n° 06819 | Fiche technique | 15614 caractères | 15614 2686 Temps de lecture estimé : 11 mn |
09/09/03 |
Résumé: Deux couples parfaitement équilibrés vont être bouleversés par l'arrivée d'une nouvelle partenaire | ||||
Critères: #policier f fh ff fbi couple extracon collègues bain voiture lingerie fmast fellation cunnilingu 69 fsodo | ||||
Auteur : Incubus |
DEBUT de la série | Série : Machiavélique Chapitre 01 / 06 | Épisode suivant |
Lorsque Marc rentra, Isabelle l’attendait, un verre de coca à la main. Marc s’empressa de se glisser dans la chambre en lançant un "Dépêche-toi !" à sa femme. Isabelle le suivit et son regard interrogateur arrêta Marc
"Caro ne t’a pas prévenue ? Elle nous attend à sept heures pour nous présenter une nouvelle copine de la boîte."
Isabelle ronchonna sur le fait que Caroline aurait pu la prévenir, puis posa son verre et enleva son T-shirt. Marc, qui se changeait lui aussi pour être plus présentable, ne put s’empêcher de lorgner sa femme en train de se dévêtir. Il fit glisser son regard sur ses jolies seins, pas trop gros, mais pas trop petits non plus ; sur son joli petit cul et sur ses longues jambes fuselées. Le regard de Marc n’échappa pas à Isabelle qui, une fois en sous-vêtements, rejeta sa longue chevelure brune en arrière, geste qui avait don de faire fondre son mari. Cela ne manqua pas et il la prit dans ses bras en l’embrassant dans le cou. Elle le laissa faire. Marc pressa son bras sur sa poitrine et fit glisser sa main entre les fesses jusqu’à l’entrejambe de sa femme. Lorsqu’elle sentit qu’il allait vouloir s’immiscer dans son intimité, elle le repoussa calmement, puis lui dit avec un sourire :
"Non, non ! Tu as dit que nous étions pressés."
Il accepta de bonne guerre la remarque et finit de s’habiller. Il s’assit ensuite pour regarder Isabelle mettre un tanga bleu ciel et un soutif de même couleur, puis les recouvrir d’une jupe noire un peu trop longue à son goût et un joli petit top bleu dur. Marc soupira à l’idée de devoir attendre ce soir pour satisfaire ses envies.
Ils arrivèrent pile à l’heure devant chez Caroline et Eric et sonnèrent. Eric leur ouvrit, une bouteille à la main, et les invita à entrer. Après les embrassades, Caroline leur présenta sa nouvelle collègue, Marie, une belle brune au style un peu espagnol. Marc remarqua aussitôt un changement dans l’attitude d’Isabelle, changement qui perdura jusqu’à la fin du repas. Marc ne comprenait pas pourquoi Isabelle restait si froide envers une femme aussi sympathique et charmante que Marie. Si sa femme ne lui dit pas au revoir, Marc, lui, ne s’en priva pas.
De retour à leur appartement, Marc demanda à sa femme la raison de sa gêne. Elle refusa tout d’abord, puis se laissa aller, comme d’habitude.
"Je la connais. Elle a détruit mon couple, lorsque j’étais avec un copain de fac. Elle est redoutable et sacrément perverse… et je n’aime pas les regards qu’elle te jetait."
Marc sourit, puis la prit dans ses bras, mais Isabelle refusa de se laisser faire et ils passèrent la nuit, certes tous les deux dans le même lit, mais pas dans la position, ni dans la disposition d’esprit que Marc aurait voulu.
Chez Eric et Caroline, cela s’était passé autrement. Eric avait beaucoup apprécié Marie, et Caroline aussi. D’ailleurs, pendant le repas, Caro s’était excusée un moment pour retourner dans sa chambre et ainsi pouvoir changer son string. Elle n’avait jamais ressenti un tel trouble pour une femme, et marie la mettait dans tout ses états. Lorsqu’elle retira son string rose de sous sa robe, elle s’aperçut qu’il était trempé. Caroline le huma, puis le balança dans le panier à linge sale, avant de s’emparer d’un autre string.
Mais, une fois Marie partie, l’excitation demeura et Caroline eut recours aux services de son mari pour se soulager un peu. Elle frotta un peu son corps parfait contre celui d’Eric et sentit bien vite la machine se mettre en route. Elle se mit à genou, sortit le sexe gonflé et le goba avec ardeur. Après quelques va-et-vient, elle le sentit prêt et se déshabilla. Il la prit violemment, en levrette, la retourna, lui suça les tétons qu’elle ne cessait de masser, puis la retourna de nouveau pour s’immiscer dans son cul. Caroline était une assoiffée de sexe et avait l’habitude que son mari l’encule, mais restait très sensible. Elle hurla son plaisir, ce qui activa la jouissance d’Eric, qui lui remplit les entrailles de son jus. Exténués par leur propre violence, ils s’endormirent en sueur.
Le lendemain, la journée s’annonçait joyeuse. Un soleil radieux brillait et Isabelle semblait avoir calmé sa mauvaise humeur. Elle était parti travailler, dans le Bloc 3, comme d’habitude, alors que Marc était allé à son bureau, dans le Bloc 1. Il avait croisé Eric, qui allait vers le Bloc 2, puis avait retrouvé Caroline au Bloc 1. Elle lui dit que Marie aussi y travaillait, mais il ne la vit pas. Pourtant, il put voir de bien jolies choses dans la journée, notamment une qui lui créa bien des tensions internes. Il dut, un moment, aller faire des photocopie et retrouva, devant la photocopieuse, Caroline. Jusque là, rien d’anormal, sauf qu’elle était en train de ramasser des feuilles tombées à terre et, au lieu de s’agenouiller, elle s’était tout simplement penchée. Sa jupe courte vert pomme ne couvrait plus son porte-jarretelles noir et Marc put distinguer les prémices d’un string de même couleur. Il sentit alors ses sens tournoyer et son membre se raidir. Il n’avait jamais avoué à quiconque que, avant de rencontrer Isabelle, il aurait bien voulu pouvoir faire sa cour à Caroline. Mais il était content qu’Eric soit avec elle et que lui soit avec sa femme. C’est du moins ce qu’il se répéta intérieurement. Après cet épisode, Marc ne la revit pas avant la fin de l’après-midi, lorsqu’elle vint lui dire :
"Marie veut m’emmener faire quelques courses rapides. Je m’en vais avec elle. Tu préviendras Eric."
Marc ne trouva rien à redire.
Caroline retrouva Marie sur le parking, à côté de sa voiture, une petite voiture confortable. Durant le voyage, Caroline ne cessa d’observer la conductrice. Marie portait une grande robe rouge à décolleté carré très mignon sur sa belle poitrine. Le regard de Caroline n’émergea de ces mystères cachés sous l’habit que lorsqu’elle s’aperçut qu’elles roulaient en rase-campagne.
"Où est-ce qu’on est ?"
Marie eut un petit sourire de coin, puis fit tourner la voiture pour entrer sur un petit sentier forestier. Là, elle s’arrêta, tira le frein à main et coupa le contact. Directe, elle regarda Caroline dans les yeux et lui dit :
"Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?"
Sans savoir pourquoi, Caroline murmura un non honteux.
"Je voudrais te faire l’amour. Tu en as envie, toi ?"
Caroline manqua de s’étouffer, puis prit une bonne inspiration. Elle aimait Eric, mais son excitation actuelle était telle qu’elle ne pouvait s’empêcher de répondre autrement que par "oui". Puis, elle ajouta :
"Maintenant ? Ici ?"
"Non, demain, chez toi, à la même heure, ça te va ?"
Caroline hocha la tête positivement, puis saisit le bras de Marie.
"Tu sais… J’aime Eric et…"
"T’en fais pas, Caro, il en saura rien."
Pour ponctuer sa réponse, elle lâcha un petit baiser sur les lèvres de Caroline. Troublée, celle-ci ne fit rien, puis arrêta Marie lorsqu’elle voulut remettre le contact.
"Tu ne peux pas me laisser comme ça… Je suis toute… trempée."
Marie lâcha les clés de la voiture, puis posa une main sur la jambe gauche de sa voisine. Malgré les bas, Caroline sentait toute la douceur de sa main, en particulier lorsqu’elle remonta vers le haut de sa cuisse. La main de Marie repoussa la jupe verte, glissa contre le string noir et un doigt vint suivre la fente humide dissimulée derrière. Caroline ne tarda pas à gémir, mais Marie n’en avait pas terminé : sa main pénétra dans le string et vinrent jouer avec le fruit juteux de Caroline. Ses gémissements se firent plus intenses et Caroline se dit que même les cunni de son mari n’avaient jamais atteint cette perfection. Ses seins la taraudaient, mais Marie, désirant la faire jouir seule, l’empêcha de les caresser. Qu’importe, l’orgasme de Caroline ne tarda pas à venir et elle explosa avec un cri délicieux. Enfin, Marie lui donna le doigt magique à lécher.
"Et bien, tout ça avec une main… Qu’est-ce que ce sera avec le corps entier!"
Marie, en réponse, lui octroya un sourire vicieux et dit :
"Tu verra ça demain, ma petite coquine."
Elle remit le contact.
Le soir venu, encore plus excitée que la nuit d’avant, Caroline s’avéra presque insatiable. Eric fut vite fatiguée par ses ardeurs.
Chez Marc, par contre, la soirée fut un peu meilleure. Lorsqu’il rentra, Isabelle venait elle aussi de rentrer et elle s’était fait couler un bain. Il la découvrit dans le bain mousseux à souhait et lui lança, de l’encadrement de la porte :
"Alors, comment vas-tu ma chérie ?"
La seule réponse fut un "Viens" suppliant. Il entra et, d’un regard, comprit que ses habits étaient de trop. Il se déshabilla et se rapprocha de sa femme. Elle lui saisit le membre, le branla un peu et lâcha deux ou trois coups de langue avant de l’inviter à entrer dans le bain. Marc savait qu’il n’obtiendrait rien de plus, Isabelle n’était pas adepte de la fellation poussée, ni d’ailleurs de l’exploration anale. Qu’à cela ne tienne, il s’empara d’elle, la posa entre ses jambes et la prit avec envie. Leurs langues se mêlèrent et il put déguster l’odeur savoureuse de ses seins. Ils finirent par succomber une première fois dans la baignoire, puis recommencèrent après le repas. Ils s’endormirent exténués.
Le jour suivant fut long, très long, trop long, pour Caroline. Elle était tellement excité à l’idée de réaliser un fantasme de jeunesse l’après-midi qu’elle sut bien vite qu’il faudrait qu’elle se soulage seule inévitablement.Vers midi, elle n’en put plus et alla se réfugier aux toilettes. Elle s’enferma et s’assit sur le siège des WC, les mains s’activant à remonter le bas de sa robe bordeau. puis, ses mains glissèrent à l’intérieur de son string violet et allèrent jouer avec son intimité. Son mont de Vénus était un redoutable pic et elle mouillait abondamment. gênée par le tissu, elle fit vite glisser son string à ses pieds, puis fit tomber une des bretelles de sa robe pour pouvoir jouer avec l’un de ses seins. Ses tétons étaient durs comme du bois. Caroline voulait jouir, mais elle se retint de hurler dans un endroit aussi fréquenté. Pourtant, elle s’arracha un râle final tonitruant et attendit quelques instants pour se remettre. Son string n’était plus qu’une serpillière, mais elle ne put se résoudre à l’enlever. Elle ressortit de sa cachette, se lava les mains et retourna à son travail, en guettant l’heure avec attention. Enfin, lorsque cinq heure moins le quart s’annonça, elle remballa ses affaires, prit sa voiture et retourna chez elle.
Une fois là-bas, elle dut se résoudre à se changer, trempée comme elle était, et décida de mettre à son avantage son corps. Elle saisit un string et un soutif balconnet blancs, sauta dans le jean le plus serré qu’elle put trouvé et finit par enfiler un débardeur blanc à bretelles fines. Elle se regarda dans la glace, se trouva sexy, puis se précipita vers la porte lorsque la sonnette retentit.
Elle ouvrit, et Marie l’accueillit avec ses lèvres. L’assaut avait été bien préparé et leurs langues se mêlèrent vite. Puis, leurs lèvres se séparèrent et Caroline, encore plus excitée qu’avant, laissa entrer sa compagne. Au passage, elle la déshabilla du regard : Marie avait mis un petit haut moulant sans manches noir et une mini-jupe noire aussi. Marie croisa ce regard et dit :
"Je te plais ?"
Caroline ne put que répondre par l’affirmative et ajouta :
"Tu me fais envie."
Marie la gratifia d’un sourire mystérieux et répondit : "Je sais."
Sans dire un mot de plus, elles allèrent dans la chambre et se roulèrent une pelle aussitôt. Caroline ne s’était jamais sentie aussi excitée, mais le calme de Marie lui permettait de ne pas devenir folle. Durant leur baiser passionné, Marie fit glisser ses mains sur le débardeur de sa compagne, frôlant les seins tendus dans le soutien-gorge, puis l’enleva avec douceur. Caroline haletait déjà et le baiser de Marie s’enfoncèrent dans son cou et sur ses épaules. Caroline rompit un instant le contact pour se mettre à genoux et remonter la mini-jupe vers l’objet de ses désirs. Un string noir apparut à ses yeux et elle lâcha :
"C’est pour te remercier d’hier."
Elle plongea sa tête vers l’entrejambe de Marie, en lécha ses cuisses fermes, puis son string humide, puis, écartant le bout de tissu, la moule ouverte qui n’attendait que sa langue. En gémissant, Marie fit glisser son haut au sol, puis releva sa compagne.
"Faisons ça bien, Caro."
Marie décrocha sa mini-jupe, ne gardant sur elle que ses sous-vêtements. Puis, elle s’allongea sur le lit et murmura :
"Viens, viens sur moi, embrasse-moi."
Caroline ne se le fit pas dire deux fois. Elle se cambra et glissa sur le lit, en passant entre les jambes écartées de son amante. Leurs soutien-gorge se frôlèrent, puis ce fut à leurs lèvres. Après un long échange de salive, Marie lui chuchota, en lui mordillant l’oreille :
"Tu as un cul magnifique, je le veux."
En sueur, déjà trempée, Caro répondit :
"Si tu veux, mais baise-moi."
Elle se redressa, Marie attachée à ses hanches, puis l’aida à lui faire enlever son jean. En dessous, son string était tout tâché d’humidité. Marie lui décrocha son soutif, et Caroline en fit de même avec le sien. Finalement, leurs tétons tendus se frottèrent et les électrisèrent. Caroline fit glisser le string de sa compagne qui, elle, commençait à lui caresser le sexe à travers le tissu. Immobilisée par le plaisir, Caroline ne put s’emparer du sexe de Marie et se contenta de murmurer :
"Bouffe-moi la chatte !"
Avec cette autorisation, Marie renversa Caroline sur le dos, lui arracha littéralement son string et commença à lui dévorer la moule. Elle semblait elle aussi avoir perdu son calme olympien et s’acharna sur le sexe offert. Caroline sentit les petites dents de sa compagne lui mordiller doucement l’intimité, puis la langue l’explorer, et décida de lui rendre la pareille. Elle se mirent en 69 et se bouffèrent la chatte. Chacune d’elles se nourrissait de la mouille de l’autre et s’en délectait. Un premier orgasme secoua Caroline, qui cria son bonheur sans retenue. Sa respiration était difficile et elle semblait exténuée. Abandonnant l’abricot bien mûr, Marie se retourna vers son amante et lui demanda :
"Tu veux qu’on arrête là ?"
Entre deux halètements, Caro lui saisit la tête et la plaqua contre un de ses seins en disant :
"Non, non, n’arrête pas, continue encore."
Marie lui suça le sein, puis se glissa entre les jambes de Caroline. Ainsi, leurs jambes formèrent un X parfait et leurs sexes commencèrent à se frotter l’un contre l’autre. le rythme, au début lent, de leurs frottements s’accéléra de plus en plus. Aidant à leurs montées en jouissance, les doigts de Marie jouaient entre leurs deux chattes trempées puis remontèrent vers Caroline, qui les suça avidement, un à un, entre deux gémissements. Finalement, elles parvinrent toutes les deux à un orgasme et s’effondrèrent l’une sur l’autre en s’embrassant.
Peu de temps après, Caroline se réveilla en sursaut. Elle se leva, regarda par la fenêtre et vit la voiture d’Eric arriver. Elle réveilla Marie, puis sauta dans de nouveaux sous-vêtements. Elle ne put s’habiller plus, son mari était déjà entré dans le salon. Elle alla à sa rencontre, pour l’empêcher de voir Marie en train de se rhabiller.
"Bah, Caro, qu’est-ce que tu fais habillée comme ça ?"
Caroline ne sut que répondre, mais Marie arriva alors de la chambre.
"Caro me montrait sa collection de lingerie impressionnante. Tu as de la chance, Eric."
Eric sourit, embrassa sa femme, puis alla dans la cuisine se servir un verre. Caroline accompagna Marie jusqu’à la porte et lui dit :
"C’était magnifique, je n’ai jamais autant pris mon pied. J’ai hâte de recommencer."
"Demain, même heure ?"
Caroline sourit d’émerveillement, puis lui envoya un petit baiser discret. La nuit fut peu agitée, et Eric s’étonna de la grande fatigue de sa femme.