n° 06811 | Fiche technique | 18300 caractères | 18300Temps de lecture estimé : 11 mn | 05/09/03 |
Résumé: À chaque année, pour la fin de semaine de la Saint-Jean, Jérôme et ses amis vont en camping au Lac Émeraude, qui est situé à une quarantaine de minutes de Québec. | ||||
Critères: fh jeunes copains vacances campagne intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio | ||||
Auteur : Maigret (Une aventure d'une soir lors d'une fin de semaine de camping) |
Cette fin de semaine de la Saint Jean-Baptiste, Jérôme l’attendait depuis longtemps. Professeur d’histoire au secondaire, cette fin de semaine marquait le début de ses vacances. Il venait de terminer sa première année d’enseignement et il avait besoin de décrocher, de voir autre chose que des élèves de 17 ans qui en n’ont rien à foutre de l’histoire. Il avait besoin de voir autre chose que des copies d’examens. Il avait besoin d’aller à l’extérieur, de ne plus être enfermé dans une salle de classe et de respirer l’air frais. Heureusement pour lui, ses vœux allaient être exhaussés.
À chaque année, pour la fin de semaine de la Saint-Jean, Jérôme et ses amis vont en camping au Lac Émeraude, qui est situé à une quarantaine de minutes de Québec. Cette fin de semaine de camping était l’occasion parfaite pour Jérôme de décrocher de son travail. Il va pouvoir pêcher, relaxer, prendre son temps, parler contre certains de ses élèves, parler dans le dos de quelques-uns un de ses collègues et prendre quelques bières. Son plan était simple : monter au lac le vendredi en après-midi, monter la tente, trouver du bois pour le feu du soir, puis ouvrir sa chaise, prendre une bière et relaxer.
Jérôme savait parfaitement qui allait être présent à cette fin de semaine de camping : Mathieu, l’organisateur en chef, sa blonde Katherine, Marc et sa copine Amélie (deux amis de longue date de Mathieu) Alain et Carole, Steve (le frère d’Alain), Sophie la petite amie de Steve et Stéphane, le frère de Jérôme. Stéphane amenait avec lui une de ses nombreuses « prétendantes » Josée. Stéphane espérait bien que lors du retour à la maison, Josée soit plus qu’une bonne amie… Bref, seul Jérôme s’amenait au lac tout seul. Au cours de l’année, il a eu une relation avec une de ses collègues, mais elle c’était terminée au mois d’avril. Depuis, il était seul, mais il ne se plaignait pas, car ce temps de célibataire lui faisait du bien. Il commençait à avoir hâte de rencontrer quelqu’un, mais chaque chose en son temps et maintenant c’était le temps du camping.
Jérôme arriva au Lac Émeraude en début d’après-midi le vendredi. Mathieu et Katherine étaient déjà arrivés et ils avaient monté leur tente. Jérôme installa sa tente dans un petit coin isolé, loin de celle de ses deux amis. Il installait sa tente un peu plus loin, car il ronfle très fort. Les années précédentes, ses ronflements dérangeaient tous les autres campeurs. Depuis deux ans, il montait sa tente le plus loin possible des autres pour ne pas les déranger. Cette solution plaisait à tout le monde et Jérôme n’empêchait plus ses amis de dormir.
Une fois sa tente montée, le bois coupé, Jérôme ouvrit sa chaise de camping, prit une bière et s’installa confortablement à l’ombre, les deux pieds dans le lac. En cette journée chaude et humide de la fin juin, Jérôme était au bon endroit. Il relaxait. Il était en grande discussion avec Mathieu sur un film que ce dernier avait détesté, mais que Jérôme avait adoré. Tranquillement, les gens commençaient à arriver. Marc arriva vers 15h, mais il était seul. Amélie allait les rejoindre en début de soirée lorsqu’elle allait finir de travailler. Alain et Carole furent les suivants vers 16h. Ils avaient amené avec eux leur chien Rocko. Stéphane et Josée arrivèrent tôt en soirée, vers 19h, suivit, à quelques minutes près, de Steve et Sophie.
Tout le monde s’installa autour du feu déjà allumé. Tous buvaient, riaient et passaient du bon temps. Mathieu, Marc et Steve s’étaient mis à chanter des chansons de leur cru. C’est à ce moment qu’arriva Amélie. Elle arrivait plus tard que prévu et Marc commençait à s’inquiéter. Mais Amélie n’était pas seule. Elle avait amené avec elle son chien Gimpy qui se commença à s’amuser avec Rocko. Mais elle avait aussi amené avec elle une de ses amies, Caroline. La présence de Caroline n’était pas prévue et Mathieu, en vrai maître de la fin de semaine qui aime tout savoir et tout contrôler, n’était pas content de la voir. Ce n’était pas le cas de Jérôme qui était ravi de la voir
Jérôme avait rencontré Caroline dans un bar l’automne passé à l’occasion de la fête à Mathieu. Elle n’était pas restée longtemps, à peine une heure, mais elle avait réussi à lui plaire. Pendant sa brève présence, ils avaient discuté et ils avaient même flirté. Mais le flirt en resta là, car trois semaines plus tard, Jérôme débutait sa relation avec Marisol, sa collègue. Il n’avait pas repensé à elle jusqu’au moment où elle débarqua de la voiture. Cette jolie brune avait un sourire à faire fondre l’hiver et un regard perçant qui ne laissait personne indifférent. En cette soirée de juin, elle portait une camisole et des jeans qui mettaient en évidence ses attributs féminins, sans être trop révélateur ou choquant.
Une fois que leur tente respective fut montée, Amélie et Caroline allèrent rejoindre les autres campeurs. Après avoir salué tout le monde, Caroline s’assit à côté de son amie et elles continuèrent leur conversation. Jérôme se leva et alla chercher une autre bière dans le coffre de sa voiture. En retournant vers le feu, il vit Caroline entrain de faire la même chose que lui. Il s’approcha d’elle et ils jasèrent quelques minutes. Leur conversation était plutôt banale : comment va le travail? quelle chaude journée, n’est-ce pas? quels sont tes plans pour l’été? etc. Jérôme voulait simplement avoir quelques minutes avec elle pour se rappeler comment elle était et si l’impression qu’elle lui avait laissée à l’automne était toujours la même. Il était toujours attiré par elle. Elle lui plaisait beaucoup, mais il ignorait si le sentiment était réciproque. En retournant vers le feu, il lui conta une petite blague, qui n’était pas très drôle, mais Caroline éclata de rire et mit sa main sur son avant bras. Jérôme prit cela pour un signe, Caroline s’intéressait à lui.
Durant la soirée, Caroline alla s’asseoir à côté de Jérôme et elle passa le reste de la soirée assise-là. Les deux parlèrent et flirtèrent. Ils étaient dans une bulle et sans s’en rendre vraiment compte, ils se retrouvèrent tout seul au tour du feu vers 4h du matin. Les deux décidèrent alors qu’ils étaient temps qu’ils aillent se coucher eux aussi. Jérôme alla chercher de l’eau du lac pour éteindre le feu, tandis que Caroline le regardait faire. Après l’avoir éteint, ils se dirent bonne nuit et Caroline donna un baiser sur la joue de Jérôme. Mais ce baiser était si près des lèvres de Jérôme, qu’il eut presque le goût de lui retourner la pareille, mais en l’embrassant sur les lèvres. Cependant, il ne fit rien et tous les deux se séparèrent et allèrent vers leur tente.
Étant resté près du feu toute la soirée, Jérôme n’avait pas remarqué à quel point la nuit était fraîche. La chaleur de la journée était remplacée par un très grand froid. « C’est presque un écart de température digne du Sahara », pensa Jérôme. Dans sa tente, il se changea rapidement, enfilant un pantalon de jogging et un chandail chaud pour ne pas avoir trop froid durant la nuit. Il faisait si froid qu’il conserva même ses bas. Une fois couché, il ne pouvait s’endormir, car il pensait et repensait à sa soirée avec Caroline. Il analysait chaque moment de la soirée, chaque mot dit, chaque geste posé, principalement le baiser. Il s’en voulait de ne pas l’avoir embrassé à son tour, il était frustré contre lui-même de son inaction.
Soudainement, Jérôme entendit des pas qui se dirigeaient vers sa tente. Ces pas s’arrêtèrent à la porte de sa tente et une douce voix se fit entendre :
Jérôme ouvrit alors sa porte de tente et Caroline entra.
Jérôme enleva alors son chandail et le donna à Caroline. Celle-ci put voir son torse nu pendant qu’il cherchait un t-shirt à mettre. Mais il n’en trouva aucun, car il avait laissé tous ses vêtements dans sa voiture.
Jérôme n’a pas eu le temps de lui répondre qu’elle l’embrassa. Cette fois, le baiser était sur les lèvres et il ne resta pas inactif, il l’embrassa à son tour en y mettant la langue. Ils s’embrassèrent ainsi durant quelques minutes. Jérôme sentait les seins de Caroline sur sa poitrine et il devenait de plus en plus excité. Soudainement, elle se sépara de lui et lui dit sans détours :
Jamais dans sa vie une fille, que Jérôme connaissait depuis à peine 10h, lui avait fait une telle proposition. Il ne savait pas comment réagir aux dires de Caroline. Bien sûr il la voulait lui aussi, mais devait-il lui répondre ou devait-il agir sans lui dire quoi que se soit. Ce que Caroline venait de lui dire l’avait complètement déboussolé et il ne savait pas ce qu’il devait faire. Heureusement Caroline n’attendait pas une réponse de sa part. Elle retira ses chandails, révélant à Jérôme une des plus belles poitrines qu’il n’avait jamais vues. Elle n’avait pas de très gros seins, du 34 C selon son estimation, mais leurs rondeurs étaient parfaites. Le froid et les baisers avaient fait en sorte que ses mamelons étaient déjà en érection et très durs. Après avoir laissé Jérôme contempler ses seins pendant quelques instants, elle porta ses mains à son pantalon et le fit glisser vers le bas. Sans attendre, elle prit le pénis de Jérôme dans ses mains et commença à le sucer. Jérôme pouvait sentir son pénis durcir dans la bouche de Caroline et il adorait cette sensation. Il mit la main sur la tête de Caroline et tenta de lui donner un rythme. Mais Caroline ne l’attendait pas ainsi et elle dicta son propre rythme. Elle était en plein contrôle de la situation. Jérôme ne pouvait que se laisser faire.
Après quelques minutes de ce plaisir intense, Caroline cessa de sucer Jérôme et passa sa langue le long de son torse pour ensuite l’embrasser. Elle tenait encore fermement son pénis dans sa main droite en faisant de temps en temps un petit mouvement de va-et-vient. Jérôme en profita pour caresser ses seins qui étaient fermes et très plaisant à toucher. Puis elle retourna à son boulot.
Jérôme était sur le point de jouir quand elle s’arrêta, retourna l’embrasser et lui glissa à l’oreille : « C’est maintenant à ton tour de me faire plaisir. Commence avec mes seins. » Tous les deux se couchèrent, enlevèrent le reste de leurs vêtements et Jérôme commença à lécher les seins de Caroline. Ses mamelons étaient toujours très durs et Jérôme les mordillaient ou les pinçaient. Caroline était une fille pour qui ses seins étaient très sensibles et elle retirait beaucoup de plaisir à l’attention que Jérôme leurs portaient. Pendant qu’il s’occupait de son sein droit avec sa bouche et du sein gauche avec sa main de libre, elle pris cette main et la dirigea vers son vagin. « Laisse-moi guider ta main vers le plaisir féminin, lui dit-elle entre deux petits cris de plaisir retenus. Surtout, ne n’arrête pas de t’occuper de mes seins »
Jérôme glissa alors un doigt, puis deux dans le vagin humide de Caroline, tandis qu’elle jouait avec son clitoris. Il quitta un instant le sein droit de sa partenaire dans le but de l’embrasser, mais elle s’objecta à ce baiser. « Non, continue ton travail d’expert sur mes seins jusqu’à je te dise d’arrêter. » Il se remit donc à sa besogne sans même protester. Il s’attaqua à son autre sein tandis que sa main droite restait en place dans l’entre du plaisir. Tous les deux n’avaient plus froid, car leur activité avait réchauffé l’air de la tente. Bientôt, Caroline eue un orgasme qu’elle retint, car elle ne pouvait pas crier à plein poumon à cause des autres campeurs. Même si la tente à Jérôme était isolée, un simple cri pouvait réveiller leurs amis et leur indiquer ce qu’il se passait dans la tente. Cet aspect de pouvoir se faire prendre dans l’acte excitait les deux compagnons.
Après qu’elle eût joui, Jérôme retira sa main du vagin de Caroline et elle lui dit : « Donne-moi ces doigts. » Elle prit sa main et mis un de ses doigts dans bouche et le lécha complètement. « L’autre est pour toi », lui dit-elle et il mit lécha son doigt. « Maintenant que t’as eu un avant-goût du plat principal, c’est le temps de tout manger. » Elle ouvrit alors ses jambes et Jérôme y fourra la tête. Il commença à lécher Caroline, laissant sa langue tanguer un peu partout. Il la pénétra avec sa langue et continua à la lécher pendant plusieurs minutes. Puis il trouva le clitoris et y concentra tous ses efforts. Il savait que Caroline allait avoir son deuxième orgasme de la soirée, car il sentait ses hanches convulser et il l’entendait pousser des petits cris qu’elle retenait toujours. Levant les yeux, il la vit prendre un chandail qui était à côté d’elle et le mettre dans sa bouche. Elle poussa alors un cri de plaisir intense que camoufla le chandail.
Jérôme fit comme Caroline précédemment et passa la langue le long de son torse en s’arrêtant à ses seins. Puis il l’embrassa. Elle lui dit alors : « Passons au chose sérieuse. » Elle chercha son pantalon, le trouva et fouilla dans ses poches. Elle regarda alors Jérôme avec un regard malicieux et retira de sa poche une poignée de condoms. « En camping, dit-elle, il faut toujours s’assurer d’être bien équipé. » Jérôme n’en croyait pas ses oreilles. Il n’avait jamais connu une fille si allumeuse. Il était très excité par le fait qu’elle prenne toutes les décisions et qu’elle lui dicte quoi faire et quoi ne pas faire.
Caroline prit un sachet de condom et l’ouvrit. Voyant que le pénis de Jérôme était dans une demi-érection, elle le prit dans sa main et commença à le masturber pour lui redonner toute sa splendeur. Elle n’eut pas à travailler trop fort car le pénis de Jérôme durcit rapidement. Elle retira alors le condom de son enveloppe et le plaça sur le pénis de son amant. Jérôme se coucha sur le dos. Caroline prit son pénis, le plaça entre ses jambes et ils firent l’amour. Elle se pencha sur Jérôme et l’embrassa pendant que lui bougeait son bassin pour continuer de la pénétrer. Elle se releva et ils restèrent dans cette position pendant quelques minutes. Par la suite, se fut Jérôme qui se releva dans le but d’avoir les seins de Caroline dans la figure. Puis Caroline se coucha sur le dos, tandis que Jérôme resta sur ses genoux. Le dos de Caroline touchait le sol, mais ses hanches étaient dans les airs et ses jambes se croisaient dans le dos de Jérôme. Ce dernier avait ses mains sur les hanches de sa maîtresse pour la soutenir. C’est dans cette position que Jérôme eu son premier orgasme de la soirée.
Les deux amants continuèrent de s’aimer tout au long de la nuit. Caroline avait amené avec elle plusieurs condoms, ils eurent donc la chance de pratiquer plusieurs positions. Jérôme eut deux autres orgasmes. Son dernier orgasme fut long à venir, ce qui permis à Caroline d’en avoir un presque en même temps que son partenaire. Après ce dernier orgasme, ils s’endormirent ensemble. Jérôme se réveilla le premier à cause des activités des autres campeurs. Caroline dormait toujours à côté de lui. Elle portait uniquement le chandail qu’il lui avait prêté. Ce chandail s’arrêtait à la hauteur du bassin, il pouvait donc voir ses fesses et les caressèrent doucement. Ces caresses mirent fin au sommeil de Caroline qui se retourna vers lui avec un de ses magnifiques sourires. Jérôme l’embrassa et ils se collèrent pendant plusieurs minutes.
Ils réalisèrent soudainement qu’ils étaient les seuls à être toujours dans leur tente, tous leurs amis étaient déjà debout. Tout le monde allait donc voir Caroline sortir de la tente de Jérôme. D’un commun accord, ils décidèrent de laisser les autres tirer leurs propres conclusions. Leur réponse à toute question allait être : « Caroline avait froid, elle a eu besoin de vêtement. Elle est restée dans la tente car il y a plus de chaleur à deux que seul. » Cette réponse laissait place à l’imagination, mais tout le monde savait ce qu’il s’était passé cette nuit-là. Toutes les rumeurs furent confirmées le samedi soir, lorsque les campeurs virent Caroline et Jérôme aller se coucher dans la même tente. Mais les deux amants n’avaient rien à foutre des rumeurs, car le plus important pour eux était qu’ils s’étaient trouvés.