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n° 06761Fiche technique10998 caractères10998
Temps de lecture estimé : 7 mn
25/08/03
Résumé:  Il déambule, elle l'accoste, ils se plaisent et se provoquent
Critères:  fh douche voir intermast fellation
Auteur : Bonheur ailleurs  (Un jeune parisien)      
Surprise matinale



Ce matin pas envie de me lever. En me prélassant sur le lit défait, je m’imaginais, plutôt que de me jeter sur mon scooter et de venir vite au bureau pour travailler, partir déambuler dans Paris, sans but, sans empressement, sans rendez-vous à l’arrivée.

Profiter des rayons du soleil pour regarder les filles, les jolies parisiennes et leur décolleté encore ouvert. Et parfois causer le trouble de mon regard plus insistant.


Et je m’imaginais, rêvons un peu, qu’une passante me surprenne et me dise :

"Vous n’avez rien de prévu ? Moi non plus, prenons un p"tit déj ici en terrasse ou venez boire un café à la maison, j’habite là juste au-dessus.



Je réfléchis, je fais mine de réfléchir, en regardant son corps sans m’en cacher, elle ne m’en cache d’ailleurs pas grand chose. Ses yeux verts et sa longue chevelure sont séduisants. Son sweet trop grand laisse entrevoir une naissance de seins ronds, généreux et sensuels. Son shorty en stretch, trop moulant m’offre une vision parfaite sur ses jambes bien galbées… et sur son sexe dont j’entrevois les plis (serait-il déjà un peu gonflé de désir ?).


En ces quelques secondes de réflexion durant lesquelles elle m’observe l’air de rien (Ca ne dure vraiment qu’un instant, mais c’est si bon), mon désir croît c’est certain.


"Ok, allons prendre un café !



L’instant de cette conversation, je l’avais suivie dans son appartement, exactement au-dessus de là où nous étions dans la rue.

J’ai remarqué en la suivant sa belle cambrure et sa démarche très élégante.

Son appartement est petit mais surmonté quasi uniquement d’une verrière qui le fait paraître immense.

La lumière est exquise et peu d’espaces sont clos. Elle me dit de m’asseoir et de prendre un journal pendant sa douche. Je m’exécute.


Elle s’éloigne un peu et dans un bout de couloir, séparant visiblement sa chambre et sa salle de douche, là où je ne suis pas censé la voir (c’était sans compter le miroir de la salle de douche), elle se déshabille du haut, puis du bas. J’en ai le souffle court. Le spectacle est à la hauteur de mes envies. Tout troublé, je m’entends lui lancer :

"Vous êtes époustouflante en tenue d’Eve, une beauté rare et si particulière !



(Elle se cache brièvement les seins et le sexe, presque entièrement rasé)- Excusez-moi mais votre miroir est ou trop bien ou trop mal placé.



(Elle s’approche, restant à distance suffisante pour que je ne puisse la toucher et pose un pied, écartant un peu le compas de ses cuisses, sur l’accoudoir du canapé)



En plus c’est tellement meilleur pour les choses du sexe. Je laisse juste un peu de toison sur le dessus du mont, je trouve ça plus élégant!



Je m’exécute mais je n’ai pas le temps de m’en apercevoir que je suis déjà trempé de partout avec les éclaboussures.


"Tu devrais abandonner tes nippes et m’accompagner, il fait déjà suffisamment chaud pour être bien sous l’eau fraîche, non ?



Je me désape, je rentre dans la douche. Elle me fait face et les mains savonneuses, s’empare sans vraiment me prévenir de ma bite dure et droite. Caresse et rince. Elle s’assied alors sur un petit banc de tek, très classe et commence à porter ma bite à sa bouche.

Je m’occupe de ces seins qui sont aussi beau qu’ils paraissaient.


"C’est bon, mais comme je te le disais, tes provocations ont été telles …



Elle m’engloutit et fais des va-et-vient de plus en plus rapide sur ma tige. Je fais signe de mon éjaculation proche, elle me retient dans le fond de sa gorge. Je gicle une première fois dans sa bouche, elle retire alors vite pour profiter des mes jets suivants sur son visage et ses seins, qu’elle masse alors avec mon foutre…

J’ai autant de plaisir à la voir se caresser avec ma semence qu’à m’avoir fait sucer…

Je m’agenouille alors pour goûter à sa chatte mais rapidement elle m’arrête…


"Finissons de nous laver, j’ai envie d’un jus d’orange, d’un café, et de jouer un peu ensuite…



A peine sortis de la douche, moi correctement détendu et Célia parfaitement tendue au sens positif du terme, tendue vers un objectif d’une évidence primitive : le sexe.


Elle prend tout de même la peine de mettre sur ces épaules l’une de ces élégantes et sensuelles chemises japonisante, toute lisse, souple. Et celle-là visiblement d’une grande qualité, est presque transparente sans pour autant paraître fragile.

En fait elle correspond à Célia dont la féminité et l’érotisme naturel (dans ses déplacements, dans son port de tête, dans les mimiques de son minois) la rend attachante et désirable comme une femme d’apparence fragile mais qui ne l’est pas vraiment.


Belle et les jambes encore légèrement ruisselante ici et là de l’eau de la douche, Célia sort de la Salle d’eau. Elle me laisse seul nu comme un vers et souriant comme un enfant.


Je prends à la hâte une serviette sur une pile, la noue autour de ma taille et sort en la suivant, car je ne veux pas perdre une miette du spectacle de cette femme qui vient de me tailler une pipe d’enfer, que je ne connais pas, qui ne prend aucun ombrage de ma présence et rayonne sous la verrière et le soleil de 10 heures.


Elle prépare enfin le café pour lequel (sourire) je suis venu ici et me regarde :

« Tu te laisses aller question sport, tu attends un enfant ou tu bois trop de bière ?




Elle vient se coller à moi et me caresser de partout. Le café passe dans la cafetière mais ça ne semble plus du tout l’occuper. Mon sexe se réveille déjà tandis que je lui prends les fesses à pleines mains et que je les caresse sans retenue, passant au plus près chaque fois de sa fente, entre ses cuisses.


Elle s’adoucit et me gratifie en même temps de caresses du bout des ongles dans le dos qui me font chavirer. Je la pousse sur le tabouret de bar, elle y pose à peine les fesses. Je glisse ma langue sur ses seins magnifiques et un peu durcis par le désir et vient lécher sans détour sa chatte, chaude et déjà légèrement ouverte. S’en écoule rapidement un jus délicieux et abondant. Les mains sur mes épaules, je la vois par un regard furtif, fermer les yeux, balancer la tête en arrière, gémir, m’ouvrir davantage ses cuisses pour que je puisse n’oublier aucune infime partie de ce lieu de plaisir. Ma langue s’égare à gauche à droite, plus haut plus bas. Je sens Célia qui se raidit doucement, sa mouille n’en finit pas de couler, je la lèche aussi vite que je peux pour en garder le plus possible et elle explose. Elle frémit des pieds à la têtes dans une succession de cris doux et cruels à la fois.


« Oh oui, continues encore, ne me laisse pas retomber, joues avec tes doigts dans mon cul et dans ma chatte. Et suces encore, je veux jouir encore.

C’est bon, Encore, Encore… »


Je continue tant elle a une chatte délicieuse et des mains de fées sur mes épaules…


Et le téléphone sonne.


A la quinzième sonnerie (patient le visiteur filaire !!), elle décroche pas tout à fait sûre ni de sa diction, ni de ses mots. Je profite de son occupation pour nous servir le café, sortir de la confiture du frigidaire du miel et deux yaourts crémeux.


J’admire dans le même temps l’endroit charmant de nos ébats et les possibilités qu’il offre pour nos prochaines galipettes…


A suivre