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Temps de lecture estimé : 10 mn
03/09/03
Résumé:  Les nouveaux voisins ont tout de suite attiré la sympathie de mon épouse
Critères:  fh fhh fagée extracon voisins gros(ses) voir exhib hmast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Francis Reski
Chassé-croisé


Est-ce l’effet d’une grossesse imaginaire, mais ma femme avait pris énormément de poids, à partir du moment où elle avait appris qu’elle ne pourrait jamais avoir d’enfant.

En quatre ou cinq ans, elle avait plus que doublé de volume, ce qui n’avait pas été sans lui causer d’énormes problèmes et engendrer dans son subconscient d’importants complexes.


Les premières années, Myriam s’était évertuée à nier cette obésité. Elle s’acharnait à mettre ses anciennes robes, quelque peu retouchées. Mais les boutons craquaient les uns après les autres, et on pouvait presque la suivre à la trace, comme le petit Poucet. Par la suite, après moult tentatives de régimes inefficaces, elle a dû se rendre à l’évidence et reconstituer sa garde-robe.

De mon côté, nonobstant ses opulentes rondeurs ou peut-être même à cause d’elles, je n’avais jamais cessé une seule fois de l’aimer. Elle n’était peut-être plus la Lara Croft que j’avais épousée, mais elle n’en demeurait pas moins, pour moi, très attirante.

Par la suite, elle a poussé le bouchon un peu plus loin. Etant donné qu’elle se détestait, elle a décidé encore de s’enlaidir. Elle s’habillait le plus tristement possible : couleurs grises, couleurs ternes, elle faisait tout pour se vieillir, pour paraître « vieille femme », pour paraître « mamie », minimum ménopausée, usée et austère !


Ses seins, déjà très gros au départ (ce sont eux qui m’avaient attirés au début de notre relation, lorsque nous nous étions rencontrés pour la première fois, lors de cette fameuse soirée !), ses seins avec de très larges aréoles très sombres, ses seins avaient encore gonflé. Et les aréoles étaient devenues encore beaucoup plus larges, encore plus excitantes, même si elles s’étaient quelque peu éclaircies.

Ses fesses énormes, ses hanches bien larges, son ventre obèse, ses poignées d’amour : pas une fois je ne l’avais trouvée laide ou disgracieuse. Bien au contraire, je la trouvais bandante et, sans relâche, je lui montrais mon désir.

Mais ce qui a tué l’amour, c’est cet acharnement qu’elle a eu à se désexualiser ! Elle se renfermait peu à peu sur elle-même, nos rapports s’espaçaient, elle refusait de plus en plus le contact, elle trouvait mille prétextes. Elle devenait triste et aigrie, je dirais même « résignée ». Et, pire que tout, elle avait perdu tout son humour, celui qui faisait d’elle une jeune fille libre, radieuse et épanouie, à l’époque de notre mariage.


Je crois que j’ai tout fait pour essayer d’inverser le courant, je tenais à ma femme et n’avais aucune envie d’en changer. Mais je dois dire que ses esquives répétées et le fait qu’elle ressemble de plus en plus à une petite vieille, et de moins en moins à une femme attirante, ont fini peu à peu par me décourager. À trente-cinq ans, elle en paraissait quinze de plus. Mais surtout, elle avait la mentalité d’une grand-mère : bouillotte sur les pieds et tricot à la veillée.

Sans être un mâle surpuissant, j’avais tout de même quelques envies. Mais, lorsque je la stimulais, il y avait toujours quelque chose : un mal de tête, un lever tôt, un « c’est pas le moment ».


Quoiqu’il en soit, jusqu’à l’hiver dernier, pas une fois je ne l’avais trompée.




C’est quand ces nouveaux voisins ont emménagé près de chez nous que tout a basculé. Lui, ex-militaire, rigide et obtus, venait d’être mis à la retraite. Elle, les cheveux grisonnants, paraissant encore plus âgée, dans son corps et dans sa tête. Elle faisait vraiment grand-mère.

Myriam s’est tout de suite prise d’amitié pour nos nouveaux voisins. Ils correspondaient apparemment à son âge psychologique et à l’idée qu’elle se faisait de sa personne. Il m’a fallu les inviter et sympathiser. Moi, de mon côté, je regardais ça de loin, n’ayant pas spécialement d’affinités avec les militaires ! Mais il me fallait faire risette, quelques sourires forcés !




J’ignore comment ça s’est passé la première fois, je crois que je devais aller faire une course et que j’avais oublié mon portefeuille, ou alors simplement la liste de ce qu’il fallait rapporter. Je suis rentré nonchalamment à la maison et c’est là que j’ai entendu crier : Ca venait du living, c’était indiscutablement mon épouse qui criait.

J’ai jeté un œil dans l’embrasure de la porte, elle était face à André qui, visiblement, la tenait.


Mon sang n’a fait qu’un tour, j’ai été sur le point de rentrer pour le tabasser, mais la claque qu’elle a aligné sur le visage de notre voisin m’a littéralement scotché sur place. Elle s’est reculée tandis que lui vacillait, et j’ai pu voir la poitrine de ma femme à moitié débraillée. J’étais une nouvelle fois sur le point d’intervenir mais… elle s’est mise à parler :



Il s’est mis à bougonner, mais sans tenter le moindre geste.



Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Ma femme désormais si pudique, à tel point qu’elle n’acceptait plus que l’amour dans le noir total, ma femme cette pantouflarde, la voici qui était en train de se dénuder prestement devant le voisin.

Et elle y allait franchement, tous ses complexes tout d’un coup évaporés, sortant langoureusement son énorme poitrine aux aréoles très sombres et n’hésitant pas à triturer ses nichons dans tous les sens : un spectacle auquel, pour ma part, je n’avais jamais eu droit d’assister.



Et dire que pour moi c’était l’amour à la papa !

André bandait et, contrairement aux dires de mon épouse, il semblait même pas mal pourvu, de quoi me donner des complexes.



Quelle vulgarité ! Elle qui n’était, d’ordinaire, que bondieuseries et signes de croix. Ce faisant, elle triturait ses mamelons, pour les exciter. Et elle tirait sur les bouts avec ardeur, comme pour les alonger.

Je ne l’avais jamais vu faire ça : d’ailleurs je ne l’avais jamais vu rien faire. Quelques minutes plus tard elle se les ait même tétés tout en regardant fixement la bite turgescente du voisin qui se branlait désormais de bon cœur. Désormais, il ahanait, il soufflait comme un buffle, et il ne perdait pas une miette du spectacle proposé par ma salope d’épouse.



Et c’est effectivement ce qu’il fit : il la fit cracher. Il finit effectivement par gicler, deux ou trois longs jets qui vinrent s’écraser bêtement sur la table basse. Ce gros porc, aucun respect pour mon intérieur !



Déjà, elle se rafistolait :



C’était sec et sans appel. D’ailleurs son amant protesta à peine. Je suppose que le glaçon en question c’était la voisine.





André à peine sorti, j’eus droit à un nouveau spectacle hallucinant : Ma femme penchée en avant sur la table basse, en train de la lécher consciencieusement la colle de l’autre ordure. Elle qui refusait depuis toujours d’avaler la moindre goutte de sperme !

Ensuite, elle s’est relevée, la bouche bien grasse du foutre de son amant et s’est enfuie vers la cuisine pour reprendre ses occupations normales.


En ce qui me concerne, j’ai rebroussé chemin sans faire de bruit. J’avais besoin de m’éclaircir les idées. Je suis rentré machinalement dans le bar PMU où parfois je vais faire mon tiercé. Et, tout aussi machinalement, je me suis laissé payer un verre par deux habitués qui m’étaient sympathiques.

J’étais déconnecté, la tête ailleurs, je n’ai pas suivi un traître mot de la conversation. C’était tellement nouveau, tellement surprenant. S’il y en a bien une que j’aurais crue incapable de la moindre tromperie, c’est bien mon épouse.


Je suis rentré une heure plus tard à la maison. J’ai dû me faire houspiller parce que j’avais tout simplement oublié les courses. J’ai essayé de déceler dans le regard de Myriam le début du commencement d’un soupçon. Mais rien, rien de rien, elle était comme à son habitude, froide, distante et impersonnelle, et surtout vieille… Personne n’aurait pu l’imaginer, en la regardant, en train d’exhiber ses gros nichons en face d’un vieux satyre et encore moins en train de lécher une table pleine de sperme.


Et la soirée au lit a été des plus calme : Madame ne devait pas être dérangée dans ses mots croisés. J’ai fini par m’endormir, l’esprit troublé !




Le lendemain matin, mon bol de café chaud et mes croissants étaient prêts, comme à leur habitude.


Dans la matinée, j’ai eu l’idée d’appeler chez André, j’étais désemparé et ne savais à qui me confier.

Je savais que le militaire passait toutes ses matinées à la pêche et j’étais certain qu’Anne-Marie (dit le glaçon) serait toute seule.

J’avais envie de tout lui raconter tous mes déboires mais, quand je l’ai eue au bout du fil, je n’ai pas osé franchir le pas. Elle m’a demandé pourquoi j’appelais, ce n’était pas dans mes habitudes, elle me sentait inquiet et troublé.



C’est ainsi que j’ai quitté mon travail en milieu de matinée… pour me rendre à deux pas de chez moi.




Anne-Marie était une grande femme poivre et sel, un peu potelée, plus sel que poivre d’ailleurs avec des rides au coin des yeux, une femme marquée par les années qui avait le mauvais goût de s’habiller encore plus mal que mon épouse et tout aussi tristement.

Elle me fit asseoir dans le salon et me tendit un verre :



J’ouvrais grand les oreilles. Et quand elle dit « et je sais qu’il va souvent la retrouver », je sus tout de suite qu’elle parlait de ma femme. Ce fut pour moi comme un second coup de poignard. Anne-Marie les avait vus plusieurs fois ensemble dans des situations sans équivoque.



Il y avait gros de sous-entendus derrière ces mots.



J’étais sidéré, une telle lucidité !



Et voilà presque qu’elle excusait ma femme. J’étais tombé dans un monde de dingues.





Ce faisant, elle était en train de déboutonner cet horrible chemisier en dentelle défraîchie, digne d’une maison de retraite. Elle se déshabillait sans plus de fioritures, semblant même ignorer ma présence.

Elle fit bientôt glisser sa guenille le long de ses gros bras potelés tandis qu’une main agile glissait derrière son dos. Elle ne tarda pas à dégrafer son soutien-gorge de supermarché. Des seins lourds oblongs, tombants, de longues poires molles aux bouts pointus qu’elle prit aussitôt à pleines mains.



Pour une révélation, c’était une révélation !

Fasciné par les touffes de poils qui sortait de ses aisselles, alors que mon épouse, elle, était toujours impeccablement rasée. Dire que je détestais les poils et que cette femme là me faisait bander !

Elle fit glisser sa jupe puis sa culotte de coton blanc. Elle avait deux grosses cuisses très charnues, presque aussi grosses que celles de mon épouse, deux jambonneaux et au milieu un buisson ardent avec cette fois quand même plus de poivre que de sel. Une touffe luxuriante, peut-être pas très épaisse mais de très longs poils qui partaient dans tous les sens.


Elle ne tarda pas à s’ouvrir la chatte à pleines mains. J’étais subjugué, incapable du moindre geste. L’intérieur était très rouge.



D’une main elle commençait déjà à se branler et de l’autre se caressait le bout des seins.

Quelques minutes plus tôt, on aurait pourtant dit une vieille et maintenant c’était une furie.

Après s’être bien branlée, elle s’est agenouillée devant moi entre mes cuisses et, libérant mon engin, l’a englouti d’un seul coup, avec un appétit féroce. Je crois que je n’avais jamais connu pareille pompeuse. À ce rythme là, je ne tardai pas à venir et elle s’aspergea avec ma lance, avec un délice non dissimulé.


Puis, se relevant et grimpant prestement sur le canapé, elle présenta sa chatte touffue à auteur de ma bouche :



Je l’ai agrippée par les fesses pour mieux la brouter, en en profitant pour lui enfoncer un doigt dans l’anus.


Elle s’est mise peu à peu à gémir. Elle propulsait son bassin vers ma bouche pour que je la mange mieux, elle frottait sa chatte baveuse sur ma bouche. J’ai reçu une giclée de son désir sur la figure et, quelques instants après, elle jouissait en poussant des cris rauques.


Cela ne la calma pas pour autant.

A peine remise de ses émotions, elle se mit à quatre pattes sur le tapis :



Je ne pus guère résister à cette très claire invitation !