n° 06813 | Fiche technique | 11362 caractères | 11362Temps de lecture estimé : 7 mn | 05/09/03 |
Résumé: La rencontre de Sophie et Nathalie les 2 héroines de récit "Jolis pieds" | ||||
Critères: ff magasin fetiche chaussures intermast cunnilingu | ||||
Auteur : Fétichic |
Cela faisait maintenant presque 2 ans que durait leur relation. La rencontre s’était produite dans un magasin de chaussures que Sophie avait ouvert récemment. La sexualité de Sophie sortait un peu de l’ordinaire. Bisexuelle avertie, elle était surtout attirée chez ses amantes et amants par leurs pieds. Un fétichisme qui se rencontre ordinairement chez les hommes, mais malheureusement assez rarement chez les filles. Sa passion occupait une grande partie de sa vie, et c’est naturellement que professionnellement elle s’orienta vers la vente de chaussures où là 24h sur 24 elle pouvait assouvir son fétichisme.
Un jour d’été Nathalie à la recherche d’une paire de sandales assez sexy pénétra dans le magasin de Sophie. Une amie lui avait indiqué l’adresse et lui avait garanti que là elle trouverait des chaussures sortant de l’ordinaire. Bien sur, Sophie très portée sur ce genre d’accessoires n’hésitait pas à partir à l’étranger chez les plus grands fabricants pour découvrir des chaussures et des bottes que personnes d’autres qu’elle ne pouvait vendre, de ce fait elle tenait la boutique la plus sexy de la région avec un choix extraordinaire que beaucoup d’autres commerçants lui enviaient.
Nathalie est une superbe fille de 36 ans avec des jambes interminables. Toujours très à la mode elle n’hésite pas à investir beaucoup d’argent si elle craque sur une robe des chaussures ou tout autre accessoire vestimentaire. Une très belle fille qui n’a jamais fait le bonheur d’un homme étant donnée quelle assume pleinement son homosexualité.
C’est pour cela que dès qu’elle entra dans le magasin de Sophie elle tomba instantanément sous le charme de celle-ci, est n’eu qu’une envie, celle de l’embrasser.
Sophie aussi ressenti un picotement au niveau des reins et instinctivement ses yeux descendirent vers les pieds de Nathalie et son cœur se mis à battre en imaginant que d’ici quelques minutes elle allait pouvoir les caresser en les habillant de ses plus beaux modèles.
« Bonjour » lança Nathalie pleine d’émotion « j’avais une petite idée sur ce que je voulais, mais après avoir vu tant de belles choses dans votre vitrine, je suis complètement perdue, il va falloir que vous m’aidiez »
« Avec plaisir » répondis Sophie « comme l’été est relativement chaud et que vous avez des pieds magnifiques, qu’il serait dommage de cacher, je vais vous proposer quelques paires de sandales et de mules très ouvertes qui mettront encore mieux vos pieds en valeur. Je vous en prie prenez place sur ce siège, je reviens tout de suite»
Nathalie sentit le rouge lui monter aux joues, il lui semble que cette fille lui fait du charme en la complimentant sur la beauté de ses pieds. Mais peut-être prend –elle ses désirs pour des réalités. Elle attend avec impatience la suite des évènements.
C’est avec plus d’une dizaine de boites que Sophie réapparaît et qu’elle pose devant sa cliente.
Elle commence à les vider et à présenter à Nathalie des sandales et des mules toutes plus belles les unes que les autres.
Toutes possèdent un talon vertigineux et sont faites de telle manière que le pied doit paraître entièrement nu uniquement enchâssé entre de fines lanières passant sur le coup de pied ou sur la naissance des orteils. Nathalie les admire une à une et les trouve toutes très érotiques. Elle peut constater que la fabrication est de première qualité, et qu’il est rare de trouver ce genre de produit dans une boutique classique. Elle se dit que le prix doit être en conséquence, mais qu’aujourd’hui elle est prête à faire des folies.
« Voulez-vous en essayer une paire ? » lui propose Sophie
« Oh! oui, avec plaisir, elles sont toutes magnifiques, et je crois que je vais avoir du mal à choisir »
« Ne vous inquiétez pas, vous avez tout votre temps et je vous aiderai dans votre décision » lui répondit Sophie en plongeant ses yeux dans ceux de Nathalie, ce qui accentue encore un peu plus son trouble
Sophie s’agenouille devant sa cliente en écartant les jambes plus que nécessaire, geste qui ne passe pas inaperçu aux yeux de celle-ci.
Doucement elle prend la jambe de la jeune fille au niveau de la cheville, l’attire vers elle et avec l’autre main entreprend de retirer l’escarpin en le dégageant d’abord du talon puis avec une lenteur extrême le retire complètement en découvrant les orteils délicieusement manucurés. Enfin elle peut admirer ce pied magnifique complètement dénudé. Elle le trouve merveilleux et elle doit faire un effort terrible pour le pas le couvrir de baisers.
A partir de là, les essayages se suivent, Nathalie fait quelques pas dans la boutique est reviens s’asseoir sans pouvoir prendre de décision tant la beauté des modèles proposés l’éblouisse.
A chaque changement de chaussures, la température monte d’un cran. Nathalie une fois revenue sur son siège se détend complètement et laisse ses pieds aux bons soins de Sophie. Celle-ci prend chaque fois plus de temps pour déchausser et rechausser sa cliente.
Ses mains d’une douceur extrême caressent maintenant littéralement le dessus du pied, glissent sur les orteils sous prétexte de fermer une bride ou d’ajuster une lanière. Nathalie commence à sentir l’excitation naître ou bout de ses doigts de pieds, remonter le long de ses jambes et arriver à son sexe qu’elle sent couler de plus en plus. Maintenant elle est sûre que cette diabolique vendeuse si sensuelle s’en rend compte et qu’elle fait tout pour l’amener au plaisir.
Les poses de Sophie sont aussi de plus en plus indécentes. À chaque fois qu’elle s’agenouille devant sa cliente, ses cuisses s’ouvrent de façon complètement impudique ce qui permet maintenant à Nathalie d’admirer un string tellement minuscule qu’il cache à peine un sexe qui ne demande qu’à être caressé. La tension est palpable, la respiration des deux jeunes filles est maintenant plus saccadée.
Pendant un échange de sandales le pied dénudé de Nathalie vient s’appuyer à l’intérieur de la cuisse de Sophie ce qui eu pour effet de les faire sursauter toutes les deux, mais aucune ne veux rompre ce contact si sensuel.
« Elles sont vraiment toutes superbes », bredouille Nathalie pour cacher son trouble.
« Merci, mais elle non de valeur, que quand elles sont portées par des pieds aussi adorables que les vôtres. On ne vous a jamais dit que vos pieds sont un appel aux baisers »
On est maintenant dans le vif du sujet se dit Nathalie. Et dans un état second, elle s’entend répondre.
« Vous êtes très douce, alors si vous voulez les embrasser, pourquoi pas »
Sophie qui n’attendait que cet instant, le cœur battant à tout rompre et les mains tremblantes, attire ce pied délicieux à ses lèvres est commence à le couvrir de baisers et sans plus se gêner enroule une langue gourmande autours des orteils savoureux.
« Viens m’embrasser arrive à articuler Nathalie »
« Attends une minute » répond Sophie qui se lève et court verrouiller la porte du magasin et baisser les rideaux. À cette heure personne ne devrait plus les déranger.
Elle prend Nathalie par la main et l’entraîne à l’arrière de la boutique dans une pièce qui lui sert de bureau ou un profond canapé les accueille.
Sophie prend la direction des opérations, elle déshabille sa compagne en un instant et la l’aide à s’allonger.
« laisse-moi faire, je vais te faire visiter les lieux où tu n’es jamais allée »
Nathalie est dans un tel état d’excitation qu ’elle est prête à tout accepter.
A genoux devant Nathalie, Sophie commence du bout des doigts à tracer sur ce corps offert des courbes imaginaires. Sans appuyer, elle contourne les seins en prenant soin d’éviter les mamelons. Elle les caresse en dessous ou la peau est si sensible avant de remonter dans le sillon qui les sépare. Puis sa main glisse sous les aisselles avant de revenir sur le côté de la poitrine qui maintenant se soulève de plus en plus rapidement. Son autre main entreprend de faire le tour de son mont de vénus toujours en l’effleurant et en frôlant à peine les lèvres d’un sexe qui s’ouvre sous la caresse. Après ce petit traitement ô combien agréable, les mains descendent à l’intérieur des cuisses, toujours par petites touches, ce qui a pour effet de faire gémir Nathalie encore un peu plus fort. Et c’est tout naturellement que Sophie arrive aux genoux ou elle n’oublie pas le creux juste derrière, puis les mollets, et enfin les pieds objets de sa convoitise depuis le début.
Tous en léchant, suçant, embrassant des talons à la pointe des ongles ces pieds délicieux, elle retire une de ses chaussures et approche son pied du sexe trempé de son amie. Son gros orteil découvre le clitoris qui à son contact double de volume. À partir de là elle va imprimer sur ce bouton d’amour des petites touchettes de plus en plus rapidement. Une vague de plaisir commence à inonder Nathalie, entre cette langue qui lui envoie des décharges électriques et ce pied qui lui donne l’impression que son clitoris va exploser, elle sent qu’elle ne va pas tarder à partir.
Comme si Sophie l’avait ressenti, en un quart de seconde, elle pivote sur elle-même et approche la bouche de ce sexe brûlant.
Sa langue s’enroule autour du clitoris et l’aspire, tandis que sa main écarte les grandes lèvres dont elle caresse l’intérieur.
L’orgasme est ravageur et Nathalie part dans un dédale de plaisir qui lui semble sans fin.
Les caresses de Sophie se font plus calmes, mais sans s’arrêter complètement. Sa bouche prend possession du sexe littéralement inondé, sa langue pénètre le plus possible à l’intérieur, et son nez appuie suffisamment sur le clitoris pour l’empêcher de reprendre une taille normale. Sa main masse l’anus de son amante et son index y pénètre facilement tant le plaisir à tout détrempé. Son pouce force son vagin, et elle entreprend un massage délicat de cette paroi si fragile qui sépare les deux orifices. Avec ce traitement, Nathalie qui redescend à peine sur terre repart immédiatement dans une succession d’orgasmes qui la vide littéralement de toutes forces. Elle a l’impression que l’ouragan dure des heures, et quand elle reprend ses esprits, Sophie est couchée sur elle, la tête dans le creux de son épaule, et lui lèche amoureusement de dessous du bras.
« Je n’ai jamais connu une chose pareille, c’était fantastique, mais toi tu n’as pas eu de plaisir ! !»
« De te voir chavirer de la sorte m’a quand même donné deux orgasmes, mais tu sais nous avons la vie devant nous pour recommencer, la prochaine fois c’est à toi de jouer»
Enlacées tendrement, collées par leurs sueurs mêlées, elles s’endorment immédiatement.
Aujourd’hui encore, leurs ballades dans le labyrinthe du plaisir se font toujours avec autant d’intensité.