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La leçon de conduite

Je me présente : mon prénom est thomas, j’ai 19 ans. Je suis grand (1m85), je pèse 80 kg (assez sportif), j’ai les yeux marrons et les cheveux blonds.

Je suis étudiant et j’ai profité du mois de juillet pour faire quelques petits boulots afin de me payer le permis de conduire.

A la fin juillet, je suis donc allé m’inscrire à l’auto école. Je fus accueilli par une très belle femme. Elle tenait l’auto école avec son mari et s’occupait des leçons de code et des tâches administratives. Son mari, lui, dispensait les cours de conduites. Sa femme était ravissante : environ 30 ans, blonde avec des yeux verts, 1m70 pour environ 55-60 kg, une poitrine assez volumineuse (90 ou 95) et un joli petit postérieur. Elle était vêtue d’une jupe courte qui lui arrivait un peu au-dessus du genou et d’un chemisier blanc qui était tendu par sa poitrine et qui laissait deviner par transparence un soutien-gorge de dentelle blanche. Elle était légèrement maquillée et du rouge mettait en valeur ses lèvres pulpeuses. Elle était terriblement sexy et je me réjouissais déjà de prendre les cours de codes avec elle.

J’étais donc devant son bureau et lui dis la raison de ma venue. Elle accéda à ma demande et se leva pour aller chercher un dossier d’inscription. Alors qu’elle s’éloignait, je ne pus m’empêcher de regarder ses fesses que sa jupe moulait. Puis elle s’accroupit devant un petit meuble en bois pour y prendre un dossier ce qui eu pour effet de tendre sa jupe et dénuder le bas de son dos pour me dévoiler un petit morceau de ces dessous. Et là je fus comblé : elle portait un string en dentelle blanche qui devait être assorti à ce qu’elle portait en haut d’ailleurs. Elle se releva, vint me rejoindre à son bureau et se rassit. Moi, les yeux encore remplis de la vision de son string, je fixais son bas ventre. Au moment où elle a croisé ses jambes, nouveau choc visuel, je pus apercevoir que ses jambes étaient gainées de bas couleur chair et entrevoir son entrejambe vêtu du string blanc. Je me posais mille questions. Le faisait elle volontairement ou pas ?

Elle me tira de mes pensées:

• — Tu es là mon petit Thomas, me dit-elle.
• — Oui, Oui, balbutiais je.
• — Voici le dossier que tu devras remplir et me redonner.
• — D’accord madame.
• — Pas de madame avec moi, c’est Virginie.
• — Comme vous voulez.
• — Bon maintenant regardons pour tes leçons. Tu peux venir pour le code tous les matins avec moi et le soir à partir de 18h00. Pour la conduite peux tu venir demain à 14h00.
• — Très bien, ça me va et je viendrais pour le code à 18h00.
• — Eh bien à demain, me dit elle avec un splendide sourire.
• — Oui à demain.

Je rentrais donc chez moi en ayant toujours à l’esprit la vue que Virginie m’avait offerte de son string. J’étais en vierge et cela m’avait excité, il faut bien le dire. Des copains m’avaient pourtant prévenu en me disant que cette virginie était une petite coquine mais je ne les avais pas cru car comme on dit, je ne crois que ce que je vois. Là, force était de constater que la situation était ambiguë et j’étais en droit de me poser des questions. Mon sommeil fut animé de rêves érotiques et assez agités.

Le lendemain, je me présentais à l’auto école pour ma leçon de conduite, et là je fus surpris de voir la femme de mon moniteur, Virginie.

• — Bonjour Thomas, me dit elle en souriant.
• — Bonjour Virginie. Je croyais que c’était votre mari qui donnait les leçons de conduite.
• — Normalement oui, mais il a un empêchement de dernière minute. Alors je le remplace. Ça arrive de temps en temps. Ça ne te dérange pas au moins?
• — Non pas du tout, et puis c’est ma première fois.
• — Alors en route.

Elle me fit signe de la suivre. Elle était aussi sexy que la veille. Elle portait une mini jupe blanche et un petit haut moulant vert clair qui mettaient en valeur la cambrure de son petit cul et sa poitrine. Ses jambes étaient gainées avec ce que j’imaginais être des bas comme la veille. Je la suivis donc jusqu’à la voiture. En la suivant, je vis qu’elle ne portait pas de soutien-gorge car je ne voyais pas de marque sous son haut. Par contre, elle portait un string car j’en distinguais bien la forme sous sa jupe. Rien en haut, un string en bas, Virginie serait elle la petite coquine décrite par les copains pensais je en moi-même.

Nous montâmes à bord de la voiture. Sa jupe remontait haut sur ses cuisses quand elle était assise et je pus découvrir la lisière de ses bas.

Après les présentations de bases sur la voiture et les précautions à prendre, je mis le contact. Je réussis à partir après avoir caler quelques fois. Nous roulions doucement et parlions ensemble. De temps en temps je tournais la tête vers Virginie pour regarder ses jambes et ses seins qui pointaient légèrement sous son petit haut moulant. À chaque fois elle me souriait et je lui rendais, mais me disait:

• — Concentres toi sur la route et la conduite Thomas.
• — Oui, répondis je.
• — Dans 1/4 d’heure nous ferons une pause.
• — Ok, tu me diras où me garer.

Nous étions maintenant sur les petites routes de campagne, et le 1/4 d’heure passé, elle me dit:

• — Prends à droite dans ce petit chemin. On ne peut pas se garer sur la route et il n’y a pas de parking dans le coin.
• — D’accord.

J’ai donc engagé la voiture dans le petit chemin en terre. Après 100m environ, Virginie me dit de stopper la voiture. L’endroit était calme et désert. Je ne me sentais pas trop pas l’aise de la situation et en plus j’avais une érection qui me tenaillait depuis le départ. Elle brisa le silence:

• — Alors mon petit Thomas, comment se passe ce premier contact avec la route.
• — Pas trop évident au début mais ça va.
• — Tu as l’air tendu tout de même et je crois que tu as du mal as te concentrer sur la route par moments, non?
• — Oui peut être un peu.
• — C’est moi qui te trouble comme ça, me dit elle en se tournant vers moi.
• — Oui, répondis je timidement en baissant la tête et en rougissant.
• — Ne t’en fais pas. Tu sais j’ai remarqué tes regards. Dis moi ce que tu regardais tout à l’heure. Et sans mentir.
• — Je regardais vos fesses, vos jambes et vos seins, lui dis je doucement.
• — Et ça te plait?
• — Oui bien sûr, mais j’ai un peu honte.
• — Laisses moi vérifier quelque chose…

Elle se rapprocha de moi et posa sa main sur ma braguette et massa doucement mon entrejambe en constatant mon érection.

• — C’est bien ce qui me semblait, petit coquin, me dit elle en me regardant dans les yeux.

Je te fais même un sacré effet. Tu as envie de moi on dirait.

• — Oui mais je ne sais pas trop quoi faire car je ne l’ai jamais fait.
• — Eh bien je vais t’apprendre mon cœur. Laisses toi faire.

Elle pris ma main et la posa sur un sein et me dit de faire pareil avec l’autre. Je mis donc mes mains sur ses seins et j’ai commencé à les malaxer doucement. Ils étaient très fermes et je compris pourquoi elle n’avait pas de soutien-gorge. Je sentais les tétons au travers de l’étoffe et visiblement elle commençait à être excitée car ils durcissaient de plus en plus.

Sa main était toujours en train de me masser par-dessus mon pantalon. Je bandais comme un fou.

• — Attends, me dit elle en retirant son haut. Tu vas maintenant venir les voir de plus près et leur dire bonjour.

Elle avait maintenant les seins dénudés. Ils étaient magnifiques, en forme de pomme avec des auréoles assez claires et des gros tétons qui pointaient. Je me penchais vers elle et pris une de ces pointes dans ma bouche. Je le tétais et le mordillais. Elle appréciait visiblement ma caresse car elle gémissait tendrement en basculant sa tête en arrière.

• — Continues mon chéri et descend ta main, me dit-elle.
• — D’accord mais occupe toi de moi s’il te plaît, lui répondis je.
• — Ne t’inquiètes pas mon cœur, je vais bien m’occuper de toi.

Sa main dégrafa alors mon pantalon (elle est d’ailleurs très habile et doit y être habituée pensais je) et plongea lentement dans mon caleçon.

Elle attrapa mon sexe tendu et le libéra de sa prison. Elle commença alors à me masturber et moi je commençais à descendre ma main vers ses jambes.

Je pose ma main sur sa cuisse et je sens que Virginie s’ouvre à moi pour m’encourager à aller plus loin. Je remonte à l’intérieur de ma cuisse, passe sur la lisière de son bas, et arrive finalement à son entrejambe. Je constate alors qu’elle est trempée. Tout en continuant de me branler elle me demande de lui retirer son string. Elle soulève ses fesses du siège et je lui fais coulisser jusqu’au bas des chevilles et lui retire.

• — Il est tout mouillé? lui dis je.
• — Oui mon cœur et c’est toi qui m’excite comme ça, tu sais. Viens vérifier toi-même.

Elle repris ma main comme tout à l’heure et la planta dans sa chatte toute humide en me demandant d’y introduire mes doigts et de les faire aller et venir. Elle recommença à me masturber. Nous nous branlions mutuellement. Je trouvais seul son clitoris car lorsque je passais sur ce petit morceau de chair, je constatais qu’elle prenait beaucoup de plaisir.

Puis, alors que je la branlant de plus belle, elle se pencha vers moi et me dit:

• — Tu vas voir, je vais te faire plaisir. Et elle prit mon sexe dans sa bouche pour me sucer.
• — Oh oui, vas y. J’en rêve depuis longtemps et vue la bouche que tu as, tu dois être douée pour ça.

J’avais perdu toute ma timidité et mes paroles l’ont encore excité un peu plus. Elle me pompait divinement et enfournait ma queue entière dans sa bouche. Sa langue tournait autour de mon gland et ses lèvres serraient bien sur toute ma hampe. À ce rythme, je ne tins pas longtemps et je lui envoyais tout mon jus dans la bouche. Elle avala tout mon sperme sans en perdre une goutte. Elle me nettoya le sexe en remonta pour m’embrasser à pleine bouche.

• — Ça t’a plu mon chéri?? me demanda t elle.
• — Oui c’était super.
• — Huummmm je vois que tu ne débandes pas. C’est bien d’être jeune. J’en connais qui t’envieraient.
• — Ton mari…
• — Oui il n’a plus ta vigueur à son âge. Mais viens dehors. Tu vas me baiser maintenant.

On sortit de la voiture et vint se pencher sur le capot. Elle m’a demandé de la goûter avec ma langue. Je ne me fis pas prier. Je retroussais sa jupe sur ses hanches et me mis à genoux derrière elle. Elle se cambrait au maximum pour me présenter sa croupe. J’avais vue à la fois sur sa chatte et sur son petit trou plissé. Je lui ai pris les fesses dans mes mains et ai commencé à la besogner sans retenu avec ma langue. Je lui titillais le clitoris et explorais l’intérieur de son vagin. Puis elle me demanda de remonter. Je compris qu’elle voulait que je lui lèche sa petite entrée étoilée. Je fus un peu surpris et hésitais

• — Alors mon cœur, tu ne veux plus apprendre, me dit elle.
• — Si, mais c’est un peu spécial quand même.
• — Ferme les yeux et vas-y, j’adore qu’on me lèche le petit trou tu sais.
• — D’accord petite cochonne, lui dis je en fermant les yeux et pointant ma langue vers son puits secret.
• — Hummm Oouuuiii continues, rentres ta langue, dilates moi bien, fouilles moi plus loin.

Je m’appliquais à rentrer ma langue le plus loin possible. Elle était vraiment cochonne et jouissait du cul. Moi, j’alternais entre son cul et sa chatte et je la fis jouir 2 fois sous mes coups de langues.

Puis elle me demanda de la prendre. Je me redressais et vint me positionner derrière elle. Elle passa sa main dans son dos et me dit :

• — Tu n’as pas débandé mon cœur. C’est parfait.
• — Peux tu me guider?
• — Bien sûr, fit elle en positionnant ma queue à l’entrée de sa grotte humide. Vas y maintenant rentres dedans et baises moi.
• — Huummmmmmm soupirais je en la pénétrant et en la saisissant par les hanches.
• — Oui baises moi bien. Je te sens bien en moi. Mets la moi tout au fond. Elle est bonne ta queue.
• — Tu aimes te faire baiser par les jeunes élèves que tu emmènes en voiture, hein??
• — Oui, fais moi jouir. Mets-moi un doigt dans le cul en même temps. Prépares moi et encules moi.

J’en ai rapidement conclu qu’elle préférait se faire enculer plutôt que se faire prendre par-devant. Je la pistonnais malgré tout et lui ai planté mon index dans le cul. Je commençais à bouger mon doigt quand elle eut un orgasme. Comme tout à l’heure elle jouissait du cul cette cochonne. Je lui ai ensuite mis 2 puis 3 doigts. Elle fut vite dilatée et prête à me recevoir. Je présentais donc ma queue et comme précédemment je poussais doucement pour la pénétrer. Ce fut un peu plus difficile car elle avait le cul étroit mais je réussis à rentrer entièrement. Ma queue était bien serrée dans son petit cul. Elle criait son bonheur et prenait visiblement son pied. Je ne fus pas long à me vider au fond de son fondement. Après quelques minutes, je me retirais et elle s’agenouilla pour me prendre en bouche et me nettoyer le sexe.

Nous nous rajustâmes et on reprit la route pour l’auto école.

Virginie m’avait dépucelé et fait découvrir plein de choses.

Je venais de réaliser que ce que m’avaient dit les copains était vrai: Virginie était une coquine et même une sacrée cochonne.

Depuis j’ai de nouveau eu une leçon de conduite avec elle et ce fut une partie de jambes en l’air mémorable. Et moi je me débrouillais de mieux en mieux mais pas forcement en conduite……