n° 06850 | Fiche technique | 34226 caractères | 34226Temps de lecture estimé : 21 mn | 06/10/03 |
Résumé: Après un entrainement de rugby je suis allé avec quelques copains finir la soirée. chez Jean. | ||||
Critères: hh fhhh grp extraoffre fépilée voir exhib hmast fellation cunnilingu anulingus 69 hdanus hsodo | ||||
Auteur : Freddy la plume (Freddy la plume.) |
Cette histoire est bien réelle mais les lieus et prénoms ont été changés pour le respect de l’anonymat des protagonistes.
C’était dans mes premières années de travail, j’étais dépêché en sous-traitance dans une grosse société… J’étais ce que l’on appelle un jeune premier athlétique ( grand, brun, élancé ) et me languissait de ne plus pouvoir faire autant de sport que je le voulais. Fier de ma plastique et de mes muscles, je ne manquais pas une occasion de montrer mon corps et j’avoue que de voir les filles se retourner sur mon passage l’air gourmant n’était pas pour me déplaire ( n’est-ce pas les filles) ! Je les voyais détourner le regard à mon approche et se trouver attirées par mes fesses dès que j’avais le dos tourné, les cochonnes.
Tout se passait bien et au fil des missions je m’étais lié d’amitié avec certains de mes collègues ( féminins et masculins ).
Un jour le chef de service eu la bonne idée de créer une équipe corpo de rugby.
Il y eu peu d’enthousiasme au début… mais le temps aidant, il y eu rapidement de quoi réunir une équipe complète… plus les supporters.
Les entraînements se faisaient plus au bon vouloir des personnes et il y en avait qui manquaient régulièrement à l’appel. Nous étions cependant une poignée à s’entraîner régulièrement et il n’était pas rare que l’on finisse tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre…
Comme le rugby est très salissant, tout le monde se retrouvait dans la douche. Les plaisanteries allaient bon train sur les formes ou non des uns et des autres !! C’est vrai que l’on se compare à tout âge. Untel devait perdre un peu de kilos, l’autre devait prendre des pilules miracles pour augmenter la taille de son pénis. Ah, dans quelle société vivons-nous ! Toujours à rechercher ce que l’on n’a pas au lieu de se contenter de ce dont la nature nous a gratifié…
La promiscuité des douches aidant, il n’était pas rare que l’on se frôle, voire se touche dans nos allers-venues, d’autant plus que certains demandaient si quelqu’un pouvait leur laver le dos ou masser les épaules. Les contacts s’arrêtaient là car vous vous doutez bien qu’il était plutôt difficile de contrôler, voire de cacher la moindre érection. Celui qui était pris "en flagrant délit" avait tout de suite droit à une douche froide ! L’effet faisait ainsi boule de neige car ceux qui douchaient étaient à leurs tours les douchés car eux aussi étaient pris "la queue raide".
On était donc un petit groupe à jouer à ces jeux érotiques une fois que la plupart avait regagné le vestiaire… On avait finit par en demander un double car les autres avaient fini par en avoir marre de nous attendre systématiquement. Plus propre que nous, impossible tant on prenait soin de nettoyer chaque partie de notre corps. On se savait observés dans nos moindres gestes et il n’était pas rare de prendre des poses équivoques ou de prendre son temps pour ramasser sa savonnette… Personnellement, j’ai toujours été autant voyeur qu’exhibitionniste car j’aime mater les autres tout en me sentant regardé. Par exemple, je m’assois par terre pour m’occuper de mes doigts de pieds les jambes bien écartées.. Cela me permet d’être à la bonne hauteur pour me régaler de la vue sur tous ces sexes masculins qui ne demandent qu’une bonne paire de lèvres ou une rondelle à plaisir.
Je m’imaginais donc en secret ce que cela donnerait si on allait plus loin dans l’aventure. Goûter chacune de ces queues pendant que je me faisais enculer ou sucer par un autre participant. Je ne gardais pas longtemps cette position équivoque car je sentais une érection subite. À côté de moi, Jean, mon meilleur ami avait remarqué mon stratagème et commençait lui aussi à bander… Voyant que je me tournais vers lui, il se mit face au mur de douche pour que les autres ne s’aperçoivent pas de son état.
Là dessus, il prit son sexe à pleine main et fit semblant de se branler… Je ne l’avais jamais vu faire cela auparavant. Certes il avait quelques manies, mais je n’aurais jamais pensé qu’il aurait réagit de la sorte.
Nous étions donc les derniers à sortir de la douche, les autres étaient en train de se rhabiller. Il se leva donc et se retourna pour sortir à reculons afin que je puisse admirer le plus longtemps possible son bel engin. Il était dressé fièrement et ne demandait qu’à être touché, sucé, et plus si affinités… Belle taille, belle couleur, je me demandais quel goût il pouvait avoir. Mesdames, voire messieurs, vous ne me contredirez pas sur le fait que l’on reconnaît aussi un homme au goût de sa queue. Les plus folles pensées traversèrent mon esprit à ce moment là…
Vite sortis de la douche, vite rhabillés avant que le reste de la troupe ne s’aperçoive de notre "petit manège. Comme le hasard fait parfois bien les choses, ce soir-là, c’était au tour de Jean de nous inviter à dîner. Nous nous retrouvâmes à 5 chez lui et quelle surprise de découvrir son amie en peignoir sur le canapé à notre arrivée. Elle s’était douchée après le travail ( la journée ayant été chaude ) puis s’était endormie en nous attendant le temps que le repas cuise dans le four ( vive la minuterie qui nous a évité de manger trop cuit ). Il faut dire que les programmes de la télé avaient été particulièrement soporifiques ce soir-là ! Jean nous avait déjà parlé de sa Rachel, "petite brunette sensuelle" à plusieurs reprises, mais il faut avouer que chacun de nous aurait certainement donné cher pour faire durer ce moment.
Notre pudeur nous disait de détourner le regard mais le spectacle était trop attirant : Elle était allongée sur le côté, la jambe supérieure repliée ce qui nous faisait découvrir une partie non négligeable de ses jambes d’un galbe tout à fait honnête. Brune, les cheveux mi-longs, environ 1M. 70, pas trop maigre comme la plupart des potiches des magazines actuels. J’eus même le temps de découvrir une partie de son sein droit ( son peignoir ayant eu la bonne idée de s’entrouvrir ). Lorsqu’elle aperçut son mari, elle s’empressa malheureusement de le rajuster. Elle était excitante dans ce peignoir d’autant plus que le fin tissu nous laissait deviner la pointe de ses seins qui commençaient à se durcir. Je trouve que de voir les seins pointer à travers un vêtement est une des choses les plus excitantes qui soit ! Je m’empressais de m’asseoir sur la première chaise venue car une érection commençait à sérieusement me gonfler le pantalon ( il faut dire que j’étais en survêtement léger ). "Dommage", pensais-je au fond de moi, "j’aurais bien arrêté le temps si cette beauté n’était pas réservée». La copine des amis s’est sacré, sauf si celui-ci est d’accord.
Elle disparut donc dans sa chambre à notre grand regret.
Jean commença à nous servir un apéritif en attendant le retour de Rachel. On parlait de tout et de rien quand tout à coup le silence se fit… Vous pensez bien, Rachel venait de faire son apparition. Elle était habillée d’un chemisier blanc dont la légère transparence laissait deviner son mignon balconnet de dentelle; emprisonnant une poitrine pas très opulente mais suffisamment fournie; d’autant plus qu’il n’était pas boutonné très haut ; une mini-jupe rouge avec des collants noirs ( ceux ayant un dessin qui court derrière la jambe ). La belle se réjouissait de l’effet qu’elle venait de créer et se fut avec délice que chacun de nous lui fut présenté. Le contact de ses joues ainsi que l’odeur de son parfum avait fini d’achever le malaise qui se trouvait dans mon pantalon. Je bafouillais un "bonsoir" très protocolaire, puis elle passa aux autres. Son sourire illuminait la pièce et c’est fou ce que nous les hommes pouvons devenir couillons quand une belle poule est dans la basse-cour !
Durant l’apéritif, elle était assise en face de moi et veillait malheureusement à tenir ses jambes convenablement serrées. En faisait-elle exprès ou était-elle sur sa réserve ?. Sa mini s’était légèrement relevée et laissait apparaître un peu plus de la peau de ses cuisses. Je m’amusais d’observer mes camarades et leur façon de détourner le regard afin de lorgner discrètement sur Rachel. Alain, était assis à sa gauche et comme il était assez grand, il pouvait de temps en temps risquer un œil dans le décolleté de sa voisine. Jean, quant à lui se tenait naturellement à la droite de son amie. Alain changeait rapidement la direction de son regard quand Jean tournait sa tête vers lui.
Lors des mouvements de Rachel pour passer le plateau des biscuits apéritifs ou pour nous resservir un autre verre, j’eus les plaisirs d’avoir une vue privilégiée sur sa poitrine ainsi que sur sa petite culotte ( en dentelle blanche comme son soutien-gorge ).
Elle s’aperçut de mon manège et me regarde fixement dans les yeux. Je rougis brusquement et Jean s’en aperçut ! Je prétextais un coup de chaleur et enlevais mon sweet pour mêler le geste à la parole. Il faut dire qu’il ne faisait pas particulièrement chaud et que je commençais à ressentir un petit frisson. Je me fis donc charrier sur le fait que l’alcool devait déjà faire son effet pour avoir aussi chaud. Rachel me regarda me rasseoir et veilla à ce que mon œil ne s’attarde pas sur sa personne. La fin de l’apéritif se passa sans autre incident.
On passa donc à table. Le repas se passait dans la bonne humeur et cette fois-ci j’étais à la gauche de Rachel ( merci au hasard ). Je dis le hasard car je m’étais éclipsé afin de satisfaire une envie pressante le temps que tout-le-monde change de pièce… Quelle ne fut ma satisfaction de découvrir la place qui me restait. Jean se tenait toujours à sa droite, les autres ayant à mon sens préféré une vue de face sur la belle de ces lieux. Elle avait une façon bien féminine de remonter la mèche de ses cheveux. Cela avait pour résultat de me les faire frôler le visage. À ce sensuel contact, de nouveaux phantasmes me parcouraient l’esprit : je me voyais me perdre dans sa chevelure dans de grandes embrassades, des étreintes torrides… Je la chevauche, elle me chevauche… Je la prends en levrette et la fait hurler de plaisir tout en la maintenant par sa crinière. D’abord dans son antre à plaisir, ensuite dans le plus serré de ses conduits. Mesdames, ne négligez pas de prendre du plaisir pas tous les orifices que la nature vous a donnée, parole de connaisseur… il ne faut pas mourir idiotes !
Rien que d’y repenser, j’en ai le sexe qui se raidit… Humm, quels délicieux moments ! Je crois d’ailleurs que je vais vous quitter un instant le temps d’un petit plaisir solitaire…
…. Voilà la chose faite, j’espère que je ne vous ai pas trop fait attendre. Une petite masturbation fait tellement de bien. Il n’y a pas de mal à cela, ça défoule même notre agressivité interne et donne du plaisir. Cette fois j’ai eu besoin d’avaler mon sperme ( cela me rappelle le bon temps )… Pour se faire je suis allongé sur mon lit, les fesses en l’air et le dos calé contre le mur, cela me permet d’avoir mon sexe juste au-dessus de ma bouche… Essayez, c’est extra quand on a un minimum de souplesse et d’habitude. C’est vrai que les premières fois, on en a plus sur la figure mais ça fait partie du jeu. Ensuite, on s’applique et toutes les giclées atterrissent sur notre palais et on se délecte la langue !!! Humm, j’en entends certains et certaines qui comme moi pensent que c’est le premier jet qui est le meilleur.
Bon revenons à mon récit. L’alcool aidant, les conversations tournèrent à des sujets de moins en moins bateaux, autrement dit de plus en plus orienté sexe. Ne me dites pas que vous savez rester sérieux toute une soirée. Les paroles se mêlaient aussi aux gestes et les contacts se faisaient de plus en plus rapprochés ( ma voisine me donnait des coups de coudes, me donnait des tapes sur le bras… ). Il faisait de plus en plus chaud et la plupart avait soit largement ouvert sa chemise, soit était en tee-shirt. J’avais quant à moi remarqué que ma voisine c’était légèrement déboutonnée elle aussi et laissait apparaître la blancheur de son balconnet. Je n’avais plus beaucoup de mal à visionner dans son décolleté. J’aime regarder le gonflement de la poitrine qui suit le rythme de la respiration d’une femme.
Je sentis soudains une jambe frôler la mienne, puis insister sur mon pied gauche… Je rêvais, ma voisine ne m’en voulait certainement plus et elle insistait même. Les autres ne s’en aperçurent pas et c’est avec regret que je la vis se lever de table.
Rachel revint quelques minutes après et continua le repas comme si de rien n’était. J’étais déconcerté car elle ne reprit pas son petit manège de tout à l’heure. Rien ne se passait, plus de contact ! Elle devait le faire exprès l’allumeuse ! De temps en temps elle m’adressait seulement un sourire au détour d’une blague.
Je me risquais donc à regarder de nouveau dans son décolleté. Quelle ne fut ma surprise de voir qu’elle avait profité de son intermède pour enlever son soutien-gorge. Mesdames, comme vous savez bien vous y prendre pour captiver l’attention d’un homme. La vue de ces superbes proéminences me gonfla immédiatement le pantalon… Elle s’en aperçut, pris appui sur la table afin que le spectacle soit meilleur et me remercia de l’attention par de nouveaux frôlements de jambes. Parfois elle commençait à remonter le long de mes mollets. Malheureusement, la nature ne nous a pas fait contorsionniste et c’est avec un regret mutuel qu’elle s’obligeât à en rester là.
D’autant plus que Jean nous demanda de rejoindre le salon pour prendre le dessert. Je pense que mes collègues s’aperçurent aisément que Rachel n’avait plus rien pour soutenir ses seins. Tout le monde pouvait maintenant les qualifier de très jolis et surtout de très bandants. Je me rappelle m’être précipité sur le canapé afin de pouvoir les voir se balancer au rythme des mouvements de ses hanches. Le tissu excitant ses mamelons, on distinguait nettement ses tétons durcis par ce contact. Le malaise était maintenant ressenti par toute l’ assistance et je rigolais de voir mes camarades essayer de cacher tant bien que mal leur érection. Rachel avait le regard amusé de voir que son stratagème érotique réussissait plus qu’espéré ( quel plaisir mesdames quand une belle brochette de mâles bandent pour vous ).
Contrairement à table, Rachel ne se retrouva pas assise à mes côtés. J’en profitais donc pour me positionner en face d’elle, dès fois qu’elle n’est pas mis de culotte, cette cochonne! La suite des évènements m’apprit rapidement que non. Elle ne faisait même plus attention aux regards de l’entourage et ne pensait plus à garder ses jambes serrées… Je pus donc avoir le loisir de nouveau de contempler la blancheur de son slip, non sans une grosse déception. Elle me regarda et compris tout de suite que je reluquais sous sa jupe. Rachel en profita pour ouvrir un peu plus les jambes et s’avança sur le bord du canapé. Ce geste "naturel" eu pour effet de faire remonter sa jupe un peu plus.
Ses voisins directs avaient la joie d’une vue plongeante sur son décolleté ( ils étaient assis sur des chaises et elle dans le canapé ). Je voyais leur pantalon se gonfler de plus en plus. Rachel ne pouvait en être dupe et c’est sans doute pour faire "monter la pression" ( si elle pouvait encore monter) qu’elle déboutonna nonchalamment un autre bouton de son chemisier… L’excitation devenait à son comble ! Elle se pencha au-dessus de la table de salon afin de me proposer une part de gâteau à chaque convive.
Un long silence "se fit entendre" lorsqu’elle se mit à découper le gâteau dans cette position. En fonction de la position de chacun, on pouvait à loisir mater son beau petit cul ou avoir une vue plongeante sur ses mamelles qui se tendaient vers le sol. Mon collègue de droite ne put me jeter un clin d’œil complice et se détourna aussitôt pour continuer à jouir du spectacle. En bonne maîtresse de maison, Rachel nous servit avec application et surtout suffisamment lentement afin que chacun ait le temps de se rincer copieusement l’œil. Elle s’amusait à dire des banalités, histoire de mettre le mateur un peu plus dans l’embarras.
Une fois cet épisode terminé, Jean nous proposa de visionner la dernière cassette qui avait été tournée lors de notre entraînement. On avait l’habitude de filmer les entraînements afin de corriger nos défauts. Tout le monde se tourna vers le téléviseur et la discussion commença sérieusement.
Au bout d’un moment Rachel nous apporta le café et recommença sa séance de vision sur ses seins et étonnement la conversation se détourna rapidement sur le côté sexy d’untel qui avait son short de déchiré, tel autre qui avait mis la main aux fesses de son coéquipier… On lui expliqua que l’on était même parfois obligé de se tenir par le devant du short ( notamment lors de mêlées ) ce qui amenait des contacts très rapprochés entre les joueurs. Comme elle ne comprenait pas bien, on lui proposa de lui montrer comment on s’y prenait.
La cassette tournait toujours et on arrivait maintenant à une séance de caméra cachée dans les vestiaires puis dans les douches… Rachel commença à être de plus en plus attentive à mesure qu’elle voyait les joueurs se dévêtir pour aller se laver. Elle se trouvait à son tour embarrassée de voir tous ces beaux culs, ces sexes de mâles et commençait à avoir le souffle court. Chacun plaisantait sur son apparition à l’écran et on arrivait sur la séance de punition pour ceux qui bandaient dans les douches.
A la vue de ces queues dressées, Jean lui demanda si ce n’était pas ça pour elle une des visions du paradis sur terre. Elle lui répliqua qu’elle voudrait bien voir sa tête si elle débarquait un jour dans les vestiaires afin de lui répondre en connaissance de cause. Elle ne serait pas contre tenir la caméra car elle aurait certainement fait de plus gros plans.
Pour changer de sujet, Jean entreprit de revenir sur la démonstration de la mêlée. Chacun prit sa place respective bon gré, mal gré. Rachel pouvait maintenant facilement comprendre que de cette façon, on pouvait aisément toucher le sexe de son coéquipier si on le souhaitait, mais que ça n’était pas le but du jeu. À ce moment, Pascal s’aperçut que Jean bandait ferme dans son short et interpella l’assemblée pour l’aider à lui faire prendre une douche froide. Tout le monde lui sauta dessus et Rachel nous ouvrit le passage de la salle de bain.
Arrivé à bon port, on entreprit de le déshabiller complètement et chacun pu confirmer que Pascal n’avait pas menti… Son bel engin était bel et bien au garde à vous. On demanda à Rachel si on devait les laisser profiter de son état mais elle nous répliqua que ce n’était pas encore le moment et qu’elle se trouvait bien en notre compagnie. Mêlant le geste à la parole, elle prit la poire de douche et entreprit d’arroser copieusement son compagnon… Par gentillesse l’eau n’était pas trop froide et Jean entreprit une séance de roulage de cul à convertir à l’homosexualité le plus puritain des hommes. Il nous regarda l’un après l’autre en passant sa langue sur ses lèvres, pris son sexe en pleine main et le tendit à son amie.
Quand elle s’approcha de lui afin faire semblant de lui faire une fellation, Jean s’aperçut qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Il la traita d’allumeuse et entreprit de l’arroser à son tour. On était tous autour d’eux à mater le combat des 2 tourtereaux et surtout à reluquer les seins de Rachel à travers son chemisier devenu transparent.
Jean nous demanda notre avis sur le fait de la déshabiller à son tour afin de constater qu’elle bandait aussi du clitoris. Sitôt dit, sitôt fait et notre excitée se retrouva rapidement dans le plus simple appareil. On lui écarta les cuisses ( sans trop de problème car elle demandait que çà ) et Jean put constater que son clitoris n’avait jamais été aussi volumineux !!! Elle n’avait pas un poil sur son sexe et on en devinait chaque centimètre carré. Elle n’était plus mouillée, c’était une vraie fontaine !
Elle lui répliqua que chacun de nous devait maintenant se mettre à poil car tout le monde devait être en train de bander ferme. "Allez, le dernier tout nu a droit à un gage"
Je commençais donc à enlever le peu de vêtement qu’il me restait quand jean m’agrippa les bras. De cette façon, je ne pus qu’être le dernier déshabillé complètement. Je devinais le sexe de Jean dans mon dos et je me souviens l’avoir serré contre le mur afin de mieux en sentir le contact. Qu’il était dur, que sa queue était chaude… Je bandais de plus belle et je finis malgré tout par me retrouver comme les autres : à poil et tellement excité qu’il fallait maintenant éteindre les feux en chacun de nous.
D’un commun accord, mon gage fut que les digestifs soient pris sur mon dos ( je m’étais mis à quatre pattes pour servir de table. J’étais alors entouré par 4 queues au garde à vous et une minette rasée de prêt. Rachel s’était mise bien en face de moi et passait maintenant un doigt nonchalamment sur ses lèvres afin de calmer un peu son excitation. Un ou deux doigts s’égaraient parfois au gré de ses caresses.
Ce n’est pas comme ça que j’allais me calmer et Pascal fit remarquer qu’il fallait s’occuper de moi car on ne pouvait pas me laisser dans cet état. Il commença par me caresser le dos, puis se dirigea vers mes fesses. Il appuya plus ses mains et me les massait maintenant fermement, pour enfin y déposer un baiser. Les autres l’encouragèrent à aller plus loin et Rachel lui fit remarquer que je n’avais pas l’air d’être contre.
Pascal commença donc par me lécher le cul centimètre par centimètre. Il s’appliquait et j’en avais la chair de poule.
Rachel se mit en avant et me présenta son minou à lécher… Ce que je fis immédiatement. Quel parfum, quelle délectation ! J’y aurais passé la nuit sur ce cunnilingus si elle ne s’était pas retirée avant la jouissance. Ma bouche commençait à être inondée de sa cyprine. Elle s’allongea sous moi et entreprit une longue fellation. Pas besoin de longtemps pour conclure qu’elle était experte en la matière. J’enviais Jean d’avoir su dégotter une aussi bonne suceuse.
J’étais de mieux en mieux entouré ( Pascal qui maintenant me pénétrait l’anus avec sa langue et la bonne pipe de Rachel ) quand Jean se présenta devant moi, son sexe entre les mains. Ses intentions ne laissaient aucun doute, lui aussi voulait sa part de plaisir. Je le reçus donc confortablement dans ma bouche et essaya de faire aussi bien que Rachel. La difficulté étant de ne pas faire tomber les verres, vous vous en souvenez ? Apparemment il semblait aux anges et imprimait de lui-même un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Il me tenait par le cou pour que son mouvement soit le plus régulier possible. Je serrais les lèvres tant que je pouvais et essayais de durcir au maximum ma langue afin que son sexe butte dessus. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il n’était pas loin de la jouissance. Il me demanda s’il pouvait jouir dans ma bouche… Je lui fis un signe affirmatif sans pour autant enlever sa grosse bite de ma caverne buccale.
Il ne se fit pas prier plus longtemps et m’inonda la bouche de son sperme… Je ne pus pas tout contenir. Une partie alla sur ma figure et tomba sur le sexe de Rachel. À cet instant je ne pus me retenir plus et ce fut au tour de Rachel de recevoir ma liqueur. Elle aussi en prit plein la figure et redoubla sa succion. J’atteignais le septième ciel car Pascal en profitait maintenant pour me pénétrer l’anus avec plusieurs doigts.
Après s’être repris de sa jouissance, Jean entrepris de me débarrasser de son sperme qui était sur mon visage. Il s’appliquait pour ne pas en laisser une goutte. Il me confia que ce n’était pas la première fois qu’il goûtait sa liqueur et qu’il trouvait même cela très bon. Voyant qu’il y en avait aussi sur le sexe de son amie, il me conseilla de lui nettoyer… Malheureusement, je ne me souvenais plus que j’avais encore les verres sur le dos… Et ce qui devait arriver se passa : Tout chût sur la moquette lorsque je me baissais pour lui lécher le minou. Rachel profita de l’occasion pour me donner un nouveau gage ( en bonne maîtresse de maison ).
Mon nouveau gage fut que chacun me sodomise tour à tour… Je n’en demandais pas tant mais j’avais cependant une petite appréhension sur l’état dans lequel mon anus allait se retrouver à la fin de l’exécution de cette sentence ( il y avait 4 mâles plus une femme à me passer sur le corps ). Je demandais seulement que l’on veille bien m’accorder de finir mon cunnilingus sur Rachel avant Cela me faisait gagner un peu de temps. La chose me fut accordée. En attendant, les autres acteurs s’installèrent en"69" spontanément afin de se maintenir "au chaud". Dans la pièce, il ne régnait plus qu’un concert de succions de toutes natures. Rachel quant à elle se préparait à un nouvel orgasme et j’eus juste le temps de la retourner au-dessus de ma bouche pour recevoir toute sa jouissance. Je n’en avais jamais reçu autant de la part d’une femme, une vraie fontaine !!! Je lui fis remarquer et Jean me dit que c’était une des choses qu’il préférait en elle, une vraie nympho cette nana. Humm, qu’elle était bonne, j’en avais la figure toute humide.
Mon supplice put maintenant commencer. Je reprenais ma position à quatre pattes. Rachel alla chercher son tube de gel lubrifiant et m’en enduit copieusement la rondelle. Pascal commença le premier car il ne voulait pas être en reste de ses efforts de tout à l’heure. Il était doux dans ses gestes et me pénétra lentement. Son travail de préparation était payant et je ne ressentis aucune douleur quand il arriva jusqu’à la garde. Son rythme était régulier et c’est comme ci il avait fait ça toute sa vie. De cette façon il obtenait une bonne maîtrise de la montée de sa jouissance. Quand la pression se faisait forte, il s’arrêtait pour me caresser le sexe ou les bourses. Ensuite, il reprenait ses mouvements sur toute la longueur de sa queue pour ressentir le plaisir au maximum. Comme moi ses préférences étaient principalement hétéro mais il ne rechignait pas sur des expériences Bi lorsque l’occasion se présentait. Subitement, il accéléra ses va-et-vient et jouit longuement dans mes entrailles. Je ne sais pas combien de centimètres cubes il m’en a mis dans le cul mais il fut parcouru de soubresauts pendant un long moment.
Il me remercia pour le plaisir que je venais de lui procurer et se retira pour laisser la place au suivant.
Aurélien quant à lui en était à sa première expérience homo… Il se plia quand même à la règle ( par peur sans doute de ne pas subir à son tour la même chose ). Il nous confia qu’il préférait plutôt une fellation. L’assistance ne fut pas contre et il se plaça devant moi afin que je m’exécute. Comme Jean, il aimait imprimer à son bassin un mouvement de va-et-vient et fermait les yeux pour mieux savourer son plaisir. Il était toutefois plus nerveux et ses mouvements plus courts et plus saccadés.
Jean, qui attendait son tour en étant branlé par Rachel, se mis derrière moi et commença à forcer la porte de mon anus. Cette attention me surpris dans un premier temps mais rapidement je me reculai le plus possible pour mieux aller à la rencontre de sa tige que je savais si bonne. Il me pilonna jusqu’à la garde dès sa première entrée. Il arrivait même à me masturber pendant qu’il me sodomisait avec vigueur. Ma verge devait sans doute lui servir d’appui. Il continua comme ça pendant une bonne dizaine de minutes et sa main vigoureuse sur ma queue eut bientôt raison de moi. Je jouissais abondamment dans ses doigts. La sensation de mon sperme le fit jouir à son tour dans mes intestins. Lui aussi me les remplis copieusement. Devant ce spectacle, Aurélien se retira de ma bouche pour tout me gicler sur le visage en me lançant des obscénités. Je fut obligé ensuite de lui nettoyer sa queue en prenant soin de m’appliquer.
Mario réclamait maintenant son dû et me fit venir sur lui. Il s’était allongé sur le dos pour que je puisse facilement m’empaler sur son pieu. Il avait un plus petit sexe que nous et de cette manière il pouvait plus facilement rester en moi. Je ne me fis pas prier d’autant plus que je ressentais moins le feu au cul que je le craignais tout à l’heure ( merci le travail de préparation de Pascal et le gel lubrifiant de Rachel ). Et vous, quel est votre truc pour ne pas avoir l’anus qui chauffe de trop ??? Vos conseils sont les bien venus. Je m’assis donc sur lui de façon à ce que l’on soit en vis à vis. J’aime voir mes partenaires jouir quand ils sont dans mes bras. Une fois bien enfiché, je faisais de mon mieux pour ne pas le "perdre" lors de mes remontées. C’est vrai qu’il était bien "petit" ce cher Mario ! Voyant que le temps commençait à se faire long, Rachel vint se mettre à califourchon sur sa bouche. Mario était apparemment un expert en cunnilingus car cette dernière commençait déjà à avoir la respiration qui s’accélérait.
Devant ce tableau, Jean ne put s’empêcher de se mêler à la mêlée ( normal pour un joueur de rugby me direz-vous ) et caressa les seins de son amie, qui à son tour me caressa les miens. Tout en continuant, elle se mit à me branler avec une vigueur que je ne lui soupçonnais pas. C’est qu’elle s’y prenait bien la garce. Encore une fois j’enviais Jean d’être tombé sur cette super nana, cochonne et vicieuse comme je les aime. Elle n’a pas froid aux yeux la salope ! Mais les caresses de Jean eurent raison d’elle et c’est avec regret que je vis qu’elle avait retiré sa main pour mieux goûter à l’instant présent. Jean était maintenant derrière elle et la pilonnait tout ce qu’il pouvait ( décidément, c’était le roi de la sodomie ce soir ). Ce n’était plus que des "encore, encore, va bien à fond, mon amour… je suis ta putain, ta salope d’enculée."
A peine avais-je demandé à Rachel de recommencer sa masturbation que Pascal se proposa de la remplacer, d’abord avec ses doigts, puis avec sa bouche. Il suçait bien le bougre !!! "Continue comme ça, aspire bien mon dard ". J’étais maintenant pris entre deux feux. Je me faisais défoncer le cul d’un côté pendant que je queutais la bouche de Pascal de l’autre. Mario me remplit à son tour de sa semence et j’en profitais pour complètement m’empaler dessus. Pascal en profita pour me pomper de plus belle. Ce n’était pas une bouche qu’il avait, un vrai aspirateur, une trayeuse à sperme ! Une fois encore j’atteignais la jouissance, mais je n’avais plus grand chose à donner. Le cul de Rachel eut aussi son effet car Jean se retira pour lui asperger le dos. Comment pouvait-il avoir encore autant de sperme dans ses bourses, un vrai étalon !
En sueur et exténués, c’est avec bonheur que l’on plongea dans une béatitude réparatrice.
Soudain, Rachel se rappela qu’on avait sauté son tour pour mon gage. Je lui demandai pitié car il fallait maintenant se quitter pour essayer de dormir un peu ( le lendemain il fallait aller travailler ). Ce fut avec une grande joie qu’elle répondit que ce n’était donc que partie remise. Jean ne fut pas contre.
On se quitta donc pour mieux se retrouver… Mais cela fera l’objet d’un autre épisode.
FreddyB. Tous droits réservés pour tous pays.
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