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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/09/03
Résumé:  Dans un camp de naturiste, un "voyeur-photographe" nous prend pour sujet
Critères:  fhh couplus fépilée vacances bain voir exhib nudisme photofilm rasage fdanus fsodo
Auteur : Nanard      

Série : Le paparazzi

Chapitre 01 / 03
Première rencontre

Comme je l’ai déjà dit lors de mon précédent récit, Aline et moi sommes des naturistes de longue date. Je vais vous raconter la première partie d’une aventure, qui s’étale sur près de deux ans et qui a ouvert de nouveaux horizons dans notre vie sexuelle.


En août 2001, nous sommes allés passer une partie de nos vacances dans un camp de naturistes situé au bord d’une rivière dans le Sud-est de la France. Quand nous désirons profiter de la caresse du soleil sur nos corps nus, nous remontons toujours le long de la rivière, pour être au calme et nous permettre de nous isoler en pleine nature. Cela demande une marche de quinze à vingt minutes, mais quel bonheur de se retrouver seuls, bercer par le clapotis de l’eau et le gazouillement des oiseaux. De plus, comme nous sommes seuls, nous pouvons nous caresser mutuellement dans l’eau ou sur les berges sans craindre de choquer quiconque. Le moment où nous nous enduisons de crème solaire est toujours très érotique ; j ’insiste particulièrement sur la poitrine, les hanches, les fesses, les cuisses de mon épouse qui adore ces caresses.


Un après-midi, au moment où nous partons, je perçois un mouvement dans un bosquet à 15-20 mètres de nous, je me retourne et vois un homme qui sort du bosquet et s’éloigne en longeant la rivière. Etonné de voir quelqu’un à cet endroit je me promets de surveiller les environs ; en plus, il doit être au camp car il ne porte pas de maillot de bain. Sur le chemin du retour je le dis à Aline, qui s’exclame : « Un voyeur dans un camp de naturiste, ce n’est pas commun ». Je sens qu’elle est plutôt excitée que gênée.


Le lendemain, nous retournons au même endroit ; à l’heure du retour, je laisse partir Aline devant, sous prétexte de soulager un besoin naturel, et je retourne sur mes pas. Et cette fois-ci, je revois le même homme, mais équipé d’un appareil photo avec un zoom d’au moins 300mm. Aujourd’hui, il en a été pour ses frais car nous n’avons fait que lire. Je me dépêche de rejoindre Aline pour lui raconter ce que j’ai vu. À cette nouvelle, elle est toute émoustillée, car elle a appris à aimer le regard des autres sur son corps.

Nous allons nous doucher ; de retour à la tente, pendant que nous préparons le repas, Aline revient sur ce que je lui ai appris cet après-midi :



Je sens que cette histoire l’excite autant qu’elle l’intrigue et qu’elle se demande comment se passera le lendemain.



Elle me regarde d’un air surpris mais aussi intéressé ; elle s’épile de temps en temps, pour me faire plaisir, cela ne la dérange pas, au contraire, puisque j’aime çà ; par contre, elle ne l’a jamais fait dans un camp de naturistes, où elle est le plus souvent naturelle ; sauf, quand on vient un peu tard dans la saison d’été et qu’elle a du mettre un maillot par exemple pour aller à la piscine ou sur des plages non naturistes ; dans ce cas, elle s’épile les bords du pubis et les lèvres, pour pouvoir mettre des maillots étroits sans laisser passer des poils disgracieux.

L’idée à l’air de faire du chemin dans son esprit, car elle me demande :



Elle finit par me dire d’accord et me propose d’aller aux douches tard dans la soirée ; car les sanitaires sont unisexes et communs, il n’y a que 2 douches individuelles où il n’y a pas de porte.


Vers 22h00, nous nous dirigeons vers les douches, munis de nos serviettes ,de la crème dépilatoire et d’une paire de ciseaux ; de fait, il ne reste que quelques personnes aux douches ; Aline se dirige vers une des deux cabines individuelles situées au fond, donc un peu plus discrète ; je la suis, elle s’assied sur le tabouret et écarte les cuisses pour que je puisse opérer sans problème : c’est toujours moi qui effectue cette opération sur Aline ; je prends les ciseaux pour enlever le plus gros, puis étale la crème sur ses poils qui disparaissent sous la couche blanche.

Il faut attendre quelques minutes pour que le produit fasse son effet ; pendant ce temps j’admire le corps de ma femme et je comprends cet homme, qui veux la mater. Le temps écoulé, je prends la raclette plastique, fournie avec le produit, et commence à enlever la crème ; une femme arrive pour prendre une douche dans la cabine située en face, mais voyant ce que l’on fait, elle se ravise et passe dans les douches communes. Les naturistes sont discrets, heureusement car, comme chaque fois que j’épile Aline je commence à bander. Une fois la crème totalement enlevée, le sexe de ma femme apparaît, tout net, tout lisse, comme je l’aime. Aline passe sous la douche, pour enlever le reste de la crème, je la rejoins et la prend dans mes bras pour l’embrasser, puis je la retourne le dos contre mon ventre et ma main descend pour caresser son pubis glabre. Mon sexe grossi le long de ses fesses, mais ce n’est pas l’endroit pour aller plus loin, aussi je me calme sous la douche. Après nous être sécher, nous retournons vers notre tente.


A peine arrivés dans notre tente, je commence à caresser Aline ; elle aussi est excitée, car elle descend sa main directement sur mon sexe et me dit :



Je la pousse gentiment sur le matelas mousse et lui caresse les seins qui s’érigent très vite ; je descends vers son pubis que je caresse pour apprécier la douceur, c’est super. Je dirige ma tête vers son sexe et entreprends de la lécher ; Aline adore cette caresse et elle écarte aussitôt les cuisses, je titille son clitoris avec ma langue, puis je descends vers sa grotte d’amour. Pendant que je rentre ma langue entre ses lèvres, comme un petit pénis, je saisis son bouton entre deux doigts ; elle ne tient plus et jouis une première fois. Elle me tire par les épaules, je présente mon sexe devant le sien et introduit juste le bout de mon pénis ; Aline passe ses pieds sur mes hanches et m’attire au fond d’elle. Elle vient au-devant de mes mouvements et malgré mon excitation je tiens, elle jouit une autre fois. Je la retourne à plat ventre, passe ma main sur son pubis tout lisse et pénètre sa grotte d’amour ; dans cette position je sens bien la douceur de sa peau, je peux caresser son clito ; je sens mon pénis qui fait des allers-retours, je jouis au fond de son corps.

Nous nous endormons tranquillement.


Au réveil, je me sens tout excité à la pensée de notre future après-midi, je suis déjà en érection. Je vais boire un verre d’eau. Le bruit de la fermeture éclair a réveillé Aline et quand je rentre dans la chambre, elle soulève sa nuisette et découvre son corps magnifiquement nu. Elle me demande :



Je me mets à genoux à côté d’elle et caresse son mont de vénus. Elle écarte aussitôt les jambes pour me donner accès à son intimité. Je m’empresse de passer la main sur ses lèvres lisses ; ensuite, je la lèche, avec pour effet de la faire mouiller intensément. Je remonte le long de son corps et lui embrasse les cuisses, le ventre, le nombril, les seins, le cou, les oreilles ; mon pénis se trouve à l’entrée de son puits d’amour et un coup de rein me fraye un passage aisé dans son sexe. Je fais des mouvements de va-et-vient qui nous entraînent sur le chemin de la jouissance.


Nous allons nous doucher ; Aline se retrouve pour la première fois plus nue que nue, en plein jour devant des quasi inconnus. J’aperçois quelques regards dirigés en direction de ma femme, très discrets comme d’habitude chez les naturistes. Les personnes connues, que nous croisons, nous disent bonjour sans remarque particulière. Pourtant elles ont du remarquer que mon épouse était épilée.


De retour à la tente, je demande à Aline :



Une idée a germé dans mon esprit : nous allons tendre un piège à notre paparazzi. Pendant que mon épouse s’exposera au soleil, je ferai semblant de retourner au camping et en m’éloignant des berges, je contournerai le bosquet où notre homme était caché, pour le surprendre en flagrant délit.

Je fais la proposition à Aline qui accepte, elle a très envie de connaître ce "voyeur".


Après une sieste calme, nous marchons en direction de "notre plage". Je peux dire "notre" car je n’ai jamais vu quiconque aussi loin des lieux habituels de baignade. En chemin, j’admire la plastique de ma femme, ses petites fesses qui bougent sous mon nez ; un moment je la dépasse, pour la voir arriver vers moi, en plein soleil, les seins et la naissance de sa fente intime bien éclairés. Nous nous installons et allons nous baigner, ce qui est l’occasion pour moi de caresser à nouveau le corps d’Aline dont je ne lasse pas ; la douceur de son ventre est vraiment sublime. Après nous être mutuellement enduits de crème solaire, nous prenons chacun un livre et profitons de la chaleur.

A peu près une heure plus tard, où nous avons alterné baignade, lecture, caresses, je dis à mon épouse :




Je remets mes tennis et prends le chemin du retour, dès que suis caché, j’oblique dans les bois et contourne "notre plage". Protégé par les arbustes et le bruit de la rivière, j’arrive le long de la berge. Je continue mon chemin et quelques dizaines de mètres plus loin : il est là, assis sur une pierre, son appareil photo en bandoulière. Il observe à travers le feuillage. Je le surprends au moment où il allait porter son appareil à l’œil. De surprise, il se lève d’un bon et dès qu’il me reconnaît se met à rougir en balbutiant des excuses. Je le rassure aussitôt :



Il est plus grand que moi, bien musclé les cheveux châtains, le type même qu’Aline trouve beau, même si elle préfère les blonds (comme moi.)


Je l’entraîne vers Aline. Elle est train de se caresser, une main sur les seins, l’autre sur son pubis. Je l’appelle, elle ouvre les yeux et se relève. Je nous présente :



Je propose de nous asseoir sur nos serviettes. Je m’assieds sur la serviette d’Aline se met à ma gauche, Philippe s’assied sur la mienne ; il est presque face à mon épouse, comme elle est assise en tailleur, il a une vue plongeante sur son entrecuisse. Je lui demande :



Question inutile, il est tout nu.



De se sentir admirée et complimentée a toujours plu à Aline et je sens que la mise en scène que nous avons faite à Philippe ne l’a pas laissée indifférente ; ses mamelons s’érigent imperceptiblement. Je décide de provoquer les réactions de Philippe :



Au ton de sa voix, je sens que l’excitation monte, je caresse un sein à l’aréole durcie et descend vers son ventre que je trouve mouillé. La réaction de Philippe ne se fait pas attendre, son sexe durci. À cette vue Aline tend la main vers lui et demande :



C’est la première fois depuis que nous nous connaissons Qu’Aline touche un autre homme.

Elle pose une main vers son engin qui a pris une taille respectable. Délicatement, je la saisis par les épaules et l’allonge sur la serviette. Elle tient toujours le pénis de Philippe dans la main. Je commence par lui lécher les seins, puis descends vers son minou, je caresse son clito doucement, j’introduis un doigt ; je me mets à genoux devant elle pour la lécher, ma langue fais le tour de ses lèvres humides qui s’écartent d’excitation ; je remonte et la pénètre de mon sexe tendu.

Pendant ce temps, elle a continué à caresser Philippe qui semble au bord de la jouissance. Il prend son appareil et fait quelques clichés.

La position ne doit pas satisfaire Aline, car elle me repousse doucement et me dit :



Je m’allonge, elle se met à genoux au-dessus de moi et dirige mon sexe vers l’entrée de son puits d’amour. Elle attire Philippe vers elle et lui procure un début de fellation.

Puis elle lâche Philippe, se penche vers moi et me dit à l’oreille :



J’acquiesce, un peu surpris car d’habitude elle ne goûte pas trop la sodomie.

Elle se relève et dit à Philippe :



Le tutoiement montre son excitation, mais Philippe se récuse car il n’a pas de préservatif. Il lui caresse les fesses et introduit un doigt dans son étroit conduit. Elle jouit presque tout de suite . Elle se met sur le côté et m’attire derrière elle, elle dirige mon sexe vers son anus et pousse pour le faire entrer. Son excitation est telle que c’est la première fois que je rentre aussi bien dans son petit trou. À coup de reins j’entame des va-et-vient, Philippe se met à genoux devant son sexe et lèche son clito et ses lèvres toutes lisses, puis je sens qu’il met un ou deux doigts dans son vagin. Aline jouit encore une fois et moi, de la sentir toute mouillée, ouverte partout j’éjacule au fond de ses entrailles. Aline jouit encore.


Elle se met à genoux et continue sur Philippe la fellation qu’elle avait commencée. lui aussi est très excité car je vois Aline qui recule la tête et continue le mouvement avec les mains, Philippe jouit à son tour.

Nous nous reposons quelques minutes en silence et Aline propose à Philippe de lui acheter ses photos. Il refuse mais nous donne la pellicule en nous demandant de lui envoyer des tirages si cela ne nous dérange pas.

Nous allons nous baigner et rentrons à la tente. Nous passons à l’endroit où était sa compagne, mais elle est partie, certainement pour commencer à ranger leurs affaires car ils partent le lendemain de bonne heure.

En fait, les photos nous leur avons envoyées par courrier électronique. Nos relations épistolaires se sont arrêtées là, jusqu’à l’été 2002,où nous nous sommes revus, mais cela est une autre histoire.