta dans cette position un bref instant. Je contractais par saccades mon anus et ainsi mieux sentir cette bite qui m’envahissait. Puis il poussa plus à fond et je sentis sa queue qui pénétrait au plus profond de mes entrailles. Il était totalement en moi. Mon cul se serrait et se desserrait sur sa bite et je ressentais un plaisir certes différent de celui que me procure le vagin mais peut-être plus excitant car plus, disons…transgressif.


Il me bourrait le cul à grands coups de queue, lentement, avec application et moi je me branlais comme une folle et je sentais que j’allais bientôt partir. Il sentit sans doute aussi car il commença à aller plus vite, plus brutalement, me faisant un peu mal.


Mais ce mal était aussi du plaisir et je grognais de plaisir et je poussais vers l’arrière chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, j’ouvrais et je desserrais mon anus en rythme pour ressentir encore plus le remplissage de mon cul par cette bite chaude et impérieuse. Puis je sentis un fois de plus la délicieuse sensation du geyser brûlant qui me remplit alors le ventre et je jouis au même moment en poussant un cri et nous nous abattîmes alors ensemble sur le côté, sa bite encore en moi. Nous étions à bout de souffle mais je sentais un apaisement réciproque qui nous noyait comme une nappe de brouillard qui monte.


Je me dégageai de lui, me retournai et je repris son sexe dans ma bouche, tout mou et tout tendre, encore enduit de son sperme et de mes sécrétions et je le nettoyais avec, oui, disons le terme, avec tendresse.


Il se tourna et sa bouche rencontra la mienne et nous échangeâmes un long baiser. Sa langue et la mienne jouèrent un long moment.


Puis il se recula et me dit : « et vous comptez faire ces travaux quand ? »


Frédérique Wagner