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Temps de lecture estimé : 15 mn
01/09/03
Résumé:  Toutes les femmes sont belles, celle là, plus que les autres et pourtant, elle est si seule.
Critères:  fh extracon vacances piscine hotel voyage intermast cunnilingu pénétratio
Auteur : Au_zenith  (Ecrire pour éviter de parler sans réfléchir ...)      

Série : Aimer au soleil

Chapitre 02 / 02
Hôtel des Caraïbes (2)

Au réveil, je me rends au restaurant en espérant rencontrer Claire avec qui j’ai passé de bons moments hier soir. Je ne l’ai pas vue. Elle ne se trouve ni au restaurant, ni à la piscine, ni à la plage. Tans pis. Je décide d’aller explorer les alentours. Armé de mon appareil de photos, comme tout touriste qui se respecte, je vagabonde de ci de là en prenant parfois quelques clichés. À plusieurs reprises, des filles m’abordent pour échanger leurs faveurs contre des dollars. Il y en a des tous types, belles et moins belles, malheureusement, de tous âges également. Bien entendu, je décline toutes les offres. En d’autres circonstances, je goûterais volontiers à une de ces fleurs tropicales mais je n’aime pas l’idée de profiter du corps d’une femme parce qu’elle est dans le besoin. Je marche depuis une heure quand je décide de faire demi-tour. Il fait vraiment trop chaud pour continuer. Dans une ruelle, deux fillettes à peine pubères m’accostent. Je trouve la situation particulièrement irritant. Ces filles devaient être à l’école ou n’importe où ailleurs. Elles n’ont pas leur place sur le trottoir. Je leurs donne 10$ chacune et m’en vais en maudissant l’injustice et les dirigeants du monde entier. De retour à l’hôtel, toujours aucune trace de Claire. Je vais dans ma chambre, maillot, serviette, huile solaire, et me dirige vers la piscine. Je repère un transat libre, dépose ma serviette et m’enduis généreusement d’huile solaire. Lunettes de soleil sur le nez, je m’allonge et la solitude aidant, je me mets à penser à Hélène, celle qui aurait dû être mon épouse aujourd’hui. Parents, frères et sœurs étaient persuadés que nous étions faits l’un pour l’autre. Quand deux ans, trois mois et onze jours plus tôt elle avait décliné ma demande de mariage, tous étaient atterrés, à commencé par moi. Je me rappelle bien, c’était le 26 juin; j’avais organisé dans la maison de ses parents un anniversaire surpris pour Hélène. Toute la famille, la sienne et la mienne, était présente, ainsi que quelques amis intimes (c’était à cette soirée qu’Olivier a rencontré Sandrine). La surprise était réussie, la soirée s’était déroulée agréablement jusqu’au moment du gâteau d’anniversaire. Elle avait eu des tonnes de cadeaux. Le mien restait à venir. J’avais la bague dans son écrin noir cachée dans ma poche. Quand le moment était venu, je m’étais agenouillé devant elle, l’écrin noir dans les mains tendues, je lui demandais de m’épouser. Elle était restée silencieuse. Tout le monde applaudissait en scandant : « OUI, OUI, OUI ». Enfin, elle avait fait un geste pour réclamer le silence et c’était dans un silence absolu qu’elle avait prononcé cette phrase qui restera gravée en moi :



Après sa déclaration, Hélène s’était enfuie. Personne n’avait eu la présence d’esprit de l’arrêter. Elle était partie seule en voiture. La soirée était terminée. C’était le chaos. Certains criaient, d’autres murmuraient, tous étaient gênés. Sandrine était venue pleurer sur mes épaules. J’avoue avoir conservé des souvenirs assez flous pour le reste de la soirée.


Clac, clac, clac …. Des bruits de sandales qui se dirigent vers moi. Sortant de mes souvenirs, j’ouvre les yeux et vois une apparition. Une blonde, immense (1m82) en bikini noir, s’avance et s’arrête à côté de moi et me regarde. Qui est donc cette créature tout droit sortie des magazines de mode ? Qu’est ce qu’une beauté pareil veut de moi ?

Elle est restée debout entre moi et le soleil à me fixer sans un mot, tandis que je fais de même. Svelte, des mensurations dignes d’un top modèle et un visage angélique. Je crois rêver, c’est la réplique en plus grande de Manon des sources, les mêmes cheveux blonds soyeux, la même intensité du regard et les mêmes lèvres pulpeuses.



Bien sûr que j’ai du feu. J’ai tous les feux du monde. Je suis Prométhée, c’est moi qui ai volé le feu aux dieux pour le déposer à vos pieds.



Merde ! Quel con. Qu’est ce qui m’a pris de dire ça ? C’est sûr, elle va s’évaporer maintenant.



Merde et re-merde. Ne me fais pas le coup de la crème à bronzer. Je bande déjà tellement que je vais déchirer le maillot si je touche ta peau.



Je commence par les épaules, c’est l’endroit le moins compromettant à mon avis.



Machinalement je jette un coup d’œil à sa main gauche et vois qu’elle a une alliance. Je suis un peu déçu mais après tout ce n’est pas étonnant. Une fille aussi sublime ne peut pas être célibataire.



C’est incroyable ! Mais qui est donc ce sombre crétin qui délaisse sa superbe femme pour regarder la télé ?



Oui je vois le tableau. Un boulot répugnant mais très lucratif. Pendant que je prends mon temps pour enduire son corps parfait de crème solaire, elle continue son monologue et j’apprends rapidement qu’elle s’appelle Nadia, qu’elle a vécu 2 ans à Paris, qu’elle a maintenant 30 ans, ancienne hôtesse de l’air reconvertie en femme au foyer depuis son mariage. Cela fait 3 ans qu’ils vivent ensembles, et n’ont pas conçu d’enfant, d’ailleurs si jamais elle tombe enceinte de lui se serait miraculeux puisqu’il ne lui a fait l’amour que 2 fois en 3 ans. La première fois c’était le jour où il lui a demandé sa main et la seconde, c’était 6 mois plus tard à leur nuit de noce. De toute façon, il a déjà 2 fils et une fille, tous plus vieux qu’elle.

Et voilà, l’histoire classique du vieux monsieur, très riche qui prends pour épouse une femme beaucoup plus jeune que lui, pas pour qu’elle soit une partenaire, mais parce qu’elle est très décorative quand il sort dans le monde avec elle à son bras.

Mais il y a quelque chose qui cloche dans tout ça. Où veut-elle en venir ? Cette femme qui est une véritable incarnation de la déesse de l’amour, que je ne connais pas, est entrain de me raconter l’histoire de sa vie avec des détails très intimes. Et puis cette histoire ressemble à un mauvais scénario de série B. Quel est mon rôle là dedans ?


J’ai fini d’étaler la crème. Je n’ai même pas profité pour la caresser ni frôler par jeu ses parties intimes. Non ! L’excitation est totalement retombée, ce qui est très bien puisque la bosse de mon slip de bain a retrouvé sa taille normale, je peux donc sans gène aller me recoucher sur mon transat.



On ne peut pas être plus direct. Je me demande ce que ça cache. Pendant un moment j’eu peur qu’elle ne m’annonce ses tarifs, ou pire, qu’elle me paie pour avoir du sexe. J’avoue que je suis totalement perdu. Je ne sais pas quoi penser. Lâchée dans une grande ville, cette femme ferait bander tous les mâles à 1 km à la ronde. Elle est là, à côté de moi, et me propose une séance de galipettes tandis que je reste immobile, muet comme un collégien timide. Bon, puisque la situation m’échappe, il faut absolument la reprendre en main rapidement. Ne sachant pas quoi lui répondre, je décide de détourner de sujet pour me laisser le temps de réfléchir.



Nous y voilà. Finalement elle a annoncé ses tarifs. Cela n’aurait pas dû m’étonner. C’était complètement irréel mais c’était aussi très logique. Je la baiserai n’importe où, n’importe quand, mais …pas dans ces conditions. L’amour à 3 ne m’a jamais gêné. J’ai pratiqué parfois et garde des souvenirs plutôt agréables, mais là, tel que ça a été annoncé, je n’ai pas du tout envi d’être le taureau en train de saillir la vache, certes une très belle vache, sous les yeux vicelards de son maître et propriétaire.



Le reste de l’après midi s’est déroulé agréablement. Une fois que nous avons laissé tombé le sujet, nous avons pu parler de tout et de rien, je me suis même permis de faire quelques blagues qui l’ont beaucoup fait rire. Nous nous sommes quittés vers 18h en espérant sincèrement nous revoir bientôt. Le soir, je repars à la recherche de Claire mais encore une fois, je ne la trouve pas. Je dîne seule et après le repas je tourne en rond et finis par me retrouver seul au bord de la piscine désertée par les baigneurs. Le barman est toujours à son poste. J’essaie d’engager une conversation mais mis à part pour les noms des boissons, nous avons beaucoup de mal à nous comprendre. J’y renonce et me retrouve à nouveau seul avec mon verre de pina-colada. À l’autre bout de la piscine, dans un coin obscur, un couple s’échange des caresses. Un homme traverse le jardin en riant avec 2 filles, une à chaque bras, apparemment 2 prostituées locales qui lui font des papouilles tout en marchant. Levant les yeux pour regarder les étoiles, j’aperçois les 2 gays sur le balcon de leur chambres au 3eme étage. Ils sont collés amoureusement l’un contre l’autre et regardent vers la mer. En voilà 2 au moins qui n’ont pas de problèmes de cœurs. Soupir.



Il n’y a rien à répondre. Je prends sa main qui tremble légèrement et l’effleure d’un baiser avant de cueillir la larme qui perle de ses jolis yeux. Cela a dû lui coûter de me faire cet aveux. Moi qui me croyais malheureux en amour, c’est dix fois pire pour Nadia.



Arrivé dans ma chambre, j’allume toutes les lumières et tire les rideaux. Apparemment très excitée, Nadia est déjà nue. Elle s’avance vers moi et m’embrasse tandis que par réflexe, sa main se faufile dans mon pantalon. Je lui retire la main et la repousse gentiment mais fermement vers le lit. Toujours avec douceur, je l’allonge et me recule d’un pas pour la contempler. Je l’ai dit plusieurs fois mais je le répète, elle est vraiment très belle. Comme la plupart des femmes grandes et minces, elle n’a pas beaucoup de formes. Son corps est svelte et ses jambes sont interminables. Je m’attarde un peu sur sa poitrine qui est remarquable. Ses seins sont en forme de poires avec de très larges auréoles qui s’étendent sur presque un quart du volume.


Elle me tend les 2 bras en signe d’invitation. Toujours entièrement habillé, je m’approche et me couche sur un coté, près d’elle. Avec mon indexe, je dessine sur la peau les courbes de son corps. Arrivé au niveau de sa poitrine, je me penche et gobe son sein droit avant de mordiller légèrement le mamelon volumineux et qui est maintenant gonflé de plaisir. C’est incroyable. Je n’ai jamais vu des seins pareils. De profile, ils ont la forme d’un « V » couché, sauf que les pointes sont tellement volumineuses et dilatées qu’elles forment elles même un deuxième dôme sur le dôme. Je reprends en bouche un des magnifiques mamelons, suce longuement et très fort jusqu’à lui faire mal puis je passe à l’autre en recommençant les mêmes opérations. Ses tétons douloureux sont maintenant devenus extrêmement sensibles. Un effleurement du doigt suffit à la faire sursauter. Content du résultat obtenu, je passe ensuite ma tête entre ses cuisses et commence un cunnilingus. Première constatation, elle ne mouille presque pas, mais en écartant ses lèvres, je suis surpris par la taille de son clitoris. Il est très gros. Presque 1cm et totalement sorti de son capuchon. Décidément, les zones érogènes de cette femme sont d’une taille hors norme. Je joue longuement avec ce minuscule pénis avant d’introduire ma langue entre ces lèvres. Je lèche encore et encore avant d’obtenir ma récompense. Sa cyprine commence enfin à couler. J’aspire son nectar et déglutis sans me soucier du goût. Puis je saisis ses tétons douloureux entre le pouce et l’indexe et serre très fort tout en lapant son bouton hyper sensible. Alors l’effet recherché se produit. Dans un vagissement où il y a plus de plaisir que de douleur, elle obtient un premier orgasme. Je m’arrête pour observer cette jouissance si longtemps désirée. Elle a les bras écartés, ses mains sont accrochées comme des serres aux deux extrémités du matelas. Les yeux clos, elle se mord douloureusement la lèvre inférieure tandis que plusieurs spasmes la secouent. Il lui a fallut plus d’une minute avant de se détendre et d’ouvrir les yeux. Mais je n’en ai pas fini. Je me mets à genoux sur le lit, les talons sous mes fesses, je soulève son bassin, colle ses fesses contre mon torse et la maintient tête en bas, les jambes écartées, le sexe largement ouvert à 2cm de ma bouche. Pour mieux la tenir, je passe mes bras autour de ses cuisses et mes mains en écartant ses fesses me libèrent un passage vers son anus. Le nez collé à ses lèvres humides, ma langue entre en action et tente de pénétrer son œillet. Du coin de l’œil, je vois sa main se tendre vers son sexe, je me recule et lui refuse ce plaisir.



Tête bêche entre ses fesses, ma main tâtonne et retrouve son énorme clitoris et le frotte vigoureusement. Au bout d’un court instant de ce traitement, elle obtient un 2eme orgasme qui dure plus longtemps que le premier. Je la repose délicatement sur le lit et commence à me déshabiller pendant qu’elle essaye de récupérer le contrôle de son corps tremblotant de plaisir. La boite de préservatif est restée sur la table de chevet. J’en prends un et le mets en place. Toujours allongée, un bras passé sous sa nuque, les jambes serrées, elle ne dit rien, se contentant de suivre chacun de mes gestes.



Je m’allonge à côté d’elle en cuillère et l’enlace tendrement. Elle pause une main sur la mienne et entrecroise nos doigts. Je ne cherche pas à la caresser ni à embrasser sa nuque si proche de ma bouche. Nous restons ainsi immobile pendant un long moment goûtant le simple plaisir d’être collé l’un à l’autre. Puis sa main finit par lâcher la mienne pour se saisir de mon sexe toujours en érection. Soulevant légèrement sa jambe droite, elle me guide en elle. D’une poussée, je l’envahis et ne peux retenir un gémissement de bien être. Tel un vampire, je lui mords le cou, ma main a pris possession d’un sein tandis que mon bassin entame un doux va-et-vient dans son antre. Cette position ne permet pas des mouvements amples mais offre l’avantage d’une grande intimité entre les partenaires. J’effectue donc des petits mouvements lents qui nous permet d’apprécier pleinement le contacte de nos sexes. Nous sommes restés longtemps dans cette position, puis profitant d’une pause, Nadia se redresse. Elle est maintenant à califourchon sur moi. Les deux mains posées sur mes genoux, elle me chevauche dans une cadence beaucoup plus rapide que précédemment. La voyant de dos, je remarque deux petites fossettes au-dessus des fesses que je trouve adorable. Au bout d’un court instant elle ralentit la cadence pour reprendre son souffle. Je lui saisis les hanches et l’aide à coulisser sur mon membre. Je donne également des coups de rein et enfin elle émet des miaulements de plaisir. Moi aussi je suis au comble de l’ excitation. Je veux voir ses seins, je veux voir son visage, je veux voir son expression quand elle va jouir. Je lui demande de se retourner, elle pivote. Une longue jambe passe au-dessus de mon visage, je la saisis en plein vole et dépose un baiser sur la plante des pieds. Ça chatouille, elle rit et dans cette position inconfortable, elle a failli tomber du lit. Je lâche son pied, elle se repositionne et nous reprenons nos ébats. Nous sommes face à face, elle se penche et m’embrasse. J’ai les mains sur ses fesses et les écarte. Mon majeure fouille et trouve l’entrée de son cul. Je force et il rentre. Elle ne proteste pas mais arrête sa chevauchée.


C’est à mon tour d’imposer la cadence. Rapidement, les actions conjuguées de mon doigt et de mon pénis la font gémir de plus en plus fort. Le troisième orgasme se produit dans un cri qui la fait se cambrer. Je me retire et la laisse s’allonger sur le ventre. Je suis derrière elle et joue avec son anus. Un doigt puis deux. Je lubrifie le trou avec ma salive et petit à petit agrandis l’orifice. Enfin, je me positionne, mes mains écartent ses fesses et je tente de la pénétrer. Elle se contracte, je ne peux pas rentrer. Je continue de pousser puis doucement elle se détend. Mon gland rentre, je marque une pause puis la pénètre entièrement. Son trou est parfait. Ni trop large ni trop serré. Ce n’est pas sa pénétration de ce coté. Je coulisse sans difficulté et sa paroi est merveilleusement douce. J’accélère le mouvement, elle se sait d’un oreiller et mord dedans ; elle apprécie. Je suis couvert de sueur, ruisselant comme dans un hammam. Je ralentis la cadence mais donne des grands coups en profondeur. Elle projette ses mains en avant pour se retenir au montant du lit. C’est la dernière ligne droite, je sens que je ne peux plus me retenir longtemps. Je reprends la cadence rapide et là, suprême récompense, c’est le quatrième orgasme. Elle a la tête enfouie dans l’oreiller, impossible de voir son visage mais je suis certain qu’elle a joui aussi fort que les autres fois. Moi aussi je n’en peux plus. Je me retire précipitamment et enlève la capote dans un geste fébrile. Elle a deviné ce qui se passe et se retourne pour me prendre en bouche. Je suis debout sur le lit et la regarde me sucer. La vague me submerge. Ça vient. J’essaye de me retirer mais elle me retient dans sa bouche. Trop tard, j’ai tout lâché. Chaque jet est une apothéose et j’en ai libérés plusieurs. Les mains dans ses cheveux, je lève les yeux au ciel et dans un râle de bête, je donne un dernier coup de rein avant de tomber à genoux en face d’elle. Je n’arrive pas à réalisé que je viens de faire l’amour à une déesse et qu’elle a reçu mon offrande dans sa bouche. Elle me sourit et déglutit. C’est la première fois qu’une femme avale mon sperme. Je pensais que Sandrine était la candidate idéale mais Nadia l’a devancée. C’est une étrange sensation qui flatte vraiment l’égo.


Le lendemain matin, la réception de l’hôtel me remet une enveloppe. C’est une lettre de Claire qui m’informe qu’elle est repartie en Belgique. Elle regrette qu’on n’ait pas eu le temps de se dire au revoir. Si un jour je passe à Bruxelles, ci dessous son adresse postale et si j’ai envie d’entamer une correspondance, ci joint son email.

J’ai passé le restant de mon séjour en compagnie de Nadia. Bien sûr nous ne nous voyons que la nuit après le couché de son mari. Les journées, je les passais en compagnie de Brett et David, les deux gays, deux anglais très sympathiques. Je n’ai jamais rencontré le mari de Nadia. Même ses repas, il le prenait dans sa suite. Nadia a quitté l’hôtel 2 jours avant mon retour en France. Elle n’a pas laissé de lettre et il n’y a pas eu d’adieu. Je n’ai aucun moyen de la retrouver et je n’ai pas cherché à le faire puisque tel est son désir.


A suivre ….


AU_ZENITH


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