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Le chauffeur

Cette aventure ne serait jamais arrivée dans d’autres temps… Mais Suzie depuis des semaines se sentait délaisser par son compagnon de vie, ils s’aiment autant qu’avant, il n’y avait pas de doutes là-dessus, mais les circonstances faisant, ils s’étaient éloignés l’un de l’autre… Lui ses absences la nuit devenaient de plus en plus fréquentes et dans son cas à elle les mots avaient laissés place aux silences…

Suzie, était une femme dans la quarantaine, elle était jolie, et avait de la classe. Elle était friande de nouvelles expériences avec son copain, d’ailleurs c’est ce qui lui plaisait le plus chez elle. Elle aimait créer des mises en scènes pour lui… surtout les situations où elle était tout à fait en état de contrôle sur son conjoint. Mais comme je vous le mentionnais ci-dessus sa vie sexuelle battait de l’aile et cela maintenant depuis trop longtemps pour résister à ce qui lui arriva ci-dessous…

Le métier qu’elle exerçait lui avait permis de rencontrer bien des hommes, mais ne mêlant jamais plaisirs au travail elle répondait toujours par la négative à leurs avances… Sauf pour un homme qui la charma par son humour et son ouverture d’esprit avec lui elle se sentait toujours en confiance et avec le temps ils devinrent de très bons amis… Même lorsqu’elle quitta son emploi elle garda un contact avec lui. Ils se voyaient toujours à l’extérieur soit pour dîner ou simplement un café… Elle lui racontait sa vie combien elle était devenue monotone et lui, il lui disait toujours: Suzie tu n’as qu’une vie à vivre! Vie la pleinement!

Un matin après le départ de son copain le téléphone sonna:

• — Suzie! C’est Richard je suis dans le coin et je vais te prendre chez toi pour le petit déjeuner.

Elle accepta avec empressement mais lui fit la remarque qu’il devra entrer, le temps qu’elle puisse se préparer.

Il n’était sûrement pas très loin, car quelques minutes plus tard il sonna à la porte… Suzie ferma son peignoir en vitesse et alla lui ouvrir…

• — Entre, et fais comme chez toi, se sera pas très long! Est-ce que je t’offre un café?

Il accepta le café et s’installa au salon pour l’attendre. Suzie tout en se préparant passait devant lui et son peignoir étant court dévoilait ses cuisses bronzées. Richard la regardait qui essayait de s’empresser à se préparer… Il se leva et se dirigea vers elle, sa main se posa sur son épaule et lui dit:

• — Prends ton temps! J’aime bien voir la courbe de tes jambes qui se dessine sous ton peignoir.

Sur ces mots il laissa glisser sa main sur son bras puis sur sa hanche, l’agrippant et la plaqua contre lui.

• — Regarde l’effet que tu me fais ma belle!

Suzie un peu gêner baissa les yeux et vit que son membre pointait vers elle.

• — Ne sois pas stupide Richard!

Elle se retourna et entra dans sa chambre dans un coup de vent, les joues roses, il la suivit et vint se placer derrière elle… Un peu angoisser par la situation Suzie le regarda à nouveau, il crut lire une certaine crainte dans ses yeux.

• — Voyons Suzie, je ne suis pas venu ici pour te violer ou te faire du mal, nous sommes amis depuis trop longtemps tu devrais me connaître mieux que ça, mais avoue que tu en as envie autant que moi, si c’est l’endroit qui t’arrête nous irons ailleurs, mais ne me dit pas non… Pas cette fois… Ne me laisse pas dans cet état…

Elle lui sourit, timidement, ne sachant quoi faire… c’est vrai qu’elle avait envie de lui, qu’il l’a prenne maintenant et qu’il la fasse valser.

• — Tu as raison Richard, j’ai envie de toi, mais je suis un peu mal à l’aise et pourtant je ne le devrais pas.
• — Laisses moi faire, tu verras tout ira bien!

Il s’avança et d’une main défit son peignoir, le fit glisser sur ses épaules et le laissa tomber parterre, dévoilant ainsi sa nudité. Doucement il lui fit prendre place sur le lit, ses mains suivaient les courbes de son corps, éveillant en elle le plaisir. Ses mains s’arrêtèrent sur ses cuisses, délicatement il les ouvrit, lui offrant ainsi sa chatte déjà mouillée. Il avança la tête et doucement posa les lèvres sur son clitoris. Suzie n’eut que pour réponse un gémissement, ce gémissement qu’il attendait comme une sonnerie lui donnant le droit d’aller plus loin. Il écrasa alors les lèvres sur son clitoris et le suçait avec force. Ses hanches se soulevant l’incitant à continuer…

• — Oui comme ça… suce le bien!
• — Oh que oui! Tu es délicieuse!

Tout en suçotant son petit bouton, quelques fois il le prenait entre ses dents et le mordillait, elle soupirait de plaisirs…

• — Prends-moi! Maintenant! lui dit-elle sentant l’orgasme monter en elle…Non pas maintenant! Ce serait trop dommage que ce soit si court.

Alors il glissa ses doigts entre ses lèvres mouillées et enfonça un doigt puis deux en elle… courbant le corps l’orgasme était maintenant inévitable… Ses doigts tournoyaient en elle, venant caresser son point G. C’est à ce moment que son corps se raidit, Richard choisi ce moment pour retirer ses doigts qui ne tarda pas d’être remplacé par sa langue, léchant la sève qui s’en écoulait.

Satisfait, il se releva et défit son pantalon, Suzie, les jambes ballantes au pied du lit, était toujours étendu sur le dos, reprenant ainsi son souffle. Il monta sur le lit, une jambe chaque côté de sa tête, son membre bien gonflé, pointait vers sa bouche.

• — Maintenant, tu vas me faire plaisir, tu vas ouvrir ses délicieuses lèvres et me laisser y entrer.

Suzie le regarda un peu assommée par son orgasme et en même temps de la façon qu’il la dominait.

• — Allez ne sois pas farouche! Montre-moi que ces lèvres peuvent donner autant de plaisir à ma verge, qu’elles m’ont donné du plaisir à fantasmer de ce moment.

Son membre en main, il fit glisser son gland sur ses lèvres.

• — hummm… Elles sont chaudes comme je l’avais imaginé, maintenant ouvre et taille-moi une pipe… Je suis sûr que ça te plait.

Suzie obéissante ouvrit la bouche, il s’y enfonça d’abord doucement, la langue de Suzie s’enroula autour du gland, le léchant agilement, n’y résistant pas il empoigna sa tête et entra dans cette cavité chaude et humide, il allait et venait comme s’il la prenait. C’est alors que Suzie l’arrêta… Elle sortit d’en dessous de lui pour se mettre en levrette devant lui. Ce fût à elle de prendre son membre et de le délecter. Sa langue glissait sur sa hampe,

rejoignant son gland, introduisant la pointe de celle-ci dans l’urètre… Sa main le masturbait dans un mouvement lent et de l’autre lui caressait l’anus…

• — Tu es une vrai petite salope! C’est que tu aimes vraiment ce que tu fais! Il soupirait d’aise son membre se durcissant à chaque lapé. Elle sentait sa verge tressauter dans sa bouche, ce qui l’excitait au plus au point.
• — Arrêtes-moi ce traitement sinon je vais t’envoyer toute la sauce! Et voilà il dit ce qu’il ne fallait pas dire… Elle adorait voir un homme juter pour elle… Elle délaissa son anus et se coucha sur le dos… Repris sa verge qu’elle suça avec plus de force, une main posé sur son clitoris, elle se masturbait, sentant que Richard n’y tiendrait pas très longtemps, ses doigts se firent plus actifs sur son clitoris.
• — Bon dieu de Merde Suzie, je vais gicler… Te voir te masturber de la sorte, me met dans tous mes états.

Elle sentit le jet atteindre le fond de sa gorge, fermant les yeux continua à le pomper avec ardeur, elle recueillit le sperme qui lui avait offert avec gourmandise. Elle délaissa le membre un peu flasque et le regarda en souriant.

• — Ça t’a plu!
• — Oh que oui, tu es une suçeuse de première! Mais j’ai encore envie de toi et je crois bien qu’elle aussi. Tout en lui désignant son membre qui semblait reprendre vie.
• — Mets-toi en levrette juste ici, les pieds bien ancrés au sol, car se sera ta fête ma belle.

Suzie prit position et sentit encore une fois ses doigts s’enfoncer en elle, qui la prenaient brutalement elle gémissait lui demandait de ne pas s’arrêter.

Elle avait l’impression que Richard se parlait à lui-même comme s’il était en transe.

• — Et ce ptit cul! que j’ai maté si souvent espérant me l’offrir, il est là encore plus délicieux…

Il s’agenouilla et lui fit une fleur. Sa langue sur sa rosette tournoyait pendant que ses doigts prenaient sa chatte. Elle ne savait plus qu’est-ce qui lui apportait le plus de plaisirs, elle avait l’impression qu’il était partout à la fois! Se relevant, il l’empoigna par les hanches la soulevant, elle n’eut le temps que d’ouvrir les cuisses et il entrait en elle jusqu’à la garde… poussant un lourd gémissement.

• — Ta chatte est invitante et chaude, je vais te faire monter au 7ième ciel!

Ses mains toujours agripper à ses hanches la retenaient à lui et il poussait, et poussait en elle.

Aucuns mots n’échappaient de la bouche de Suzie, son corps parcouru de frissons ne répondait qu’à l’appel de la bête en elle.

• — Je ne veux pas que ta chatte, suis sûr que tu apprécies la sodomie, je veux sentir mon gland ouvrir tes jolies fesses et m’y glisser jusqu’à ce que tu t’écroules de plaisirs
• — Attends! Ne fait pas ça! On ne m’a jamais prise ainsi! Ces paroles furent comme un éveil brutal à son plaisir.
• — T’inquiètes pas, je ne te ferai pas mal, c’est juré, mais j’ai trop envie de t’enculer pour laisser tomber, alors tu vas faire ce que je te dis et tout se passera bien.

Il la repositionna sur le lit, ses lobes bien soulevés, il fit glisser son membre dans sa chatte tendrement l’induisant ainsi de sa liqueur chaude et douce… quelques allées et venues et sa verge dégoulinait.

• — Maintenant, tu vas t’amuser aussi! Aller masturbe-toi.

Suzie comme une automate fit ce qu’il lui demandait et commença à se masturber doucement au début.

Comme elle sentait le feu qui allumait le fond de ses entrailles c’est à ce moment précis qu’il choisit de presser son gland sur son petit orifice et d’y entrer, elle s’arrêta d’un seul coup.

• — Non! Non! Continue à te branler, et laisses toi aller à ce plaisir, tu ne le regretteras pas!

Suzie recommença son petit jeu… et oublia presque qu’il la transperça de sa verge, d’un coup de rein il s’y retrouva jusqu’à la garde, ses bourses plaqués contre ses fesses.

• — Ha! elle gémit, la douleur avait été vive…

Doucement il la prenait, lentement il venait en elle… sa main s’activait sur son clitoris, elle sentait l’orgasme qui montait en elle et lui dit:

• — Pousse encore plus fort, prends-moi, c’est ce que tu voulais, m’enculer et bien gênes toi pas, fais-moi jouir!

Il ne se le fit pas dire deux fois, il la prit entrait en elle avec violence, elle criait qu’elle aimait sentir sa bite au fond de ses entrailles…

Richard accéléra son rythme et d’un seul coup de reins se colla à elle et tous les deux se trouvèrent pris d’un délicieux frissons Elle le sentait se vider en elle, et sa propre liqueur qui coulait entre ses cuisses… Il se retira et se laissa tombé à côté d’elle. Il l’embrassa doucement.

• — Tu es merveilleuse, tu es mieux que dans mes rêves!!!

Elle se blottit au creux de son épaule et y resta quelques minutes le temps de récupérer un brin.

Après cette aventure, ils se contactaient toujours, espérant la prochaine fois qu’ils se reverraient et surtout se promettant encore du bon temps…

Nous avons qu’une vie à vivre! Faut la vivre pleinement!

Suziexxx