n° 06836 | Fiche technique | 20149 caractères | 20149Temps de lecture estimé : 12 mn | 02/10/03 |
Résumé: Les mises en scène de fantasmes d'un homme mur et d'une femme plus agée se déshinibant sur le tard pour partager de torrides fantaisies. | ||||
Critères: fh fplusag fépilée noculotte lingerie facial cunnilingu 69 fgode pénétratio fdanus fsodo attache | ||||
Auteur : Jak (Fétichiste de la lingerie) |
Il ne se passa que quelques secondes entre mon coup de sonnette et l’ouverture de la porte Marianne apparut, perchée sur de vertigineux escarpins à talons aiguilles:
La cinquantaine affirmée, une silhouette que les années avaient doucement modelé de rondeurs significatives, mais qui avait gardé une allure fascinante. Cette fascination qui m’avait poussé, il y a environ un an, à oser l’aborder elle, à pieds et moi au volant de ma camionnette, sous un prétexte quelconque, afin de lui remettre ma carte et lui faire des offres de services, professionnelles ou autres. Il faut dire que nos regards s’étaient croisés plusieurs fois auparavant dans les rues de notre petite ville, et à chaque fois avec plus d’insistance.
Quelques semaines plus tard, j’avais rendez-vous chez elle sous un prétexte aussi quelconque que le mien. Après quelques banalités, sous-entendus, les effleurements précédèrent les caresses, puis nos bouches se fondirent dans l’entremêlement de nos langues, nous laissant haletants. Nos vêtements furent promptement éparpillés et l’après-midi s’acheva dans un tourbillon d’étreintes qui prirent vite la tournure d’accouplements débridés. J’avais enfin trouvé la salope que je n’espérais plus. Rien n’était interdit et les jours qui suivirent furent une succession de feux d’artifice qui me laissa sur les rotules, malgré ma quarantaine vigoureuse !
Marianne, veuve depuis plusieurs années, n’avait connu que quelques aventures sans lendemain qui étaient venues rompre son abstinence sexuelle. Je me rendis compte que ce volcan n’avait jamais connu les limites de sa sexualité. Un mari pas très porté sur la chose, se contentant de la petite baise à papa, position du missionnaire obligée.
Elle était maintenant décidée à aller jusqu’au bout de ses envies, et de ne plus laisser passer un moment de plaisir. Au début, nous nous sommes amusés à reproduire les scènes de films pornos que j’enregistrais sur une chaîne spécialisée du satellite. Par la suite, nous avons imaginé toute une série de jeux érotiques, voir pornographiques, de mises en scène afin d’atteindre des plaisirs de plus en plus torrides.
Aussitôt dans l’appartement, Marianne m’entraîne à sa suite dans la salle de séjour. Le balancement de ses hanches généreuses, la fine marque de ses jarretelles dessinant deux sillons sur ses fesses sous sa jupe de tailleur, la courbe ses jambes soulignée par la couture de ses bas fumés ne tardent pas à me faire de l’effet et je sens ma queue se tendre rapidement.
Arrivés dans la pièce, j’enlace Marianne, et tout en lui tétant littéralement la langue, ma main droite disparaît sous sa jupe jusqu’à la lisière de ses bas, remonte vers son entrecuisse par la fente de sa culotte ouverte, et un doigt, suivi d’un autre pénètrent sa chatte soigneusement rasée. Elle lève une jambe et pose son pied sur une chaise pour faciliter mon exploration, et le feulement qu’elle exhale ainsi que la moiteur de son intimité en disent long sur l’intensité de son désir. Ma main gauche n’est pas restée inactive et déboutonne rapidement la veste de son tailleur, libérant deux seins volumineux rehaussés par un demi soutien-gorge faisant saillir outrageusement ses nichons aux bouts desquels pointent des tétons durcis par le désir.
N’y tenant plus je la renverse sur la table, après avoir retroussé sa jupe jusqu’à la taille, je m’agenouille, écarte ses jambes gainées de nylon, et colle ma bouche à son sexe trempé. Je l’aspire ,prenant entre mes lèvres celles de sa chatte, découvrant son clitoris pour le mordiller, le visage chatouillé par la dentelle bordant l’ouverture de son slip. Ce faisant je libère ma bite et commence à m’astiquer doucement.
J’abandonne ma dégustation et, faisant pivoter Marianne sur la table de façon que sa tête soit dans le vide, je me place derrière, ma queue tendue vers son visage, elle n’a qu’à renverser sa tête en arrière pour avaler mon membre, ce qu’elle fait avec avidité.
Ainsi placé, je peux contempler le spectacle de cette bourgeoise, de presque quinze ans mon aînée, habillée comme la dernière des putes, cuisses largement écartées, chatte ouverte suintante de mouille, tout en la baisant dans la bouche, sortant mon gland à la limite de ses lèvres pour mieux le lui enfiler jusque dans la gorge, provoquant quelquefois un haut le cœur. Je me retire enfin pour la laisser respirer, mais pas pour longtemps.
Je me place à califourchon sur sa bouche et lui offre à lécher mes couilles qui commencent à être douloureuses. Elle les suce l’une après l’autre, les aspirant et les rejetant comme des bonbons. ; elle doit toutefois s’aider de la main afin d’emboucher les deux en même temps. Pendant qu’elle a la bouche pleine, j’en profite pour pétrir ses deux gros seins évadés de son soutien-gorge, et je constate qu’elle ne reste pas inactive, se branlant la chatte avec frénésie. Un violent orgasme survient alors qu’elle a mes deux couilles en bouche. Elle se tortille sur la table en gémissant malgré le bâillon que je lui impose et reste pantelante après une bonne minute de soubresauts.
Ayant vite repris ses esprits, elle descend de la table, empoigne ma queue, la branle doucement , se débarrasse de son tailleur pour ne garder que son soutien-gorge ½ seins, son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins, (ce qui a le don de me rendre fou, moi qui suis complètement fétichiste des dessous sexy) puis se retourne face à la table pour m’offrir son arrière train, exposant sans équivoque ses orifices avides de pénétration.
Elle se penche sur la table jusqu’à y écraser sa poitrine, attrape ses fesses pour les écarter au maximum et faciliter le passage de ma bite. Contenant mon désir pour l’instant, je la force à resserrer ses deux cuisses sur ma queue et la lime ainsi quelques minutes en lui branlant le clitoris.
Marianne,, la bourgeoise BCBG à mon arrivée, s’est transformée en une furie de sexe et son vocabulaire semble tout droit sorti d’un film porno : « Je suis ta putain, ta grosse salope, baise-moi tout de suite, enfonce-moi ta bite dans la chatte, je veux ta queue, la sentir dans ma vulve, que tu décharges dans mon con ou mon cul, je veux sentir ton foutre me remplir… »
A ces mots, elle reprend sa position, derrière offert et écartelé, et d’un seul coup de rein je l’enfile dans la chatte, la pistonnant à grands coups de pine, ressortant mon membre de son vagin abondamment lubrifié de ma salive et de sa mouille pour mieux lui rentrer bien à fond.
A chaque pénétration profonde elle étouffe un cri, puis, le rythme s’accélérant, elle ne s’arrête plus, poussant en plus un petit glapissement quand je l’emmanche un peu plus violemment et que mon gland vient forcer un peu le col de l’utérus. Je me retire d’un seul coup, provoquant un râle de désapprobation, vite remplacé par un gloussement de désir lorsque quelques centimètres plus haut, le bout de mon gland vient caresser le bord de son petit trou.
Je m’agenouille à nouveau pour préparer son petit anneau ; ma langue s’y glisse doucement, mouillant abondamment de salive toute la raie de son cul. À présent je n’ai qu’une idée en tête : me vider enfin dans cette femelle en rut. J’applique mon gland à l’entrée de son cul et elle fait le reste…se redressant et agrippant mes hanches, elle plaque mon bassin contre ses fesses et son trou s’ouvre petit à petit pour y laisser entrer ma bite. Je n’ai plus qu’à donner un coup de rein pour rentrer dans son anus jusqu’aux couilles.
Après quelques allers et retours, le déchaînement de Marianne est total, se branlant la chatte à trois ou quatre doigts, les ressortant dégoulinant de mouille, me les donnant à lécher avant de les y replonger. « Remplis-moi le cul, défonce-moi, je suis une salope d’enculée, j’aime sentir ta grosse bite me défoncer l’anus, en prendre plein le cul, encule moi bien à fond, je veux sentir ton foutre gicler dans mon ventre, donne-moi toute ta jute… »
N’en pouvant plus, je me retire du derrière de ma belle afin de contempler son trou béant, j’y laisse tomber un peu de salive avant d’y enfourner une dernière fois ma queue, de la bourrer violemment, lui arrachant un hurlement de jouissance, et décharger en grandes giclées qu’elle accompagne en resserrant rythmiquement les fesses afin de faire sortir les dernières gouttes de sperme de mon membre.
Nous retombons en sueur sur la table, ma pine toujours fichée à fond dans son trou, puis je me retire doucement en contemplant ma semence qui s’évade et coule le long de ses bas. Ayant repris son souffle et ses esprits, Marianne se rend à la salle de bains pour un brin de toilette intime. Je la suis, lui demandant de me nettoyer aussi., mais à sa façon. Sachant ce que cela veut dire, elle s’agenouille aussitôt et attaque le travail en me reprenant en bouche, tétant mon gland tout juste sorti de son anus, et avalant ma bite aussi loin qu’elle peut. Le résultat ne se fait pas attendre : je bande de nouveau suffisamment pour pouvoir l’enconner.
Je la débarrasse de son semblant de culotte trempée de foutre et de cyprine, elle s’appuie sur le lavabo, écartant largement ses cuisses, je peux voir les grandes lèvres de sa chatte s’ouvrir pour laisser le passage à ma queue. Sans plus attendre je me mets à la bourrer sauvagement, et le reflet dans la glace de ses deux gros seins ballottant au rythme de mes coups de boutoir provoque ma jouissance, d’un ultime coup de reins je m’enfonce au plus profond de son vagin que j’inonde de mon sperme.
Aux premiers temps de notre relation, nos ébats n’avaient pas cette intensité lubrique. Marianne n’était certes pas une vierge effarouchée, elle m’avoua avoir rarement pratiqué la fellation et exceptionnellement la sodomie. Nous avons depuis rattrapé le temps perdu et je dois dire qu’elle est devenue une experte dans ces deux domaines. Une bite dans la bouche la fait aussitôt mouiller comme une fontaine, et son cul s’est vite assoupli, lui faisant découvrir qu’elle jouissait autant du derrière que du devant !
Elle a très vite compris mes attentes et mes fantasmes, ne portant lors de mes visites chez elle que des bas tendus par un porte-jarretelles ou une guêpière, me faisant quelque temps plus tard la surprise de s’épiler complètement l’entrejambe, sexe et anus. Le port d’une culotte était également proscrit, à moins qu’elle ne fût largement fendue, et elle s’appliquait toujours à m’exhiber toutes ces merveilles, ouvrant largement ses cuisses, assise dans le canapé, ou se retroussant très haut pour ramasser quelque chose, profitant du moindre prétexte pour me mettre sous le nez ses gros seins ou son large derrière.
Au fil des semaines, je complétai et je complète toujours sa panoplie de parfaite salope, lingerie et accessoires en tous genres. Nos jeux érotiques en deviennent de plus en plus hard, sans toutefois dépasser les limites de la pornographie, du genre SM, uro ou scato.
Parfois, à mon coup de sonnette, mon amante n’est pas là pour ouvrir la porte. Je sais ce que cela signifie. J’entre donc, la serrure ayant été déverrouillée, et je me rends directement dans la chambre où je découvre un spectacle qui déclenche immédiatement une furieuse érection. Marianne, bien sur en bas et porte-jarretelles, est à quatre pattes sur la moquette, son large cul tourné contre la glace de l’armoire, un gros gode à ventouse collé sur cette glace et fiché dans sa chatte. Par des mouvements d’avant en arrière, elle se ramone le vagin profondément, ses gros seins se balançant sous elle, le tout rythmé par un bruit de succion que fait le gode en rentrant et sortant.
J’envoie voler mes vêtements et me glisse sous elle, en position de 69 afin de la lécher goulûment à chaque passage de son sexe au-dessus de ma bouche. Ma queue dressée se trouve en même temps caressée par sa poitrine. Cela me procure une telle excitation que bientôt je m’extirpe de ma position pour m’installer face à elle, assis sur le bord du lit, ma bite à hauteur de sa bouche qu’elle ouvre toute grande pour me sucer, comblée par deux queues : quand l’artificiel sort de sa chatte, la mienne, bien naturelle celle-là, s’enfonce dans sa bouche jusqu’aux couilles, et inversement.
De plus, le miroir de l’armoire me renvoie le spectacle du gode dilatant sa vulve au rythme des vas et viens. En général, je ne tiens jamais très longtemps et je jouis abondamment dans sa bouche, lui envoyant de longs jets de sperme dans la gorge. Elle avale soigneusement toute ma semence avant de me reprendre le gland entre ses lèvres pour en aspirer les dernières gouttes. Je m’empare ensuite du gode pour la ramoner furieusement et lui arracher un orgasme violent, et je prolonge sa jouissance en lui enfonçant brutalement un doigt dans le rectum, ce qui la fait se cambrer un peu plus et crier son bonheur.
Un autre de nos scénarios préférés que nous avons appelé « tout cuir » doit, lui, être préparé à l’avance. Je revêts pour la circonstance sous mon pantalon un string de cuir noir muni d’un orifice laissant sortir ma queue et mes couilles. Lorsque Marianne vient m’accueillir, elle porte une guêpière de cuir noir à seins nus, des bas à résille tendus par quatre jarretelles sur chaque cuisse, son adorable sexe soigneusement rasé bien exposé, et toujours chaussée de hauts talons.
Dès la porte refermée elle entreprend de me déshabiller complètement à l’exception de mon string dont l’élastique me rentre dans la raie des fesses. M’empoignant par le sexe qui bande déjà depuis de longues minutes, tant je suis excité à l’idée de ce qui m’attend, elle m’entraîne dans la chambre, équipe mes poignets et chevilles de bracelets de cuir munis de liens qu’elle attache à chaque coin du lit.
Me voilà donc bientôt écartelé sur le dos, la bite fièrement dressée vers le plafond, et totalement offert à ses caprices. Le tout sans aucune violence, mais au contraire avec une multitude de caresses qui me rendent fou.
Selon les « séances » elle commence par me suçoter doucement le bout de la queue,, ou bien vient s’installer sur moi à califourchon, me chevauchant, et me donne à lécher ses gros seins, me caressant le visage de ses tétons, avant de « remonter d’un étage » pour m’écraser sa chatte déjà inondée sur le visage. Je ne tarde pas à ouvrir toute grande la bouche afin de laper son jus tiède, la langue dardée afin de la pénétrer au plus profond, et d’un mouvement d’avant en arrière, elle se fait lécher depuis le clitoris jusqu’à la raie du cul.
Là, elle s’arrête afin que je puisse lui rentrer le bout de la langue dans son petit trou, et d’un mouvement de haut en bas, fait comme si elle s’empalait sur cette petite bite fouilleuse. Mais c’est pour mieux revenir à son clitoris tendu que je pince entre mes lèvres, lui arrachant de petits cris de plaisir. Lorsqu’elle estime que cela a assez duré, et qu’il va falloir conclure, elle se tourne, dos à moi, saisit ma queue dressée et se l’enfile dans la chatte.
Puis, sans déconnecter nos sexes, elle passe de la position à genoux à la position accroupie, entame sur ma queue une succession d’allers et retours très rapides, remontant parfois jusqu’à ce que mon gland soit près de s’évader, puis redescendant en s’empalant jusqu’au fond. De ma position je peux contempler le spectacle de ses lèvres dilatées par mon membre, et de son adorable petit trou. Parfois la jouissance arrive un peu tôt et je me lâche dans son vagin.
Quant à elle, depuis le début de la « séance », elle s’est déjà offert 2 à 3 orgasmes. Pour me punir d’avoir éjaculé un peu rapidement, elle se réinstalle au-dessus de moi et laisse couler le mélange de nos jus qui s’échappe de sa vulve sur mon visage, en y frottant son entrecuisse, me faisant nettoyer sa chatte, s’offrant au passage un orgasme supplémentaire.
Les jours où je parviens à me contenir plus longtemps, elle s’arrache de mon membre pour mieux se le ficher dans le cul, mettant mon gland au bord de sa rosette, et, le guidant d’une main, s’emmanche doucement jusqu’à ce que mes couilles arrivent au ras de son petit trou. Là, se renversant en arrière pour prendre appui sur ses mains, elle s’encule toute seule, et sa jouissance arrive dans des cris qu’elle s’efforce d’étouffer (Les voisins me regardent déjà d’un œil goguenard !) Je lui lâche aussitôt trois ou quatre bonnes giclées dans les entrailles ; la position n’étant pas très confortable, elle décule vite de ma queue, en prenant toutefois la précaution d’aller doucement au passage du gland.
Lors de notre dernière séance « tout cuir », nous avons pimenté nos ébats grâce à un nouvel accessoire reçu récemment : Marianne m’a harnaché le visage d’une sorte de masque comportant un petit godemiché d’environ 5 cm de long que je prends en bouche, et prolongé à l’extérieur d’un autre godemiché, celui-ci d’une taille respectable, le tout fixé par une lanière, ce qui fait que j’ai comme une bite qui me sortirait de la bouche. Elle n’a pas tardé à innover ce nouveau plaisir, venant de nouveau à califourchon sur mon visage pour s’enfiler le gode bien au fond de la chatte, et se laissant baiser ainsi sans bouger pendant que je la ramone sauvagement par des mouvements de ma tête d’avant en arrière. Après s’être offert un orgasme de plus, elle s’est alors « déconnectée » de ma bouche pour se retourner et s’empaler encore sur le gode, mais cette fois dans le petit trou. Il est d’ailleurs rentré sans aucun effort, tant son entrecuisse était trempée.
Elle a repris alors l’initiative, faisant elle-même les allers et retours pour s’enculer profondément. Se penchant en avant, elle n’a eu qu’à ouvrir la bouche pour engloutir toute la longueur de ma bite prête à exploser, et il n’a suffit que quelques va-et vient de ses lèvres sur mon gland pour que je lâche mon sperme. Sentant arriver la première giclée elle s’est reculée afin de recevoir ma semence sur le visage, ouvrant grand la bouche pour essayer de happer au vol mon foutre. J’étais si excité par le gros plan de son cul dilaté par le gode sous mes yeux. Que j’ai fusé d’au moins cinq ou six giclées abondantes
Les dernières gouttes sorties, elle m’a libéré le visage de mon harnachement en conservant toutefois le gode bien à fond dans son cul, est venue m’embrasser passionnément, me badigeonnant le visage du foutre répandu sur le sien, et me faisant par la même goûter ma semence mélangée à nos salives. Après quelques instants de récupération, elle m’a libéré de mes liens et je lui ai enlevé doucement le gode qui lui remplissait le rectum, non sans lui avoir fait faire quelques allers et retours dans sa gaine si accueillante et si bien lubrifiée jusqu’à l’ultime jouissance anale qui la laissa pantelante. Quelques minutes plus tard, nous étions endormis dans les bras l’un de l’autre, rêvant sans doute aux futures mises en scène qui déchaînaient nos libidos, et qui, je l’espère, vous auront ravis autant que nous. Nous avons actuellement en projet… mais chut.
Si ce récit vous a plu, nous verrons si nous pourrons vous faire partager ce que nous mijotons.