Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 06736Fiche technique24717 caractères24717
Temps de lecture estimé : 15 mn
18/08/03
Résumé:  Nous sommes, Marie et moi, mariés depuis une vingtaine d'années. Âgés de quarante ans, notre vie conjugale n'a plus, loin s'en faut, le piquant du début.
Critères:  fh fhh couple couplus voir fmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 fgode pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Christian 4            Envoi mini-message
Sauna


Nous sommes, Marie et moi, mariés depuis une vingtaine d’années. Âgés de quarante ans, notre vie conjugale n’a plus, loin s’en faut, le piquant du début. Bien souvent, nous faisons l’amour très classiquement, Marie se contentant d’un orgasme à la suite duquel elle se tourne et s’endort.

Si je l’aime toujours et ai la même envie d’elle qu’au début, j’ai parfois l’impression que, de son côté, ses sentiments se sont érodés. J’ai parfois envisagé le divorce et, ce soir encore, tente de lui parler :



Elle ne répond rien. Son mutisme me met en colère et je file me coucher, la laissant devant sa sempiternelle émission télévisée. J’ai du mal à m’endormir, énervé par cette situation. Marie monte à son tour une heure plus tard. Je fais semblant de dormir, ne désirant pas lui parler. Elle ôte son slip, son tee-shirt et se couche, nue, sur le dos. Dans la pénombre, je distingue les courbes de son corps et dois lutter pour ne pas la caresser. Je vois alors une main se poser sur sa poitrine et caresser furtivement un sein avant de descendre sur son ventre puis sur son bas-ventre. Je maîtrise avec difficulté ma respiration qui s’emballe et, sans bouger, continue à l’observer. Je ne parviens pas à discerner les mouvements de ses doigts mais nul doute que ma chérie est en train de se caresser. Je distingue son souffle plus court et certains mouvements de son ventre trahissent son excitation. Je fais alors semblant de ronfler légèrement, la rassurant ainsi sur mon sommeil profond. La ruse fonctionne et Marie prend de moins en moins de précautions. Sa seconde main caresse à nouveau ses seins tandis que la première va-et-vient sur sa fente. Elle écarte plus largement les jambes et se masturbe désormais franchement, ne pouvant retenir quelques gémissements.

Je n’ose faire un geste, craignant de rompre le charme. Me croyant profondément endormi, Marie se laisse totalement aller et j’entends maintenant les bruits que font ses doigts allant et venant dans son puits d’amour que j’aime tant.

Elle se lève alors et, prenant garde à ne pas faire de bruit, se dirige vers l’armoire. Lorsqu’elle se rallonge, j’entends le léger murmure du vibromasseur, acheté il y a dix ans, qu’elle refuse absolument d’utiliser lors de nos rapports. Je la vois nettement, mes yeux habitués à l’obscurité, le poser sur sa bouche puis le faire coulisser entre ses lèvres. Elle fait une pipe au joujou, chose que moi-même ai du mal à obtenir ! Elle s’en caresse ensuite la poitrine puis l’enfonce dans sa chatte et le fait aller et venir, la vitesse au maximum. J’ai de plus en plus de mal à feindre le sommeil. Les va-et-vient sont de plus en plus rapides puis elle relève les jambes. Le jouet sort de sa chatte et il me semble qu’elle le pose sur ses fesses. Je rêve ! Elle m’a toujours refusé l’accès de son cul et elle ne va tout de même pas…


Et non, je ne rêve pas, elle s’enfonce l’olisbos dans le derrière ! Elle a de plus en plus de mal à contenir ses gémissements et à contrôler les mouvements de son corps. Son autre main caresse maintenant son sexe et elle s’offre une double pénétration, ses doigts dans sa chatte et l’engin dans son cul. Comme j’aimerai pouvoir participer à cette séance !


De longues minutes durant, elle s’offre du plaisir puis soudain, son corps se tend et elle ne peut retenir un petit cri. Ça y est, elle jouit !

Elle reste de longues minutes immobile, reprenant son souffle puis, toujours aussi discrètement, s’en va remettre le jouet à sa place avant de se recoucher sur le côté, ses fesses contre moi.



Je ne sais quelle attitude adopter. Allumer et lui demander ce qui la fait tant fantasmer ou continuer à faire semblant de dormir et ne rien dire ?

Je bouge légèrement et nos corps se frôlent, mon sexe contre ses fesses. Elle ne peut ignorer mon érection mais fait comme si de rien n’était. Un nouveau mouvement amène ma main sur un sein. Il m’arrive souvent de m’endormir ainsi et elle n’a toujours aucune réaction. Mes doigts effleurent un téton tout dur et, le plus doucement possible, je le caresse. Un léger gémissement m’indique qu’elle semble apprécier la caresse. Brusquement, elle se retourne sur le dos, m’offrant à nouveau la vision de sa poitrine et de son ventre. Ma main, toujours aussi lentement, descend et arrive au niveau de léger renflement de son Mont de Vénus. Le silence est total et seule sa respiration semble à nouveau s’accélérer. Je la masse doucement puis dirige ma main un peu plus bas, vers sa fente. Je découvre son sexe trempé, signe de sa jouissance et masse doucement les grandes lèvres. Les jambes s’écartent sensiblement et je parcours la fente sur toute sa longueur. Elle laisse échapper un léger soupir mais je ne sais toujours pas avec certitude si elle s’est endormie.



Plus aucun doute ! Parfaitement éveillée, ma chérie ne refuse pas mes caresses. Mon doigt s’enfonce dans son vagin et va-et-vient doucement, lui tirant de légers gémissements.



Elle me fait alors mettre sur le dos et vient s’empaler sur moi. Une folle nuit commence alors, au cours de laquelle, pour la toute première fois, Marie ne me refuse rien, m’offrant sa bouche pour une merveilleuse fellation et m’autorisant même l’accès à ses fesses.



Notre vie a repris son cours, sans que nous évoquions cette nuit ni la révélation de ma chérie sur son fantasme.


Quelques mois plus tard nous déménageons. Un collègue de boulot nous donne un coup de main. Les enfants sont chez les grands-parents et le travail avance vite. Le soir, épuisés, nous prenons une douche et dînons. Le courant entre Marie et Jean passe très bien et les plaisanteries vont bon train. Vu la distance, Jean reste dormir chez nous et nous nous couchons rapidement. Dans le silence de la nuit, je sens une main se poser sur mon ventre et le caresser légèrement avant de descendre et s’emparer de mon sexe encore au repos. Je reste stoïque et attends la suite. Les doigts se referment sur ma hampe et entament de lents va-et-vient qui ne tardent pas à déclencher mon érection. Un mouvement puis je sens le souffle de ma belle sur mon sexe tendu. Elle m’avale très lentement, ne s’arrêtant que lorsque mes poils pubiens chatouillent son menton. Sa fellation est à la fois douce et violente. Ses dents griffent parfois furtivement mon gland et un doigt se pose sur mon œillet. Jamais encore ma chérie ne m’a offert une telle gâterie ! Je la fais venir sur moi en 69 et pose la bouche sur son abricot que je découvre trempé. Je lèche sa fente du haut en bas, me régalant de sa liqueur, et ose m’aventurer vers son petit trou sans opposition. J’enfonce pour la première fois ma langue dans son cul et goûte avec délice sa saveur épicée. Marie, loin de s’offusquer de mon initiative, tend un peu plus les fesses, m’encourageant à poursuivre ma caresse, tandis que ses lèvres serrent un peu plus fort ma hampe. Sa bouche sur mon sexe parvient rapidement à m’emmener au ciel et mes jets arrosent son palais. Elle avale tout mon jus sans en perdre une goutte et, comme si ma jouissance entraînait la sienne, elle se cambre et m’arrose à son tour de son nectar dont je me régale.

Nous reprenons lentement nos esprits puis Marie me dit :



Le lendemain matin, je suis réveillé très tôt. Après un café, remarquant que toute la maison est endormie, je me rallonge sur le lit et regarde Marie, nue sur le dos, le souffle régulier. Je reste de longues minutes à la contempler, m’attardant sur chaque courbe de son corps éclairé par les premiers rayons du soleil qui filtrent au travers du volet.

Un léger bruit près de la porte de la chambre attire mon attention. Je tourne lentement les yeux et devine une silhouette. Nul doute, il ne peut s’agir que de Jean qui joue au voyeur. Faisant semblant de dormir, je reste immobile, curieux de voir jusqu’où il va aller. Très discrètement, il pénètre dans la pièce, les yeux rivés sur le lit. Il n’est bientôt plus qu’à quelques centimètres du corps toujours endormie de ma femme et je distingue une bosse conséquente déformer son slip. Il reste un long moment à observer ainsi Marie dans son sommeil puis, toujours aussi discrètement, quitte la pièce. J’attends quelques minutes, me relève et le rejoins dans la cuisine où il boit son café. Mon arrivée le surprend et, sans même lui dire bonjour, je lui demande :



Jean se dirige à nouveau vers la chambre et s’allonge aux côtés de ma femme. Je reste debout près du lit, à la fois impatient et soucieux de la suite. Il caresse doucement le ventre, l’effleurant à peine du bout des doigts puis remonte lentement vers la poitrine. Il s’empare d’un sein qu’il masse avec tendresse quelques minutes avant de passer à l’autre à qui il offre la même caresse. Marie dort toujours mais je remarque que ses jambes s’écartent un peu.

La main de notre ami redescend sur le ventre et atteint la toison de ma chérie. Il masse le renflement puis, peu à peu, descend vers la fente. Cette fois, les jambes s’écartent plus sensiblement et Jean flatte l’intimité ainsi offerte.

Peu à peu, Marie sort du sommeil et sa respiration se fait plus courte. Elle ne peut étouffer quelques gémissements, en particulier lorsque Jean introduit un doigt dans sa grotte et le fait aller et venir. Les yeux toujours fermés, elle dirige sa main vers le bas-ventre, croyant avoir affaire à moi et flatte la verge tendue de notre invité. C’est à ce moment qu’elle se rend compte qu’il ne s’agit pas de moi. Ouvrant les yeux, elle regarde Jean, les doigts plantés dans son vagin :



Loin de se démonter, celui-ci ne cesse pas ses va-et-vient et lui demande :



Un nouveau doigt rejoint les deux premiers et Marie ne peut retenir un petit cri de plaisir.



Les doigts de Jean la fouillent de plus en plus rapidement et Marie ne cherche plus à cacher son plaisir. Il cesse alors tout mouvement et demande :



La lumière inonde la pièce, éclairant Marie dans sa position plus qu’impudique, les fesses tendues, les jambes écartées, le sexe ouvert. Jean reprend ses caresses puis sa bouche se pose sur la fente et il lui offre un long cunnilingus. Je m’approche du visage de ma chérie et dépose un léger baiser sur sa bouche entrouverte.



Mes mains trouvent ses seins et triturent ses tétons, gonflés par l’excitation. En appui sur ses coudes, Marie subit nos caresses sans plus aucune honte ni fausse pudeur et ses gémissements se transforment en cris lorsqu’un premier orgasme la terrasse. Elle s’écroule sur le ventre et Jean, le menton luisant, se relève, souriant.



Il lui donne une légère claque sur les fesses en ajoutant :



Marie se retourne sur le dos et Jean, l’enjambant, présente son membre entre ses seins. Sans réfléchir, elle l’enserre entre eux et le fait aller et venir dans ce délicat fourreau. Notre ami est doté d’un sexe particulièrement long et le gland cogne parfois contre la bouche de Marie qui ne se prive pas pour lui donner un coup de langue. Rapidement même, elle se penche et parvient à engloutir le bout du gland. Jean s’avance alors un peu et ma chérie l’avale plus profondément sans pour autant l’absorber en entier. Elle entame alors une fellation qui, à en juger par ses joues creusées, est particulièrement vorace. Je regarde le long membre aller et venir entre les lèvres de Marie et ce spectacle m’excite au plus haut point.



Marie accélère alors ses va-et-vient sur la hampe tout en triturant les bourses de Jean et, après quelques minutes, celui-ci cède au plaisir :



Il éjacule longuement dans la bouche de ma chérie qui s’efforce de ne pas perdre une goutte de son jus. Elle le garde en elle jusqu’à ce que la queue ramollisse. Jean, heureux, la félicite :



Elle reprend position et m’installant derrière elle, je l’enfile d’une longue poussée, accueilli par un cri de bonheur. Je la baise longuement, à puissants coups de reins, les mains fermement agrippées à ses hanches. Ses gémissements sont incessants et, pour la première fois, je l’entends prononcer des paroles dont je ne la croyais pas capable :



Jean s’installe en tailleur face à elle et attire son visage vers son membre encore au repos. Sans se faire prier, elle ouvre la bouche et l’accueille à nouveau contre son palais. Voir ainsi ma femme déchaînée fait monter mon plaisir et, dans un dernier coup de rein, je me fiche tout en elle et jouit, mes jets fusant dans son ventre. Contrairement à d’habitude, mon sexe conserve toute sa vigueur et je continue à la pistonner, encouragé cette fois par notre ami :



En effet, quelques minutes plus tard, il sort de la bouche de Marie. Je quitte à regret le doux écrin et le regarde pointer son gland contre le sexe béant de ma femme et s’y enfoncer de toute sa longueur. Je m’installe comme il l’était quelques minutes auparavant et les lèvres de ma chérie se referment sur moi. Les coups de reins de Jean sont puissants, son pubis claque contre les fesses de Marie à chaque va-et-vient et ma chérie a bien du mal à se concentrer sur sa fellation. Je regarde notre ami aller et venir en elle, ses mains écartant les fesses, les yeux baissés observant son membre s’enfoncer dans la grotte béante. Il lève la tête et me dit :



Sans attendre, il sort son sexe du vagin et le dirige au centre des fesses maintenues écartées. Il appuie un peu :



Il pousse d’un coup et s’enfonce en entier entre les fesses de ma femme qui ne peut retenir un cri, à la fois de douleur et de plaisir. Il entame de lents mais profonds va-et-vient et ma femme l’encourage bientôt :



Tout à son plaisir, elle est incapable de continuer à me sucer. Me plaçant alors sur le côté, je joue le voyeur en écartant au maximum ses fesses et en regardant le membre pénétrer sa rondelle de plus en plus rapidement. Ce traitement ne tarde guère à lui faire atteindre une nouvelle le septième ciel et, dans un long feulement, elle se laisse aller dans un puissant orgasme. Jean poursuit son pilonnage et j’ai l’impression que ma chérie enchaîne les orgasmes tant ses cris résonnent dans la chambre. Les coups de reins ne ralentissent cependant pas et les fesses de ma chérie claquent de plus en plus fort contre le bas-ventre de son amant. Il me jette un regard et, constatant mon érection, décide de changer de position.



Marie s’empale sur ma queue dressée et j’ai l’impression de m’enfoncer dans de la lave en fusion tant son vagin est chaud et trempé. Une fois tout en elle, je l’attire contre moi et lui roule une pelle. Jean s’installe derrière elle et je sens son sexe pénétrer à nouveau son cul. Ma femme subit sa première double pénétration et cela semble lui plaire :



Nous ne nous faisons pas prier et nos sexes trouvent rapidement la bonne cadence. Je regarde le visage de ma femme, méconnaissable, déformé par le plaisir. Ses cheveux sont collés à son front par la transpiration, sa bouche, grand ouverte, semble ne pas trouver assez d’air. Ses seins ballottent sous nos coups de reins, mes lèvres s’emparent d’un téton que je pince et étire doucement. Très vite, Marie sombre une nouvelle fois dans les vagues du plaisir :



Je sens les contractions de ses muscles intimes sur ma queue au moment de son orgasme. Elle pousse un long cri, presque inhumain, et jouit longuement. Son plaisir déclenche celui de Jean qui, à son tour, nous prévient :



Il s’arque et je sens les soubresauts de son sexe quand il éjacule. Il reste un peu en elle puis, le sexe ramollissant, sort de ses fesses. J’ai alors envie de la prendre par là et demande à ma chérie de se mettre sur le dos. Elle obéit, je replie ses jambes, contemple un instant cette merveilleuse vision de sa fente béante et de son œillet fripé puis, posant le sexe contre celui-ci, m’enfonce sans aucun problème dans ce cul qu’elle m’a si souvent refusé. Elle m’accueille d’un "oui", sous les commentaires de Jean :



Mes coups de reins se font plus rapides, rythmés par les cris de ma chérie, et je la sodomise de longues minutes. Sentant le plaisir monter en moi, je sors de ses fesses et pose mon gland contre ses lèvres.



Jean s’empare alors de mon sexe et me masturbe devant la bouche ouverte. Quelques aller et retour suffisent et je gicle puissamment, mes jets s’écrasant sur le palais de Marie. Jean me caresse doucement, griffant gentiment mes bourses, et je me surprends à apprécier cette main d’homme sur moi. Il me lâche ensuite et nous reprenons tous les trois nos esprits. Je remarque alors une larme couler sur la joue de ma chérie et lui demande ce qui se passe :



Nous échangeons un doux baiser puis elle se lève et se rend sous la douche. Restés seuls, Jean me remercie de lui avoir permis de vivre de pareils instants :