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n° 06832Fiche technique18255 caractères18255
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Temps de lecture estimé : 14 mn
25/09/03
Résumé:  Un grain de sable dans les rouages bien huilés de deux couples peut faire bien des ravages
Critères:  #policier f h fh ff fbi couplus collègues plage travail douche voir lingerie fmast massage entreseins fellation cunnilingu 69 fgode fsodo
Auteur : Incubus

Série : Machiavélique

Chapitre 04 / 06
Intenses Tentations


Rappel : Marie, une nouvelle collègue, est présentée à deux couples, Eric et Caroline, et Marc et Isabelle. Cette dernière, la connaissant de longue date, ne l’apprécie guère, mais Caroline en devient folle et découvre le plaisir féminin avec elle. Eric ne tarde pas à se mêler à leurs ébats, excité par la vision qu’il a eu d’Isabelle se masturbant. De son côté, Marc, quoique sexuellement comblé par sa femme mystérieusement surexcitée ces derniers temps, ne peut s’empêcher de convoiter Caroline. Après leur soirée à trois, avec Caroline et Eric, Marie donne rendez-vous pour demain au mari, et pour cet après-midi à la femme.


Caroline et Eric ne prirent pas de déjeuner, ils avaient mangé déjà trop tard. Ensuite, Caro annonça qu’elle sortait. Eric fut déçu :

« Tu es sûr de ne pas vouloir rester ? »

« Je dois absolument aller acheter de nouveaux sous-vêtements, les miens sont usés, à force. »

« Bon, ben, tant pis… J’en profiterai pour aller rendre ses clés à Marc. »

« Tu as les clés de chez Marc et Isa ? »

« Oui, Marc me les a filé un midi pour aller chercher un dossier et j’ai oublié de les lui rendre. »

Caroline alla s’isoler dans la chambre et s’empara de son bikini le plus sensuel. Il était rose, un rose innocent, pour cacher une belle femme qui ne l’était plus. Le string était des plus fins et ses seins ne demandaient qu’à sortir de leur gangue de tissu. Elle l’attacha dans le cou, se mit autour de la taille une mini-jupe en jean et sur le haut de son corps un T-shirt lacé sur sa poitrine. Elle prit un petit sac à dos où elle glissa une serviette et un change complet, au cas où, puis sortit, après avoir fait un dernier baiser à son mari.

Elle prit le bus, s’arrêta à l’arrêt que Marie lui avait indiqué et la retrouva aussitôt. Elle était rayonnante. Elle portait un T-shirt à dos nu rouge vif, d’où émergeait des liens jaunes s’unissant dans son cou, et un mini-short de jean. Caroline la trouva craquante et sut que cet après-midi serait très chaud. Marie la prit par la main et l’entraîna le long de la plage.

« Je vais t’emmener sur ma petite plage préférée. Il n’y a jamais personne et on y est si bien. »

En effet, la crique s’annonçait superbe, mais une grille en interdisait l’accès. Marie l’ignora et l’enjamba, et Caroline, toute à elle, la suivit. Arrivée sur le sable, elles étendirent leurs serviettes et Marie dit à Caro :

« Allez, montre-moi ton bikini. »

Caroline délaça son haut, le retira d’un coup, puis déboutonna le côté de sa jupe pour la faire tomber au sol. Marie la déshabillait du regard :

« Qu’est-ce que tu es belle ! Oh, mon dieu ! »

Caro lui sourit et passa sa langue avec sensualité sur ses lèvres avant de lâcher :

« A toi, de me montrer ton bikini. »

Marie, d’un geste rapide, délaça les liens du T-shirt dans son dos et l’éjecta au loin. Puis, à grands renforts de torsions sensuelles du bassin, elle fit glisser son short. Ce fut à Caroline, ce coup-ci, d’être ébahie. Le bikini jaune vif de son amante était lui aussi très réduit. Elles restèrent ainsi à se regarder sans bouger pendant un moment, puis Marie lança :

« La dernière dans l’eau est une traînée. »

Elles partirent en trombe et se jetèrent dans l’eau chauffée par le soleil. L’élément liquide était si agréable. Caroline se redressa, puis chercha du regard sa compagne, en vain. Tout à coup, elle émergea juste devant elle, ruisselante d’eau. Elle remit ses cheveux en place, puis lissa les cheveux blonds de Caroline en disant :

« Tu es arrivée dernière dans l’eau, Caro. Tu es une traînée. »

N’en pouvant plus, Caro l’embrassa longuement et murmura :

« D’accord, mais je suis ta traînée, ta salope. »

Elles reprirent leurs baisers et se frottèrent l’une contre l’autre. Puis, elles retournèrent sur la plage et s’allongèrent sur leurs serviettes. Quelques secondes plus tard, Marie se tourna et enjamba sa compagne.

« Ce n’est pas bien de se dorer au soleil sans s’être mis de la crème solaire, ma chérie. »

« Et toi, tu en as mis ? »

« Oui, avant de venir te chercher à l’arrêt de bus. Heureusement, j’ai pensé à toi. »

Marie sortit un tube de crème et s’en étala sur la main. Avant de se laisser toucher, Caro enleva son haut de bikini, révélant sa poitrine déjà tendue. Elle faillit crier au premier contact et tenta de se calmer. Marie s’attaqua à son cou, à ses épaules, à ses bras, puis remonta lentement vers sa poitrine. La crème, très liquide, se mit à glisser sur les beaux seins de Caroline que Marie ne cessait de faire rouler. L’amante torturée par le plaisir ne cessait de geindre et manqua de hurler de désespoir lorsque Marie abandonna sa poitrine pour ses jambes, beaucoup moins sensible. Mais la remontée fut délicieuse. Marie ne tarda pas à frotter de ses mains expertes les abords de sa chatte et Caro gémit :

« Vas-y, enlève-moi le bas ! »

Marie obéit, retira le bas de maillot de bain mouillé autant de l’extérieur que de l’intérieur, et commença un massage plus érotique. Ses doigts tournèrent autour de la vulve de Caroline, puis l’un d’entre eux y pénétra, arrachant un cri à Caroline. Celle-ci ferma les yeux et se laissa aller au plaisir en miaulant :

« Oh, oui ! Marie, tu me fais jouir ! »

Puis, sa bouche fut envahie d’un doigt couvert de sa mouille, qu’elle lécha avidement. Trois doigts occupaient sa chatte lorsqu’elle se mit à hurler son plaisir en un orgasme fulgurant. Après quelques minutes à reprendre son souffle, Caro sentit aussi le doigt qui visitait son cul se retirer et gémit :

« A moi, maintenant, de te faire jouir. »

Mais Marie repliait déjà sa serviette et répondit :

« Non, plus tard, allons d’abord chez moi. »

Elles se rhabillèrent en s’observant, puis repassèrent la grille pour retourner en ville.

Après dix minutes de marche dans les rues, Caroline n’en pouvait plus. Son bikini, tout trempé, lui irritait l’intimité et lui insufflait toujours plus d’envies. Elle se rapprocha de son amante et demanda :

« On est encore loin de chez toi ? »

« Encore cinq minutes, à peu près. »

« C’est trop, je ne pourrais pas tenir. »

« Alors, viens. »

Marie la tira dans une ruelle couverte, toute sombre et à l’écart des voies principales et la plaqua contre le mur. L’une de ses mains passa dans le T-shirt de Caro, l’autre sous sa jupe, dans son maillot. Marie se colla à son cul et commença à donner des coups de reins accompagnant la masturbation de son amante. Toute à son plaisir, Caroline glissa elle aussi une main sous sa jupe et seconda Marie, tandis que son autre main venait caresser le visage de celle qui lui donnait tant de plaisir. Caro ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme.

« Contente ? demanda Marie. »

Pour seule réponse, Caroline l’embrassa, puis elles reprirent leur chemin.

L’appartement de Marie était petit, mais chaleureux. En réalité, Caroline n’eut pas beaucoup le temps de visiter, car elles allèrent bien vite prendre une douche et s’y faire l’amour. Ce coup-ci, Marie laissa Caro la doigter et jouit entre ses mains. Puis, sans se rhabiller, elles allèrent dans la chambre, firent l’amour au moins trois fois dans toutes les positions imaginables, avec ou sans gode. En conséquence, quand elle rentra chez elle, Caroline n’était pas prête à reprendre les galipettes avec son mari. Mais, heureusement, il semblait incroyablement calme et perdu dans ses pensées. Caroline l’embrassa, puis alla reprendre une douche. Pendant ce temps, Eric repensa à cet après-midi.

Il était parti peu après sa femme et s’était rendu directement chez Marc, les clés en main. Il voulut frapper, une fois devant la porte, puis, avec curiosité, appuya sur la clenche. La porte n’était pas verrouillée et s’ouvrit doucement. Eric entra et entendit alors une voix sensuelle, celle d’Isabelle, miauler :

« Marc, viens vite, mon sexe n’attends que toi. »

Eric, comme un automate, suivit la voix et découvrit Isa, nue, à quatre pattes sur le lit, le cul cambré. Dès qu’elle s’aperçut que le nouveau-venu n’était pas Marc, Isabelle se releva et dissimula de ses mains son intimité. Puis, elle dévoila à nouveau son sexe en disant :

« De toute façon, tu as déjà tout vu. »

Un tel manque de pudeur de la part d’Isabelle avait tout d’excitant.

« Tu es venu pour quoi ? »

Eric sursauta et bredouilla qu’il lui fallait rendre les clés. Il les posa sur la table de chevet sans quitter Isa du regard.

« Je te plais ? »

Eric la fixa et répondit positivement.

C’est alors qu’on entendit du bruit dans l’escalier. Isa, totalement nue, s’empara du visiteur et le dissimula derrière un rideau, face au lit.

« Si Marc te trouve avec moi, il te tuera. Cache-toi. »

Marc entra peu après, découvrit sa femme nue sur le lit et l’embrassa. Il posa les courses au sol et commença à parler d’une rencontre au supermarché lorsque Isa, après un coup d’œil discret vers le rideau, lui dit :

« Baise-moi. »

Marc l’embrassa à nouveau, plus longuement, puis se déshabilla. Elle s’allongea sur lui et il la pénétra violemment, son regard braqué sur les seins qu’il léchait à chaque coup de rein. Isa gémissait très fort et ne cessait de fixer Eric qui, dissimulé derrière le rideau, se mit à bander comme un taureau. Bientôt, Isa se mit à crier :

« Oui, oui ! »

Et Marc jouit avec elle. Ils se reposèrent, puis Marc voulut emmener Isa à la douche. Elle lui répondit qu’elle viendrait tout à l’heure, qu’il commence sans elle. Il obéit et sortit de la pièce. Pendant ce temps, Isa revint vers Eric, la chatte encore dégoulinante de mouille et de sperme, et lui chuchota :

« Tu peux sortir, maintenant. »

Il s’extirpa de sa cachette et tenta de dissimuler son érection. Isa la vit pourtant et s’agenouilla devant lui en murmurant :

« Mon pauvre, laisse-moi arranger ça. »

Elle lui sortit son sexe et le branla avec douceur. Eric siffla :

« Attention, Isa, ça vient. »

Et Isa recueillit le sperme entre ses mains, avant de l’étaler sur ses seins. Ensuite, elle rangea l’engin d’Eric et le poussa à sortir.

C’est ainsi que, tout ému et étonné, il revint chez lui.

Cette nuit, Caroline semblait épuisé et ne supporta pas ne serait-ce qu’un seul doigt dans son intimité. Les visions d’Isabelle lui revenant avec les fantasmes qu’il imaginait pour demain avec Marie, il fut bientôt trop excité pour dormir. Il se leva et alla rechercher la culotte de satin violet qu’il avait récupéré le jour d’avant chez Isa. Il s’y branla plusieurs fois avant de retrouver la paix nécessaire pour dormir.


Eric accueillit le lundi avec joie. Non seulement il allait retrouver Marie, mais aussi peut-être Isabelle si elle venait à la soirée que Caro organisait . Marc était partant et demanderait à Isa à la sortie du boulot.

Eric commença à bosser pour se changer les idées, mais fut interrompu lorsque Marie entra discrètement dans son bureau. Elle portait une veste et un tailleur verts sombres et, derrière la veste, Eric distingua un débardeur bien décolleté noir.

Eric n’avait jamais été doué pour les préliminaires. Il lança :

« Salut, bien dormi ? »

« M’en parle pas. Je me suis caressée toute la nuit en imaginant ce qu’on allait faire aujourd’hui. »

Eric ne s’attendait pas à cela, ni à ce qu’elle l’écarte de son bureau pour se glisser entre ses jambes. Pour cela, elle remonta son tailleur, révélant le haut en dentelle de ses bas noirs, et elle ôta sa veste. Elle croisa le regard de convoitise de son amant et susurra :

« Tu les veux, hein ? »

Elle enleva aussi son débardeur, mais conserva son soutien-gorge gris, qui mettait en valeur son opulente poitrine. Elle plongea ses mains dans le pantalon ouvert d’Eric et en retira le membre au garde-à-vous. Elle donna quelques coups de langue, puis le goba d’un coup. Eric se rejeta en arrière pour profiter de la fellation, tout en lissant la chevelure de Marie, entre ses jambes. Il murmura :

« Attention. »

« Non, je veux tout de toi. »

Elle se recula et ouvrit la bouche. Eric jouit et projeta son sperme sur son visage, sur ses seins et dans sa bouche. Elle étala le jus sur son visage et sa poitrine, puis se releva en remettant en place son tailleur.

« Bon, ben, à tout à l’heure. »

Eric balbutia :

« Comment ça, à tout à l’heure ? On ne fais pas l’amour maintenant ? »

« Tout vient à qui sait attendre… cet après-midi. J’ai récupéré les clés de la salle 26. »

« Mais, Caro ne va pas t’attendre ? »

« Non, on a convenu de se retrouver ce soir, durant la soirée, avec toi, tu vois ce que je veux dire ? »

« D’accord… A cet après-midi. »

Il la laissa repartir bien involontairement. Il était tellement excité.

Dans le Bloc 1, Isabelle l’était tout autant. Elle ne revenait pas de ce qu’elle avait osé faire le jour précédent, la façon dont elle avait branlé Eric et la sensation qu’elle avait eu en étalant son sperme sur ses seins… Cela avait été si…fort. Prise dans ses souvenirs, elle se rendit compte qu’elle était toute émoustillée et que son sexe réclamait son attention. Après un moment d’hésitation, elle ferma son bureau à clé, s’y enfermant prudemment. En sueur, elle se posa, le dos contre la porte, et entreprit de se toucher. Une de ses mains se mit à soupeser ses seins à travers son T-shirt moulant, et l’autre investit l’entrejambe de son jean. C’était terriblement excitant, mais cela devient vite trop léger. Elle enleva son T-shirt et fit tomber son jean, révélant un slip et un soutif rouge. Elle n’aimait pas trop le rouge, mais elle avait mouillé dans la majeure partie de ses autres slips durant la semaine, même ceux qu’elle gardait au secret depuis sa sortie de la faculté. Aussi, elle n’avait pas eu trop le choix. Ses seins la tiraient et son sexe l’élançait. Elle alla se coller contre l’angle de son bureau et s’y frotta le bassin. Une tâche plus sombre apparut alors sur le slip, mais c’était encore insuffisant. Isa dégrafa son soutif et enleva son slip, puis s’allongea au sol. Ses doigts s’enfoncèrent alors en elle et elle trouva l’extase. À force de se doigter, elle finit par atteindre les cimes du plaisir et se retint à peine lorsqu’elle jouit. Puis, un peu honteuse, elle se rhabilla et déverrouilla la porte.

Au Bloc 3, Caroline vint un moment voir Marc, pour un problème de dossier. Malheureusement, la chaise où elle s’asseyait habituellement était en réparation. Tout naturellement, elle posa le dossier fautif sur le bureau et s’installa sur une des jambes de Marc. Durant la discussion, il ne put ignorer la sensation laissée par ce cul posé sur sa cuisse, cul sur lequel il repéra, par habitude et par sensation, un petit string. De son côté, Caro s’aperçut que cette position lui occasionnait quelques troubles et que la main, presque innocente, de Marc posée sur sa cuisse lui avait fait mouiller son string.

Ceux qui se soulagèrent le plus furent évidemment Marie et Eric. Après le repas, Eric alla la retrouver en salle 26, une salle abandonnée depuis quelques temps, où l’on avait entassé un bureau et des piles de chaises. C’est sur le bureau qu’Eric retrouva son amante et ils s’embrassèrent goulûment d’entrée de jeu. Puis Eric glissa une main dans le tailleur de Marie et, passant outre le string, commença à jouer avec son clito humide. Marie haleta et déboutonna sa veste. Elle enleva son débardeur et déshabilla son amant. Enfin, elle libéra ses seins du soutif gris et les offrit aux lèvres avides d’Eric. Une fois qu’il les eut bien mordillé et sucé, Marie descendit du bureau, retroussa son tailleur, et enleva son string gris en susurrant :

« Oh, vite, viens vite en moi et fais-moi jouir ! »

Eric s’enfonça dans sa chatte d’un coup sec, puis s’agrippa aux seins de son amante. Marie haletait et le traitait de salaud, de cochon et de vicieux. Ses cris devinrent stridents lorsqu’il décida de s’enfoncer dans son cul. Marie devint alors une vraie chienne, bougeant ses fesses pour se donner davantage de plaisir. Pendant ce temps, une de ses mains s’activait sur sa moule. Elle jouit bruyamment, puis se retourna vers Eric. Elle s’allongea et lui demanda de passer sa bite entre ses seins. Elle les fit bouger, masser le sexe tressautant et se retrouva rapidement couverte de sperme des seins jusqu’au front. Ils s’assoupirent un instant, l’un sur l’autre, puis Marie voulut se rhabiller. Mais, insatiable, Eric se rua à nouveau vers elle et s’agenouillant, lui bouffa la chatte jusqu’à ce qu’elle s’avoue vaincue et gémisse :

« Eric, baise-moi encore ! »

Ils s’allongèrent l’un contre l’autre et, tout en la prenant comme une brute, Eric lui suça les seins à nouveau. Cette fois, il n’eut pas le temps de visiter encore son cul et jouit en elle. Lorsqu’il se réveilla, elle s’était rhabillée et ils se quittèrent après un dernier baiser.

Le soir venu, chacun se dit « A ce soir ! » et se sépara.

Marc, en rentrant, trouva sa femme assise devant la télé.

« Eh, dépêche-toi, chérie, on doit se préparer. »

« Je ne viens pas ! »

Marc s’immobilisa.

« Pourquoi ? C’est parce que Marie y va ? »

« Oui, en partie. »

« Mais pourquoi tu ne la supportes pas ? »

« Je t’ai déjà dit que ce n’était pas tes oignons ! »

Marc soupira, finit de s’habiller, puis s’apprêta à s’en aller. Furieux, il lança :

« Passe une bonne soirée…seule. »

Et il sortit.

Quant à Caroline et Eric, ils ne purent se retenir bien longtemps. Caroline n’avait pas eu sa ration de jeux lesbiens avec Marie et s’était retrouvé bien plus troublée par son contact prolongé avec Marc qu’elle ne l’imaginait. De son côté, Eric en voulait toujours plus et il aurait voulu passer un peu plus de temps à baiser Marie, et pourquoi pas Caro en même temps. Ils se déshabillèrent en vitesse, puis entrèrent dans la douche avec empressement. Après s’être savonné pendant de longues minutes, Eric plaqua sa femme contre le carrelage mural et la pris par derrière. Elle jouit deux fois avant qu’il ne sente la jute lui venir et Caro avala tout ce qu’il put lâcher. Ils faillirent remettre le couvert lorsqu’ils se préparèrent pour la soirée, mais Caroline refusa, l’heure tournant. Pourtant, Eric ne put résister lorsqu’il la vit se maquiller seulement vêtue d’un string noir. Il la sodomisa contre le lavabo et Caro était si excitée qu’elle en lécha la glace. Elle le repoussa avant qu’il ne jouisse pour conserver son intimité propre et son string tout autant. Déçu, il alla se vider dans un slip de satin violet, dont il était le seul à connaître le secret, hormis sa propriétaire. Puis, il retrouva sa femme et allèrent jusqu’à la boîte de nuit. En semaine, il n’y aurait pas grand monde dans une boîte pareille. Pourtant, la soirée s’annonçait extraordinaire.