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Temps de lecture estimé : 11 mn
11/09/03
Résumé:  L'occupation, deux femmes, une possibilité.
Critères:  ff volupté soubrette cérébral voir fmast intermast cunnilingu fdanus init
Auteur : Bibi  (C'est Naturel !)      
Redécouverte et l'Acte



Déjà deux ans que les Allemands occupaient la petite ville près de la Durance. Déjà deux ans que Juliette De Miroux avait perdu son mari, tombé le 10 mai 1940 dans la Somme.

Deux ans d’une vie monotone, à sauver cette grande maison vide et à oublier qu’on peut être veuve à 43 ans.

Les Allemands n’avaient pas voulu installer la kommandantur dans sa demeure, trop éloignée de la ville. Une chance.

Juliette vivait donc seule avec sa servante, fidèle et dévouée : Céline. Une très jolie fille de la région que Juliette et son mari avaient prise à leur service il y a plus de trois ans. Elle n’avait alors que 18 ans. Céline était une jeune fille pleine de charme, de vie, qui commençait à avoir une réputation de courtisane ; ce qui au fond elle, amusait beaucoup Juliette. Elle enviait son énergie, sa jeunesse et sa beauté. Juliette était pourtant ravissante. Aucune ride, un corps fin mais très bien proportionné. Elle n’avait jamais eu d’enfant, ce qui lui valait un ventre plat. Sa poitrine était assez imposante mais ferme. Elle plaisait beaucoup mais ne s’en rendait pas compte. Ou plutôt elle ne voulait pas s’en rendre compte. Avec les hommes, Juliette n’y connaissait guère grand chose. Avec son mari ce fut la première et les seules fois. Son mari souvent absent ne la satisfaisait pas énormément mais ça lui suffisait. D’une éducation catholique stricte, Juliette ne concevait l’acte sexuel uniquement pour faire des enfants. Quelques extra de temps en temps mais très platoniques.


Samedi matin, Juliette venait de se réveiller. En robe de chambre dans le jardin, elle prenait son petit déjeuner. Madame De Miroux avait l’habitude de se lever aux aurores afin de profiter du seul moment selon elle qui soit calme. Elle avait l’impression d’être levée avant les Allemands et ainsi d’être libre et non occupée.

Il faisait déjà assez chaud pour un mois de mai. La journée s’annonçait très chaude.

A 6H30, Juliette commença à s’étonner de l’absence de Céline. À cette heure, la petite bonne s’afférait déjà dans la cuisine.

Juliette alla donc voir dans sa chambre. Elle monta jusqu’au deuxième étage où elle devrait se trouver. Au moment où Juliette s’apprêtait à frapper à la porte elle entendis des gémissements. Intriguée, elle posa son oreille contre la porte afin de discerner ce bruit étonnant. Madame De Miroux commençait à comprendre. Il y a quelques années elle serait repartie sans rien dire par pudeur et amour pour son mari. Mais aujourd’hui elle avait envie de voir. Elle s’étonna elle-même de cette réaction. Mais c’était plus fort. Elle poussa donc la porte de la chambre doucement. Et là Juliette recula la tête d’étonnement quand elle vit ce que faisait la jeune fille.


Céline était nue dans son lit, tous draps dehors, les jambes écartées, se caressant les seins à pleines mains.

Elle se pinçait les tétons, tirait la langue de plaisir, tout en se trémoussant sur son lit. Juliette regardait maintenant attentivement le spectacle.

La bonne se malaxait les seins très fort. Puis sa main droite descendait doucement vers son sexe. Elle se caressait le clitoris bien gonflé. Elle frottait ses doigts sur son petit bouton. Elle le sortit et le suça. Céline lapait son jus.

Elle recommença ensuite ses caresses. Mais cette fois-ci elle se rentra le majeur dans le vagin et commença de longs va-et-vient. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier.


Juliette n’en perdait pas une miette. Elle se sentait à la fois excitée mais aussi étonnée. Etonnée de se voir apprécier le spectacle. Elle commençait à se sentir bizarre. Une chaleur s’insinuait entre ses cuisses. Sa main droite vint machinalement entre ses cuisses. Elle remonta doucement sa robe de chambre et commença à se caresser. Elle s’aperçut que sa culotte était mouillée. Son doigt commença de lentes caresses, puis passa entre l’élastique de sa culotte. Son autre main alla à la rencontre des ses seins. Elle commença à se pincer les tétons déjà tout durs. Sa paume frôlait doucement cette pointe très sensible. Juliette était prise d’une grande excitation. Elle remuait ses fesses tout en caressant son clitoris. Elle ne faisait même plus attention à Céline. Elle se colla contre le mûr et glissa jusqu’au sol. Elle était maintenant les jambes écartées, le peignoir ouvert en train de se doigter le vagin tout luisant de mouille. Sa main droite passa de seins en seins à une cadence effrénée, comme si elle ne lui suffisait plus. D’entendre Céline gémir sur son lit rendait son plaisir deux fois plus fort. Elle l’imaginait, la voyait le bassin relevé en train de se frotter le clitoris. Elle imaginait ses gros seins ballotter. De l’imaginer, ça l’excitait encore davantage. Deux doigts venaient maintenant s’introduire dans son sexe. De longs et profonds va-et-vient lui firent pousser des gémissements. Céline allait l’entendre ! Elle s’en moquait, l’excitation était beaucoup trop grande. Juliette ne se retenait plus de gémir. Céline non plus. Les deux femmes connaissaient la présence de l’autre, ce qui les excitait. Céline poussa un grand cri : elle jouissait très fort. Ce long râle fit jouir aussi Juliette qui se masturba le clitoris et se laissa affaler dans le couloir. Les deux femmes venaient de jouir ensemble.


Juliette se releva très vite pour ne pas rencontrer le regard de Céline. Elle avait peur de l’affronter. Plutôt, elle était très gênée. Elle retourna dans le jardin et bu un grand verre d’eau. Céline arriva avec un plateau pour débarrasser.



Les deux femmes n’osaient pas se regarder. Juliette imaginait Céline qui la fixait du regard, mais elle n’osait pas lever la tête.



Juliette releva la tête vers sa bonne. Elle se sentait rouge de honte. Elle se rassura lorsqu’elle remarqua que Céline était aussi rouge de honte. Leurs regards ne se quittaient plus. Comme si chacune attendait un mot de l’autre.



Juliette regardait Céline autrement. Elle se découvrait un soupçon de désir. Elle avait envie d’écouter sa bonne et de changer sa vision des choses.




Episode II . L’acte . (suite de l’épisode « Redécouverte » )



Juliette de Miroux, veuve de 43 ans redécouvre la vie, la sensualité et l’érotisme grâce à sa femme de chambre, Céline.


La chaleur commence à se faire sentir. Les cigales chantent, elles sont au rendez-vous. Juliette est à la fenêtre et regarde vers la route. Des chars, des véhicules blindés allemand passaient et repassaient devant elle. Juliette ne s’habituait pas. Elle éprouvait une haine pour ceux qui avaient tué son mari il y a trois ans, pour ceux qui occupaient sont pays, tuaient des innocents, des femmes et des enfants. Depuis que les nazis avaient franchi la ligne de démarcation l’année dernière, depuis qu’ils ont envahi la zone libre, Madame de Miroux sentait sa haine vis à vis d’eux grandir de jour en jour. Avant ils étaient loin de chez elle, aujourd’hui ils siègent dans sa si jolie ville.

Auraient-ils des craintes envers les Italiens ? S’ils ont envahi la zone libre pour s’installer dans le sud est, c’est qu’ils n’ont pas confiance en Mussolini. Hitler savait que le peuple italien refusait en masse le Duce, et qu’il pourrait se retourner d’un jour à l’autre. Et puis en face de Marseille il y avait l’Algérie, département français où se trouvaient depuis peu les Américains et les Anglais. Les Français, même vichystes, étant loin de la France et donc pouvaient rallier les Anglo-saxons d’un moment à l’autre.

L’Allemagne commençait à voir le vent tourner. Juliette s’en rendait compte. Mais combien de temps encore cela durerait-il ?

Elle sentait les Allemands changer, devenir plus paranoïaques, plus sévères. Elle avait peur, mais au fond d’elle, elle ressentait une joie.

Un véhicule blindé s’arrêta devant son portail. Un officier sortit et s’approcha.




Deux soldats partirent avec la bonne vers le puits. Ils la dévisageaient, regardaient cette jolie fille comme s’ils allaient en profiter l’instant suivant. Céline s’en moquait. Elle jouait même le jeu. C’est vrai qu’elle est jolie se dit Juliette. Elle regardait sa bonne se pencher pour ramasser le sot plein d’eau. En se penchant, sa robe remontait et laissait apparaître ses jolies cuisses roses. Juliette n’en manquait pas une miette non plus. Elle s’étonnait d’être comme les deux soldats, de la regarder aussi avec envie. Elle repensait à ce qu’elle avait vu ce matin.



Ces mots avaient sorti Juliette de ses pensées. D’un geste de la tête elle répondait à l’officier, puis son regard se posa vite sur Céline. Elle avait envie de la voir nue, se caresser comme ce matin. Une excitation forte vint en elle. Elle n’avait jamais ressenti ça. Céline alla pour rentrer dans la maison et en passant juste sous sa fenêtre, Juliette aperçu le décolleté de la jeune fille. Cette dernière leva les yeux vers sa patronne et d’un petit sourire lui fit comprendre qu’elle savait. Elle savait que Juliette la regardait avec insistance, elle savait qu’elle plongeait dans son décolleté.

Juliette était désormais très excitée. C’était nouveau pour elle. Mais si bon. Elle vint s’asseoir sur son lit. « Elle est si jolie se dit-elle ».


Elle s’allongea sur ses draps encore défaits. Elle ferma les yeux et commença à remuer. Une main vint vite presser son sein droit. Son téton pointait déjà ce qui lui confirmait son état d’excitation. Elle s’empressa de passer sa main sous sa robe de chambre et de le caresser doucement. Cette caresse lui apportait une sensation intense. Elle effleurait son bout de la paume, puis malaxait ses seins. Elle les prit chacun dans une main et les pelota. Comme par automatisme, elle se rendit compte que ses jambes s’écartaient. Serait-ce une invitation ? Sa main vint doucement dégager les bords de sa robe de chambre. Elle commença à caresser ses genoux, puis ses cuisses pour enfin s’approcher de cette zone qui commençait à mouiller. Ses doigts vinrent à la rencontre de sa culotte. Elle était humide. En passant sur cet endroit, une décharge électrique la tétanisa. « Hummmm » se dit elle. « J’avais oublié ». Elle appuya sur sa culotte et commença à se caresser. De toucher ce tissu mouillé l’excitait de plus en plus. Elle voulut voir d’où venait ce liquide chaud. Elle passa sa main sous sa culotte et senti sa toison mouillée. Elle appuyait avec son majeur et ce dernier vint s’insinuer dans sa fente déjà bien ouverte. Elle n’en pouvait plus. Elle écarta les jambes au maximum, dégagea de sa main gauche sa culotte et commença à se caresser la chatte plus vite et plus fort. Juliette faisait abstraction de son environnement. Plus rien ne comptait que son plaisir.


Céline, toute débraillée, ne manquait rien du spectacle. Elle était montée directement après que les Allemands soient partis. Elle avait tout vu, depuis le début ; elle ne voulait en aucun cas perturber sa maîtresse. La soubrette n’en pouvait plus, elle était attirée par sa patronne. Elle avait déboutonné sa robe, passer son soutien-gorge sous sa poitrine et se caressait les seins fermement. Elle jouait avec ses tétons, les roulait entre ses doigts. Se faisant force, elle entra dans la chambre de sa patronne.

Celle-ci ne remarqua d’abord pas la présence de la visiteuse et continua à se caresser. Céline s’approcha du lit doucement, tomba sa robe et vint descendre sa main à la rencontre des jolis seins de Juliette. La Comtesse sursauta et vint se cacher les seins :



A ces mots, Céline caressa doucement les cuisses de sa patronne.



Ses mains remontaient et cette sensation fit taire Juliette. Elle se laissait faire. Céline caressa doucement cette peau si douce, où l’excitation se traduisait par la chair de poule. Juliette continua ses caresses sur les seins. Ses yeux étaient grands ouverts, pour ne pas perdre une miette de ce spectacle. Elle écarta ses jambes au maximum afin d’inviter la jeune fille à venir caresser ses lèvres joliment offertes. Elle ne se fit pas prier. Sa main vint très vite caresser cette jolie chatte toute mouillée. Elle commença tout d’abord par frotter sa paume puis deux doigts vinrent entrer dans son sillon. Elle étalait le jus de sa patronne sur toute la superficie de la chatte. Elle accélérait le mouvement, puis entra un doigt. Ça fit hurler Juliette.



Céline fut d’abord très surprise des mots lancés par sa maîtresse. Puis cette surprise fut vite remplacée par de l’excitation. Elle s’exécuta donc. Elle entra deux doigts et commença de longs et rapides va-et-vient dans sa fente. Afin de mieux satisfaire Juliette, elle approcha son visage du clitoris qu’elle voyait sorti d’entre ses lèvres. Elle vint directement lui lécher. Elle le lapa, le titilla. De sa main libre, Céline pelota les seins de Juliette. Elle les malaxait très fort un à un. Elle lui bouffait maintenant littéralement la chatte et faisait disparaître entièrement ses doigts au fond. Elle en avait ajouté un troisième.



Juliette était merveilleusement excitée. Elle remuait son cul comme une folle sur la bouche de la jeune fille. Céline retira ses doigts et vint les rentrer à nouveau. Mais cette fois-ci, elle en mit un dans l’anus de sa maîtresse. Celle-ci poussa un long soupir de contentement….



Céline était aussi folle d’excitation. Faire jouir sa patronne lui procurait beaucoup de plaisir mélangé d’honneur. Elle mouillait aussi beaucoup. Elle se frottait le sexe sur le repli des draps baissés.

Elle allait faire jouir Juliette. La comtesse se cambrait très fort, annonçant un orgasme. Juliette redoubla d’effort et continuait, un doigt dans l’anus, un autre dans la chatte, à bouffer et aspirer le sexe de cette jolie femme.



Céline n’en perdait pas une miette. La bouche coller à sa chatte, les doigts toujours au plus profond de la comtesse, elle la regardait jouir.

Juliette répandait son liquide sur la bouche de Céline. Cette dernière vint approcher ses seins de sa chatte afin de l’essuyer avec ses tétons ; ils se frottaient contre ses lèvres toutes mouillées.



Juliette était très étonnée de cette pratique. Elle remuait pour se dégager mais Céline la retint. Elle alla même recommencer à caresser très fort le sexe de sa maîtresse.



Un long jet vint claquer sur les lèvres de Céline. Elle colla ses gros seins contre se sexe qui faisait jaillir cette pisse, mélangée de jus.



La sensation et le bien être dû à l’urine, ainsi que le frottement des seins de Céline contre sa chatte, donnèrent un deuxième orgasme à Madame De Miroux.



La suite ? J’attends vos impressions, vos encouragements

A tout de suite !