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n° 06853Fiche technique22942 caractères22942
Temps de lecture estimé : 15 mn
07/10/03
Résumé:  Une de mes élèves fait en sorte que je prête attention à sa... réussite!
Critères:  fh hplusag profélève fépilée école voir exhib noculotte photofilm lingerie fmast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo jeu
Auteur : Phrenchy            Envoi mini-message
Une élève qui sait attirer l'attention


Dire que jusqu’à aujourd’hui, je n’aurais jamais cru être confronté à ce… À cette… À ça est un doux euphémisme ! Quel toupet ! Comment lui est-il venu à l’idée une seule seconde que je pourrais accéder à sa demande ? C’est tout bonnement incroyable ! Bon, avant tout, il faut que je me présente, c’est plus dans l’ordre des choses, n’est-ce pas ?


Cela fait une dizaine d’années que j’enseigne dans cet établissement du sud de la France, de la première au BTS et malgré mes 32 ans, j’ai une réputation de prof sympa mais assez droit, et je ne croyais franchement pas qu’il puisse en être autrement ! Il faut dire que je joue de mon physique, non, non, je ne veux pas dire que je ressemble à Tom Cruise, je ne suis pas si prétentieux, mais plutôt que, bien au contraire, avec 1m95, les élèves ont tendance à me craindre avant même que je ne me mette en rogne. Je pratique le sport de manière plus ou moins intensive suivant les périodes depuis que j’ai douze ans et je suis très porté sur le sexe. Mais ne vous inquiétez pas, je fais la part des choses, et même si la matière que j’enseigne (électrotechnique pour ceux qui ont des notions) ne me permet pas de fréquenter beaucoup d’élèves de sexe féminin, je sais qu’îl faut être plus distant des filles que des garçons si l’on ne veut pas hériter de la réputation du harceleur de service et je sais que je suis plus sévère avec elles qu’avec eux, désolé mesdemoiselles pour cette injustice, mais c’est mon mode de défense.

Travaillant régulièrement sur ordinateur, il n’est pas rare que je me ballade avec, dans ma pile de CD du boulot, un CD à caractère plus… personnel que je consulte durant les heures de libre, après avoir fini de préparer le boulot ou lorsqu’un système me sort par tous les pores de la peau, c’est ma thérapie à moi !

Cette année, comme tous les ans, les filles sont en minorité, ou plutôt, la fille est minoritaire face aux 29 garçons de la classe de deuxième année de BTS. Je ne suis pas dérangé par ce fait, et lorsque je la vois se placer seule au dernier rang, je ne suis pas étonné, les filles ont tendance à essayer : soit de se mettre en avant et de se comporter comme des mecs, des chefs de bande, soit d’être en retrait pour ne pas se faire trop chahuter, même par des élèves de deuxième année de BTS. Le cours débute avec une attention proportionnelle au coefficient de l’épreuve à l’examen qui est assez élevé, et le cours se déroule on ne peut plus normalement. Je donne quelques exercices, je passe dans les rangs pour détecter les faiblesses des élèves. Ce que je détecte en fait, c’est que, lorsque la seule fille se débarrasse de son pull-over pour profiter des rayons de soleil qui réchauffent ce début d’année dans le sud de la France, j’aurai Clairement intérêt à la regarder dans les yeux en lui parlant si je ne veux pas déraper ou si je ne veux pas qu’elle le crois ! Waou, une fois plongée en avant sur son travail, le décolleté qu’elle me propose me donne envie pour le moins de laisser vagabonder mes yeux… Mais étant sérieusement conscient du risque que me ferait courir la moindre rumeur à mon sujet, je reste très TRES concentré sur le travail qu’elle a d’ailleurs réussi. Le côté pile a aussi son charme, en effet, le top qu’elle porte me laisse admirer le string bleu assez clair qui dépasse allègrement de son pantalon taille basse.


Les semaines se passent et je commence à me faire à mon sort et je sais que je suis condamné à ne regarder que ses… copies ! Lorsqu’un jour, elle vient en cours avec un pantalon, comme d’habitude, mais en haut, elle porte une veste noire qu’elle ne retire pas. Un quart d’heure avant la pause (non, on ne parle plus de récré à cet âge là !), Je jette un œil sur son travail, mais malgré tous mes efforts, c’est sur un soutien-gorge en dentelle noire transparente que mon regard se pose, et oh, mon dieu, quel soutien-gorge ! Je ne sais pas si c’est un wonderbra ou si elle a la chance de posséder des seins aussi fermes et opulents, mais c’est impossible de ne pas avoir une réaction, en tous cas, cela M’EST impossible, et mon jean se déforme instantanément, me forçant à aller m’asseoir pour éviter de me faire repérer par toute la classe !


Je ne corrige pas l’exercice au tableau, prétextant une rallonge de temps pour leur permettre de vérifier leurs calculs, et je suis libéré par la sonnerie qui retentit. Sauvé par le gong, les élèves sortent de la salle, et je retrouve les collègues, ce qui me permet de me calmer lorsque Sandrine vient me demander si je peux lui ouvrir la salle dans laquelle elle a oublié ses clopes. Après une remarque sur le fait qu’il vaudrait mieux qu’elle s’en dispense, je lui tends les clés, incapable de l’accompagner sans risquer une nouvelle… Comment dire… poussée naturelle de ma testostérone !


Elle revient me rendre les clés avant la fin de la pause avec un sourire… Que j’ai du mal à cerner, ce n’est pas de la moquerie, ce n’est pas de l’envie… Bref, je laisse tomber et j’oublie ce visage le temps de la pause. Je retourne dans la salle avant les élèves, et j’éteins mon ordinateur portable avant le retour des élèves. La séance se termine avec des efforts surhumains de ma part pour rester de marbre… mais en essayant que mon sexe ne soit pas TROP en marbre ! La sonnerie vient me sauver encore une fois, et c’est avec soulagement que je vois la salle se vider… se vider oui, mais pas complètement, Sandrine me demande si elle peut me poser des questions. Merde ! Comment la refouler ? Tout le monde sait très bien que je suis toujours disponible pour les questions des élèves, et je ne peux vraiment pas m’esquiver, je demande :



Ce clin d’œil me met mal à l’aise, et puis, tiens, ce dernier bouton là n’était pas défait à la fin du cours, malgré mon excitation qui grandit en voyant la moitié de son soutien-gorge et en devinant le début d’auréoles, je la remercie gentiment en lui présentant la porte de sortie. Elle sort avec le même sourire intrigant qu’à la pose, se retourne, puis me propose :



Et sans attendre de réponse, elle se sauve en courant. Je regarde partir ce bout de femme, sa longue chevelure brune, ses fesses mis en valeur par une taille fine qui souligne ses seins, et je reste là, bouche bée à me poser la question du début, qu’est-ce qui peut lui faire croire que, malgré mon côté sérieux, je puisse être attiré par le fait de la photographier habillée en tout et pour tout de collants ? Comment ça, elle n’a pas parlé de collants ? Ce n’est pas grave, moi, j’y pense ! Car oui, c’est bien de ça qu’il s’agit, ma passion pour les collants, et j’adore prendre des photos de copines, de ma femme, etc. habillées, ou plutôt déshabillées avec un simple collant…


Je reviens à moi, je range mes affaires, puis je percute : Ca y est, l’ordinateur portable ! En fait, il devait être éteint avant la pause, et elle a du fouiller dedans en pensant trouver quelque chose… Et je parie qu’elle a du trouver ce qu’elle cherchait !


Déstabilisé mais certain qu’elle n’a de toutes façons rien qui puisse me compromettre, la semaine passe et je commence à stresser en pensant au futur cours qui se rapproche. En fait, je me prépare à ce cours comme à un procès où tous les élèves sauraient des choses ou alors pire, des parents ou je ne sais quoi…

La séance arrive mais je ne laisse rien paraître de mon malaise. Les élèves s’installent, je m’efforce de ne pas regarder la personne seule au dernier rang…


Je débute le cours avec une sévérité exagérée, aucun bruit ne vient perturber le son de ma voix. Sandrine est bien sagement assise, les cheveux attachés, ses lunettes lui donnent un air si sérieuse… Aucun élève ne se comporte de manière inappropriée, je me suis fait un film pour rien ! Je commence à être plus détendu, mon comportement redevient normal lorsque je me rends compte alors que tous les garçons travaillent que Sandrine a carrément ouvert sa chemise, me fixe dans les yeux alors que ses deux superbes globes ne sont recouverts que d’un simple tissu transparent qui semble…


Oui, c’est ça, elle a utilisé un costume que j’avais demandé à ma copine de porter, je n’étais pas passé dans les rangs jusque là, et je n’avais donc pas pu voir que sa tenue est exactement celle que j’ai classée dans le dossier SUPERTOP de mon CD privé ! Elle utilise un collant blanc comme soutien-gorge, ce qui a pour effet de resserrer ses seins encore plus qu’un wonderbra, une simple chemise blanche par-dessus, en bas, une jupe plissée style écolière sur des collants chair, des chaussettes – bas en laine blanche et des baskets !!!


Les images du dossier me reviennent comme un boomerang avec la partie de jambes en l’air qui avait suivi la séance photos, Nathalie, ma copine, m’avait demandé de lui recouvrir les verres des lunettes de sperme, un vrai régal de décharger toute ma semence sur ce visage si innocent ! Et le pire, c’est qu’après, elle avait terminé en léchant ce sperme sous les flashes de l’appareil photo ! Et Sandrine a choisi de s’habiller comme ça !!! Je me félicite de trouver des sujets si passionnants qu’ils maintiennent l’attention des autres sur leurs copies car je peux profiter de me rapprocher sans pour autant pouvoir être accusé de quoi que ce soit.


Oh putain ! Le collant brille de mille feux sous la tension qui maintient les seins et le rayon de soleil qui vient l’illuminer. Si seulement je pouvais les foutre dehors et la prendre… en photo ! Elle glisse son stylo dans la bouche, quelle salope ! Je suis vraiment au supplice ! Cette fois, le collant est assez transparent pour ne plus laisser aucun doute, pas besoin d’artifice pour qu’elle ait de beaux seins ! Gros, mais visiblement fermes, au centre des auréoles se tiennent fièrement dressés les tétons qui soulèvent le lycra. Tout à coup, elle referme la chemise. J’ai peur qu’un élève se soit retourné, mais non, un coup d’œil rapide me permet de vérifier qu’ils planchent encore sur la deuxième partie du travail. C’est alors que retentit la sonnerie, expliquant son geste. Je m’attends à ce qu’elle reste à la récré, mais ce n’est visiblement qu’une allumeuse !


Je prends la pause en salle des profs, et je l’observe dans la cours. Loin de passer pour une salope, elle tient ses camarades en respect malgré sa tenue, ça m’épate ! La pause me change les idées lorsqu’en rentrant dans la salle, je vois un truc bleu clair sous sa chaise. Comme la sonnerie vient juste de se faire entendre, je ramasse ce machin qui, oh bordel !!! Se révèle être son string !!! C’est avec ce tout petit mais très excitant morceau de tissus dans les mains que j’entends rentrer les élèves ! Merde ! Mon réflexe salvateur tient au fait que je fais semblant de me moucher et que je range le string dans ma poche. Sandrine n’est pas dupe et arbore le même sourire que j’identifie donc être un sourire… excitée ou joueuse…


Le cours se continue puis se termine avec Sandrine complètement inconsciente ou excitée, je ne sais pas, mais le fait est qu’elle garde la chemise ouverte de plus en plus, et le moindre coup d’œil en arrière d’un de ses camarades la grillerait et la ferait passer pour la pire des… enfin, bon, pour ce qu’elle est ! Du coup, je ne bouge plus du tableau pour éviter de me compromettre avec elle, elle fait ce qu’elle veut, je n’y suis pour rien ! Assis à mon bureau, l’excitation qui m’empêche maintenant de me lever me donne aussi relativement chaud. Je me sers donc de mon mouchoir pour m’essuyer lorsque je me rends compte affolé que c’est bien évidemment le string de Sandrine que je me passe sur le visage ! Elle ouvre de grands yeux ébahis, mais aucun des garçons ne semble imaginer ce que je peux être en train de faire…


Comme tout à l’heure, je ne suis plus surpris de la voir se réajuster avant la sonnerie de fin, et je m’attends même à la voir partir en premier et me laisser de nouveau sur ma faim. Mais cette fois, alors que les groupes d’élèves quittent la classe les uns après les autres, elle semble mettre trop de temps pour ranger ses affaires. Mon rythme cardiaque accélère alors qu’elle traîne en longueur… plus que trois élèves et nous serons seuls. Mais, alors que j’imaginais déjà perdre mon contrôle, elle se sauve en courant, me laissant expliquer la dernière question aux trois retardataires. Plus d’une demi-heure après, ayant finalement compris, ils me remercient en repartant de la salle. Je ferme la salle à clef, me dirige vers mon bureau en sortant le fameux string lorsque mes réponses n’ont visiblement pas suffit car on frappe à la porte. Le sexe en feu et les idées se résumant à un petit triangle de tissu, j’ouvre la porte irrité de ne pouvoir me consacrer à ce travail !


Mais au lieu des trois retardataires, je me retrouve face à l’écolière de mes fantasmes les plus fous. Sandrine rentre en trombe dans la classe, sans réfléchir, je ferme à clef derrière elle, elle se retourne avec un air on ne peut plus innocent :



Je n’y tiens plus ! Je l’attrape par les hanches, la pose sur le bureau et soulève sa jupette pour voir qu’en effet, le collant est ouvert au niveau du gousset sur une petite chatte toute lisse… Elle écarte largement les jambes en s’inclinant en arrière, sa tête se renversant les yeux fermés. Devant cette invitation, je me mets à genoux et embrasse le haut de ses bas, l’intérieur de ses cuisses couvertes de lycra, les lèvres lisses, le bourgeon rougi par l’excitation, puis ma langue commence son travail, délicatement d’abord, caressant les lèvres en profitant de cette douceur. Puis en s’insinuant délicatement entre ces morceaux de chair délicats, ma langue caresse ce clitoris gonflé par l’excitation. Je sens ses mains me caresser les cheveux et je libère mon sexe brillant par l’excitation et la tension maximum qui le gonfle à son paroxysme. Je ne me masturbe pas trop de peur de me révéler éjaculateur précoce suite au spectacle qui m’a été offert, mais je glisse quelques doigts dans son intimité… Sa pression se fait plus intense sur ma tête, et lorsque mon index vient presser son anus, elle serre les jambes en étouffant un cri dans son épaule.



J’aime le fait qu’elle prenne les choses en main, la surprise de l’habit aujourd’hui qu’elle avait prévu pour moi me flatte et j’aime qu’elle me guide vers le bureau pour prendre mon rôle. Elle commence par regarder mon sexe en le masturbant doucement, ses yeux allant du gland à mon visage comme pour bien se rendre compte du propriétaire ! Elle continue son doux mouvement en passant ma verge contre sa joue douce… Elle lèche ensuite le membre par petits coups jusqu’au moment où elle le prend dans sa bouche, me gratifiant d’une sensation de chaleur et de salive abondante comme j’aime.


Cette fille est vraiment surprenante ! La pipe qu’elle m’offre est incroyable : ses yeux ne quittent pas les miens alors que sa main me masturbe délicatement, elle sort de temps en temps le sexe pour le regarder aussi… Je remarque que sa main retourne solliciter son sexe, elle change les mains de temps à autre pour mélanger les sucs, mmmmm. Contrairement à elle, je me retiens de venir malgré ses qualités car je veux vraiment la pénétrer, et lorsque je sens que je frôle le point de non-retour, je l’aide à se relever et je la replace sur le bureau, mais ce n’est pas ma langue qui vient écarter ses lèvres.


Nos sexes sont tellement lubrifiés que dès la première pénétration, j’arrive à rentrer entièrement, ce qui n’est pas le cas avec toutes les femmes ! Et très naturellement, on trouve un rythme harmonieux pour prendre notre maximum de plaisir. Je détaille ses seins qui nous accompagnent dans notre rythme, les collants toujours en train de les maintenir. Je les caresse plus fermement maintenant, je peux même dire que je les masse ! Elle respire vraiment fort et des cris s’échappent parfois de sa gorge. Je pince ses seins alors qu’elle me regarde dans les yeux et je m’enfonce au maximum en elle, quel pied !!! Ses jambes m’entourent et m’aident dans cette pénétration. Je vois bien sa main gauche qui masse son sein, mais je cherche la droite avant de me rendre compte qu’elle sollicite son anus…



Je me retire donc de ce sexe si accueillant, le sexe toujours aussi mouillé, je me baisse lui lécher le trou que je vais envahir, elle se détend et caresse son sexe pendant que je la prépare de mon mieux. Lorsque je sens que la lubrification est suffisante, je présente mon sexe à cette corolle et je croise son regard. Elle conserve son sourire malgré la présence de mon gland dans son cul, mais celui-ci devient crispé lorsque j’essaye d’aller plus loin. Pour ne pas la brusquer, je commence donc un mouvement assez court, ce qui semble la rassurer, elle reprend sa masturbation, et moi le massage de ses seins. Sans vraiment forcer, le mouvement va en s’amplifiant, jusqu’à ce qu’elle se mette à onduler son bassin au rythme de ma pénétration. Je prends un peu de recul pour mémoriser cette scène qui m’excite de plus en plus. Le fait de la voir, allongée sur mon bureau, les jambes écartées, ma bite de plus en plus profond dans son cul, alors qu’elle joue mon rôle favori d’écolière modèle, c’est énorme ! Elle se fait visiblement venir une deuxième fois pendant que je l’encule, et ses jambes me serrent presque jusqu’à m’étouffer lorsqu’elle crie et je ne peux retenir mon orgasme.


En sentant son anus se contracter rapidement autour de mon sexe, ses jambes qui me poussent à aller au fond de ses entrailles, je pousse un dernier coup et le premier jet explose dans son ventre. J’ai l’impression que chaque éjaculation prolonge son propre orgasme et le fait que je n’aie pas eu de sexe d’une semaine et demi me permet de la remplir ! Après cinq giclées, le sperme remonte le long de mon sexe pour sortir de son anus. Cette sensation de chaleur lors des mouvements est divine mais je bouge de moins en moins, les contractions de son anus et de mon sexe suffisant largement à me donner du plaisir. Je reste bien au chaud dans son intimité et embrasse ses seins à travers le tissu. Ses jambes ne se desserrent qu’après un long moment de complicité :



Je marque une longue pose en regardant ce fantasme ambulant me remercier et je me sens obligé de rajouter :



Un clin d’œil, un sourire, et elle se lève pour partir. Je lui ouvre la porte un peu déçu de son départ, je lui tends son string bleu qu’elle refuse :



Et elle s’en va en courant, la jupette froissée, et du sperme coule sur ses collants et sur ses bas, le long de sa cuisse droite. Je ne sais pas comment elle va bien pouvoir rentrer chez elle sans se faire violer ! Par la fenêtre, je vois qu’elle avait tout prévu, elle sort un long manteau de son sac, se retourne pour me faire un signe de la main.


Je pense vraiment que je vais faire encore plus d’efforts que d’habitude pour qu’elle ait son examen ; -)