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n° 06794Fiche technique25002 caractères25002
Temps de lecture estimé : 15 mn
01/09/03
Résumé:  Une amant virtuel rentre chez sa maitresse et lui fait goûter aux plaisirs dont ils avaient tant parlé.
Critères:  fh inconnu bain voir massage intermast fellation cunnilingu fsodo fouetfesse ecriv_f
Auteur : Caro Lynn  (Amant virtuel qui devient réalité)
Juste un fantasme


8 heures, finalement à la maison! Comme je mettais la clé dans la porte, je pouvais déjà me visualiser étendue dans mon lit, entourée de couvertures, les yeux fermés. L’idée même me faisait sourire. La nuit avait été longue au travail et tout ce que je désirais présentement c’était un bain…plein de bulles….Et un couple d’heures de sommeil bien mérité.


Tranquillement je me dirigeais vers la salle de bain. Cette dernière avait tout le confort nécessaire pour relaxer. J’ouvris l’eau du robinet et alla chercher ma robe de chambre dans la pièce adjacente. La maison était tellement calme, tout le monde était soit à l’école, soit au travail. J’avais la maison pour moi toute seule pour au moins huit heures et je savais exactement ce que j’allais en faire. Dormir…


Tranquillement je commençais à me déshabiller. Un à un, je défis les boutons de mon chemisier…pour ensuite le laisser tomber sur le sol. Sans me presser je descendis la fermeture éclair de mon jeans et les fis glisser le long de mes jambes. Comme j’aimais la sensation de liberté que pouvais me procurer cette nudité partielle.

Du coin de l’œil, j’aperçus ma réflexion dans le miroir et je me suis mise à sourire. Un sourire qui était presque devenu ma marque de commerce, mais au même instant une autre idée me traversa l’esprit en me regardant.



Ne changeant pas de place, je commençais à libérer mes cheveux des épingles et attaches qui les retenaient prisonniers. Une cascade de cheveux tomba littéralement sur mes épaules et mes reins.



Continuant à me regarder, je retirais mon soutien-gorge. Personne ne pouvait m’appeler Twiggy. Je portais du 36 D et malgré leur lourdeur, j’étais très fière de leur apparence. Fermes et blancs, leur forme ils étaient couronnés de mamelons qu’on aurait pu comparer à des cerises sur un sundae.


Mes yeux, se dirigeant plus bas, s’arrêtèrent sur un estomac plat, résultat d’exercices rigoureux, puis continuèrent leur chemin jusqu’à ma chatte, toujours cachée par une paire de petite culotte blanche en dentelle. Continuant à me regarder, je les fis glisser jusqu’au sol, et presque inconsciemment, ma main glissa entre mes jambes, sentant la chaleur de mon nid d’amour. Fermant les yeux, je laissais mes doigts trouver mon clitoris, le frottant doucement. Hummm, tellement une bonne sensation.


J’ouvris mes yeux juste à temps pour réaliser que mon bain était plein. Fermant les robinets, j’ouvris la music du radio, et me laissa glisser dans l’eau chaude. Bizarre, la chaleur de l’eau fit que mes mamelons durcirent tellement, qu’ils en étaient presque douloureux


Je pris la débarbouillette et la savonnai bien. M’étendant dans le bain de tout mon long, j’entrepris de me laver le visage. Les yeux fermés les protégeant ainsi du savon, j’eus une impression étrange de ne plus être seule. Il y avait quelqu’un dans la pièce. Je le sentais. J’essayais d’écouter, mais mon cœur battait tellement fort que c’était impossible à faire. Soudainement, la débarbouille me fut arrachée des mains. Mon cœur battait à tout rompre et ne pouvant pas ouvrir mes yeux à cause du savon, je savais que celui ou celle qui était la pouvait faire n’importe quoi. La peur et l’anxiété faisaient que je tremblais comme une feuille. Mes mains fébriles cherchaient inutilement quelque chose pour essuyer mes yeux.



Malgré la panique qui m’enveloppait, mon cerveau essayait d’analyser la situation. Cet homme me connaissait puisqu’il m’avait appelé par mon nom.



Je voulais ouvrir les yeux. Mais l’ordre qu’il murmura à mon oreille me fit changer d’idée



J’obéis. La radio jouait ’ I don’t want to miss a thing’ et je me suis dis’ méchant temps pour jouer cette chanson’

Tout à coup, un son, avec une implication beaucoup plus grande que le son lui-même, me fit tressaillir. Il se déshabillait. Il fit tomber sa ceinture sur le sol. Retira ses souliers. baissa sa fermeture éclair et..


Oh, que faisait-il, je n’entendais rien d’autre que sa respiration.

Le silence me terrifia. Soudain, je le sentis se glisser derrière moi dans l’eau. J’étais abasourdie et……excitée. Ma respiration était rapide et cela provoquait un léger étourdissement.

Sa voix, rauque, murmura, Ne t’inquiète pas mon Amour, je ne te ferai pas de mal….


Mon cœur battait à tout rompre sentant sa masculinité durcie derrière moi. Approchant ma tête sur sa poitrine, il se mit à m’embrasser dans le cou, doucement. J’entendais sa respiration, régulière, qui confirmait qu’il était en parfait contrôle de ses sens.

Pendant quelques secondes cela me rassura, quelques secondes seulement, car de sa voix profonde avec un léger accent il dit : Je vais couvrir des yeux, mais n’es pas peur, je te promets que tu aimeras.

C’était trop. J’essayais de me lever, il me retient. J’essaya de me retourner pour voir qui il était, il m’en empêcha. Les larmes se mirent à couler silencieusement et il mit le bandeau. J’étais terrifiée.

Il murmura,



En disant ces paroles, il prit le savon liquide et en laissa couler sur mon cou. D’une main se mit à masser mon cou, mes épaules doucement. Ses mains descendirent vers mes seins. Le savon les rendait glissants, ses caresses excitaient mes mamelons. Il les roulait entre ses doigts, les sensations qu’il me faisait sentir étaient bien au-dessus de tout ce que je n’avais jamais ressenti. Plus il les caressait, plus durs ils devenaient. C’était électrisant. Je sentais son souffle et sa verge dur derrière moi, et sans m’en rendre vraiment compte je poussais sur lui pour le sentir encore plus.



Il était si tendre avec moi, si doux, personne ne m’avait jamais fait sentir comme ça.


Puis doucement ses mains descendirent vers mon estomac, ses mains toujours pleines de savons, toujours aussi glissantes, toujours aussi caressantes. Doucement, il posa sa main sur mon nid d’amour, jouant de ses doigts au travers ma toison. Je sentais la chaleur de sa main chaude…s’appuyer fortement sur ma chatte, la forçant légèrement à s’entre ouvrir. Son majeur, trouvant mon bouton d’amour se mit à le frotter, à l’agacer, glissant de haut en bas et de bas en haut, provoquant des pulsations qui me faisaient perdre contrôle.


J’étais sans défense, assommée par le savoir de cet homme. Il savait exactement comment et ou me toucher. À croire qu’il me connaissait intimement. Et même très bien, je dois admettre


Sa main, laissant ma chatte en feu, il se leva et dit : donne-moi la main. Je la lui tendis. Je savais sans aucun doute qu’il ne me ferait pas de mal. Il me souleva comme on soulève un enfant. Il me vient à l’esprit qu’il devait être assez fort. Je sentis sa main frôler mon mamelon durci, As-tu froid? Je fis non de la tête sentant qu’il sortait de la salle de bain.


Je restais silencieuse, essayant de figurer dans quelle pièce nous étions. Je devais être trop muette car il me dit : Ne t’inquiète pas, amour, laisse toi aimer. Nous descendions des escaliers, donc nous étions dans le salon. Il fit quelques pas et descendit un autre escalier. Donc il m’amenait dans la salle d’ordinateur, je devrais dire salle de jeu car on y retrouvait aussi la table de billard, des fauteuils et le téléviseur. Doucement, il me glissa le long de son corps me laissant sentir son membre dur et rigide, pour me déposer sur le divan. D’une main délicate, il repoussa une mèche de cheveux de mes lèvres. Son touché m’électrisait. Je voulais savoir qui il était. Levant la main pour retirer le bandeau, il m’en empêchât en la guidant sur son torse nu….Ma main, prisonnière de la sienne sentais son cœur battre dessous sa poitrine. Il ne bougeait pas, mais sa respiration changea. Son battement de cœur changea, ou était-ce le mien. Je ne savais pas. Sans laisser ma main, il s’agenouilla au côté du divan, et même si son corps ne me touchait pas, je sentais sa chaleur.


Soudainement il lâcha ma main, et me toucha le visage très lentement, contournant ma figure d’un seul doigt. Sa caresse si délicate faisait que je ne voulais pas qu’il arrête. De haut en bas, mes yeux, mon nez, mes lèvres, chacun était toucher comme s’il dessinait un dessin invisible. Son index, glissant sur ma lèvre me brûlait. Je voulais plus. J’ouvris ma bouche et son doigt y pénétra, caressa ma langue. Jamais on ne m’avait aimé comme cela. Ma langue enveloppa l’intrus, et je me mis à le lécher doucement, à le sucer. C’était fou, mais c’était comme si j’embrassais son doigt et qu’il retournait mon baiser. Ma chatte se mouilla instantanément de ce geste érotique. Je savais qu’il ressentait la même chose car je l’entendais se plaindre silencieusement comme s’il ne voulait pas que je l’entende. Son doigt quitta ma bouche et descendit ma gorge. Il n’avait pas encore touché mes seins, mais mes mamelons étaient durcis par l’anticipation. Je les sentais douloureux. Je voulais qu’il me touche, je voulais sentir ses mains sur ma poitrine. Il s’arrêta. Pourquoi s’arrêta-t-il? Soudain le danger de la situation m’apparut clairement. Je devais être complètement folle. J’étais complètement nue, dans mon sous-sol, seule pour au moins un autre 6 heures…si pas plus….et un homme nu, me caresse. Le pire, c’est que je ne voulais pas qu’il s’arrête.. Tout à coup, son doigt continua son étrange caresse, et mes craintes fondirent comme de la neige au soleil. Contournant doucement la forme de mes seins, de mes mamelons…J’arquais le dos, voulant le sentir encore plus. Il se mit à rire. Un rire venant du cœur.



Et sans avertissement il pressa ses lèvres sur les miennes, doucement, presque juste un frôlement, il me touchait à peine, mais juste assez pour que j’en veuille plus. Il goûtait frais, pourtant bouillant, épicé, et même si je n’avais aucune idée qui il était, je le voulais, je le voulais maintenant. Mon corps entier criait mon besoin.

Je levais la main, et il l’attrapa, la porta à ses lèvres. Sa langue léchait chacun de mes doigts, pour finalement envelopper mon index avec sa langue tel que je lui avais fait. Mon corps entier frissonna. C’était tellement sensuel que cela me semblait d’un autre monde. Sa langue touchait, m’enveloppait, sa salive chaude, avait un effet direct sur ma vulve. J’étais trempée.


Sans réfléchir, ma main libre glissa sur son sexe. Il ne retira pas ma main. Subtilement je me mis à le caresser, j’avais peur que si j’y allais trop fort il m’en empêcherait. Je sentais les pulsations dans son membre. Je serrais doucement et commença à le masturber. Après quelques instants, je fis ma caresse plus pressante. Il mit sa main sur la mienne et dit : « Arrête ».


Je lui souris, et d’un souffle rapide dit : « Je veux que tu viennes. Je veux que tu viennes sur moi. Je veux sentir ta semence sur mes seins, mon visage, mon corps », et d’une voix encore plus douce, je rajoutai, « s’il te plait ».


Sa respiration était difficile. Son cœur battait assez fort que je l’entendais. Mon imagination roulait à vive allure. Je me croyais en contrôle de la situation. Erreur. Me soulevant sur un bras, je me penchais, sachant exactement ce que je voulais et ou j’allais malgré la noirceur provoquée par le bandeau. Je laissa ma langue glisser sur mes lèvres, faisant certaine qu’elles étaient humides, et sans avertir je me penchais sur son sexe. L’odeur salée de sa semence me guidait. Je voulais le goûter. M’approchant de lui, j’entrouvris mes lèvres et touchai la tête de son pénis. Je le sentais frissonner. Doucement je laissais ma langue encercler son gland, pour ensuite le glisser entre mes lèvres. Je le sentais fébrile, prêt. Je le sentais sur le bord d’éjaculer. Je le poussais au fond de ma gorge, pour ensuite l’en ressortir…que pour mieux le repousser au fond. Je l’aspirais doucement au début, mais quand il se mit à râler, je ne pouvais m’empêcher de le sucer à fond. Je l’aspirais, le suçais, le tétais, profondément, à un point tel que je pensais m’étouffer. Je le sortis à nouveau pour mieux le lécher, quand il dit. :



Sa voix était tremblante, et même si je ne le voyais pas, je le savais hors contrôle. Je savais que si je voulais je pouvais le faire venir à cet instant. Et cela m’excitait au plus haut point. Je me mis à lécher son gland comme un chaton, un bol de lait. Ma langue le frappait à chaque toucher. À peine quelques coup de langue étaient donnés que le goût salé m’avertissait que je serais bientôt récompensé. Je le sortis de ma bouche et dit, Viens sur moi. Enlève-moi le bandeau et viens sur moi, s’il te plait.

Il mit ses mains sur mes épaules et je sentis sa respiration changer encore une fois. Il était de nouveau en contrôle de lui-même.



Mon cerveau cherchait désespérément. Qui est-il? Il savait mon nom, ce que j’aimais.

Qui savait autant de choses sur moi? Il était vrai que j’étais assez ouverte, et autant que possible évitait de mentir. Mais ses propos suggéraient que nous avions beaucoup parlé de sexualité, et cela raccourcissait de beaucoup la liste des possibilités.



Il répéta la question. Est-ce vrai? Je ne voudrais pas faire quelque chose qui te déplait.. Réponds-moi Caro!



Je me sentis rougir en disant ces mots. J’aimais le sexe, et il semblait très bien le savoir.



Je restais silencieuse.



Sans avertissement, il me souleva et je me suis ramassé à plat ventre sur ses genoux.

J’étais nerveuse….et excitée.

Sa main se promenait sur mon derrière, doucement, comme s’il réfléchissait comment me punir. Il caressait chaque fesse, les effleurant.



Je n’arrivais pas à répondre. Mon estomac était noué par l’anticipation. Aucun mot ne pouvait sortir de ma gorge.

Il répéta encore….Je n’ai pas le choix, tu le sais. Réponds-moi.



Je fis oui de la tête, et la première claque tomba. Pas vraiment forte mais assez pour que mon cul pince légèrement.



Je fermais mes yeux, et la seconde arriva. Pas plus forte, mais mon derrière se réchauffait étrangement vite.



Il me claqua encore une fois, et il m’excitait au-delà de tout attente,

Ma chatte se mouillait. Et à chaque claque se mouillait encore plus.



Mon cul était rouge, bouillant, ma vulve convulsait d’excitation. Je voulais qu’il me prenne. Mais les claques continuaient à pleuvoir.



Mon corps était en feu. Il s’arrêta. Soudain sans avertissement il se pencha et se mit à lécher mes fesses marquées comme s’il voulait en ôter la douleur. Sa langue courrait d’une fesse à l’autre, laissant sa salive calmer la douleur, puis, je sentis sa langue entre mes fesses, courrant d’un trou à l’autre, et revenant à son point de départ.

Je mourais de plaisir. Mon corps entier était enflammé. Jamais autant de sensation ne m’avait été donné.

Entre la fessée et sa langue j’étais au septième ciel. Je me plaignais, gigotais écartant les jambes lui montrant mon cul et ma chatte. Sa langue continuait à explorer. Il pénétra mon cul, je sursautai. Il fourrait mon cul avec sa langue, et ses mains massaient mes fesses.

Je mouillais sans aucun contrôle. Soudain sa langue quitta mon orifice et son doigt prit sa place…Un va-et-vient constant, il m’enculait. Je ne pouvais m’empêcher de pousser contre lui, je le voulais lui, sa queue, son sex.

Je l’entendis rire doucement.



Il poussa le gland vers mon trou, et arrêta, laissant mon corps s’ajuster à lui. Doucement je commençais à bouger, le forçant à me pénétrer plus profondément. À chaque balancement je sentais sa verge entrer plus profondément. Me remplissant, je pesais encore plus fort.

Il se pencha sur moi, et prit mes seins dans ses mains, pinçant les mamelons. Ils les roulaient entre ses doigts, et cela provoquait un plaisir immense dans ma chatte. Je sentais sa queue me remplir, mais je voulais plus. Mon nid d’amour était en feu.

Comme s’il pouvait lire mes pensées, il dit :



Il se leva, et me porta jusqu’à la table de billard, ou il me coucha.



Je retenais mon souffle. Je n’avais aucune idée ou il voulait en venir.



Je mouillais en abondance.



Doucement il écarta mes jambes, Je sentais son souffle frappé ma chatte. Je le voulais.



Il tiraillait mon clitoris, je devenais hystérique. S’il n’arrêtait pas, je viendrais immédiatement. Il s’arrêta.

Contournant la table, il s’approcha de mon visage et dit. Je veux que tu te souviennes de cette journée le restant de ta vie. Tous tes fantasmes auront été assouvis. Je veux que tu me suces, jusqu’à ce que je vienne. Et je viendrai sur toi, comme tu me l’as demandé si souvent..


Il grimpa sur la table et mit son pénis dans ma bouche. N’étant pas prêt, je passai proche de m’étouffée, car son phallus était épais, long et dur. Je me mis à le sucer, férocement, habilement. Je le caressais avec ma langue. Il se retira, et changea de position. Il me roula au-dessus de lui, écarta mes jambes et enfouie sa bouche sur le braisier brûlant qu’était ma chatte. Sa langue travaillait à m’exciter au maximum. J’en fis de même. Je trouvais ses couilles et me mis à les lécher sans hésiter. Sa queue entre mes seins, il se frottait contre moi. Je suçais ses bijoux de famille. Lui écartant les fesses ma langue continua son chemin pour pénétrer la parti la plus intime et privé de son corps. Il figea lorsque ma langue le pénétra. Il se mit à geindre et recommença à ce frotter entre mes seins. Je savais qu’il aimait les sensations que je lui procurais. Ma langue quitta le lieu interdit, et j’ouvris ma bouche pour goûter à ses couilles. Une après l’autre, je les fit entrer dans ma bouche, pendant que mon index se mit à fourrer son cul. Il se masturbait entre mes seins. Je bougeais les hanches, le sentant mordiller mon clitoris, Il continua à me lécher à grand coup, pour finalement lui aussi envahir mon anus avec sa langue. Il s’en servait comme une queue. Son menton frottant mon clitoris, pendant que sa langue me fourrait. Je croyais perdre conscience tellement le plaisir était intense. Il me défonçait de toutes les façons possibles. J’adorais la sensation de ses couilles dans ma bouche. J’adorais le mouvement de va-et-vient que je provoquais à lui fourrer le cul. J’adorais qu’il se masturbe entre mes seins. Il me fourrait et je le fourrais et finalement, son sperme en jet chaud arriva. Il vint sur mes seins, mon ventre. Les spasmes de mon corps enjoignit le sien, et comme un chaton assoiffé, il me lécha. Chaque goutte de ma jouissance fut sucée, avalé jusqu’à ce que les pulsations de mon vagin s’arrêtèrent. J’étais morte. Mes jambes étaient mortes. Je n’avais plus aucune énergie.

Je restais là, immobile, et il se leva. Je voulais enlever le bandeau de mes yeux mes mais bras ne répondirent pas à l’appel. Soudain, j’entendis une porte fermer, et le silence.


Je savais, qu’il était parti… et les larmes se mirent à couler.

J’enlevais finalement le bandeau et après quelques instants. Je vis qu’il avait écrit sur le bandeau même : « Je reviendrai, promis ».


Je fermai les yeux…et pleurai.