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Temps de lecture estimé : 61 mn
08/10/03
corrigé 12/03/08
Résumé:  Léa fait appel à une équipe de pro de l'organisation.
Critères:  grp fbi hbi fsoumise hsoumis fdomine sandwich
Auteur : Léa et Thierry  (Couple libertin - Sud Est de la France)
Ah ! Madame veut faire un cadeau à Monsieur

Préambule




Il raccrocha le combiné et appuya sur le bouton de l’interphone situé à droite du téléphone.





~~oooOooo~~


Chapitre 1



À l’heure prévue, le jour dit, on frappa à la porte.


J’étais un peu inquiète mais j’avais les meilleures garanties et de plus, j’en avais follement envie. Très excitée à l’idée de la soirée que nous allions passer et de la surprise qu’aurait Thierry, ainsi que du plaisir que nous en tirerions, j’allais ouvrir.


J’étais petitement vêtue. En ce mois de septembre, les soirées étaient encore douces et j’avais opté pour une nuisette blanche, limite transparente, qui laissait apparaître un porte-jarretelles blanc lui aussi, et un string si léger que je ne le sentais même pas. L’excitation me brûlait déjà l’entrejambe et je sentais perler quelques gouttes sur mes lèvres intimes.


Après les salutations d’usage, je pris congé de mes hôtes afin de leur laisser le champ libre pour l’organisation prévue. Le chef d’équipe, une très jolie blonde, grande et charpentée, répondant au nom de Stéphanie me pria avec un grand sourire complice de revenir vers six heures moins le quart.


Après avoir confirmé ma présence à l’heure souhaitée, je décidai de remonter à l’étage et de me détendre un peu, afin de faire baisser la tension sexuelle qui risquait de me submerger à tout moment. Je m’installais tranquillement devant la télé en enclenchant un DVD.


À 17 h 45 précises, je me présentai dans le salon. Stéphanie vint vers moi, souriante et avenante.



J’acquiesçai.



Je détaillai ce que je voyais. Une croix de Saint-André était posée en plein milieu de mon salon. Un cheval d’arçon équipé, une table avec des menottes fixées aux pieds et un fauteuil étaient également disposés dans la pièce transformée en salle de torture moyenâgeuse.



Je n’arrivais pas à détacher mon regard de tous ces équipements.



Je me dirigeai vivement vers l’entrée et découvris avec stupeur un vélo d’appartement quelque peu modifié. Stéphanie, sans préambule, mit sa main sous ma nuisette et passa un doigt expert sous mon string afin de le faire descendre.



J’envisageai de protester lorsque mon regard croisa le sien. Il était devenu froid et dur. Elle me faisait comprendre que le jeu commençait, qu’il ne fallait pas que je lui fasse perdre de temps, et m’indiqua d’un coup de menton que je devais enfourcher le vélo.


« Enfourner » serait sans doute un mot plus juste. La selle était percée, et du trou dépassait le gland d’un godemiché de bonne taille. Avant que je ne m’installe, Stéphanie se pencha en avant pour faire tourner le pédalier et je vis le godemiché monter et descendre au rythme de la rotation donnée au plateau. Elle me regarda avec un sourire et se passa la langue sur les lèvres avant de me dire sur un ton très sec.



Je montai sur l’engin judicieusement équipé. J’étais toute mouillée, tant par le contact de Stéphanie que par l’excitation de la situation et de ce qui allait suivre. Je n’eus pas le moindre mal à engouffrer le godemiché dans ma grotte humide. Une fois bien en place, je commençai à pédaler sous le regard amusé de Stéphanie. Lentement d’abord, puis plus rapidement… je trouvai vite un rythme qui convenait parfaitement à mon degré d’excitation. Je sentais le godemiché aller et venir en moi, et la selle commençait à être trempée de mes sécrétions.


Je vis une tête masculine inconnue dépasser de la porte du salon et regarder la scène avec amusement. J’hésitai à poursuivre, tant par honte que par stupeur, et devins sans aucun doute rouge écarlate car mes joues me chauffèrent brutalement. Je fermai pourtant les yeux, en proie à la montée d’un plaisir qu’il fallait à tout prix que je contrôle.


J’entendis les roues de la voiture de Thierry faire crisser les graviers de l’allée. Mon cœur battait la chamade.


Comment allait se passer la soirée ? Et s’il n’aimait pas la surprise ?


Je continuais à pédaler tandis que la porte d’entrée s’ouvrait sur le visage souriant de mon homme. La surprise passée, il détailla ma tenue et me dit :



Intrigué par mon silence, il avança vers moi qui continuais mes exercices sans mot dire. Il comprit très rapidement, en fonction de mes soubresauts et de mes soupirs, que quelque chose d’anormal était en train de se passer. Il souleva ma nuisette, découvrit la selle luisante de mouille et vit le godemiché. D’un coup d’œil, il décortiqua le mécanisme et me sourit d’un air interrogateur.


Je n’en pouvais plus et je fus aspirée dans un violent orgasme qui me fit crier mon plaisir au moment précis où Stéphanie et ses trois compères entraient silencieusement dans la pièce.




~~oooOooo~~


Chapitre 2



Lorsque je suis rentré et que j’ai vu ma femme sur ce vélo d’appartement, j’ai avant tout pensé que c’était un cadeau qu’elle me faisait.


Lorsque j’ai assimilé sa tenue, nuisette transparente, porte-jarretelles et bas blancs, j’ai alors pensé que c’était bientôt mon anniversaire et que nous allions avoir une petite soirée coquine.


Lorsque j’ai vu le mécanisme du vélo d’appartement, j’ai supposé qu’il ne s’agissait pas un cadeau pour moi, et son orgasme m’a alors jeté dans une profonde incompréhension.


Elle reprit ses esprits en un dixième de seconde. J’étais sidéré par la violence de l’orgasme… Son regard fixa alors quelque chose au-dessus de mon épaule gauche. Je n’eus pas le temps de me retourner…


Deux mains m’enserrèrent la tête, deux bras me ceinturèrent la taille, mes pieds furent bloqués. Une femme pénétra dans mon champ de vision. Elle était grande, blonde aux cheveux longs, les yeux bleu glacier, plutôt jolie, le visage carré. Il émanait de sa personne une autorité naturelle impressionnante.


Ma femme, épuisée, venait de poser sa tête sur le guidon en se servant de ses bras comme d’un oreiller.


Sans prononcer un mot, la femme me mit un bâillon sur la bouche. On me menotta et on m’entraîna de force vers le salon. Une multitude de choses se bousculaient dans mon cerveau : était-ce un jeu ? était-ce une agression ? J’optai pour le jeu, en prenant en considération que ma femme n’avait pas l’air surprise par la présence de ces gens, ni outre mesure inquiète.


Avant de rentrer dans le salon, le petit groupe fit une halte et, en silence malgré mes maugréements de principe sous le bâillon, on me mit un bandeau sur les yeux.


Je fus porté par des bras nombreux et costauds. Je fus déshabillé en quelques instants, maintenu sous une douche bien chaude, lavé intimement et totalement, rhabillé rapidement avec des vêtements dont le contact me fit penser à du cuir, on me transporta, on m’attacha ensuite les pieds et les poignets en croix et on m’ôta mon bandeau.


J’étais dans le salon.


La lumière m’éblouit un peu au début. Puis je commençai à discerner le décor modifié : le fauteuil, la table, le chevalet.


Je voyais trois hommes sur un canapé, la blonde en face de moi.


J’étais attaché à une croix de Saint-André, j’étais habillé en cuir noir, avec mon sexe en érection à l’air libre, ma poitrine aussi, et je sentais sous mes fesses le contact froid du bois de la croix.


La femme blonde appela sèchement ma femme, qui arriva immédiatement vers elle. Elle lui intima l’ordre de se mettre à genoux devant elle.


À ma grande surprise, elle s’exécuta.


Il faut avouer que Léa est plutôt du genre insoumise. Elle préférera se casser un bras plutôt que de faire quelque chose sous la contrainte.


La blonde lui caressa un peu les cheveux en me fixant durement. Elle était vêtue d’un jean bleu clair moulant, dévoilant des formes alléchantes, et d’un chemisier blanc ouvert sur le haut d’une poitrine ferme, non soutenue par un soutien-gorge.


Elle lui tira la tête en arrière par les cheveux, se pencha vers sa bouche et l’embrassa goulûment. Léa ne dit mot et ne se défendit même pas. Elle se redressa et colla le visage de ma femme contre son jean au niveau de son bas-ventre, le nez sur sa braguette. Elle me fixait en souriant. Je ne savais trop quoi penser.


J’étais très excité – et cela se voyait aisément, vu la tenue dont on m’a affublé – mais j’étais aussi très troublé, à mi-chemin entre la gêne, la jalousie et l’envie que les choses aillent plus loin.


La blonde ordonna à ma femme de se redresser, de se tourner et de se pencher en avant. Une fois en position, elle lui souleva la nuisette dévoilant son cul superbe, encore humide de son orgasme précédent.



Léa, qui me faisait face, rougit instantanément et tenta de se redresser instinctivement. Cette réaction lui valut une forte claque sur les fesses qui lui arracha un cri de surprise plus que de douleur.



Un des trois hommes se leva du canapé. Il s’agenouilla derrière Léa et entama de lui lécher les fesses avec méthode.


Tandis que j’assistai, éberlué, à cette scène, la blonde se dirigea vers moi et se campa à quelques centimètres. Elle me caressa la joue, puis me serra un peu le cou, puis sa main vint caresser mes tétons. Elle les titilla quelques instants, en regardant si tout se passait bien du côté nettoyage de ma femme.


Vraisemblablement, les choses se passaient bien… Elle était toute rouge et sa respiration saccadée laissait comprendre que le « nettoyeur » était parfaitement à sa tâche.


La blonde continua son exploration en me frôlant le ventre de sa main droite. Brusquement, sa main gauche empoigna mes bourses un peu durement. Elle les soupesa en me regardant d’un air interrogateur.



Elle enveloppa ma verge de sa main et fit signe de me masturber en faisant trois allers-retours. Sa caresse m’électrisa tandis que Léa regardait la scène, plongée dans le plaisir de la caresse qu’elle subissait.



Le deuxième homme sur le canapé se leva et se dirigea vers la blonde.



L’homme se mit à genoux devant moi et prit mon sexe dans ses mains. Il me caressa tendrement et lentement. Je n’avais jamais été touché par un homme et le contact provoqua une immédiate débandaison.


La blonde retourna vers Léa et inspecta le travail de nettoyage qui touchait à sa fin. Elle flatta la croupe de Jean qui retourna s’asseoir sur le canapé. Elle fit mettre Léa à genoux de façon à ne rien perdre de la scène qui se déroulait.


L’homme venait maintenant de prendre mon sexe dans sa bouche. Mon sexe reprit presque instantanément son volume d’érection. Il me léchait et me suçait en alternance avec au moins autant de dextérité qu’une femme.


Léa regardait cela avec beaucoup d’intérêt et un léger sourire ombrait ses jolies lèvres. Elle était à genoux aux pieds de la femme blonde qui lui caressait les cheveux d’un air absent.


L’excitation remontait en moi à vive allure. De dégoût en surprise, la sensation glissait maintenant lentement vers la satisfaction, voire le plaisir. Mon érection se faisait de plus en plus dure, et l’homme me caressait bien plus précisément maintenant. Ma verge allait et venait totalement dans sa bouche, sa langue titillait le bout et le dessous hypersensible de mon gland, sa main gauche en anneau enserrait la base de ma verge en imprimant des petites pressions, tandis que sa main droite caressait à tour de rôle mes bourses et mes fesses. Mon excitation était en train de monter en flèche, tant la situation était étrange et la caresse efficace.


Soudain, la femme blonde me fixa avec un regard trouble.



Je me concentrais afin de ne pas laisser apparaître mon plaisir mais cela provoquait sans aucun doute des rictus qui déformaient mon visage. Cela faisait près de cinq minutes que l’homme me suçait et je devais faire un effort de plus en plus important pour ne pas me laisser aller au plaisir. Mon corps était agité de petits soubresauts nerveux qui n’échappaient pas à mon tortionnaire et à sa Maîtresse.



L’homme cessa immédiatement ses va-et-vient et ses caresses mais conserva mon membre dur et brûlant dans sa bouche chaude et humide. Je soupirai de soulagement car j’étais arrivé à la limite de l’explosion.


La femme blonde se campa devant Léa et déboutonna lentement son jean en me fixant d’un air provocant. Elle sortit alors de la pièce, laissant Léa et le suceur à genoux.


Après quelques instants, durant lesquels nous nous fixâmes intensément avec Léa, laissant paraître tant notre douceur que notre excitation, la femme blonde réapparut.


Elle était vêtue différemment.


Elle n’avait plus son jean. Maintenant, elle avait les jambes nues, les pieds étaient enchaussés dans des escarpins à haut talons rouges. Son buste était moulé dans une veste en skaï rouge très serrée qui dessinait parfaitement sa somptueuse poitrine. Son sexe totalement épilé était à l’air libre jusqu’au nombril.


Elle s’approcha de Léa dans un bruit de claquement de talons. Elle lui saisit la tête par les cheveux.


Mon érection, qui était sur la pente descendante, reprit un coup de booster. Je sentis mon membre regonfler et remplir à nouveau la bouche de mon complaisant tortionnaire.


Elle colla la bouche de Léa sur son pubis.



Léa secoua légèrement la tête en guise de désapprobation.



Léa et Éric se mirent en action.


La Maîtresse me regardait fixement, elle voyait mon regard se troubler sous les caresses du suceur. Elle-même appréciait visiblement la langue de Léa qui s’insinuait de plus en plus en elle. Debout devant elle, elle écartait de plus en plus les jambes pour qu’elle puisse mieux la lécher.


Je n’en pouvais plus d’excitation. Le simple fait de voir Léa lécher le sexe d’une autre femme m’excitait au plus haut point, mais la pipe perfectionnée que me prodiguait cet homme était à la limite du supportable et je me sentais chavirer. La Maîtresse s’en aperçut ; elle tira la tête de Léa de son emplacement par les cheveux et l’orienta vers moi.


J’éjaculai dans un puissant orgasme de longs jets de sperme dans la gorge de cet homme. Il déglutissait au fur et à mesure de mes spasmes. Je poussai un cri de plaisir en serrant les poings. L’homme avait cessé de me sucer, mais me gardait en bouche et aspirait mon sperme comme l’aurait fait un aspirateur. Ma jouissance fut presque douloureuse et abondante.


Mon regard croisa celui de Léa, qui était visiblement heureuse de mon plaisir.



Elle lâcha Léa et s’approcha de moi.



Elle poussa sans ménagement en arrière le suceur, dont la bouche était encore souillée de mon sperme. Elle y mit un doigt et le ressortit gluant de foutre et de salive. Elle se dirigea vers Léa et, après lui avoir mis sous le nez, lui enfourna dans la bouche le doigt souillé.



Léa acquiesça d’un signe de tête.



Je manifestai sans grande conviction ma désapprobation en grognant à travers mon bâillon.



Il retira prestement son jean et se mit au milieu de la pièce, à environ un mètre devant moi. Je ne pouvais m’empêcher de regarder son sexe qui était d’une taille peu commune. Parfaitement dessiné, on aurait presque cru un godemiché, si ce n’était cette petite goutte qui perlait à l’extrémité, témoin gluant de son excitation.


Dans un bruit de cliquetis, la croix sur laquelle j’étais fixé commença à bouger puis à s’incliner vers l’avant. Mes pieds ne bougeaient pas mais tout le haut de la croix me penchait vers l’avant et vers le bas, de sorte qu’en quelques secondes, je me retrouvai nez à nez avec le sexe énorme de Laurent.


La Maîtresse contourna la scène et vint se positionner en face de moi également. J’avais une vue imprenable sur sa petite chatte épilée encore humide de la salive de ma femme. Elle me retira mon bâillon et orienta ma tête vers le sexe masculin. L’odeur était très forte et je bloquai instinctivement la bouche.



Je ne parlai pas mais je n’arrivai pas à me résoudre à le prendre en bouche. Sa bite était collée contre mes lèvres, son odeur s’emparait de mes narines, mais ma bouche restait fermée.



Elle s’éloigna et donna à Léa l’ordre de se lever et de venir sur ses genoux. Dans ma position, je ne pouvais rien voir. Lorsque j’entendis le premier coup suivi d’un cri de Léa, je compris qu’elle lui administrait une fessée.



Un second coup plus fort avec un cri plus puissant.


Je décidai d’ouvrir la bouche. Il me pénétra comme on pénètre un sexe, lentement mais jusqu’au fond. Les dimensions impressionnantes de cette bite écartelaient ma mâchoire. Il écarta mes lèvres par les commissures et commença à me limer la bouche. J’essayai d’écarter le plus possible afin de ne pas le blesser avec mes dents. La texture chaude et douce envahissait ma bouche, les veines apparentes de sa verge appuyaient sur ma langue, le liquide séminal salé coulait dans ma gorge.


Je ne pus réprimer une succion instinctive. Comme s’il s’attendait à ce signal, l’homme cessa ses mouvements et ma bouche prit le relais ; je commençai à le sucer, comme on suce un bonbon, en remuant les joues. L’homme se cambra pour m’offrir toute la surface disponible de son sexe et je fermai les yeux, tant j’étais troublé de ne pas être dégoûté de ce que j’étais en train de faire.


Depuis longtemps je souhaitais – et Léa le savait – faire ce genre d’expérience homosexuelle, mais sous la contrainte c’était beaucoup plus facile de franchir le pas.


Je le suçais depuis de longues minutes lorsque je rouvris les yeux pour découvrir le regard passionné de Léa, accroupie à cinquante centimètres de mon visage. Elle observait la pipe que je prodiguais à cet inconnu.



Léa était vraisemblablement rentrée dans le jeu.


J’avais cependant très peur que l’homme n’éjacule dans ma bouche, incapable de connaître ma réaction par rapport à cette situation. Je sentis la tension de son sexe monter et quelques secousses commencèrent à l’agiter.



Je ralentis ma succion. La Maîtresse appela Éric.



Il vint immédiatement se positionner à côté de moi, retira la bite énorme de ma bouche et l’enfourna. En trois mouvements de succion, il fit éjaculer Jean.


Il déglutit trois ou quatre fois.


Puis lécha avidement la queue dont le plaisir venait de s’assouvir.


Et me tira la langue pour me montrer qu’il avait bien tout avalé.



La Maîtresse redressa ma croix et je découvris alors une Léa radieuse de ce qu’elle venait de voir. Je dois avouer que j’étais également assez satisfait, et que j’aurais bien finalement goûté un peu de ce sperme… juste pour voir.




~~oooOooo~~


Chapitre 3



Il fallait maintenant exercer une pression un peu plus psychologique sur Thierry.


Léa était à l’origine du jeu, donc il était normal qu’elle se soumette aux conditions dudit jeu. L’épisode du vélo lui avait bien plu, et j’envisageai de lui laisser à la fin. Mais il était clair que de voir son mari se faire sucer et plus encore sucer un autre homme l’avait mise dans un état d’euphorie totale.


Il fallait que je pousse un peu plus loin pour jauger la distance que mon équipe et moi-même allions pouvoir ensuite parcourir.


Organiser une partie secrète de ce genre est facile en théorie, mais tout réside dans un équilibre subtil de force et de douceur, de fantasme et d’assouvissement, de réalité et de rêve, et enfin de menaces et de punitions.


En gros, il fallait que je sache jusqu’où je pouvais aller trop loin. Il fallait que je détermine avec précision la frontière, la limite à ne pas dépasser. Le tout devait rester un plaisir, contraint certes, mais un plaisir quand même.


Je sentais que Thierry avait encore quelques murs à faire sauter, quelques barrières… Il fallait donc que je le bouscule beaucoup plus et qu’il arrête de se centrer sur lui-même.



Mon ordre venait de claquer dans la pièce comme un coup de feu, faisant sursauter notre petit couple.


Les deux hommes soulevèrent dans les airs Léa avec une étonnante facilité. Elle tenta de se débattre mollement et fut en un clin d’œil menottée à la table. Elle était allongée sur le dos, les bras en croix et les jambes écartées.


D’où il était, Thierry pouvait voir parfaitement sa femme écartelée sur la table en bois. Je suppose qu’à ce moment précis son cœur a dû s’accélérer.


Un coussin sous sa tête pour le confort, un coussin sous les fesses pour rehausser son bassin, Léa était offerte dans une position totalement indécente. Sa nuisette couvrait à peine son nombril, son intimité était luisante d’excitation et livrée aux regards lubriques de mes trois esclaves.


Un silence d’une tonne pesait dans la pièce. Je croisai le regard de Thierry. Il était anxieux, c’était le moment de vérité.


J’allais commencer la danse lentement. Je me dirigeai tranquillement vers Léa en faisant claquer mes talons sur les tomettes.


Très important, cet effet sonore. Il joue un rôle dans la soumission car il est symbole de mobilité, chose dont sont privés mes soumis.


Je montai sur la table, posai un pied de chaque côté de sa tête et descendis mon bassin sur son visage. J’offrais ma chatte à ses lèvres.



Je vis instantanément le sexe ramolli de Thierry remonter de plusieurs crans.


Léa léchait vraiment très bien. On sentait qu’elle y prenait du plaisir. Je pense, avec un peu de recul maintenant, qu’elle tirait son plaisir autant de l’exhibition que du voyeurisme ce qui est, en fait, assez rare chez une femme.


Tandis qu’elle me léchait, je soulevai sa nuisette pour libérer ses seins. Avec une badine en velours que je demandai à Jean, je lui tapotais gentiment la poitrine.


Un moment passé, l’érection de Thierry se fit plus molle.



Le sexe de Thierry remonta un peu.



Les yeux de Thierry s’écarquillèrent lorsque Éric monta sur la table pour investir de sa langue le temple de Léa. Léa en profita pour soupirer, sans arrêter son office sur ma chatte.


Je dois avouer que tout cela me plaisait beaucoup aussi.



Ce Jean est très doué, je crois bien que c’est mon préféré… mais personne ne le sait… même pas lui d’ailleurs.


Je laissai un peu l’atmosphère s’engluer dans cette scène. Jean branlait avec science notre Thierry qui, attaché à sa croix, ne perdait pas une goutte du spectacle que lui offrait sa femme en train de me lécher et de se faire lécher par un homme qui peu de temps avant le léchait, lui, et avait avalé son foutre.


Au bout de quelques instants je sortis une carte maîtresse. Si Thierry était le voyeur que je pensais qu’il était, il ne pourrait résister longtemps à ce traitement et je pourrais alors lui infliger une punition supplémentaire. C’était l’objectif : une punition supplémentaire permettrait d’escalader un peu plus la montagne des plaisirs secrets de Thierry… et ce, avec son consentement, car c’est lui qui aurait fait la bêtise provoquant la punition.



Le regard de Thierry se planta dans le mien. Ses yeux étaient injectés de sang, son érection au summum et son bassin donnait des petits coups contre la croix, en rythme avec la masturbation que lui prodiguait Jean.



Thierry retint sa respiration. Léa cessa de me lécher.


Je laissai volontairement un temps mort.


Enfin, je repris.



Éric ne cessa pas de lécher Léa, mais changea de position pour offrir ses fesses à Laurent. Je me penchai un peu en avant afin de sucer un peu Laurent, de façon à le durcir et le lubrifier.



Thierry était au paroxysme de l’excitation. Je le regardai durement…



J’activai mon bassin sur la bouche de Léa, qui gémissait sous l’effet de la langue qui lui fouillait la vulve et le clitoris. Éric s’aidait d’une main pour la masturber avec vigueur sur son petit détonateur de chair.


Lorsque Laurent se positionna derrière lui et écarta ses fesses il se cramponna aux hanches de Léa et enfonça sa tête plus profondément entre ses cuisses. En un effort violent, Laurent pénétra son collègue jusqu’à la garde, ce qui arracha un cri de douleur à Éric. Puis, sans lui laisser reprendre son souffle, Laurent ramona le cul d’Éric. Il le fit bestialement, en poussant des petits cris de guerre.


Éric caressa plus énergiquement le clitoris de Léa qui partit dans un orgasme très arrosé. Je fis un clin d’œil à Jean pour qu’il active sa masturbation et amène Thierry à la jouissance.



Laurent accéléra le rythme et bascula la tête en arrière au moment de jouir. Thierry, n’en pouvant plus, éjacula dans la main de Jean qui ne put réprimer un sourire.


Je laissai passer quelques secondes pour que les esprits se calment.



Je soupire.



Je descendis de la table et me campai à côté du fauteuil. Je pris la badine en velours, tandis qu’ils détachaient Thierry de sa croix.





~~oooOooo~~


Chapitre 4



J’avais mal, j’étais rempli du foutre de Laurent, j’avais les lèvres couvertes de l’orgasme de Léa. Mais j’étais bien, car ma Maîtresse m’avait félicité.


Cela fait environ un an que je suis à son service, et j’aime cela. Nous organisons une opération de ce genre par semaine et c’est le bonheur. Le reste du temps, je suis attaché commercial dans une société fabriquant des systèmes de chauffage, ce qui me vaut les sarcasmes de Maîtresse Stéphanie, particulièrement lors des séances de bondage.


Je vis mes collègues Jean et Laurent détacher le client. Ils lui ôtaient les liens des poignets et des chevilles, sous le regard attentif de Maîtresse Stéphanie. Très rapidement, ils attachèrent Thierry comme elle l’avait demandé. Ses mains étaient fixées par des menottes aux pieds du fauteuil, ce qui l’obligeait à se pencher en avant au maximum, son bassin était en appui sur le dossier et ses chevilles étaient menottées aux pieds arrières, ce qui lui maintenait les jambes légèrement écartées.


Léa, toujours attachée sur la table, redressait la tête pour contempler la scène qui ne la laissait pas sans un petit sourire joueur.


Maîtresse Stéphanie me fit signe de m’approcher d’elle. Je m’exécutai instantanément, et quand je fus près d’elle elle me tapota les fesses affectueusement.



Elle me fit une moue silencieuse, m’indiquant qu’il fallait que j’y aille plutôt doucement. Elle s’adressa alors à Thierry.



Elle marqua un temps d’arrêt. Elle jouait énormément sur l’impact psychologique… D’ailleurs, tous les actes de soumission ne peuvent être architecturés qu’autour d’une pression psychologique importante.



Je commençai par lui caresser un peu les fesses. Elles étaient rebondies, la raie était poilue. Je le sentis se contracter sous le contact de ma paume.


Maîtresse Stéphanie me fit un signe de la tête et je donnai le premier coup. Il résonna dans la pièce malgré sa douceur. Thierry grogna à travers son bâillon, plus par principe que par douleur. Ses fesses se tortillaient, et le regard de Maîtresse Stéphanie ne perdait pas une goutte des mouvements. Elle me fit signe de continuer.


Le second coup fit moins de bruit, alors qu’il était pourtant un peu plus appuyé. Thierry grogna à nouveau et Maîtresse Stéphanie lui intima sèchement l’ordre de se taire.


Je portai un troisième coup bien à plat sur la fesse gauche, ce qui valut une contraction à Thierry qui n’émit cependant pas le moindre son. Maîtresse ne put s’empêcher de sourire. J’aime bien quand elle sourit. Cela signifiait l’acceptation du jeu par Thierry et qu’elle pouvait donc aller un peu plus loin.


Elle m’écarta sans ménagement du fauteuil et commença à caresser les rondeurs du nouveau soumis. Elle empoigna ses bourses, qui pendaient en appui contre le dossier, et les maltraita doucement. Elle donna également quelques coups sur les fesses, mais ses coups n’étaient rien d’autre que des caresses appuyées.


Elle jeta un coup œil interrogateur en direction de Léa, comme pour lui demander si elle pouvait aller plus loin. L’atmosphère était très tendue, et Léa fit un signe affirmatif de la tête accompagné d’une moue rassurante. Il n’en fallait pas plus à Maîtresse Stéphanie.


Elle fit le tour du fauteuil et se plaça en face de Thierry. Elle lui redressa la tête en lui tirant les cheveux et, sans autre forme de procès, lui colla sa chatte sur le visage.



Elle lui secouait la tête par les cheveux tandis qu’il ne quittait pas sa chatte des yeux.



Je me précipitai pour prendre dans la grosse mallette noire ce qu’elle appelait sa ceinture. Je me mis à genoux devant elle, et sous le regard éberlué de Thierry, je lui ajustai autour de la taille un gode-ceinture.


Par expérience, nous savions tous qu’il était de petite taille et réservé au dépucelage anal des soumis, mais l’effet était saisissant. Il était taillé dans un latex spécial et avait l’aspect d’un sexe réel… de petite taille mais tout à fait réaliste. De plus, il était équipé d’une pile, qui le maintenait en température, et de deux petits réservoirs, activés par une simple pression sur deux boutons habilement dissimulés dans la ceinture couleur chair.


Le premier réservoir lubrifiait le gland en émettant quelques gouttes d’un liquide séminal synthétique tandis que le second était pulsé par à-coups et chaud comme du sperme.


Thierry avait les yeux injectés… Était-ce la peur ? Était-ce l’envie ? Prenait-il conscience que le jeu pouvait aller loin et qu’il était à la merci de l’équipe ? Il tenta un mouvement pour voir sa femme, mais entravé comme il l’était la manœuvre était impossible.


Maîtresse Stéphanie, analysant le geste, lui parla d’une voix sèche.



Elle le regarda avec un sourire de convoitise et se passa lentement la langue sur les lèvres.



Elle retourna derrière lui. Il était contracté au maximum. Ses fesses étaient creusées sur les flancs. Elle lui donna un coup de chaque côté.



Il se décontracta totalement, nouveau signe de totale acceptation de la situation.



Nous nous exécutâmes et empoignâmes nos sexes afin de les faire durcir à quelques centimètres du nez de Thierry.


Maîtresse Stéphanie écarta les fesses du soumis et appuya sur le bouton de lubrification. Elle positionna le gland du gode-ceinture contre la rondelle contractée de Thierry. Elle fit jouer un peu le gland dans la raie offerte, de haut en bas, de bas en haut, afin de bien lubrifier l’entrée, puis elle se campa, les jambes écartées pour affermir sa position, et elle commença à pousser.


Léa ne perdait pas une seconde de la scène.


Le gland passa avec une étonnante facilité, indiquant que Thierry était soit détendu, soit habitué. Le regard amusé de Léa laissait pencher pour cette seconde hypothèse.


Maîtresse Stéphanie investissait centimètre par centimètre le fondement de Thierry, qui émettait un son rauque à travers le bâillon.


Nous nous masturbions maintenant ensemble sous le nez de Thierry. Des perles de liquide séminal gouttaient sur le sol. L’odeur de foutre et de sécrétions diverses était très forte, et il ne devait pas en perdre une seule fragrance.


Maîtresse Stéphanie le possédait maintenant pleinement. Elle stoppa sa progression quand son bassin fut au contact de ses fesses.



Elle s’étala sur lui, épousant la forme de son dos. Une main lui saisissant la verge, l’autre lui tirant les cheveux en arrière pour redresser sa tête.


Elle le baisait lentement, complètement.


Nos érections étaient maintenant à leur comble et nos masturbations se faisaient plus nerveuses. Thierry fixait nos bites rouges, la tête secouée par les coups de boutoir de Maîtresse Stéphanie, qui devenaient plus violents.


Elle le masturbait en même temps mais elle devait sentir que l’excitation n’était pas à son comble, car elle décida de pousser un peu plus loin la punition. Elle lui lâcha les cheveux et le sexe. Elle écarta ses fesses au maximum et s’enfonça violemment à fond. Il grogna de douleur. Elle s’adressa alors à Jean.



Thierry retint sa respiration.


Jean se présenta à côté de Maîtresse Stéphanie qui le caressa un peu pour juger de la dureté de l’érection.



Thierry essaya de tourner la tête mais sa position inconfortable l’en empêcha.



Elle activa le mouvement de pénétration de Thierry, qui se cambra davantage pour mieux s’offrir, et elle lui écartela les fesses un peu plus. Elle reprit la bite du soumis en mains ; elle sentit vraisemblablement que son érection se faisait plus vive car elle reprit avec vigueur le mouvement de masturbation.



Il grogna.


Elle activa encore la masturbation et son mouvement de va-et-vient devint frénétique, puis elle enclencha le second bouton et simula l’orgasme en éjaculant dans son anus. Il poussa un long gémissement et éjacula quelques gouttes de sperme dans les mains de ma Maîtresse qui afficha un sourire radieux et adressa un clin d’œil à Léa.


Je n’en pouvais plus d’excitation et enviait Thierry d’avoir éjaculé de la sorte sans autorisation.


Maîtresse Stéphanie continua à limer quelques instants l’anus dilaté et repu de Thierry, puis elle se retira.



Ce disant, elle se positionna sur le côté et, écartant les fesses au maximum, elle nous offrit la vision d’un anus petitement dilaté. Nous éjaculâmes à tour de rôle entre ces fesses de longs jets brûlants qui atterrirent tant sur son anus que sur son dos et ses fesses. Puis nous nous écartâmes de Thierry.


À ce moment précis, Maîtresse Stéphanie me fit signe de nettoyer tout cela et je commençai mon travail consciencieusement. Avec la langue, je nettoyais d’abord ses reins, puis les rondeurs des parties charnues pour finir enfin dans sa raie et sur son anus. En quelques instants très courts, je nettoyais parfaitement l’anatomie offerte.



Nous allions passer aux choses sérieuses.




~~oooOooo~~


Chapitre 5



Éric me détacha de la table.


Je fis quelques mouvements d’assouplissement, pour la forme – avec l’accord de Stéphanie – et je me dirigeai vers le chevalet. Il s’agissait en fait d’un équipement dont la forme et les équipements devaient permettre de nombreuses configurations.


Thierry était de nouveau attaché à la croix, de la même manière qu’initialement, les bras et les jambes en croix. Il avait toujours son bâillon, et je me souviens très bien avoir pensé à ce moment précis qu’il devait en avoir un peu assez de cette entrave et que Stéphanie pourrait peut-être lui retirer. Mais vraisemblablement ce n’était pas du tout le souhait de cette jolie femme blonde qui s’occupait si bien de lui.


Le chevalet en question était disposé en table à moitié pliée. Cheval d’arçon réglable en hauteur et en largeur d’un côté, table pliante réglable en hauteur de l’autre, le chevalet fut adapté à ma morphologie en quelques tours experts de manivelle. Éric connaissait a priori très bien cet appareil.


Il m’attacha tout d’abord les pieds à des menottes pré-installées au niveau du socle, qui était rond et sur roulettes. Il m’appuya le bassin contre le cuir du cheval d’arçon, puis régla en largeur le boudin de cuir qui s’écarta par son milieu, libérant ainsi mon bas-ventre et ne conservant comme appui que les extrêmes de mon bassin. Ensuite, il appuya mon torse sur la partie tabulaire de l’appareil, à angle droit avec le cheval d’arçon. Il procéda là encore à quelques réglages, afin que mes seins coïncident avec les trous prévus, puis il m’attacha les mains afin de me maintenir dans cette position.


Je regardai Thierry dont la bandaison était endormie. La situation m’excitait au plus haut point. J’étais offerte, prête à je ne sais quel nouveau jeu issu de la pensée débridée de Stéphanie.


Soudain, l’équipement sur lequel j’étais fixé vibra et se mit à tourner sur lui-même. Lentement, je tournais sur moi-même, offrant ma nudité aux regards de tous.



La Maîtresse du jeu monta sur le socle sur mon flanc gauche. Elle me caressa d’abord le dos, puis les reins, et passa la main sous la table pour me titiller les bouts des seins. Puis sa main se posa délicatement sur mes fesses, qu’elle caressa quelques instants l’air absent.


Elle vint au niveau de ma tête et régla un support, de façon à ce que je garde la tête droite sans fatiguer. Elle me tourna le dos, se pencha en avant et colla ses fesses contre mon visage.



Ce disant, elle écarta ses fesses pour m’offrir son anus à lécher. Je m’exécutai et goûtai à la fois la rudesse du propos et la douceur de la muqueuse offerte. Elle collait tellement ses fesses contre ma face que je ne respirais que lorsqu’elle s’écartait de temps en temps.


Il me semble que l’instant fut très rapide. Quelques secondes plus tard elle se dégageait de ma caresse, ce qui me permit de voir que l’érection de Thierry avait un peu progressé.


L’appareil tournait toujours lentement sur lui-même. Stéphanie descendit du socle et appela à nouveau Éric.



Il lui apporta en quelques secondes un gode-ceinture bien plus gros que le précédent.



Il me semblait énorme.



Elle désignait du doigt le sexe de Thierry, qui était en train de reprendre de la vigueur.


Elle enfila son gode-ceinture prestement et remonta en face de moi afin de me le fourrer dans la bouche.


« Vas-y, suce-le bien à fond… mouille-le bien.


Il était chaud, et je sentais sur mes dents une légère vibration, il s’agissait assurément d’un vibreur intégré. Stéphanie me tenait la tête fermement tandis que j’ingurgitais l’engin.



Les propos crus avaient une incidence directe sur l’érection de Thierry, qui redevenait tout à fait honnête.


Stéphanie se retira de ma bouche et fit le tour pour se positionner derrière moi. Je sentis le gland se poser contre mon intimité. Quelques gouttes d’un liquide chaud et visqueux fusèrent du gland et trempèrent mes lèvres intimes. Puis elle poussa en moi le sexe chaud, doux et artificiel.


Je ne pus réprimer un petit cri de plaisir. La tension, l’excitation étaient telles depuis le début de la soirée que mon antre était plus que demandeuse de pénétration.


Mon regard se troubla, mais je vis Thierry s’agiter quelque peu avec une énergie toute nouvelle. Il avait les yeux brillants d’excitation. Il avait toujours voulu me voir faire l’amour avec une autre femme et là, il était servi.


Je m’abandonnai à la pénétration qui devenait de plus en plus vive. J’étais secouée de toute part tandis que Stéphanie me maintenant fermement la croupe en appuyant de ses deux mains sur mes fesses.



Elle me limait bien à fond, ne se reculant lentement au maximum que pour me pénétrer plus violemment à fond. Je criais à chaque coup de rein. Mon raisonnement se troublait et je me concentrais sur mes sensations. Le gode-ceinture enfiché en moi vibrait à chaque pénétration un peu plus et devenait de plus en plus chaud. J’approchais à grand pas de la jouissance, lorsqu’elle ordonna à Jean de venir se mettre sous le cheval et de me lécher la chatte.


Ainsi, il se positionna sous moi et entama de me triturer le clitoris avec sa langue experte, tandis qu’elle me défonçait toujours un peu plus. Le socle tournait toujours sur lui-même, ne me permettant de ne voir Thierry que durant quelques instants avant de refaire le tour de la pièce. Elle devint de plus en plus vive dans ses mouvements. J’étais essoufflée et au bord de l’orgasme.



Elle donna encore quelques coups de reins qui m’arrachèrent des petits cris de plaisir, puis se campa profondément en moi et cessa tout mouvement. Jean, quant à lui, continuait son ouvrage sur mon bouton qui devenait explosif.



Laurent alla prendre à pleine bouche le sexe de Thierry, fit quelques succions bruyantes et répondit par l’affirmative à sa Maîtresse.



Le regard de Thierry témoigna de sa stupéfaction. Il remua la tête pour indiquer son refus, toutefois son geste manquait de conviction et Laurent se mit en position devant lui.


Il recula ses fesses contre la bite tendue au maximum de Thierry. Ce dernier me regardait d’un air faussement désespéré.


Le sexe de Thierry était enserré le long de la raie de Laurent.



Éric écarta légèrement les fesses de Laurent et répandit un peu de liquide lubrifiant sur le sexe de Thierry, le masturbant un peu au passage afin de lui donner une vigueur maximale. Il prit le sexe à pleine main, puis le dirigea vers l’entrée offerte de Laurent. Il cala le gland devant l’entrée puis écarta les fesses de Laurent au maximum.


Il compta « 1… 2… et 3… »


Laurent recula brutalement en serrant les dents.


Thierry poussa un grognement.


Laurent était en face de moi au moment précis où il s’empala sur le sexe de mon homme. Un rictus lui déforma en silence le visage. Sans préparation, il venait de se faire enfoncer la bite dure de Thierry dans le fondement.


Éric s’écarta, et Laurent commença à se trémousser puis pris un rythme cohérent. Il avançait et reculait afin de se faire prendre en levrette sans que Thierry n’ait à faire le moindre mouvement.


Stéphanie recommença son œuvre en moi, mais avec plus de douceur… Elle me prenait lentement, voluptueusement tandis que la langue de Jean enveloppait mon clitoris d’une douce chaleur.


À chaque tour de manège je me délectais de la scène et voyais mon homme, Thierry, enculer un autre homme.


Je voyais imperceptiblement Thierry commencer à donner des coups de reins au gré du rythme imprimé par Laurent.



Je m’abandonnais alors à cette pénétration, tout en regardant mon homme baiser un autre homme. Elle m’amena tranquillement jusqu’à l’orgasme qu’elle déclencha en experte avec un flot de liquide chaud et pulsé en plusieurs jets dans la profonde moite de mon vagin.


Jean récupéra le flot cyprin émis lorsque Stéphanie se retira de moi.


En expert, Laurent amena rapidement Thierry à l’orgasme. Je vis son visage devenir livide, puis la tête bascula en arrière et dans un râle rauque, il donna un violent coup de reins qui arracha un cri à Laurent.


Laurent cessa de bouger. Aux soubresauts de Thierry je compris qu’il était en train de se vider dans les entrailles qui l’accueillaient.


Stéphanie avait l’air satisfaite. Elle m’adressa un clin d’œil complice et se dirigea vers Thierry, lequel redescendait difficilement du ciel où il venait de s’envoyer.



Puis elle décolla Laurent du sexe de mon mari en douceur et prit en main le sexe encore dur et souillé de Thierry. Elle le masturba un peu ce qui, elle le savait, était un peu douloureux et ne manqua pas de faire réagir Thierry.



Un « Bien, Maîtresse » fusa unanimement de la bouche des trois hommes.





~~oooOooo~~


Chapitre 6



Ils nous ont nettoyés. Ils nous ont lavés, ils nous ont chouchoutés, donné à boire et même à manger.


Ils m’ont, pour la première fois depuis le début de la soirée, retiré le bâillon. Au début, j’avais du mal à déglutir.


Je n’ai même pas dit un mot. J’étais dans l’ambiance, le silence n’était interrompu que par les ordres secs de la Maîtresse et les confirmations d’obéissance des esclaves.


Léa ne me quittait pas des yeux. Elle cherchait à me sonder, je pense. Moi, j’avais du mal à soutenir son regard. Un peu de honte, mais surtout je ne voulais pas rompre le charme, je ne voulais pas que le jeu s’arrête, je voulais aller jusqu’au bout. Et je pense qu’elle aussi.


Je repassais en mémoire, tandis que je buvais un verre de jus d’orange, tous les évènements depuis mon arrivée à la maison, vers dix-huit heures. C’était comme un rêve.


Elle m’avait sodomisé, cette femme m’avait sodomisé, et ensuite, j’avais sodomisé un mec tandis qu’elle se tapait ma femme !


C’était de la folie pure… Et j’aimais cela.


Cela devait faire une bonne demi-heure que nous étions installés sur le canapé lorsque le prénommé Éric nous expliqua qu’il fallait se remettre en position car :



J’avais envie de demander tant par envie que par appréhension « Quoi ? Qu’est ce qui doit être prêt ? Que va-t-il se passer maintenant ? » Mais je croisai le regard de Léa qui me fit signe de me soumettre, ne serait-ce que par jeu. Alors nous nous sommes levés.


Cette fois-ci, j’ai été placé sur le chevalet et Léa sur la croix de Saint-André. Rien que le fait de voir Léa dans cette position et je repris un peu de vigueur. Je pensais qu’après trois orgasmes en moins de deux heures j’aurais eu du mal à remonter la pente. Eh bien non, ils savaient y faire ces gens-là.


La Maîtresse pénétra dans la pièce au moment précis où Éric encliquetait la dernière menotte à mon pied droit. Éric se releva prestement.



Elle s’approcha de moi avec une ombre de sourire sur les lèvres.



Elle me tourna autour, me tapota un peu les fesses, me soupesa les bourses, constata une petite érection. Elle revint devant moi.



Je secouai la tête négativement.



Je fis oui tant des yeux que du menton.



Je confirmai à nouveau mon accord. Elle vint alors coller sa bouche contre mon oreille et me chuchota :



Mon cœur se mit à battre plus fort et plus vite. Elle contrôla mes attaches et les réglages de la machine.



Son ordre tomba comme un couperet et un silence pesant se fit. J’aurais pu maugréer, m’y opposer, dire non… Mais je pense qu’on m’aurait immédiatement remis le bâillon et que j’aurais été de toute manière sodomisé. Il s’agissait là d’une suite inéluctable.


Je me souviens m’être interrogé, à ce moment-là, sur la capacité réelle que nous avions, Léa ou moi, à agir sur les événements. Pour ma part je sombrais lentement sous l’emprise de l’autorité naturelle de cette femme.


Je posai mon menton en appui sur le repose-tête et attendis de ressentir un vrai sexe me pénétrer, lorsque Stéphanie donna le deuxième ordre.



Je redressai légèrement la tête en direction de Laurent, je ne comprenais pas bien ce que signifiait l’ordre.


Devait-il me baiser lui aussi ?


Devait-il baiser Éric en même temps ?


Lorsque je compris, un frisson glacial me parcouru l’échine.


En même temps que je voyais devant moi Laurent se diriger vers ma femme, je sentais les mains d’Éric m’écarter les fesses pour y fourrer un doigt, puis deux.


Stéphanie, quant à elle, s’installa sur le canapé, écarta les jambes et appela Jean.



Le rythme de la soirée semblait s’accélérer.


Léa semblait inquiète. La position sur la croix n’était pas idéale pour… se faire baiser… et elle semblait redouter un peu le sexe aux proportions importantes de Laurent. Il s’agenouilla devant elle et commença à la lécher. Elle ferma les yeux.


Pendant ce temps, Éric me pénétrait un peu plus profondément de ses doigts. Ce n’était pas désagréable sans être non plus agréable.


Laurent se redressa et se mit sur le côté de Léa, il lui caressa la chatte, puis fit glisser un doigt entre ses lèvres. Léa laissa échapper un soupir de satisfaction.


À ce moment-là, Éric retira ses deux doigts de mon fondement et je sentis qu’il collait son gland contre mon anus. Je me décontractai au maximum.


Laurent se colla contre Léa, je le vis plier les genoux pour se positionner entre les jambes de ma femme. Elle me regarda fixement avec une pointe d’appréhension dans les yeux. Son regard se troubla, elle se mordit les lèvres tout en lâchant un soupir…


Honnêtement, je n’avais pas envie d’assister à cela : ma femme se faire baiser par un inconnu !

Nous en avions souvent parlé, nous avions envisagé l’échangisme, nous étions même allés à une soirée un peu chaude, mais jamais je ne l’avais vu se faire baiser par un autre.


Mais cela m’excitait au plus haut point. En fait, je me demandai si elle avait envie que je regarde.


Éric appuya plus fortement entre mes fesses et je sentis son gland m’écarteler. Je serrai les poings et les dents, c’était beaucoup plus gros que le gode de Stéphanie. La douleur était présente mais tout à fait supportable. Je fermai les yeux. Je serrai les dents plus fortement et brutalement son gland passa tout entier.


J’en soupirai d’aise, ce qui fit se rouvrir mes yeux, et je vis Léa qui me dévisageait avec un mélange de plaisir et de stupeur.


Je réalisai alors que j’avais envie qu’elle me regarde en train de me faire prendre par ce mec.


Laurent continuait de la baiser lentement mais profondément, tandis qu’Éric continuait la prise de possession de mon anus.


J’entendais Stéphanie gémir sous les coups de langue de Jean.



Léa gémissait sous les coups de boutoir de son tortionnaire. Il la pénétrait profondément tout en lui léchant les seins et en lui malaxant les fesses.


Éric me ramonait le cul maintenant. Il allait de plus en plus vite. J’étais lubrifié à outrance et je commençais à trouver cela plutôt plaisant car très excitant. Le fait de voir ma femme se faire prendre en étant attachée, les bruits de plaisir moite derrière moi, sur le canapé, et cette bite dans mes entrailles, faisaient un cocktail détonnant.


J’entendis Stéphanie pousser un petit soupir de jouissance et dire merci à Jean. Ses talons claquèrent sur le carrelage et elle pénétra mon champ de vision. Elle me prit la tête entre ses deux mains et colla son sexe sur ma bouche.



Je lui léchai la chatte trempée du mélange de son orgasme et de la salive de Jean. Je ne voyais plus ma femme mais j’entendais ses soupirs de plus en plus forts et de moins en moins espacés. La respiration de Laurent devenait également plus forte.


Éric s’agitait en moi de plus en plus vivement et cela me coupait le souffle. J’étais secoué comme un prunier.


Stéphanie me libéra la tête et la bouche, et passa sous le chevalet, je sentis sa main prendre mon sexe et le porter à sa bouche. Le contact m’électrisa. Elle lâcha mon sexe pour me prévenir.



Et elle reprit mon sexe en bouche.


Elle me suçait divinement. Mon excitation était à son comble. Stéphanie m’aspirait entièrement, tandis qu’Éric investissait totalement mon anus.


Léa était vraisemblablement aux anges avec ce nouveau sexe en elle. Son appréhension était maintenant remplacée par une satisfaction évidente. Elle retint sa respiration… Laurent accéléra très violemment le mouvement, la prenant d’une manière beaucoup plus bestiale. Elle hurla son plaisir.


Éric décida que le moment était propice, et il en profita pour me défoncer encore plus et éjacula rapidement en moi. Son orgasme fit augmenter sensiblement le volume de son sexe et je sentis son foutre brûlant me remplir par à-coups.


C’en était trop et, hors de contrôle, j’éjaculai sans pouvoir intervenir dans la bouche de Stéphanie qui, sans le moindre sursaut, aspira tout jusqu’à la dernière goutte.


Je n’eus pas, à proprement parler, un orgasme violent. Mais un long plaisir qui finit dans la bouche de ma tortionnaire.


Éric se retira de moi dans un bruit de succion, tandis que Stéphanie me gardait en bouche sans bouger.


Laurent se retira de ma femme et je vis assez rapidement des traînées de sperme perler de la chatte de ma femme et dégouliner sur le sol ou longer ses cuisses. Elle gardait les yeux fermés et son visage était rouge écarlate.


Était-ce de plaisir ou de honte ?


Stéphanie lâcha enfin mon sexe.



Il prit la place de Stéphanie et commença à me lécher savamment.





~~oooOooo~~


Chapitre 7



Nous avancions à grands pas dans la soirée.


Thierry était à point, quant à Léa j’étais enthousiasmée par sa réactivité.


Lorsque cette mission m’avait été confiée, je n’avais pas la moindre idée du chemin que nous pourrions parcourir. Je savais seulement que la cliente voulait faire plaisir à son mari, et que ce dernier était relativement ouvert et n’avait que peu de tabous. Mais le dosage est toujours difficile à jauger a priori. Il y a un univers entre le fantasme et la concrétisation.


Je devais encore monter d’un cran la pression. Je devais trouver le point qui frôle le point de rupture, l’atteindre et ne pas le dépasser.


Il y a cinq ou six mois de cela nous avions, avec la même, équipe fait un jeu qui s’était avéré très efficace.


Ce que je souhaitais avant tout était la satisfaction de la petite Léa, mais je voulais également que cette soirée soit inoubliable pour ce couple que je trouvais vraiment très agréable tant physiquement que moralement.


Il fallait donc que je passe à la vitesse supérieure, une préparation au bouquet final. Il était bientôt 23 heures et cela faisait presque cinq heures que je maltraitais passionnément mon petit monde.


Dans mon équipe nous appelions Phase Orange la recopie d’une séquence déjà utilisée durant une autre mission.


Je regardais la situation générale : Léa en croix et Thierry sur le chevalet… son cul devait le chauffer sérieusement… Léa dégoulinait encore du sperme de Laurent.


Il fallait préparer la séance suivante. Un peu d’organisation et une pointe de nettoyage était nécessaire. Je distribuais les ordres afin que Léa et Thierry soient à nouveau nettoyés et préparés pour la suite.


Léa devait être placée sur le chevalet et sa tête devait être bloquée pour lui empêcher de voir derrière elle. Un coussin sous son ventre rehaussait ses fesses dans une position carrément obscène d’offrande.


Thierry devait être allongé à plat ventre sur la table, attaché bien entendu. Sa tête devait dépasser de la table, le menton calé sur le repose-tête et sa bite devait être accessible par un trou sous la table. Les jambes attachées écartées libéraient l’accès à son anus et faisaient rebondir un peu plus ses fesses.


Une fois toutes les dispositions prises, je demandais à mes trois soumis de s’approcher de moi.



Les trois hommes soumis me regardèrent fixement en attendant la suite.



Ils acquiescèrent d’un geste de la tête. À ce moment-là, ma petite troupe savait exactement ce qu’ils avaient à faire, mais il fallait que je donne des informations pour l’imaginaire de nos clients.



Ils sortirent de la pièce. Je parlais plus fort.



Je sortis de la pièce en laissant nos oiseaux entravés. Je composai un numéro de téléphone et engageai la conversation de sorte que Thierry et Léa m’entendent parler mais ne puissent pas comprendre le contenu du dialogue.


Je revins lentement dans la pièce et regardai la scène. Je lus l’attente dans les yeux de Thierry, tandis que Léa avait une pointe de fatigue mêlée à ce que j’interprétais comme étant de l’appréhension pour la suite.


Je m’approchai de Léa. Je lui caressai les joues en mettant ma chatte à trois centimètres de son visage.



Je la contournai et lui caressai le dos et les fesses.



Je passai un doigt entre ses lèvres intimes et le portai à ma bouche sous le regard de Thierry et en le fixant.



Il me répondit négativement par un simple hochement de tête déférent.



Je me dirigeai vers lui et m’assis sur la table, à côté de ses fesses que je caressais d’un air absent.


La tension montait, je les sentais dans l’attente. Une sourde angoisse commençait à les tenailler car ils avaient des mouvements de tentative de changement de position manifestant l’impatience de l’attente.


Nous n’eûmes pas longtemps à attendre, la sonnerie de la porte d’entrée retentit, ce qui fit sursauter fortement Léa.


Thierry se racla la gorge comme pour parler et je lui décochai un regard qui lui en ôta toute envie. Léa tenta de tourner la tête vers moi.



Elle bredouilla sa réponse.



Elle venait presque de hurler la réponse.



Elle ne pouvait pas voir ce qui se passait dans son dos alors que Thierry pouvait y assister en direct.


Je m’absentai de la pièce pour aller ouvrir la porte d’entrée. Je fis pénétrer les quatre personnes qui se présentaient. Ils avaient tous les quatre les visages cachés par des masques enveloppants. Loin du regard de Léa et Thierry, j’expliquai les règles à haute voix pour qu’ils entendent bien.



Les quatre hommes acquiescèrent bruyamment qui en éclatant de rire, qui en se frottant les mains.


Je précédai les hommes dans le salon et m’arrêtai une fois qu’ils furent tous rentrés dans la pièce.


Les yeux de Thierry étaient exorbités, tandis que Léa se débattait mollement pour essayer de voir, derrière elle, les personnes qui venaient de rentrer.



Je me positionnai en face de la tête de Léa et tendis la main dans son champ de vision.



Le premier homme vint mettre 30 € dans ma main et j’enclenchais mon chronomètre.



Il se précipita derrière Léa, prit un peu de lubrifiant sur le distributeur prévu à cet effet sur le chevalet, s’en enduisit la bite qu’il venait de libérer en ouvrant simplement sa braguette et pénétra d’un coup sec la chatte offerte.



Ce disant, il donnait de violents coups de reins qui arrachaient des cris de plaisir mêlés de surprise à Léa. Il ne changea à aucun moment de rythme, il la posséda pleinement pendant cinq minutes jusqu’à ce que je dise.



Le suivant me mit, toujours sous le nez de Léa, 30 € dans la main. Il se positionna, tandis que je remettais à zéro mon chronomètre. Et il investit la place sans se lubrifier.



Il commença à la baiser lentement. Il tourna la tête en direction de Thierry.



Et il éclata de rire.


Thierry, mi-figue mi-raisin, ne savait s’il devait se réjouir de la scène ou faire cesser le jeu en manifestant sa désapprobation.


L’homme accéléra le rythme arrachant un cri de satisfaction à Léa. Les cinq minutes s’écoulèrent et le troisième homme essaya le même trou après m’avoir acquitté le droit d’entrée. Léa ferma les yeux et son intimité fut à nouveau investie. Celui-ci était très violent et bougeait très rapidement en elle. Il la pénétrait à fond et, une fois en butée, il secouait rapidement son bassin de gauche à droite comme une danseuse tahitienne. Cela arrachait un long soupir ininterrompu à Léa qui était totalement abandonné et n’essayait plus de regarder derrière elle.


Le quatrième homme me posa 15 € dans la main et le premier me donna à nouveau 30 €.



Je relançai mon chronomètre en m’écartant pour laisser le champ libre à celui qui payait pour la bouche de Léa. Elle ouvrit ses lèvres et prit en bouche la bite offerte tandis que sa chatte était de nouveau remplie et secouée. Elle suça tant bien que mal, bousculée qu’elle était par les mouvements de la bite dans ses entrailles.


Cinq minutes s’écoulèrent à nouveau et je voyais Thierry devenir écarlate d’excitation.


Les deux autres me donnèrent eux aussi 15 et 30 € et prirent les places des autres, et de nouveau Léa tenta de faire de son mieux pour sucer une bite tandis qu’une autre ravageait son ventre. Les insultes et les ricanements allaient bon train et s’adressaient assez souvent à Thierry.


Léa eut un orgasme d’une rare violence à la sixième pénétration vaginale.


Les hommes tournèrent, tournèrent et tournèrent encore. Ils étaient très résistants et aucun n’avait encore eu d’orgasme lorsque arriva ce qui devait arriver.


Un des quatre hommes me mit 45 € dans la main. Je le dis bien fort.



Léa, qui gardait les yeux fermés depuis un bon moment, les ouvrit promptement et me supplia du regard non pas d’arrêter mais de superviser pour que ce ne soit pas trop douloureux.


Thierry se racla la gorge et mon regard le ramena à la raison.




~~oooOooo~~


Chapitre 8



Je pense qu’à ce moment précis, et vu le talent de Maîtresse Stéphanie, Thierry ne se doutait pas un instant que Laurent, Jean et moi faisions partie des quatre inconnus qui abusions de sa femme en payant pour la baiser.


Il est vrai que la venue non prévue de Monsieur jouait en notre faveur pour semer le trouble et donner une illusion parfaite.


Il était rare que Monsieur assiste aux missions. Généralement il prenait les commandes, avait les entretiens initiaux, il affectait les missions et sélectionnait les équipes mais je crois bien que c’était seulement la seconde fois qu’il venait en personne.


En plus, il allait maintenant sodomiser Léa devant son mari.


Maîtresse Stéphanie me fit un clin d’œil et, en tentant de modifier ma voix comme convenu dans le cas de cette Phase Orange, je demandai :



Maîtresse Stéphanie prit l’air faussement surprise puis, en fixant Thierry, elle fit mine de réfléchir, puis finalement de trouver l’idée excellente et donna les tarifs.



Thierry ouvrit la bouche et Maîtresse Stéphanie lui claqua les fesses violemment. Il cria un « Hey » de surprise et Maîtresse Stéphanie vint se mettre à son niveau en le fixant durement.



Il acquiesça et reposa le menton sur le repose-tête.


Je donnais 30 € à Maîtresse Stéphanie et Laurent, qui était encore disponible, s’empressa de lui donner 45 €. Je passai sous la table tandis que Laurent se positionna en face du nez de Thierry.


Je pense qu’à ce moment Thierry a compris car il s’est détendu.


J’ai embouché son sexe tendu et dégoulinant d’excitation et j’ai commencé à le pomper. Aux bruits qui provenaient du dessus j’ai compris que Laurent baisait sa bouche. Je tendais mes oreilles pour savoir où ils en étaient avec Léa.


Elle gémissait doucement d’une manière étouffée – sans aucun doute elle avait la bite de Jean qui lui occupait la bouche tandis que Monsieur assisté de Maîtresse Stéphanie la socratisait pour la préparer à la sodomie qui allait suivre.


Je branlais rapidement Thierry car je voulais assister à la scène. Il tentait de se contrôler tant bien que mal.


Maîtresse Stéphanie indiqua que les cinq minutes étaient passées. Nous inversâmes les rôles avec Laurent en acquittant les sommes respectives. Jean quant à lui quitta la bouche de Léa pour y retourner après avoir payer les 15 € à Maîtresse Stéphanie et Monsieur continua son travail de dilatation de l’anus de Léa.


Je ne quittai pas des yeux le cul de Léa qui allait se faire investir par Monsieur.


Thierry se contracta sur ma bite. Laurent devait le sucer sérieusement car il émettait des soupirs de félicité qui en disaient long.


Cinq autres minutes s’écoulèrent sans que Monsieur ne pénètre Léa.


Stéphanie nous fit signe qu’elle était prête.


Monsieur donna à nouveau 45 €, Laurent, Jean et moi-même nous nous écartâmes pour assister à la première sodomie de Léa.


Monsieur se positionna, aidé par Maîtresse Stéphanie. Il se tassa sur ses genoux pour se donner une meilleure assise et mit ses mains en appui sur ses propres fesses presque au niveau des reins.


Maîtresse Stéphanie enfonça lentement le gland de Monsieur. Léa poussa un petit cri lorsqu’il passa la barrière et s’engouffra dans la grotte étroite et sombre. Alors Monsieur poussa lentement mais d’une manière continue pour investir totalement la place. Léa haletait. Lorsqu’il fut en butée et que son ventre toucha ses fesses, il stoppa un instant. Il se coucha sur Léa et lui murmura à l’oreille :



Elle secoua la tête pour l’encourager à poursuivre, alors il se mit à reculer puis à revenir et ainsi de suite. Les cinq minutes s’écoulèrent à la vitesse d’une balle et il tendit à nouveau 45 € à Maîtresse Stéphanie pour poursuivre. Il accéléra le rythme, et cela plaisait vraisemblablement à Léa qui gémissait de plus en plus fort et dont la respiration devenait anarchique.


Thierry n’en perdait pas une goutte. Il avait le regard vitreux et sa bite coulait de sécrétions manifestant de son excitation.


Maîtresse Stéphanie éclata d’un rire tonitruant.



J’avais très envie d’enculer cette fille également et je tendais 45 € à Maîtresse Stéphanie qui indiqua que les cinq minutes s’étaient écoulées. Les trois autres hommes restaient sur la touche tandis que je pénétrai Léa par son petit trou. J’empoignai ses fesses et les secouai tandis que je l’enculais.



Je l’enculais avec force et vigueur, investissant la place jusqu’au bout de mes capacités.


Elle n’arrêtait plus de gémir, et je sentais le regard trouble de Thierry rivé sur le cul écartelé de sa femme.


Les cinq minutes écoulées, je retournai sucer Thierry tandis que Jean fourrait sa bite dans sa bouche. Monsieur se faisait tant bien que mal sucer par Léa tandis que Laurent l’enculait lentement avec son énorme queue.


Léa gémissait et secouait la tête, elle n’arrivait qu’avec peine à reprendre sa respiration.


Les cinq minutes suivantes furent marquantes car on assista à l’orgasme de Monsieur dans le cul de Léa et celui de Thierry dans la bouche de Laurent.


Durant les cinq minutes suivantes Léa eut un long orgasme avec Laurent qui avait réinvesti sa chatte tandis que Monsieur lui léchait le clitoris.


Jean donna 120 € et encula durant dix minutes un Thierry exténué avant de se vider en lui, et pour ma part j’éjaculai dans le cul dilaté et souillé de Léa en moins de deux minutes.


Une fois que tout le petit monde eut bien pris sont plaisir, Maîtresse Stéphanie fit les comptes.



Nous quittâmes les lieux en silence.




~~oooOooo~~


Chapitre 9



J’avais le cul en feu, j’étais remplie de foutre, et mes jambes n’arrivaient plus à soutenir mon corps tellement je venais de ressentir un orgasme d’une rare intensité.


Je ne voyais toujours pas Thierry, mais je supposais qu’il devait être dans le même état que moi, sinon pire.


Les trois sbires de Stéphanie, Laurent, Thierry et Jean, revinrent assez rapidement dans la pièce et j’avais reconnu la voix de Monsieur lors de ma première sodomie de groupe. Je dois avouer que la mise en scène avait été saisissante, et j’ai bien cru pendant les dix premières minutes que Stéphanie avait réellement fait venir quatre inconnus.


Avec un peu de recul j’avoue que j’ai vraiment ressenti un plaisir fou à être ainsi transformé en prostituée sous les yeux de mon mari qui lui-même en prenait plein le cul.


Décidément, quelle soirée !


J’avais perdu toute notion du temps. Il devait être minuit, peut-être plus. J’étais épuisée, mais mon esprit était encore échauffé alors que mon corps était fourbu.



Elle sortit de la pièce.


Ils nous détachèrent, ils nous lavèrent à l’eau chaude et savonneuse, ils nous donnèrent du jus d’orange.


Mon anus était douloureux. Et je suppose que celui de Thierry aussi.


Éric était très doux avec moi.


Il me posèrent sur le canapé, et au bout d’une vingtaine de minutes ils attachèrent à nouveau Thierry sur la table. Cette fois-ci, selon les indications de Stéphanie il était sur le dos mais seuls ses poignets étaient attachés. Par contre, ses yeux furent bandés.


On ne pouvait hélas pas en dire autant de son sexe, qui était tout rabougri et qui ne semblait pas du tout décidé à reprendre une forme plus… dynamique.


Stéphanie entra dans la pièce.


Elle s’était changée mais Thierry ne pouvait pas le savoir. Elle était habillée en latex rouge, une robe aussi moulante que courte et des talons hauts rouges également. Elle brillait sous les lumières du salon. Elle dit d’une voix ferme et déterminée.



En me mettant à quatre pattes je jetai un œil sur le sexe de Thierry qui restait impassible. J’approchai en marchant à quatre pattes vers Stéphanie qui empoigna ma tête dès que je fus à sa portée.


Elle me colla la bouche contre sa chatte, qu’elle mis en avant pour mieux me l’offrir. Je léchais son sexe, doux et frais, avec délectation en remuant sans y prêter attention mes fesses.



La situation me plaisait. Une fois de plus, Stéphanie utilisait toutes les failles pour s’y engouffrer.



Je passai une main sous mon ventre et, tout en ondulant mon postérieur, commençai à me caresser le clitoris et les lèvres intimes.


Les claquements de talons de Stéphanie se dirigèrent vers la table ou reposait Thierry. Elle empoigna son sexe dont la mollesse se changea en quelques instants en une petite dureté. Nous étions loin de l’objectif mais il s’en rapprochait.



Il ne put s’empêcher de sourire.


Elle monta sur la table, enjamba le corps de mon mari et s’assit en écartant les jambes sur son visage, mettant sa vulve écartée au contact direct de sa bouche.



Elle me regardait avec un sourire tout en parlant.


Après quelques minutes durant lesquelles je m’appliquais à me masturber sous le regard des trois hommes et de leur Maîtresse, elle se leva de la tête de Thierry et descendit de la table. La bite de Thierry avait durci mais n’était pas au top de sa forme. Elle le prit en bouche et lui administra une pipe magistrale. Il relevait les jambes lentement pour mieux sentir la caresse prodiguée par Stéphanie. Elle redressa la tête, libérant le sexe érigé et vigoureux de mon mari. Elle le branla avec vigueur pour maintenir son érection sans pour autant l’amener au plaisir.



Elle repris mon mari en bouche et Jean me posséda violemment. J’étais totalement mouillée et il entra en moi sans aucune hésitation, il me pénétra à fond m’arrachant un cri de plaisir. Son sexe était de taille moyenne mais il avait des coups de reins redoutables. Il me transperçait à chaque mouvement. J’étais secouée comme un prunier.


Elle arrêta de sucer mon mari.



Il se retira de moi et se plaça très rapidement dans ma bouche.



Il entra à son tour en moi et j’émis un râle, étouffé par la bite gluante de Jean.


Pendant ce temps, Stéphanie s’accroupit au-dessus de Thierry et s’empala sans prévenir sur son sexe dur comme un pieu. Elle soupira en descendant le long de cette colonne de chair. Thierry ne put retenir un soupir de contentement. Elle commença à s’agiter lentement sur lui. Pénétrée à fond, elle avançait et reculait, frottant son sexe contre le ventre de mon homme.


Thierry gémissait de satisfaction tandis que je me faisais défoncer par Éric qui y mettait un sacré coup, m’arrachant de nombreux cris.



Laurent vint s’allonger à côté de moi. Éric me libéra la chatte et Jean se retira de ma bouche. Je me levai et enfourchai Laurent. Ma chatte dégoulinait de mes sécrétions et de celles de Laurent et d’Éric, je m’empalai sur sa bite tendue. Je me retrouvais dans la même position que Stéphanie avec mon mari et je commençais à onduler du bassin comme je la voyais faire depuis quelques instants.



Il se positionna derrière moi et m’écarta les fesses. J’arrêtai mon mouvement tandis que Laurent me prenait dans ses bras, m’obligeant à coller ma poitrine contre son torse. Dans cette position, mon cul était totalement offert et Éric s’y engouffra en forçant légèrement.


Je fus remplie entièrement par ces deux sexes en une fraction de seconde.


Ils commencèrent alors à me limer en rythme. Lorsque l’un s’enfonçait en moi, l’autre s’éloignait de mes profondeurs. Je n’étais plus qu’un corps secoué par la volonté de ces deux hommes, qui me possédaient comme jamais je ne l’avais été. Ma bouche émettait des sons rauques et des gémissements ininterrompus.



Il se dirigea vers la table, monta dessus et après avoir lécher son anus, il encula Stéphanie qui se déchaîna… Elle criait en s’acharnant sur le sexe de mon mari qui gémissait de plus en plus fort.



Elle n’arrivait plus à prendre son souffle.


La pièce était remplie de gémissements, de cris de plaisir, de bruits de corps remuants, de chattes trempées, pénétrées, et d’anus défoncés.


En quelques instants Stéphanie arriva à un orgasme foudroyant provoquant celui de Thierry qui, dans un long gémissement, éjacula en elle, à sa plus grande satisfaction. Stéphanie poussa un long pleur de jouissance tandis que Jean finissait par exploser dans son anus ravagé.


Quant à notre petit groupe, c’est Éric qui éjacula petitement dans mon dans mon cul le premier. Laurent, sentant que son acolyte se vidait en moi, accéléra le mouvement en me soulevant littéralement du sol par ses coups de reins. Il explosa à son tour dans mon vagin, me serrant violemment dans ses bras tandis qu’Éric, repu, appuyait sur mes fesses pour me coller plus encore contre le bassin agité de Laurent.


Je n’eus pas d’orgasme, mais l’excitation provoquée par la situation et par le nouveau que représentait une double pénétration me donnait envie de jouir et d’aller encore plus loin.


Stéphanie prit conscience de ma non-jouissance, et tout en se relevant lentement elle se vida le vagin du sperme de mon homme sur son ventre.



Elle se campa debout sur la table. Je pense que les punitions vont pleuvoir.



Elle descendit de la table tandis que les trois hommes prenaient un air confus et contrit.


Stéphanie me regarda avec tendresse.



Immédiatement les trois soumis s’agitèrent.


Laurent et Jean détachèrent Thierry et lui ôtèrent son bandeau. Éric m’aida à me relever totalement en m’essuyant l’entrejambe avec un chiffon. Puis Laurent se dirigea vers la sacoche et en sorti un godemiché.



Ils sortirent de la pièce.




~~oooOooo~~


Chapitre 10



Je n’avais qu’un seul regret : moi, qui avais toujours fantasmé sur les doubles pénétrations, il venait de s’en dérouler deux en même temps et je n’avais même pas pu les voir.


Cependant, entendre ma femme se faire baiser de la sorte, pendant que moi-même je défonçais cette garce de Stéphanie tout en sentant le sexe de Jean, énorme d’ailleurs, se frotter contre le mien à travers la fine paroi intestinale qu’il limait à fond, avait provoqué chez moi un orgasme comme je n’en avais encore jamais connu.


Était-ce la suite de toute cette soirée, les défonces multiples, les sodomies, la séquence de prostitution ? Tout, tout avait concouru à m’amener à cette issue : une éjaculation violente dans le ventre de cette femme blonde.


Je n’avais qu’une chose à dire. Bravo.


Ils étaient vraiment doués et j’en aimais encore plus ma femme de m’avoir offert ce merveilleux cadeau, plus encore, d’y avoir tout simplement pensé.


Laurent et Éric étaient sortis de la pièce et je les entendais trifouiller dans la pièce d’à côté. Ils revinrent rapidement avec un engin assez volumineux et sur roulettes. Il s’agissait d’un fauteuil, basculé assez fortement en arrière, avec deux repose-pieds du genre siège de gynécologue. À une cinquantaine de centimètres du fauteuil, un moteur était relié à une tige en métal, laquelle était finie par un godemiché.


Il ne fallait pas sortir d’une grande école pour comprendre à quoi pouvait servir cet engin, ni pourquoi Stéphanie l’avait appelé l’« Infatigable ».


Ils firent rouler l’engin jusqu’au milieu de la pièce et Laurent, sur un simple clin d’œil de la Maîtresse, souleva ma femme pour aller l’installer dans le fauteuil basculé. Il lui posa les jambes dans les gouttières et fixa ses poignets et ses chevilles par des anneaux en cuir prévu à cet effet.


Léa était dans une position d’une obscénité absolue. Sa chatte gonflée dégoulinait de sperme et son cul refermé était rouge vif et souillé de sperme lui aussi.



Il lui installa un bâillon composé d’une balle rouge et fixé par des lanières de cuir. Il régla ensuite le godemiché, lui enfichant dans la chatte jusqu’à la garde comme s’il s’agissait d’un acte de routine. Léa se tendit au maximum et ses yeux en disaient long sur son appréhension et son excitation. Laurent appuya alors sur un bouton et le godemiché commença à reculer puis à avancer lentement. Léa poussa un gémissement de satisfaction. Laurent accéléra un peu le rythme en réglant un bouton sur le côté du moteur, puis apporta une télécommande à Stéphanie.


Le moteur faisait un bruit de fond.


J’étais sidéré de voir ma femme soumise à cet engin. Cela m’excitait énormément.



Léa gémissait, tant par les propos de la Maîtresse que par cet engin qui lui fourrait les entrailles.


La scène m’excitait au plus haut point et Stéphanie s’en aperçut très vite. Elle vint vers moi, me prit la bite dans sa main et la secoua sans ménagement.



L’idée me fit frémir et elle sourit de ma réaction. Elle s’approcha de ma femme et lui maltraita les seins pendant quelques instants.



Léa avait du mal à fixer son attention sur Stéphanie et elle prit le parti de ne pas répondre.


Stéphanie revint vers moi. Elle agitait dans sa main la télécommande équipée de trois boutons.



Éric se mit à quatre pattes à quelques centimètres de moi tandis que Laurent m’obligeait à fléchir les jambes et à me positionner derrière Éric. Le bruit du moteur, les gémissements de Léa et les caresses de Stéphanie m’avaient redonné suffisamment de vigueur pour que Laurent puisse m’enficher sans trop de difficulté dans le cul offert d’Éric. Il prit alors une ceinture et fixa nos bassins l’un contre l’autre, de sorte que je ne puisse pas m’échapper de son cul.


Éric commença à contracter son anus et à serrer ma bite en lui. Il secouait également lentement son bassin d’avant en arrière, provoquant un léger frottement tout à fait agréable. Laurent passa alors derrière nous et appuya sur mes reins, m’obligeant par là à me cambrer d’avantage. C’était suffisant pour lui, il me pénétra sans trop de ménagement, m’arrachant à nouveau un cri de douleur lié à la taille de son engin.


Stéphanie hurla de rire.



Elle siffla comme un chef de gare et Laurent commença à me ramoner le cul. À chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, Éric reculait en force, m’écrasant entre leurs deux bassins et aidant ainsi Laurent à me défoncer totalement.


Stéphanie n’en finissait pas de rire à gorge déployée.



Avec la télécommande, Stéphanie accéléra le rythme de la machine et Laurent se mit en rythme avec le bruit du moteur. Le frottement du cul d’Éric me procurait un plaisir inconnu et très troublant.


C’était très agréable.


Vraisemblablement, Léa prenait son pied elle aussi… Et la connaissant un peu, à sa respiration, j’en déduisis qu’elle n’allait pas tarder à jouir une nouvelle fois.


Stéphanie venait d’enfiler un gode-ceinture et fit signe à Jean de s’approcher. Elle lui chuchota quelques mots à l’oreille.


Elle accéléra encore la machine et Laurent me défonça littéralement le cul, tandis que Léa partait dans une explosion de jouissance qui secoua son corps tout entier comme un pantin, mais également le siège où elle était installée.


Elle n’était pas encore remise de ses émotions lorsque Stéphanie intima l’ordre à Jean de la détacher et de l’amener à Éric pour être enculée. Le train allait avoir avec un wagon de plus.


Léa était en tête de notre petit convoi. Jean l’avait positionnée encore pantelante de sa jouissance mécanique, lorsque Éric la pénétra par l’anus qu’elle avait fortement dilaté. Je voyais ma femme se faire prendre par l’homme que j’étais en train d’enculer de force par les mouvements que Laurent imprimait à mon bassin.


Léa était épuisée et elle posa la tête par terre offrant davantage son antre la plus intime à la pénétration.


Stéphanie décida que c’était le moment pour Jean de passer en wagon de queue. Notre emboîtement s’augmentait maintenant d’un nouveau partenaire qui posséda vivement Laurent.


Chaque mouvement de l’un de nous se répercutait sur l’ensemble. Ainsi, lorsque Jean pénétrait Laurent, Laurent s’enfonçait à fond en moi, tandis que je pénétrais davantage Éric qui lui-même défonçait un peu plus Léa.


Le tableau devait être pittoresque.


Le jeu dura quelques instants, où nous essayâmes tous de nous mettre en rythme afin d’harmoniser nos mouvements.


Stéphanie riait à gorge déployée en longeant d’avant en arrière notre petit groupe. Elle releva la tête de Léa qui grimaçait tant de plaisir que de douleur. Elle lui agita le gode-ceinture sous le nez et regarda Jean.



Stéphanie vint se positionner alors derrière Jean et le sodomisa en douceur. Le train était au complet. Elle donna l’ordre à tout le monde de stopper les mouvements.


Nous étions tous les six emboîtés les uns dans les autres, Léa en tête et Stéphanie à l’arrière.


Stéphanie donna un grand coup de reins qui arracha un cri à Jean, puis comme une vague Laurent poussa un cri lorsque Jean eut le réflexe d’avancer brutalement pour atténuer la sodomie profonde infligée par Stéphanie. Laurent, en troisième position, eut le même réflexe et m’encula si profondément que je hurlais, en même temps qu’Éric, qui subissait le contrecoup, s’enfonçait dans Léa qui gémisssait de plaisir.


Puis Stéphanie imprima le rythme à Jean, qui le répercuta à Laurent, qui me le répercuta, et que je répercutais à Éric, et Léa agita son cul pour maintenir la puissance de la pénétration. Stéphanie agissait comme si elle pénétrait cinq personnes en même temps, donnant des coups de reins redoutables à peine amortis par Jean qui hurlait à chaque pénétration.


Je sentis Éric jouir dans ma femme par les contractions de son anus et les gémissements d’une Léa épuisée.


Laurent se prit rapidement le foutre d’un Jean défoncé jusqu’à la garde et éjacula dans mes entrailles quelques secondes après.


Le mouvement se ralentit et Éric s’agita violemment pour m’obliger à me vider dans son cul, ce que je fis en quelques instants.


Stéphanie se dégagea de Jean et éclata de rire. Elle dégrafa les chaînes qui me liaient à Éric et alla s’installer sur le canapé.


Nous nous dégageâmes les uns des autres dans l’ordre, Jean en premier, puis Laurent sortit de moi, puis je quittai le cul d’Éric qui enfin s’éjecta de ma femme.



Nous pivotâmes tous vers elles. Instinctivement nous nous alignâmes parfaitement.



Son dernier ordre de la soirée fusa.






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Épilogue



La soirée touchait à sa fin, j’avais pu amener le petit groupe aussi loin qu’il était possible pour une première fois.


J’étais vraiment très satisfaite et fière de mes soumis, et franchement surprise par la réactivité et la tolérance de Léa et Thierry.


Une petite douche de sperme pendant un accouplement standard entre Léa et Thierry donnerait une touche finale et ferait redescendre un peu la pression.


Léa était épuisée et s’endormait presque tandis que je la caressais sur le canapé.


Mes soumis se restauraient et absorbaient une substance régénératrice aphrodisiaque afin de satisfaire mon dernier ordre de la soirée.


Thierry était assis dans le fauteuil et buvait, avec mon autorisation, un verre de whisky. Il regardait sa femme, qui était dans mes bras et sous mes caresses intimes, avec un regard qui en disait long sur son amour pour elle.


Lorsque le moment fut venu, mes trois soumis posèrent Léa sur la table, ils l’attachèrent sur le dos, les bras en croix et jambes écartées. Ils soulevèrent son bassin avec un coussin et firent signe à Thierry de venir la prendre.


Il avait déjà une belle érection et désirait vraisemblablement honorer sa femme pour clore cette fête du sexe. Il la pénétra lentement en l’embrassant tendrement sur la bouche.


Laurent lui rappela qu’il fallait qu’il la prenne comme une bête.


Léa était vidée de toute énergie, et son épuisement excitait de toute évidence un peu plus Thierry qui commença à la prendre avec plus de vigueur.


Mes trois soumis montèrent alors sur la table et encadrèrent le couple qui gémissait dans leurs ébats fatigués. Ils se masturbèrent, et lorsque Thierry éjacula dans sa femme au bout de quelques instants, dans un grognement de plaisir, Jean, Éric et Laurent arrosèrent le visage de Léa et les cheveux de Thierry de longs jets visqueux et odorants.


Thierry s’écroula sur Léa.


Je fis signe à Laurent de les descendre et de clore la soirée.


Mes trois sbires, après avoir détaché, Léa les montèrent dans leur salle de bain et les plongèrent dans un bain bien chaud, non sans leur avoir apporté une collation.


Tandis que le couple se prélassait dans le bain et que Léa s’endormait lentement dans les vapeurs chaudes, mon équipe démontait le matériel et le replaçait dans la camionnette. Ils firent un brin de ménage.


Avant de quitter la maison, je posai un mot sur le vélo d’appartement.



Chère Léa, cher Thierry,


Ce vélo est un petit cadeau bien mérité. Je sais maintenant que vous pourrez vous en servir tous les deux, voire même ensemble.


J’organise une fois par mois une équipée du genre de ce soir. Si vous souhaitez rejoindre mon équipe, Léa connaît mon numéro.


À bientôt, j’espère.



Je signai « Maîtresse Stéphanie », jetai un dernier regard derrière moi et fermai la porte de la maison avant de monter dans la camionnette et de féliciter mes gars.