n° 06791 | Fiche technique | 10281 caractères | 10281Temps de lecture estimé : 7 mn | 01/09/03 |
Résumé: Un couple marié fait l'amour au domicile conjugal, tout simplement. | ||||
Critères: fh couple intermast pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Véronique D (Véronique) |
Après une soirée calme à regarder des choses inintéressantes à la télé, comme beaucoup de couples, nous passons par la salle de bain, je me lave les dents pendant que mon mari prend sa douche (je préfère la prendre avant de dîner). En général, je me couche la première, à gauche du lit, c’est immuable, et mon mari me rejoint. Comme beaucoup de couples, nous n’avons plus grand chose à nous dire, un petit baiser par habitude et on éteint la lumière.
Je reste couchée sur le dos en attendant que le sommeil vienne puis, je me tourne sur le côté et je m’endors assez vite.
Il arrive quelques fois que pendant que je suis sur le dos, la main de mon mari vienne se poser sur mon ventre. Je comprends alors qu’il a envie d’autre chose que de dormir, faire l’amour par exemple.
Là, il y a deux solutions :
Je n’ai pas envie, je me tourne, il comprend et me laisse tranquille.
On est samedi… Non, je dis n’importe quoi, ça marche aussi avec n’importe quel autre jour. Ah bon, pour vous, c’est toujours le samedi soir ? Et seulement une fois par mois ? Pas de chance !
Bon, donc, je suis sur le dos et la main de mon mari vient de se poser sur mon ventre. Je ne bouge pas, c’est bon signe pour lui… Je sens la chaleur de sa main qui irradie sur mon nombril puis qui s’étend vers mon sternum et ma poitrine vers le haut et vers mon pubis vers le bas. Il sait que j’aime cette sensation et laisse sa main sans bouger pendant quelques instant. Je ne dis rien, je le laisse venir.
Et puis, il commence à bouger sa main, doucement, ses doigts cherchent mon nombril et quand ils le trouvent s’y enfoncent doucement, prélude à une autre pénétration. Sa main est douce et délicate quand elle commence à remonter vers mes seins. J’aime cette douceur et cette attention, depuis que je le connais, il en a toujours été ainsi. Sa main se pose sur mon sein et le presse doucement. Il remplit bien sa main, je fais du 95B de tour de poitrine. Ma respiration se fait un peu plus rapide lorsque ses doigts atteignent l’aréole puis commencent à pincer délicatement le téton qui déjà s’est érigé. Il le sent et sait que je commence à éprouver du plaisir. Il passe comme ça d’un sein à l’autre, et moi, je sens un certain émoi au fond de ma culotte. Ah oui, je n’aime pas dormir nue, je garde une culotte en coton bien confortable alors que dans la journée, je préfère les strings en dentelle…
Je suis toujours sur le dos et il vient s’allonger contre moi, je sens la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourt mon échine, mon ventre et remonte doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènent sur mon bras, remontent vers mon cou, caressent mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. J’aime ce moment, ces préliminaires qui durent et petit à petit embrasent mon corps et affolent mes sens.
C’est le moment qu’il choisit pour déposer de doux baisers, dans mon cou, sur mon front sur mes yeux que j’ai fermés pour intérioriser mes sensations, je me laisse faire, passive, je m’abandonne.
Sa main reprend l’exploration de mon corps, elle passe de mon épaule à mes seins sans trop s’y attarder cette fois puis descend plus bas, elle atteint mon nombril et ne s’y arrête pas non plus. Elle atteint ma culotte et glisse dessus sans y entrer, caressant mon mont de vénus à travers le tissus. Elle continue sa descente vers mes cuisses puis vers mes genoux. Elle remonte lentement à l’intérieur de mes cuisses, là ou la peau est si douce et si sensible, provoquant de nouveaux frissons avant de revenir se poser sur ma culotte empoignant mon sexe à pleine main. Puis elle se fait plus précise et j’entrouvre un peu plus les cuisses en signe d’assentiment. Il glisse une jambe entre les miennes, toujours allongé contre moi. Je sens son érection contre ma cuisse, lui, il dort nu depuis toujours. Sa main toujours posée sur ma culotte, descend vers ma grotte, je sens que le tissus est humide, lui aussi sans doute, il sait que j’attends. À travers le tissus, je sens son majeur appuyer plus fortement sur les lèvres de mon sexe, cherchant mon clitoris qu’il n’a pas de mal à trouver tellement il est gonflé et tellement il me connaît.
Sa bouche est restée active et de baiser en baiser est descendue jusqu’à mes seins. Il les mordille doucement sachant que je suis très sensible des pointes, je sais qu’il ne me fera pas mal. Entre temps, ses doigts ont écarté ma culotte et pénétré dans ma grotte. Il la trouvée trempée et chaude et c’est sans mal qu’il a posé un doigt sur mon clitoris qu’il titille maintenant. Il sait que je vais jouir de cette façon. De temps en temps, il mouille ses doigts en les enfonçant profondément dans mon vagin, j’ai écarté les jambes et c’est trois doigts qu’il arrive à y enfoncer avant de revenir caresser mon clitoris. Je sens la jouissance monter et exploser une première fois sous l’action de ses doigts sur mon clitoris et de sa bouche sur mes seins. Elle envahit mon ventre, vague de chaleur qui monte, mon corps est agité de soubresauts. Il y a des fois ou le plaisir confine à la douleur et je voudrais qu’il arrête sa caresse tout en souhaitant qu’il continue. J’ai l’impression que le temps s’est arrêté tellement le plaisir est intense.
Petit à petit, après la tornade, le calme se fait en moi. Mon mari continue à me caresser le ventre et les seins. Je sens toujours son érection encore plus ferme que tout à l’heure contre ma cuisse. Je la prends dans ma main et je commence à le caresser en faisant bien attention à ne pas irriter la peau si douce et si fine de son gland. Je soulève les fesses pour l’inviter à enlever ma culotte ce qu’il fait en déposant un baiser sur ma toison au passage. En reposant mes fesses, j’ouvre largement les jambes l’invitant à envahir mon compas. Il ne se fait pas prier et me prend dans ses bras. Il est maintenant tout contre moi. Je sens ses cuisses entre mes jambes, son sexe qui bat à l’entée du mien, son ventre contre mon ventre, sa poitrine puissante contre mes seins. Il a glissé ses mains sous mes épaules et me serre contre lui. Il m’embrasse d’abord doucement puis à peine bouche avec passion, je lui rends son baiser avec tout autant de passion, le corps à nouveau en feu. Je sens mon bassin onduler au rythme des baisers, j’ai envie qu’il me prenne. Je sens son sexe chercher l’entrée de ma grotte, mais il n’arrive pas à me pénétrer, alors, je glisse ma main entre nos deux corps soudés et je prends son sexe dans ma main pour le guider en moi. Il est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser mais je sais qu’il se retiendra pour éjaculer dans mon antre au moment qu’il aura choisi et quand il sentira que je suis sur le point de jouir aussi. Je sens son cœur qui bat dans son sexe, je le tiens bien en main et j’en profite pour caresser une nouvelle fois mon clitoris avec son gland, que c’est bon.
Puis, je le positionne à l’entrée de mon vagin et avance un peu mon bassin pour lui faire sentir que je suis prête. Je lâche son sexe et aussitôt, il commence à pousser et à me pénétrer. C’est une pénétration puissante, lente, je sens mes chairs qui s’écartent, j’aime cette possession de mon corps par mon homme. J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi. Ses mains m’ont prise aux hanches, je suis sa prisonnière, son objet de plaisir, j’aime sa domination. Son sexe est bien proportionné au mien, il peut aller aussi loin qu’il veut sans me faire mal. Il va-et-vient en moi, je sens son bassin venir au-devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. Je suis trempée, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Je sens son gland buter contre mon utérus tellement il me pénètre loin et pourtant j’ai envie de lui donner encore plus, aussi je relève les jambes et je les noues derrière ses reins. Mon bassin vient à sa rencontre chaque fois qu’il écartèle mon sexe, je sens ses testicules qui frappent mon entre jambes. Que c’est bon, mais que c’est bon… Nos corps en sueur qui s’embrassent, qui s’embrasent qui partent ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sens le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sens cette vague, cette déferlante qui va me déborder. Mon mari aussi a senti que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sens complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possède. Son rythme se fait plus rapide, il jouit, m’entraîne dans son sillage dans un plaisir indescriptible. Je crie mon plaisir, je le griffe dans le dos, je le sens qui éjacule, qui inonde mon vagin, un maelström nous entraîne dans un plaisir infini, celui de la chair, celui du sexe qui déchaîne les passions, nous ne faisons plus qu’un dans la jouissance.
Petit à petit, nous reprenons notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se séparent à regret. Je viens me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous trouvons le sommeil.
Voilà, c’était une scène de l’amour ordinaire chez un couple marié ordinaire. Pas besoin de position délirante, d’amour à plusieurs pour prendre du plaisir. Il est important de revenir à des valeurs sures. Puissiez-vous lecteur de ce texte retrouver votre femme ou votre mari et tout simplement avoir envie de lui faire l’amour ce soir tel que je l’ai raconté…
Je laisse mon Email, donnez-moi vos impressions sur ce texte.
Merci,
Véronique