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n° 06818Fiche technique6979 caractères6979
Temps de lecture estimé : 5 mn
07/09/03
Résumé:  Deux infirmières prennent l'ascenceur
Critères:  ff collègues médical grosseins ascenseur cunnilingu fouetfesse
Auteur : Ben      
Urgences


Urgences



9 heures. Julie se regarde dans la glace de l’ascenseur. Sa blouse d’infirmière un peu trop courte est impeccablement blanche. Mais trop fine pour qu’on puisse ignorer qu’elle ne porte même pas un string. Et trop étroite pour contenir ses seins énormes. Ah, ses seins… gonflés, arrogants, aussi gros et aussi ronds que des melons. Si fermes qu’ils n’ont pas besoin de soutien-gorge, malgré leur volume. Ses petits tétons roses, crispés, en permanente érection peuvent ainsi darder à travers le tissu, pleins d’insolence.


Julie ne peut s’empêcher de se trouver désirable. Ce désir, elle le lit d’ailleurs cent fois par jour dans les regards des hommes et des femmes qui la croisent. Ces regards qui la déshabillent, qui la caressent, qui la fouillent. Qui l’excitent. Il ne lui suffit pas d’exhiber son corps ; tout son être respire le désir : sa voix sensuelle et grave, sa manière de parler comme dans un souffle, ses yeux humides et provocants, sa démarche féline, et, surtout, sa recherche perpétuelle de contact physique. Elle ne rate jamais l’occasion de saisir un bras, de frôler un cul, de se frotter contre ses collègues, d’appuyer un peu trop un baiser de bienvenue.


Rarement, les êtres qu’elle rencontre restent insensibles à ses charmes. Parfois, ils s’effraient de ce qu’ils éprouvent et la fuient. Mais le plus souvent, elle ne voit autour d’elle que des hommes et des femmes emplis du désir de la posséder.


Elle rejette sa longue chevelure soyeuse en arrière. Un parfum suave et envoûtant envahit l’ascenseur. Elle déboutonne alors un peu plus sa robe, dévoilant le globe parfait de ses nichons bronzés. De se voir si désirable, elle commence à mouiller. Avant 10 heures, il faudra qu’elle baise, ou qu’elle se branle ; déjà, sa fente s’entrouvre, répandant son odeur chaude et puissante.


Tout cela n’a duré que quelques secondes. L’ascenseur ralentit puis s’arrête au 2ème étage. La porte s’ouvre sur sa collègue Nadia. La jeune Italienne n’a pas vingt ans ; elle est superbe, racée. Sa peau brune, ses yeux verts et ses cheveux d’un noir profond font immédiatement penser à une panthère. Elle est farouche encore, mais Julie sait comment venir à bout des pires défenses. Depuis quelques mois, on les dit amantes. En fait, si elles ont souvent baisé, chacune veut rester libre et ouverte pour d’autres aventures. Si bien que peu à peu un rituel s’est instauré entre elles : au moins une fois par semaine, elles sortent ensemble, se racontent leurs aventures et, très vite excitées, se baisent avec frénésie.


Ce matin, Nadia est radieuse. Elle doit être comblée par une folle nuit de sexe. Lorsqu’elle s’approche, Julie perçoit l’odeur âpre du sperme mêlé à la sueur. Elle a dû baiser il y a moins d’une heure, et ne s’est pas douchée.


« Tu pues le sexe à dix mètres » lui jette-t-elle d’emblée, avant même que la porte de l’ascenseur ne se referme. « Et tu sais que ça m’excite. Viens »


Elle saisit sa compagne par le bras, l’attire contre elle et lui baise goulûment les lèvres. L’autre répond instantanément à ce signal, entrouvre sa bouche et darde sa petite langue en riant. Julie enfonce le bouton d’arrêt de l’ascenseur. Déjà, Nadia halète. Julie sent une main s’introduire entre ses cuisses. Elle écarte un peu les jambes pour mieux accueillir les doigts qui effleurent sa moule. Elle sent ses lèvres se gonfler, s’écarter pour laisser darder son clitoris déjà turgescent. Elle étreint le petit cul de sa compagne, lui soulève la robe et commence à pétrir ses fesses. Nadia ne porte qu’un string. Julie passe son index dans la fente des fesses, insiste jusqu’à atteindre l’anus qui se contracte sous la caresse.


« Oh Julie, je deviens folle. Baise-moi, lèche-moi ma petite moule avide, suce-moi le bout des seins, enfonce ton doigt dans ma rosette. Je suis folle. C’est toi qui m’as rendue folle. Je suis devenue une malade de sexe, comme toi. Tu vas me le payer, je vais te baiser jusqu’à te faire mourir. »


Aussitôt, elle tombe à genoux en écartant les cuisses, soulève les pans de la blouse de sa compagne et, lui saisissant les fesses, tend son visage vers sa prune gonflée. La forte odeur de vagin l’enivre déjà. Elle darde sa petite langue agile et commence à titiller la fente déjà humide. Julie lui a saisit la nuque, et lui plaque le visage contre son sexe. Déjà elle halète, le sexe en feu. L’autre a commencé une exploration méthodique de la fente, remonte depuis le mont de vénus, s’immisce entre les lèvres et taquine le clitoris déjà turgescent.


N’y tenant plus, Julie se dépoitraille. Elle saisit ses nichons énormes, commence à les caresser, à les faire rouler l’un contre l’autre. Elle pince ses tétons, qui sont devenus durs comme du bois. Puis, prenant un de ses seins dans ses deux mains, elle le soulève jusqu’à pouvoir saisir le bout du sein entre ses dents. Nadia, très excitée, a commencé à se masturber tout en continuant à la lécher. Ses coups de langue se font plus insistants, pénétrant loin dans son sexe, titillant le clitoris. De sa main libre, elle continue à pétrir le cul de sa compagne, puis commence à taquiner l’anus. Julie va jouir. Elle ne peut réprimer des petits cris de plaisir, elle tremble de tout son corps…


Soudain, Nadia, perverse, l’abandonne, pantelante de désir, ruisselante. Elle se relève


« Oh petite vicieuse, salope, tu vas me le payer, de t’arrêter au moment où je vais jouir !



Et, se retournant, Nadia lui présente son cul en se penchant en avant. Julie n’hésite pas, et lui donne une claque sur la fesse droite. Puis, tout de suite, elle lui ôte son string, et glisse sa main entre ses cuisses pour lui caresser la moule. Nadia est rasée. Son sexe doux et gonflé dégouline déjà ; il aspire littéralement les 3 doigts que Julie fait mine d’introduire, tant la jeune fille brûle de se faire enculer.


Sans hésiter, Julie commence à la branler, tout en lui effleurant l’anus qui se contracte rythmiquement. Et Nadia, déjà prête à jouir, passe un bras entre ses jambes pour recommencer à caresser le sexe de sa compagne. Très vite alors, les deux femmes, haletant, gémissant, jouissent dans une ultime étreinte.


Lentement, sans se regarder, les deux amantes se rhabillent. Julie remet l’ascenseur en route.


«Salope » souffle-t-elle à la jeune fille.

« Vicieuse » lui répond celle-ci en riant.


Arrivées au 5ème elles sortent de l’ascenseur, comme s’il ne s’était rien passé.