n° 06771 | Fiche technique | 25212 caractères | 25212Temps de lecture estimé : 15 mn | 27/08/03 |
Résumé: Thierry a droit à une visite guidée de la ville | ||||
Critères: ffh voyage fellation pénétratio fsodo init | ||||
Auteur : Bertrand D (Rêveur solitaire) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : L'interprète Chapitre 05 / 05 | FIN de la série |
Elle appelle un taxi, lui donne une adresse, et tous trois montent à l’arrière, Thierry entre les deux femmes. C’est une Mercedes, la banquette est vaste, mais il se trouve agréablement coincé, ses bras sur les épaules des passagères, les mains traînant sur les seins.
Le taxi les conduit dans un quartier tranquille, s’arrête devant une villa. Ils descendent, Aline s’occupe de régler la course. Et Céline saisit les valises malgré les protestations de Thierry.
Ils entrent dans le salon, Aline s’occupe de préparer la réception. Céline continue son service de bagagiste et disparaît au fond le l’appartement. Elle revient rapidement et tous trois prennent l’apéritif. Puis elles échangent quelques phrases en allemand, l’ignorant totalement.
Elle lui prend la main, l’amène dans une grande chambre, lit immense. Et là elle commence à le déshabiller. Jouant le jeu, il se laisse manipuler. Le contact de ces mains douces ne tardent pas à produire leur effet, et le slip a des difficultés à descendre, accroché à un porte manteau bien dressé. Aline se relève, deux autres mains lui tendent un peignoir de bain. Céline, déjà dans cette tenue, noue la ceinture et amène le patient dans la salle de bain. Une grande baignoire d’angle, pleine d’eau parfumée occupe la plus grande partie de la pièce. Il est débarrassé de son vêtement et tous trois se retrouve nus. Chacune le tenant par une main, elle le mène dans l’eau tiède. Saisissant toutes deux une éponge, elle le savonne consciencieusement, insistant sur les parties sensibles. Ses mains inoccupées se raccrochent à une épaule, un sein, une fesse, glissent sur la peau savonnée. Des doigts se saisissent de son sexe et le nettoie complètement, dans un mouvement de va-et-vient afin de mieux nettoyer la tête. Il est tendu au maximum et se sent prêt à exploser.
Aline s’assied dans l’eau et l’invite à venir contre elle. Il repose de dos sur deux doux coussins, le bassin enserré par les cuisses de son dossier vivant, pendant que Céline entreprend de rincer le devant. Il se demande combien de temps il va pouvoir résister à un tel traitement. Mais le bain est terminé, elles l’invitent à se lever, à sortir, et le sèche par des frottement énergiques. Pendant qu’il enfile son peignoir, elles se sèchent mutuellement, il s’agit plutôt de douces frictions, de caresses. Quelques phrases en allemand, elles le prennent à nouveau et l’amènent dans la salle à manger.
Une magnifique table est dressé, avec sur une desserte, toutes sortes de plats appétissants. Pour lui le choix est cornélien entre les servantes et les mets, les deux sont également tentants. Mais ce n’est pas lui qui décide et bientôt il est servi par deux accortes soubrettes. Pour le service, elles ont revêtu un tablier pour tout vêtement. À chaque mouvement, un sein s’échappe par le haut ou le coté. Quand elles se retournent, ce sont de merveilleuses fesses, fines et fermes pour Céline, plus rebondies pour son amie. Comme un bébé, elle le font manger, boire, échangeant des propos entre elles, en allemand.
Le repas se déroule comme dans un rêve éveillé. Quand il a une miette au bord de la bouche, ce sont des lèvres féminines qui servent de serviette, nettoyant du bout de la langue. Quelques croûtes de pain tombent de la table, Aline se penche, vient les aspirer et au passage essuie longuement de la bouche le sexe dressé. C’est le supplice de Tantale et n’y tenant plus saisit dans chaque bras le bassin de ses servantes et les tire vers lui. Mais elles se dégagent se frottant contre lui en riant. Enfin une tasse de café annonce la fin du repas.
Elles le font lever, le conduise au salon, l’installe dans un profond fauteuil en cuir. Il se trouve face à un grand écran de télé, les lumières baissent et débute un film érotique soft. Pas de scène pornographique, simplement des corps nus qui s’ébattent avec grâce. Des couples unis se caressent comme dans un ballet. C’en est trop. Il se redresse, rejette le peignoir et tente de saisir deux corps féminins qui jouent à lui échapper. Aline la moins agile est sa proie. Il la plaque sur le tapis, l’allonge et lui arrache son tablier. Il la couche sous lui, son sexe venant se plaquer entre ses cuisses. Mais Céline vient au secours de son amie, fait basculer Thierry. C’est pour se saisir de son sexe et l’emboucher. Il s’abandonne à son sort. Aline, en haut vient l’embrasser à plein bouche, puis lui présente ses seins en offrande. Immobile, les bras écartés, il savoure les fruits pendant au-dessus de lui. Puis elle s’avance et bientôt ses cuisses viennent encadrer son visage, ses fesses sur son nez et devant sa bouche une adorable fente tout humide. Il s’empresse de lui rendre hommage. C’est un signal pour Céline. Elle se redresse, vient se ficher sur la flèche qu’elle a si bien graissé. Ils forment un triangle, avec pour base Thierry baisant Céline et léchant Aline et pour sommet deux furies qui s’embrassent à pleine bouche en se caressant.
Mais cette figure géométrique se révèle instable. La jouissance de Thierry, suivie rapidement par celle de ses deux partenaires font écrouler cet édifice. Ils se retrouvent tous trois, allongés sur le tapis. Les filles se redressent se regardent en souriant et viennent se placer de chaque coté, chacune l’embrassant à qui mieux mieux.
Ils se redressent, viennent s’installer dans le canapé en cuir, le pacha au milieu de ses servantes. Il les serre contre lui, embrassant à tour de rôle chacune d’elle. Il mord un lobe d’oreille, agace un téton. Elles lui rende la pareille taquinant, pinçant les minuscules bourgeons de la poitrine masculine. Et rapidement elles constatent au baromètre masculin qu’il est possible de reprendre le combat. Quelques paroles en allemand, elles le prennent chacune par la main et le conduise à la chambre. De gagnant d’un concours, il est devenu jouet de deux succubes. Ce sont elles qui décident, sans le consulter. C’est un sort certes enviable, mais il aimerait bien être tenu au courant, décider lui aussi de la suite des évènements. Mais non. Alors il se révolte, saisit Céline par la taille et la porte à plat ventre sur le lit. Il s’allonge sur elle avec la ferme intention de la clouer sur la couche. Mais une main traîtresse, se saisit du clou et le détourne de sa cible. Il glisse dans la fourche. Il soulève le bassin et replonge… dans la bouche d’Aline manquant de l’étouffer. Alors il abandonne définitivement ne se sentant pas de force à lutter contre cette coalition. Elles l’allongent sur le lit, riant à pleine dents, se saisissent de son outil et l’affûte. Les langues, l’une après l’autre le mouille , le polissent, l’aspire. Il a renoncé à tout, fermant les yeux, profitant de ce paradis. Son sexe est absorbé par un con accueillant qui fait monter son désir. Mais il se retire et c’est le deuxième qui vient prendre place. Alternativement ils se succèdent, se retirant lorsqu’il est prêt à jouir. À un moment, l’un s’immobilise et il sent l’orgasme qu’il éprouve. Mais le corps se retire et c’est l’autre qui vient à son tour prendre son plaisir. Alors il empoigne le bassin et l’immobilise malgré les tentatives de dégagement. Et à son tour il jouit avec elle longuement.
Elles éclatent de rire, le conduisent à la salle de bain, le nettoient doucement, comme un bébé. Puis ils sortent, elles le sèchent et le ramènent sur le lit. Alors là, il s’écroule et s’endort entre ses deux femmes.
Il est petit bébé dans le bain et s’accroche à sa bouée. Il est bien. Soudain il réalise qu’il rêve, mais le sentiment de bonheur persiste. Il est sur le coté, les bras entourant une taille, son sexe dressé entre les fesses d’une de ses amies. Laquelle, il ne sait pas. Mais c’est bien agréable. Doucement, afin de ne pas la réveiller, il se frotte dans cette douce vallée chaude. Puis il pointe son outil entre les cuisses et reprend son mouvement. Les jambes se sont légèrement écartées sans que la dormeuse n’ait, semble-t-il, repris conscience. Et bientôt le glissement se fait plus aisé dans l’humidité qui sourd de la fente. Une main féminine, vient se poser sur son épieu et le place face au conduit. Il pousse doucement et bientôt est planté jusqu’au fond. Le rythme du souffle n’a pas varié, il est possible qu’elle ne se soit pas réveillée. Alors lentement il entreprend de bouger. Il pose une main sur un sein, l’autre sur le bouton et le frotte doucement. Consciente ou non, elle participe, son souffle s’accélère, elle gémit. Il la sent prête à prendre son plaisir. Et elle part soudain, bien réveillée.
La voix a murmuré à son oreille. La deuxième comparse est elle aussi bien consciente, elle a suivi le manège et veut sa part du gâteau.
Se dégageant, il se tourne et trouve Céline en face de lui, les cuisses écartées qui s’empare de sa queue. Elle le chevauche et entreprend un galop qui aboutit rapidement pour lui. Elle poursuit le mouvement, profitant du reste de rigidité. Aline par derrière lui pince un sein puis plante son un doigt dans le cul.
Et tout trois s’écroulent épuisés.
Un rayon de soleil vient agacer Thierry. Il entrouvre un œil et prend conscience du lieu où il se trouve. Il n’y a qu’Aline à côté de lui. Il se lève doucement et file vers la cuisine, guidée par l’odeur du café. Céline toute nue s’affaire devant l’évier. Sans bruit il s’approche et l’enlace, saisissant ses seins à pleine mains.
Il s’installe sur une chaise, elle sert deux tasses de café, puis vient s’asseoir à cheval sur ses genoux, face à lui. Et ils passent un moment délicieux tous les deux, s’embrassant, buvant leur café, babillant. Malgré les prouesses de la nuit, le contact de ce corps magnifique réveille en lui un besoin sexuel. Elle sent bientôt se dresser entre ses jambes la preuve de son désir. Elle sourit, prend en main l’objet et le branle. Elle se penche et embrasse Thierry amoureusement. Puis se soulève et vient s’embrocher. Ils restent immobiles un long moment à se regarder, sans presque bouger, longtemps elle ondule du bassin. Et lentement le plaisir monte en eux. Elle se blottit contre lui, se crispe, chuchote « Maintenant » et ensemble ils connaissent une jouissance amoureuse.
Ils tournent la tête. Aline appuyée au montant de la porte a suivi leur étreinte. Elle a un sourire un peu triste car elle comprend qu’elle ne compte pas pour eux. Ils l’ont oublié.
En un tour de main la table est débarrassée, Thierry saisit Aline dans ses bras et la pose dessus, offerte. Et à tous deux ils entreprennent de lui donner du plaisir. Thierry prend la tête et l’embrasse à pleine bouche. Ses mains s’emparent de ses seins et les caressent longuement. Céline à placé sa tête entre ses jambes et honore son nid douillet. Du bout des doigts elle écarte les lèvres. Sa langue vient nettoyer les souillures de la nuit. Elle va de plus en plus loin dans le vagin. Deux doigts pincent doucement le bouton, l’extraient de son nid. La bouche délaissant le bas, les dents viennent prendre le relais. Et bientôt la fontaine coule longuement. À défaut d’outil en état de satisfaire son amie, ce sont les doigts de Céline qui viennent se substituer au pénis. Un, deux, trois, quatre d’entre eux s’enfoncent dans la fournaise humide et pistonnent. Le pouce vient s’appuyer sur la rondelle et s’enfonce. Aline ronronne doucement puis miaule. Thierry, malgré ses exploits récents se sent excité par ce spectacle. Mais il ne trouve pas encore la force nécessaire à satisfaire son amie. Céline voit le sexe qui a légèrement augmenté de volume. Elle le prend en bouche afin de lui rendre sa vigueur. Elle n’arrive pas à lui donner toute sa fermeté, mais sa dimension devient tout de même honorable. Alors elle le saisit, retire ses doigts du conduit humide et brûlant et y glisse l’engin qui entre sans difficulté. Sentant le male en elle, Aline entreprend un massage vaginal qui redonne encore de la vigueur. Et le va-et-vient parvient à déclencher l’orgasme chez elle.
Thierry s’est retiré sans avoir pu exercer sa fonction de male. Pourtant il est heureux d’avoir pu combler leur amie.
Les deux opérateurs se sont assis fatigués. Aline est descendue de la table, s’est servi un café.
Ils se sont douchés et habillés puis sont allés visiter la ville, comme il est prévu dans le contrat. Leur complicité leur a permis de passer de merveilleux moments agrémentés de contacts érotiques, un main qui glisse sous la jupe, une autre qui s’attarde sur le sexe, tout est prétexte à caresse.
Ils sont rentrés fatigués de leur longue promenade. Ils ont pris un bain en commun prétexte à batifolages. Un traiteur est venu leur apporter un somptueux repas. Mais ce soir, ce n’est plus le pacha servi par ses esclaves, mais un trio d’amis qui partage ces agapes. La soirée se poursuit au salon en discussion tranquille. Thierry est un peu étonné par leur calme ce soir, elles qui étaient tant excitées la veille. Puis soudain, elles échangent quelques phrases en allemand.
Thierry est honoré par cette demande, mais il craint de ne pas réussir cette initiation. Il adore cette union et pour lui c’est un immense plaisir, mais il ne le pratique qu’avec des partenaires consentantes ou qui lui en font la demande.
Thierry prend Céline dans ses bras, l’emporte sur le lit et l’embrasse tendrement. Elle est terriblement tendue à la pensée de ce qui va se passer. Aline l’a effrayée par le récit de sa torture. Elle ne veut pas souffrir comme elle, surtout de la part de Thierry. Il lui parle doucement à l’oreille, lui explique que son amie a rencontré une brute. C’est un plaisir différent mais aussi intense d’après ce que lui en ont dit celles avec qui il l’a pratiqué.
Peu à peu, elle se détend. Il la tourne doucement et vient dans son dos, continuant de lui murmurer à l’oreille. Son sexe vient se loger entre les fesses et frotte doucement. Une troisième personne vient participer à leurs ébats. Une langue féminine vient taquiner les lèvres, le bouton, amorçant une humidité de bon aloi. Il s’introduit dans le vagin, lubrifiant son outil. Il se retire. Sentant son amie entrer dans le jeu amoureux, Aline de la langue commence à humecter l’entrée encore inviolée. Puis elle se saisit du poignard et le graisse abondamment. Pendant ce temps ses doigts s’occupent de l’avant. Thierry a pris les seins et les masse fortement. Céline murmure des mots sans suite, « amour, oui encore, c’est bon ». Prévoyante son amie a préparé un tube de vaseline et introduit la pommade du bout du doigt dans le rectum.
« Maintenant » murmure Céline. Son amie place l’épée à l’entrée du fourreau. Thierry lentement pousse, le gland franchit sans encombre le collier. Il s’arrête, terriblement excité, ne voulant pas jouir de suite ni surtout blesser son amie. Mais c’est elle qui lentement recule et se plante à fond, le pubis de Thierry venant heurter ses fesses. Elle reste comme ça immobile, heureuse d’avoir franchi le pas. Les doigts d’Aline, dans le vagin, viennent à travers la cloison constater la réalité de l’acte. Ils jouent au pénis et pistonnent le conduit avant. Céline apprécie grandement ce va-et-vient et lentement elle bouge le bassin, reproduisant à l’arrière les mouvements de l’avant. Elle est prise en sandwich et elle s’aperçoit qu’elle aime ça. Ses mots désordonnés deviennent un râle continu et bientôt un grand cri. Le trio s’immobilise, les intrus se dégagent doucement de leurs pièges.
Thierry n’a pas joui, trop attentif à la progression du plaisir de Céline. Mais il est follement heureux. Il a, ou plutôt ils ont réussi l’examen.
Puis prenant le sexe encore tendu en main, elle ajoute :
Et saisissant son amie, elle la plaque contre le lit, aidée par son amant. Ce dernier l’embrasse tout en maintenant les bras plaqués contre le lit. Céline s’occupe du bas et rend la politesse à son amie. Celle ci se détend et accepte de participer. Thierry la relâche et se relève. Céline vient présenter son minou à son amie pendant qu’elle reprend les soins qu’elle avait entrepris. Et l’homme voit ainsi un soixante neuf, les deux filles participant activement et l’oubliant totalement. Les murmures et clapotements semblent indiquer que le plaisir approche. Estimant que ce n’était pas ce qui était prévu au programme, Thierry se place entre les cuisses d’Aline et présente son sexe tendu vers la fourche. Céline s’en empare et, relevant la tête l’embouche, ses mains continuant à s’occuper de son amie. Puis jugeant que le moment est venu, elle enduit la rondelle de salive et présente la pointe de l’engin. Comme la tout à l’heure, il appuie. Mais il sent la contraction des sphincters, le souvenir est trop pénible. Céline comprend la difficulté et s’active de la bouche et des doigts. Bientôt le cerveau est déconnecté du cul et celui ci se relâche. Très lentement l’extrémité glisse dans le tuyau sans protestation ni contraction. Céline s’active tant qu’elle peut et sa manœuvre est efficace. Aline ne ressent que plaisir procuré par la main la masturbant. Et ainsi insensiblement elle se trouve empalée. Quand elle voit son amie enculée, Céline cesse toute action et Aline réalise soudain qu’elle en a pris plein le cul sans souffrir. Son amie se dégage et les deux amants unis se retrouvent face à face.
Il lui relève les jambes et calmement il entreprend le va-et-vient. La main de Céline vient caresser le devant. Cela dure un moment, mais Thierry est trop excité et bientôt il ne peut se retenir. Il déverse son trop plein dans les entrailles. Aline a senti la jouissance de l’homme. Elle n’a pas trouvé de plaisir, mais a vaincu sa crainte.
Ils se couchent à ses cotés et la câlinent. Bientôt le sommeil les surprend et ils partent dans des rêves érotiques.
Thierry s’est réveillé le premier et va préparer le café. Il prend conscience du bonheur qui lui est donné. Jamais il n’avait rêvé pareille fête érotique.
Les deux filles le surprennent en pleine réflexion. Tout nus, ensemble ils déjeunent.
Il s’assied, et prend Aline sur ses genoux, face à lui. Il l’embrasse et la câline, ce qui le met immédiatement en position de combat. Elle aussi se sent échauffée et lorsqu’il la soulève et présente son sexe, il trouve le vagin tout humide. Elle se laisse retomber, emmanchée jusqu’à la garde. L’éternelle danse est entamée et rapidement ils se trouvent sur le chemin de la jouissance. Mais Thierry interrompt le coït, prend Aline et la met à plat ventre sur la table les jambes pendantes. Et il reprend la baise par derrière.
Elle comprend immédiatement, et comme Marlon Brando, elle enduit les fesses, en glissant un peu dans le canal. Et lorsque Thierry se dégage et remonte un peu, il trouve un trou prêt à le recevoir. Sans à coup il s’enfonce complètement sans soulever de protestation. Et il reprend sur ce nouveau terrain, le mouvement interrompu. Sous la table, Céline a occupé des doigts le chantier délaissé. Le bassin de l’homme va-et-vient en mouvements amples, sans rencontrer de difficultés ni de protestations. Au contraire, un gémissement qui s’amplifie indique que la suppliciée prend du plaisir malgré le pal qui la transperce. Elle se cramponne des deux mains à la table et crie « oui ! oui ! c’est bon ». Jugeant son œuvre terminée, il accélère le mouvement, se vide longuement et se couche sur Aline.
Un moment ils restent immobiles, puis se relèvent.
Comme la veille, ils se sont préparés, sont allés visiter la ville.
Le soir ils sont rentrés en France, en voiture. Ils ont déposé Aline chez elle, puis tous les deux, sont partis en amoureux.