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n° 06753Fiche technique33803 caractères33803
Temps de lecture estimé : 20 mn
23/08/03
Résumé:  "Bonjour Madame, Bertrand M. Je vous prie de m'excuser mais je travaille chez X. et je désirerais vous parler de nos produits."
Critères:  fh extracon voir exhib intermast cunnilingu anulingus fgode pénétratio fsodo hdanus
Auteur : Christian 4            Envoi mini-message
Matinée imprévue


Ouf ! Ça y est ! Le ’coup de feu’ du matin est passé. Je viens d’emmener notre fils à l’école, Gérard, mon mari est au travail. Je suis tranquille jusqu’à 16h30 pour faire ce que j’ai à faire. Je suis d’autant plus soulagée que Gérard est parti fâché, sans même me donner le traditionnel bisou.

Pourtant, hier soir, tout avait bien commencé. Nous avons échangé de tendres caresses puis il m’a fait l’amour longuement, sans se presser, comme il sait que j’adore. Je lui ai même, fait assez rare, permis de me prendre par derrière. Oh, ce n’est pas que je déteste ça mais, comme toute bonne chose, il faut savoir la mériter et, si je le laissais faire, ma pauvre minette serait bien souvent délaissée. Nous avons donc passé un merveilleux moment mais cet idiot, alors que nous reprenions notre souffle, tendrement enlacés, n’a rien trouvé de mieux que de me reparler de son envie de m’emmener dans un club échangiste.

Plus jeunes, il nous est arrivé d’imaginer la présence d’un autre homme, voire d’une autre femme, lors de nos ébats. Cela nous a permis des séances un peu plus torrides mais toujours je lui ai fait comprendre qu’il me suffisait et que n’avais guère envie de concrétiser ce qui, ma foi, resterait un fantasme.

Il y a bien longtemps qu’il n’en avait plus parlé et je m’étais dit qu’il s’était fait une raison. Notre vie sexuelle est de toute façon très satisfaisante, nous faisons très régulièrement l’amour et je ne lui refuse rien, si ce n’est les pratiques sado-maso dont, d’ailleurs, il n’est guère demandeur. À sa demande, je lui ai uriné dessus, dans la baignoire et avoue y avoir trouvé un certain plaisir, au point que nous avons recommencé plusieurs fois et avons même inversé, parfois, les rôles.

Tout va donc pour le mieux et je n’ai pas compris qu’il revienne à l’attaque. Au point que je lui ai répondu assez vertement que si je lui suffisais plus, il n’avait qu’à s’offrir une pute.

Bref, une fin de soirée assez épouvantable.


J’en suis là de mes réflexions lorsque retentit la sonnette de la porte. Quel est donc l’emm… qui vient me déranger ? J’ouvre et découvre un très charmant jeune homme :



Après tout, pourquoi pas ? Au pire, cela me fera perdre un peu de temps mais aujourd’hui je ne suis pas débordée. Je le prie donc d’entrer et le fais s’asseoir au salon. Je lui propose un café qu’il accepte et nous buvons notre tasse pendant qu’il commence à me parler de son entreprise. Comme tous les commerciaux, il cause bien et je ne peux m’empêcher de lui trouver une voix particulièrement agréable, même sensuelle. Je le regarde attentivement. Son costume clair fait parfaitement ressortir son bronzage et ses cheveux bruns tranchent sur ses yeux clairs, lui donnant un faux air de Thierry Lhermitte. Peu à peu, je perds le fil de son discours et imagine un tas de choses inavouables.



Sa question me ramène brutalement à la réalité et, n’ayant pas du tout entendu de quoi il parlait, je suis bien en peine pour lui répondre.



Ce que j’en pense ? Le pauvre, s’il savait à quoi j’avais la tête, il serait bien étonné ! Serait-il également ravi ? Je doute qu’un homme si jeune et si séduisant puisse me trouver intéressante, malgré ce que me répète Gérard qui me trouve, au fil des années, de plus en plus attirante. Ma grossesse m’a fait prendre un peu de poitrine et a laissé quelques kilos superflus dont je n’ai jamais, pour le plus grand bonheur semble t-il de mon mari, réussi à me débarrasser.


Tentons de revenir au présent :



Patient, il reprend son exposé et, rapidement, mes pensées s’égarent à nouveau. Je l’imagine nu, le sexe à la verticale, mes mains le caressant pendant que ses doigts explorent mon corps.



Une nouvelle fois, je n’ai rien saisi. Qu’importe, je réponds ce qu’il espère entendre, tout au moins, je crois.



Aïe ! Me voici piégée ! Que m’a-t-il demandé ? Pourquoi ma réponse le fait tant sourire ?



Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Puis, devant son air ébahi, le rassure :



Oh, oh !!! Dois-je lui dire ? Si oui, comment va-t-il réagir ? Me prendre pour une allumeuse ? Tenter sa chance ?

Il faut reconnaître que je me suis mise dans une situation bien embarrassante. Et après tout ? Pourquoi ne pas jouer un peu avec le feu ? J’ai pratiqué un sport de combat et suis à même, s’il le faut, de me défendre.



Je mens quand même un peu et ne lui avoue que je rêvais que nous baisions. N’exagérons pas !

Je le regarde, ses joues ont légèrement rosi et il semble avoir quelque peu perdu de sa superbe. Après un silence, il finit par demander :



J’aurais du m’en douter !! Bon, essayons de trouver une réponse pas trop ambiguë…



Ouille ! Ma réponse est allée plus loin que je ne le prévoyais. Son sourire m’indique qu’il est conscient d’avoir repris un léger avantage.



Ça y est ! Le chasseur qui sommeille en chaque homme a repris du poil de la bête ! C’est maintenant, et nous le savons tous les deux, le moment de vérité. Soit, j’accepte et mets le doigt dans un engrenage qui peut nous emmener loin, soit je refuse, et passe pour une allumeuse. Un nouveau regard et je vois ses yeux, à la fois rieurs et coquins, fixés sur moi, dans l’attente de ma réponse. Quand je pense à Gérard, qui rêve de me voir dans les bras d’un autre… s’il savait ce qui se passe chez lui en ce moment !!!



Voilà ! C’est dit ! Que va-t-il se passer maintenant, je n’en ai aucune idée. Ma réponse a été guidée tant par instinct que par désir. Et oui, avoir ce beau gosse à portée d’œil m’a fait, l’espace de quelques secondes, oublier tout le reste.

Il se lève alors et, écartant les bras, me lance :



Ben voyons ! Il sait très bien que si je le déshabille moi-même, mes doigts ne pourront éviter de le toucher. Jeune mais déjà très habile !! Ma petite Mireille, je crois qu’il va falloir y aller !

Je me lève à mon tour et le rejoins. Il n’est pas beaucoup plus grand que moi et nos regards restent rivés l’un à l’autre. J’ôte la veste puis attaque le premier bouton de la chemise. Après quelques minutes, j’écarte les pans avant de l’en débarrasser. Je me recule un peu, admirant un torse et un ventre imberbes, aux muscles parfaitement dessinés.



Oh, la, la… ma pauvre chérie, tu t’enfonces…



Sûr de lui, le garnement ! J’approche une main et effleure cette peau, particulièrement douce, des épaules au nombril, suivant du bout des doigts les contours des abdominaux, très bien dessinés.



Ah, le saligaud ! Il sait qu’il a la situation en main et a bien envie de poursuivre cette petite séance. Mon corps aussi, ce traître, réagit et je ne peux ignorer une certaine humidité au plus intime de moi. Loin d’être une oie blanche, je sais quelle sera la suite si je ne mets pas immédiatement fin à tout ceci. Mais mon moi le plus profond me pousse à me laisser m’égarer dans cette voie tortueuse. Je m’entends répondre :



Tu parles ! Je ne suis pas sans remarquer la bosse qui déforme son pantalon. Quelque part, cela m’amuse de l’exciter ainsi. Je m’approche à nouveau et pose la main sur le bouton de la braguette que je fais rapidement sauter. La fermeture éclair n’est qu’une formalité et il se retrouve en caleçon.



Et voilà, je m’apprête à mettre nu ce garçon, à m’offrir la vision de sa verge dressée, comme un hommage à ma personne. Allez Mireille, n’hésite pas !

Ma main ne tremble pas en descendant le sous-vêtement et, comme je le prévoyais, son sexe me saute littéralement dans la main. Un sexe long, mais surtout épais, qui doit procurer beaucoup de plaisir. Je reste près de lui, la main à quelques centimètres de l’objet de toutes les tentations. Je sens ses doigts prendre les miens et les poser dessus puis les faire aller et venir le long de sa hampe. Interdite, je ne fais aucun mouvement de recul et, lorsqu’il me lâche, je poursuis mes va-et-vient.

Ça y est ! Je suis en train de masturber un garçon d’au moins dix ans de moins que moi et, le pire, c’est que je le fais tout naturellement, sans me poser de question !! Cette matinée est vraiment bizarre !


Pour l’instant, mon jeune amant, il faut appeler un chat un chat, semble satisfait de mes caresses, à en juger par quelques soupirs qu’il ne peut retenir. Encouragée, je mets plus d’ardeur, le décalottant entièrement, griffant, gentiment, ses bourses, et ses soupirs vont crescendo. Au point qu’après seulement quelques minutes, je sens les soubresauts de sa verge annoncer son plaisir imminent. J’accélère mes va-et-vient et il ne peut se retenir :



Ses jets fusent, longs et puissants, maculant son ventre et ma main. Je le regarde avec tendresse : les yeux fermés, les jambes tremblantes, il savoure son plaisir.


Après quelques instants, il rouvre les yeux, un large sourire éclaire son visage.



Il sait ce qu’il veut, lui !



Et boum ! Mireille, ce coup-ci, ça y est ! Tu ne frôles plus l’adultère, tu es en plein dedans ! Aucun regret, je suis trop excitée.


À son tour, il s’approche de moi et ôte un par un les boutons de mon chemisier. Je me retrouve rapidement en soutien-gorge. Pauvre rempart de dentelle qui ne résiste pas bien longtemps aux doigts de mon partenaire. Mes seins ainsi libérés, il dépose sur chacun d’eux de tendres baisers qui font réagir mes tétons, ces traîtres, qui ne peuvent plus cacher mon état. Les mains descendent ensuite sur mon ventre, le caressant, lui donnant la chair de poule, et atteignent la frontière de la jupe. Sans hésiter, il trouve et baisse la fermeture éclair et me voici en slip devant lui. Frêle barrière qui dévoile plus qu’elle ne cache mon intimité et, surtout, sa moiteur. D’ailleurs, mon invité ne se prive pas de me le signaler, tout en m’en débarrassant :



Il aime voir et, surtout, goûter car je sens très vite son souffle sur ma fente puis sa langue qui se fraye un passage entre mes lèvres. Raffolant par-dessus tout de ce genre de caresse, je me laisse complètement aller et mes mains se crochent dans la chevelure de mon suceur. Il me lèche longuement, allant de mon bouton à ma grotte dans laquelle il aime s’enfoncer et se délecter de ma mouille qui, plus le temps passe, plus est abondante. Sa langue est à la fois douce et vivace, me procurant de savoureux frissons.

J’ai du mal à tenir debout tant mes jambes tremblent sous les effets du plaisir. Il s’en aperçoit et me pousse doucement vers le fauteuil dans lequel je m’affale, écartant les cuisses au maximum, totalement offerte à ces caresses. Mes mains massent ma poitrine, pincent mes tétons, les étirent. Très vite, je sens monter une vague de plaisir d’une rare intensité. Mes mains quittent mes seins et plaquent son visage contre moi. Il redouble d’ardeur et je sombre dans un océan de plaisir, hurlant ma jouissance. Il boit le fruit de mon orgasme et je suis obligée de le repousser, mon sexe devenu trop sensible.

Lorsqu’il se relève, il me regarde en souriant et dit :



Il approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes. Sans résister, j’ouvre la bouche et nous échangeons un long baiser.

Perdant alors toute retenue, ma main caresse à nouveau son sexe et, vive la jeunesse, il retrouve presque immédiatement toute sa vigueur. Je me penche alors et l’embouche, désireuse de le goûter. Il me laisse faire quelques instants puis :



Comment résister à cela ? Je m’installe sur le dos, relève les jambes. Il vient contre moi, me caresse la fente de son gland, puis le présente à l’entrée de mon petit puits d’amour et s’enfonce lentement en moi. Mon mari n’est pas sous-équipé mais là, je le sens, tant en longueur qu’en largeur, envahir mon vagin, et ne peux, ni ne veux, retenir mes gémissements. Comme s’il connaissait mes goûts, il me baise lentement, s’enfonçant puis ressortant presque entièrement. Je suis aux anges ! Toutes mes pensées ne vont que vers ce membre qui me perfore en m’offrant tant de plaisir. Je le regarde, ses yeux fixés sur moi, il semble, lui aussi, savourer ce moment. Un petit sourire et nos lèvres se soudent à nouveau. Je fonds littéralement ! Tant sous ses coups de boutoir que sous sa tendresse, sa douceur. Je ne peux m’empêcher de le lui dire :



Ça me fait tout bizarre, en pareilles circonstances, qu’il continue à me dire ’vous’. Vraiment un garçon bien élevé ! En attendant, et pour aussi poli soit-il, ses coups de reins se font plus vigoureux et puissants, m’arrachant maintenant de véritables cris. Le bougre est endurant et il parvient à m’offrir un nouvel orgasme. L’enlaçant, je le maintiens plaqué au plus profond de moi et jouis dans un cri. Il ne cesse pas ses va-et-vient et je me surprends à lui demander :



Mon langage me surprend ! Je me conduis vraiment comme la dernière des salopes et, le pire, j’y prends plaisir. Je relève les jambes, pose les genoux sur la poitrine, dans une position des plus impudiques qui lui dévoile à la fois ma chatte béante et mon petit anneau fripé. Il reste quelques secondes, visiblement admiratif devant tel spectacle, puis se décide et son gland pèse sur ma rondelle. Il pousse un peu mais mon sphincter ne semble pas vouloir céder. Je me détends, pousse également et après quelques secondes, je le sens me pénétrer. Dieu qu’il est gros ! Heureusement, il est également doux et patient et me laisse m’habituer à son diamètre, s’inquiétant même de savoir si je n’ai pas trop mal :



Peu à peu, je sens sa progression dans mon étroit conduit. D’une main, je me caresse doucement la fente, l’autre part à la conquête de ses couilles. Ma caresse le fait gémir et il donne quelques légers coups de reins qui le font pénétrer un peu plus. Quelques minutes plus tard, ses bourses touchent mes fesses, ça y est, il est tout entier dans mon cul. Il reste quelques instants immobile puis entame de lents va-et-vient qui m’emmènent vers le plaisir. Vraiment cochonne ce matin, je ne peux m’empêcher de lui crier :



Il n’est nul besoin de l’encourager tant ses ruades sont puissantes. Son pubis claque contre moi à chaque coup de boutoir, comme s’il cherchait à aller toujours plus loin. Je le laisse faire un peu mais ma position n’est pas des plus confortables.



Il quitte mon antre et je m’installe à quatre pattes, les fesses tendues, attendant d’être réinvesties. Attente qui ne dure guère car il me pourfend bien vite.

À nouveau, l’orgasme monte en moi, telle une vague qui déferle. Je mords le coussin à ma portée afin de ne pas ameuter tout le quartier et me laisse aller, jouissant comme longtemps cela ne m’est pas arrivé. Mon orgasme déclenche celui de Bertrand qui parvient à articuler :



Il sort de moi et ses jets atterrissent sur mon dos. J’ai l’impression que son éjaculation ne cessera jamais tant il jouit longuement. Enfin, il s’écroule sur le dos, le souffle court, en nage. Je m’assieds face à lui et le regarde reprendre ses esprits. Je pense brièvement à Gérard et me dit "toi qui voulais que je baise avec un autre mec, te voilà servi !!".


À nouveau, j’éclate de rire, suivi par Bertrand qui, sans comprendre la raison de mon hilarité, rigole lui aussi.



Sous la douche, nos corps se frôlent souvent et je remarque bien vite que son sexe est à nouveau opérationnel.



Ma chère Mireille, en tant que responsable, tu te dois de faire quelque chose pour remédier à la situation… Nous sortons rapidement de la salle de bains et j’entraîne Bertrand sur notre lit. Et oui, le lit conjugal ! Ce lieu si préservé, où seul le Couple peut s’y abandonner !! Qu’importe les bons pensants, j’ai trop envie de mon petit commercial et, connaissant Gérard, il ne sera pas fâché… enfin, je l’espère !!


Pour l’heure, Bertrand s’allonge sur le dos, les mains derrière la tête. Je me penche sur lui et l’embrasse doucement sur le visage, du front aux lèvres qui s’ouvrent pour un nouveau baiser torride. Ma bouche descend ensuite sur ses épaules puis son torse. Je mordille les tétons, les faisant grossir puis poursuis ma descente sur le ventre plat et musclé sur lequel ma bouche laisse des traces humides. Son sexe n’est plus qu’à quelques centimètres et je le regarde, l’admire même. Il n’est pas encore à son apogée mais déjà très attirant. Mes doigts le flattent doucement, je tire le prépuce, découvrant son gland violacé avant de suivre le contour de la grosse veine pour arriver aux bourses, encore pleines malgré ses précédentes éjaculations. Je les masse délicatement, les faisant rouler entre mes doigts. Son sexe s’allonge et durcit encore sous mes caresses et mon jeune amant ne peut étouffer de légers gémissements. Je poursuis mon exploration jusqu’à son petit œillet dont je caresse le pourtour. Contrairement à ce que j’attendais, il relève les jambes, facilitant l’accès à cette partie ô combien intime. Je le regarde et, souriant, lui demande :



Je ne lui dis bien sûr pas que cette révélation m’enchante. Souvent, en suçant mon mari, celui-ci apprécie que je lui enfonce un doigt entre les fesses. Il a même accepté une ou deux fois que je le prenne avec un gode. Je me dis qu’une soirée à trois avec Bertrand pourrait être l’occasion de vivre un tas de choses aussi intéressantes qu’inattendues…

On verra ça plus tard ! Pour l’instant, j’ai d’autres chats à fouetter…


J’enfonce, délicatement tout de même, un doigt dans son petit cul et le fait aller et venir, pendant que, de mon autre main, je lui caresse la queue. Ses gémissements se font plus sonores et sa verge a retrouvé toute sa superbe. De près, elle est vraiment impressionnante et je le félicite à posteriori pour sa douceur quand il m’a prise par derrière, tant je n’ai ressenti aucune douleur ! Ce garçon est vraiment un amant hors pair !


À nouveau, je me tourne vers lui et le regarde tout en le caressant. Il sourit, aux anges, et tend une main vers mon ventre. Je l’arrête :



Je retourne la tête et ma bouche gobe son gland. Je l’avale lentement, les lèvres serrées sur sa hampe. Malgré tous mes efforts, je ne parviens pas à le gober en entier. Je fais quelques aller et retour puis le lâche et ma langue suce la hampe comme je le ferais avec une glace. Je descends un peu plus et, caresse que mon mari adore particulièrement, j’embrasse son œillet. Le résultat ne se fait pas attendre et il pousse un grognement accompagné d’un "oh oui… c’est bon…" qui m’encouragent à poursuivre cette caresse. Je reviens ensuite m’occuper de son bâton qui tressaute contre son bas-ventre, comme piaffant d’impatience. Ma bouche s’en empare à nouveau et je m’applique à lui offrir la plus vorace des fellations qu’il ait jamais reçues.

Un instant, j’imagine le retour à l’improviste de mon mari, me surprenant, comme la dernière des salopes, en train de pomper un jeune dans notre lit. Je me plais à imaginer quelle pourrait être sa réaction : après quelques minutes d’incompréhension, je suis sûre qu’il se mettrait vite nu et nous rejoindrait. Peut-être même profiterait-il de ma position pour m’enfiler sans coup férir, comme il aime le faire parfois, profitant de mes mains occupées, lorsque je fais la vaisselle. À cette pensée, ma chatte se liquéfie et je dois faire de gros efforts pour ne pas enjamber mon partenaire et m’enfiler son mandrin dans le minou.

Pour le moment, le gland de Bertrand cogne contre mon palais et son sexe palpite de plaisir. J’ai envie de faire durer ce moment et le sort à nouveau. Je me caresse les tétons avec le gland, chose que j’aime beaucoup, puis m’en servant comme d’un bâton, m’en donne des petits coups sur les seins. Mais très vite, l’envie de le goûter encore revient et mes lèvres se referment une nouvelle fois sur lui. Mes va-et-vient sont plus rapides, je l’aspire fortement et, après quelques minutes, il me prévient qu’il ne va plus pouvoir se retenir. En effet, à peine m’a-t-il prévenue qu’un premier jet m’arrose le palais, suivis de trois autres, qui m’emplissent la bouche de son précieux jus. Je le bois jusqu’à la dernière goutte, appréciant sa saveur épicée.


Me relevant, je vois qu’un large sourire éclaire son visage. Il me regarde et dit :



Et moi, c’est la première fois qu’on me remercie pour une gâterie. Ce garçon gagne réellement à être connu !!

Bon, c’est pas tout ça mais l’heure doit tourner. Je jette un œil, discret, au radio-réveil : déjà 11 heures ! Que le temps passe vite en s’amusant !! Bertrand ne semble, lui, pas pressé et je n’ai, c’est vrai, aucune envie de le mettre dehors ! Lit-il dans mes pensées ? Au même moment, il dit :



Nous sommes assis face à face, en tailleur, et son regard est rivé à mon bas-ventre. Est-il possible qu’il ne soit pas encore rassasié ? Et pourtant ! Il vient contre moi et ses mains caressent ma poitrine, soupesant mes seins, titillant mes tétons qui, très vite, s’allongent à nouveau.



Vaincue, et soyons honnête, ravie, je m’allonge, offerte à ses mains et sa bouche qui s’emparent de mon corps pour y jouer une superbe partition. Il me couvre de baisers, de caresses, ne laissant aucun millimètre de peau de côté. Je suis couverte de chair de poule et me tortille sous ses doigts et sa langue.



Comment cela m’attacher ??? Mais il se croit où ce jeune… hum… jeune mais si doué… après tout…



Mais je deviens complètement folle !!! En attendant, il fait un bond et reviens très vite avec 4 fichus dont il se sert pour m’attacher les bras et les pieds aux montants du lit… et allez !! En route pour une nouvelle découverte !

Il reprend ses caresses, toujours aussi délicat mais passionné et sa langue se fait de plus en plus virevoltante sur moi. Il s’évertue à éviter mes zones les plus sensibles mais cela me rend encore plus folle. Je ne me reconnais plus. J’ai l’impression d’être branchée sur le 5 000 volts tant mon corps est secoué de décharges. Ah le saligaud ! Pour savoir s’y prendre, il sait s’y prendre ! Sa langue s’enfonce dans ma grotte et y fait des aller et retour comme s’il s’agissait d’une petite bitte. Vous dire les sensations qu’il me procure est impossible tant c’est une nouveauté pour moi ! Soudain, plus rien ! J’ouvre les yeux. Il est à genoux devant moi, son sexe à nouveau dressé.



Et voilà, je lui dévoile un nouveau secret ! Décidément, cette jeune personne fait ce qu’elle veut de moi ! Vainqueur, il le brandit puis en approche le bout de ma fente, mettant le moteur en marche. Lorsque l’engin se pose sur mon bouton, je deviens comme folle ! Un orgasme violent me terrasse et, à force de tirer sur mes liens pour tenter d’échapper au diabolique engin, mes poignets et mes chevilles me font mal. Bertrand ne me quitte pas des yeux, avec, dans les siens, une lueur des plus coquines. Délaissant mon clitoris, il pose l’engin sur ma rondelle et l’enfonce, le moteur en position maximale. Je n’en peux plus ! J’ai l’impression que tout mon corps n’est qu’une boule de nerfs réagissant à chaque contact ! Il y fait quelque va-et-vient puis s’installe sur moi et je sens son sexe s’enfoncer dans ma grotte, l’engin toujours profondément fiché dans mon cul. J’explose à nouveau et hurle :



Je ne me reconnais plus ! Moi, la mère de famille respectable, l’épouse fidèle, je suis attachée sur mon lit, une bitte dans la chatte et un gode dans le cul et j’y prends un plaisir énorme. Mon fougueux amant prend également beaucoup de plaisir et ne se prive pas de ma le faire savoir :



Il ne le l’aurait pas dit, je m’en serais doutée au vu de ses coups de reins, toujours plus puissants, plus profonds, qui me transpercent. Nos sexes font un bruit de clapotis qui, s’il en était besoin, renforce encore l’excitation du moment. Je ne sais plus qui je suis, vouée pour l’instant au seul plaisir du sexe. Je ne suis plus qu’une poupée pantelante, sous le joug de son amant qui la pourfend, devant et derrière. Mais bon sang que c’est bon ! Une nouvelle fois, le plaisir me submerge et je sens mon sexe couler, sans que Bertrand ne ralentisse la cadence. Je suis incapable de dire depuis combien de temps il me baise ainsi. Un autre, puis encore un autre orgasme me secouent. Jamais je n’ai autant joui ! Enfin, dans un cri, Bertrand atteint lui aussi une nouvelle fois le plaisir. Il sort son sexe du mien et ses jets s’écrasent sur mes seins, les zébrant de longues traînées. Nous restons de longues minutes totalement inertes, le souffle court, en nage, tentant de reprendre nos esprits. Enfin, il me détache et, se penchant sur moi, murmure :



Alors là me vient une idée complètement folle !



Il refait un brin de toilette et me quitte, non sans me donner son numéro de téléphone.



Un dernier chaste bisou et il part.


Seule, je me pince pour savoir si ce que je viens de vivre n’était pas un rêve. Et non ! un doigt sur ma fente inondée me conforte. Je viens bien de passer quatre heures à faire l’amour à un inconnu.

Dis donc, Mireille, toi qui a, pas plus tard qu’hier soir, engueulé ton mari quand il t’a proposé une sortie en boite échangiste… tu n’y vas pas avec le dos de la cuillère…


Maintenant, il va falloir lui raconter tout cela… en espérant qu’il soit toujours d’humeur partageuse…

Vivement ce soir ! Et pourvu que mon récit le mette en forme ! Vraiment ma chère, tu es insatiable !!!


À suivre