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n° 06754Fiche technique14527 caractères14527
Temps de lecture estimé : 9 mn
24/08/03
Résumé:  Le rêve enfin réalisé d'un adorateur des pieds féminins
Critères:  ffh collègues voir exhib pied hmast intermast 69
Auteur : Fétichic      
Jolis pieds


A bientôt 30 ans, je venais enfin de décrocher un job sérieux dans une entreprise informatique. Le travail était intéressant et je me sentis vite à l’aise avec mes nouveaux collègues. La majorité était des hommes sauf au service des relations humaines ou là je fis la connaissance d’une fille sublime. Nathalie devait avoir dans les 38 ans, mignonne comme tout, un corps de déesse et surtout des jambes magnifiques avec des pieds que je devinais adorables, nous étions en février et elle portait le plus souvent des bottes ou alors des escarpins avec des bas. Aimant les femmes très féminines et étant particulièrement fétichiste des pieds et des chaussures je ne pouvais manquer ce détail. Nous avons vite sympathisés et nous nous retrouvions souvent à la cafétéria. Mes collègues me charriaient me disant que je n’avais aucune chance étant donnée que Nathalie était lesbienne et que tous les dragueurs de l’entreprise s’y étaient cassé les dents. J’avais du mal a y croire et je la trouvais plus belle de jours en jours. Il me tardait que les beaux jours arrivent que je puisse enfin admirer ses pieds, je n’en pouvais plus d’espérer la voir quitter sa chaussure pour au moins apercevoir la naissance de ses orteils.


Les mois passèrent et un jour d’avril particulièrement clément elle arriva au bureau jambes nues avec une paire d’escarpins blancs bien découpé sur le dessus des orteils. J’étais aux anges et je n’arrivais pas à détacher mon regard de ses chaussures, je suis sûr qu’elle s’en rendit compte mais ne fit aucun commentaire. Ce jour là était vraiment mon jour de chance. Pendant que nous étions accoudés à une table bar à la cafétéria et comme j’avais toujours les yeux fixés sur ses pieds, je la vis retirer doucement son pied de son escarpin et le poser sur celui-ci. Je crus défaillir ses orteils étaient comme je les avais rêvés magnifiques avec un vernis rouge sang et comble du bonheur une bague sur le 2eme orteil. Je luttais pour que mon trouble ne se remarque pas mais pour un rien je me serais jeté par terre afin d’adorer ces merveilles.


Les semaines qui suivirent ne m’apportèrent rien de plus, je souhaitais de tout cœur que la température augmente pour que je puisse enfin la voir porter des sandales ou des chaussures à lanières. Une fois pourtant elle arriva avec une paire de mules fermée style Santiag et je pus admirer ses plantes de pieds et quelques fois la base de ses adorables orteils quant elle laissait pendre sa mule au bout du pied. Nous étions presque fin mai. Un samedi après midi je me baladais dans un grand magasin toujours à scruter le sol à la recherche de mon plaisir quant une voie m’interpella. En me retournant j’aperçus Nathalie chargée de paquets qui me faisait des grands signes. Mon cœur bondit et je m’approchais d’elle avec un grand sourire tout en gardant un œil vers le sol. Il me semble que mon sexe s’est durcit instantanément. Aujourd’hui il faisait particulièrement chaud et enfin elle portait des chaussures extraordinaires. Des mules transparentes et ouvertes devant avec un talon vertigineux. Ses pieds étaient entièrement visibles avec un vernis rosé sur les ongles, toujours sa bague d’orteils et une chaînette à la cheville, en clair tout ce qui me fait fantasmer.


« Salut Jean-Louis, ça me fait plaisir de te voir, viens allons prendre un verre sur la terrasse d’à côté. »


Moi la voir me faisait plus que plaisir, j’étais transporté comme dans un rêve. Je la suivis et nous nous installâmes à une table un peu à l’écart. Après avoir commander nos consommations nous discutions de choses et d’autres. J’avais toujours le regard vers le sol, j’étais hypnotisé. Et ce qui devait arriver arriva, elle me dit :


« Tu as l’air fasciné par mes chaussures »


J’étais rouge de honte mais je sautais sur l’occasion.


« oui elles sont magnifiques, elles mettent super bien tes pieds en valeur »


« C’est très rare qu’un homme s’intéresse à cette partie du corps, mais j’ai déjà remarqué que toi tu avais souvent les yeux rivés vers mes pieds, tu ne serais pas un peu fétichiste par hasard ? »


J’étais bel et bien démasqué, mais elle ne semblait pas être fâchée, ce qui me donna un peu plus de courage.


« Tu as raison, j’adore les pieds des femmes, et je suis particulièrement sensible aux soins quelles y portent tel que vernis, bague et bien sur chaussures. Les tiens sont magnifiques »


« Merci, c’est très gentil, ma petite amie aussi adore mes pieds. »


Je marquais un temps d’arrêt, elle me regardait du coin de l’œil et attendait ma réaction. J’étais un peu pris de court et je ne savais pas quoi répondre. Elle dissipa mon trouble.


« Allez on se connaît assez maintenant pour ne plus se faire de cachotteries, les autres au bureau ont du te dire que j’étais lesbienne, ça les énerve assez, mais je n’ai aucune honte, je suis avec Sophie depuis deux ans et nous sommes très amoureuses l’une de l’autre. Mais je te choque peut-être »


« Non, non pas du tout je suis très sensible à tout ce que tu me dis et ça me fait plaisir que tu aies confiance en moi. Que tu sois lesbienne ne me dérange pas du tout pourvu que tu sois heureuse, mais je n’aurais jamais le bonheur d’adorer tes pieds »


« Ecoutes Jean-Louis je t’aime beaucoup et je te propose quelque chose, ma copine adore qu’on se câline les pieds, et moi aussi d’ailleurs et si elle est d’accord je te propose que nous le fassions devant toi, tu pourras te masturber mais pas le droit de toucher, qu’en dis-tu ? »


J’avais la bouche grande ouverte et je me demandais si j’avais bien compris sa proposition ou si je l’avais seulement rêvée. Voir deux femmes se dorloter les pieds étaient pour moi le phantasme le plus fou et je m’entendis répondre « oui avec plaisir »


« J’en parle à ma copine et je te tiens au courant. Ne fais pas cette tête, j’ai envie de te faire plaisir, tu as l’air de quelqu’un de si sensible, je t’aime beaucoup »


Elle se leva, me posa un bisou sur la bouche et me souhaita bonne journée.

Je lui dis à bientôt et restai assis seul à la table toujours aussi abasourdi par sa proposition.

Le reste du week-end se passa comme dans un rêve, j’ai du me masturber plusieurs fois tellement j’étais excité. Etait-elle sérieuse, il me semblait que oui, c’est pas le genre à faire des plaisanteries de se type. Mais son amie allait-elle accepter, après tout elle ne me connaissait pas, pourquoi réaliserait-elle mon phantasme ? Toutes ces questions qui n’arrêtaient pas de me passer par la tête. Il me tardait lundi pour savoir si j’avais des chances de concrétiser cette extraordinaire expérience.

Quand nous nous sommes retrouvés pour prendre un café à la pose de 10 h je ne tenais plus en place.


« tu as vu Jean-Louis, j’ai remis les chaussures qui te plaisent »

« tu sais bien Nathalie que c’est la première chose que j’ai remarqué, tu vas me faire mourir »


Je n’osais lui demander si elle avait parlé de son idée à son amie.


« Ne t’impatiente pas, j’ai expliqué mon idée à Sophie et elle est d’accord, je suis sure que ça l’excite même, elle aimerait bien discuter avec toi du fétichisme des pieds. Je te propose de prendre l’apéritif vendredi soir chez moi, nous ferons mieux connaissance.


Je baignais dans le bonheur, la concrétisation de cette expérience se rapprochait de plus en plus et je commençais à y croire sérieusement.


« D’accord Nathalie vendredi soir, mais la semaine va être plus que longue.

« ne t’inquiète pas j’essaierai de la rendre le plus agréable possible »


Effectivement tous les jours Nathalie portait des chaussures plus sexy les unes que les autres. Un jour une paire de sandales à lanières, un autre des mules à deux brides qui rendait son pied sexy au possible. Toujours des chaussures avec un talon haut voir très haut avec du vernis différant mais chaque fois excitant, sans oublier la chaînette à la cheville et une bague d’orteil que je rêvais de retirer avec mes dents. Quand nous étions seuls, elle s’arrangeait pour sortir son pied et remuer les orteils. Elle riait quand elle voyait dans quel état je me trouvais et tout cela est devenu un jeu entre nous. Ce qui fait que la semaine passa relativement vite.

Le vendredi soir arriva, et lorsque j’entrais dans l’appartement de Nathalie j’avais encore du mal à réaliser ce qui m’attendait.

Sophie est une fille charmante plus petite que Nathalie elle est aussi un peu moins belle mais ses jambes étaient magnifiques et ses pieds tout aussi charmants excitants au possible et ornés aussi de vernis et d’une bague. J’imaginais déjà les deux filles se lécher les pieds et mon excitation allait grandissante. Après les présentations et l’échange de banalité Sophie me demanda.


« alors qu’est ce qui t’excite quant tu regarde les pieds d’une fille »


« Je trouve que la courbe d’un pied est magnifique, l’alignement des orteils, la douceur de la peau. J’adore aussi tout ce qui peut le décorer ; le vernis, une bague, et naturellement les chaussures à hauts talons qui force la cambrure et qui laisse libre cours à toutes sortes de phantasmes. De plus les pieds sont une zone érogène très sensible et je crois q’une fille peu atteindre l’orgasme en se faisant sucer les orteils. Et comble du bonheur je suis au 7ème ciel quant je vois deux filles se lécher les pieds et se masturber avec leurs orteils. »


Je ne me sentais pas gêné du tout et j’avais envie de tout dévoiler les plaisirs que je pouvais prendre, des révélations que je n’aurais jamais cru pouvoir faire une heure auparavant, mais ici avec ses deux sublimes filles qui m’écoutaient et semblaient s’y intéresser, je me sentais prêt à tout.

Elles échangèrent un regard et se levèrent.


« Tu nous rejoins dans 5 minutes dans la pièce de fond » me lança Nathalie, et elles disparurent.


J’étais excité comme pas possible, ne pouvant croire ce qui m’arrivait. Peut être que j’avais droit à une monstrueuse farce, en rentrant dans cette pièce j’allais retrouver tous les collègues du bureau criant ’poisson d’avril’. Ou alors c’est bien aujourd’hui que je vais réaliser mon plus grand phantasme.

Les 5 minutes étant passées, je me dirigeais vers la pièce indiquée, poussais la porte, et là vision sublime.

Nathalie est allongée sur le dos sur ce qui semble être une table de massage. Elle est entièrement nue à part une paire de sandales transparentes. Elle a un corps superbe, des seins assez volumineux, un peu comme je les imaginais. Son sexe est complètement épilé ce qui ajoute encore à mon excitation. Sophie est exactement dans la même tenue et placée à côté de la table elle enduit le corps de Nathalie d’une huile dont l’odeur de lavande embaume la pièce.


« Mets-toi à l’aise » me dit Sophie « assied toi sur le canapé et regarde »


Nathalie est luisante d’huile, Sophie frotte ses seins contre ceux de son amante qui commence à gémir doucement.

Je suis entièrement nu sur le canapé avec le sexe au garde à vous, n’osant pas me toucher de peur de déclencher un orgasme trop rapidement

Sophie s’approche des pieds de Nathalie et lui retire ses sandales. Elle y verse une grosse quantité d’huile et commence à les masser amoureusement. Nathalie à l’air d’apprécie et se tourne vers moi avec un regard déjà bien embué. Mon sexe est tendu à l’extrême et je crus défaillir quand Sophie se pencha et commença par sucer un à un les orteils de son amie. Le spectacle est magnifique et je me masturbe lentement. Nathalie me regarde toujours et me dit entre deux soupirs


« s’il te plaît ne jouis pas tout de suite, nous avons encore une surprise »


Vraiment quelle journée. Sophie a maintenant pris complètement possession des pieds de Nathalie. Elle lèche, suce, embrasse, le talon, la plante de ses deux magnifiques pieds. Elle passe et repasse sa langue entre chaque orteil tantôt avec douceur tantôt avec plus de vigueur. Je n’imaginais pas qu’un tel spectacle serait aussi existant à observer. Mon sexe me fait mal, et je suis au bord de l’explosion, mais je lutte me rappelant les paroles de Nathalie.

Tout en adorant le pied gauche de son amie, Sophie se dresse dans ses chaussures, approche le pied droit de son sexe, fait pénétrer le gros orteil dans son vagin et commence à se masturber avec beaucoup de bonheur. Nathalie est de plus en plus agitée, une main disparaissant dans son sexe maintenant totalement ouvert. Je ne sais pas combien de temps dure ce spectacle mais Sophie me regarda et voyant que je ne pouvais plus me retenir abandonna les deux objets de sa passion, pris Nathalie par la main et toutes les deux s’approchèrent. Elles s’assirent de chaque côté de moi sur les accoudoirs et posèrent chacune un pied sur mon membre gonflé et un autre pied entre mes lèvres. Je pouvais mourir maintenant j’étais dans un autre monde. Je léchais avidement ses deux magnifiques pieds, ils avaient une délicieuse odeur de cuir et huile de massage mêlées. Je parvins toutefois à ouvrir les yeux pour voir mon sexe brillant d’huile, que Sophie avait rajoutée, serti entre les magnifiques plantes de mes amies. Les dix orteils entouraient mon gland luisant et après quelques allers et retours je jouis comme jamais auparavant, mon sperme explosa et recouvrit les deux pieds qui continuaient toujours à me caresser.


Je crois avoir eu le plus grand orgasme de ma vie, j’étais dans la quatrième dimension. Quand je rouvris les yeux, mes deux amies avaient rejoint la table du massage et, recouvertes d’huile, elles jouissaient dans un merveilleux 69.

Après toutes ces émotions elles me prirent par la main et nous rentrâmes tous les 3 sous la douche.


A suivre peut-être