n° 06875 | Fiche technique | 17424 caractères | 17424Temps de lecture estimé : 11 mn | 14/10/03 |
Résumé: Une femme mariée et son ami font une rencontre en vacances. | ||||
Critères: grp extracon fépilée fmast fellation cunnilingu anulingus fgode préservati pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Guigui |
Ouf ! J’ai terminé à temps mon boulot. Je passe vite fait aux toilettes me refait une beauté et je sors rapidement. Mon bureau est rangé, je prends mon sac, dit au revoir à mon patron et mes collègues et je suis enfin en vacances !! Il fait si bon que j’ai envie de danser sur le parking…
J’attendais ce jour avec impatience.
J’arrive la première à la maison, mon mari n’est pas encore là et les gosses sont avec mes beaux-parents en Bretagne, pour une partie des vacances.
Je les appelle pour avoir de leurs nouvelles, pendant que je suis au téléphone, il me vient l’idée d’essayer mon nouveau maillot de bain. Je me déshabille tout en parlant dans le combiné et me regarde dans la glace, je me trouve encore pas mal. Mes enfants me racontent leur journée, mais ils sont pressés d’aller jouer, je raccroche donc en les embrassant.
Je suis toujours nue devant la glace et je trouve que mon pubis est bien trop fourni. Je décide de raser quelques poils en trop, je suis si attentionnée par mon rasage que je n’entends pas mon mari entrer. Il me surprend en pleine opération, je cri et dérape avec le rasoir jetable.
Mon mari me regarde avec crainte. A-t-il peur que je me sois coupée ou a-t-il peur de mon courroux ? Je ne le saurai jamais, car les dégâts du rasoir prennent toute mon attention.
Pour atténuer le feu du rasoir, je mets une crème adoucissante. La sensation est …Bizarre, c’est la première fois que je suis entièrement épilée. Je me surprends à aimer cette sensation de douceur. Mes doigts et la crème glissent sur ma peau douce. Ce doux massage, devient une caresse qui peu à peu me crispe les muscles, augmente ma sensibilité. Je vais dans notre chambre. Je prends mon gode caché de tous. J’aime mon mari et notre vie sexuelle est épanouie, mais de temps à autre j’aime me caresser seule. Mes cheveux noirs et longs sont défaits.
Je peux me regarder dans la glace de l’armoire, je me sens cochonne. Mes yeux verts me regardent, ma peau mat contraste avec le couvre-lit clair. J’écarte mes longues cuisses, ma main caresse mon sexe doux, je me sens mouiller. De l’autre main je pince mes tétons, j’introduis un doigt dans mon vagin le ressort, et je caresse mon clito. N’y tenant plus je prends mon god, je le passe sur mon clito et quand ma mouille l’a bien lubrifié, je me l’introduis dans ma grotte. Je soupire, je sens le god me remplir, mes parois l’enserrent totalement. J’attends un peu de m’habituer à ce corps étranger puis, je commence de longs mouvements de va-et-vient. Je m’entends gémir, je me pince les tétons, me caresse les seins. Ma tête se balance de gauche à droite. Je me mords les lèvres et je continue mon va et viens. Soudain l’orgasme me tétanise et je crie mon bonheur dans un cri étouffé.
J’ai du mal à récupérer, ma respiration est longue à se stabiliser. Mon cœur bat la chamade, puis se calme. Je n’ai guère la force de me lever, mais il le faut. Je suis échevelé, j’ai encore les yeux vitreux, mais je me sens bien.
L’arrivée de la voiture dans la cour me sort de ma béatitude, je range tout en vitesse et m’habille.
Mon mari me trouve dans la salle de bain, je finis de m’habiller. La soirée est consacrée aux bagages et à notre itinéraire. À l’aube du jour suivant, nous chargeons la voiture, fermons la maison et partons sur les routes de France. Le voyage se passe bien. Nous roulons sans encombres et arrivons vers 16 heures. Sur place nous retrouvons Lydia. Elle passe ses vacances avec nous, suite à sa séparation, qui l’a plongée dans la solitude. C’est une collègue de travail avec qui je m’entends bien. Elle est plus petite que moi, les cheveux au carré. C’est une très jolie fille, souriante, agréable, et sensible. Cette séparation après coup lui a été bénéfique. Elle est splendide dans sa robe blanche.
Nous prenons possession des lieux, nous sommes ravis du cadre. Tout est conforme au catalogue de l’agence. Claude mon mari, décharge la voiture, il dépose les bagages et déclare qu’il va au bar pour une bière, il a soif le pauvre et je le comprends. Je défais les bagages, mais j’ai vite chaud, je décide de me mettre en maillot de bain. J’en suis à ôter mon string lorsque Lydia entre sans frapper.
J’enfile mon maillot de bain. Il est assez échancré, il me tient bien les seins. Je me sens bien et détendue.
Je termine de ranger mes affaires, mon mari qui est remonté me dit
Je frappe à la porte de Lydia, elle m’attend en lisant un magazine. Son maillot de bain se compose d’un string et d’un soutien-gorge qui cache très peu sa poitrine opulente.
Je la regarde et je la trouve belle.
Nous nous dirigeons sur la plage, le soleil est là, l’air est doux et chaud. Le bruit des vagues se mélange aux cris des baigneurs. Nous étendons nos serviettes au calme, la plage n’est pas bondée. Nous mous passons de la crème sur le dos.
Je me tourne vers eux et leur demande
Ils me font penser à deux crocodiles qui attendent leur proie…
Ils s’approchent de nous et se présentent. Pierre est le latin et Yves le plus nordique de deux.
Ils nous décrivent la vie nocturne des lieux. Ils s’arrangent aussi adroitement pour nous poser quelques questions qui nous situent un peu mieux à leurs yeux.
Nous apprenons qu’ils vivent et travaillent ici. L’un est notaire, l’autre possèdent une agence immobilière. Ils sont malgré leur côté macho drôles et sympathiques. Le temps passe vite, en leur compagnie mais nous devons prendre congé. Ils nous font promettre de se revoir, avant de nous quitter.
Les jours passent ainsi: plage, soleil, partie de pétanque, vélo occupent le plus clair de notre temps. Nous voyons souvent Yves et Pierre. Ils ont sympathisé avec Claude. Un soir, ils nous invitent à une soirée barbecue. L’apéro se joue à la pétanque, nous nous amusons comme des fous. Plus la soirée passe, plus je vois Claude qui s’enfonce dans les vapeurs d’alcool. Il bafouille plus qu’il ne parle et aime la terre entière. Mais plus tard ce qui devait arriver… Arriva, mon mari s’endort dans un transat avant la fin du repas. Je me sens un peu pompette moi aussi, et je me dis que Lydia a aussi le regard qui pétille. Pierre et Yves couvrent mon mari et après le dessert nous proposent de nous conduire en boîte.
Je n’ose pas laisser Claude. Mais Lydia me convainc de l’accompagner. Nous passons à l’hôtel nous changer. Pierre est dans ma chambre, il pense qu’il vaut mieux laisser Yves et Lydia un petit moment, j’adhère à son idée. Je vais me changer dans la salle de bain, je referme mal la porte, elle reste entrouverte. De sa place Pierre me voit de dos. Je me douche et au moment où j’essuie le miroir, je m’aperçois que Pierre n’a rien raté de mon anatomie. À ce moment là, je sais que j’ai envie de cet homme. Je le laisse me regarder, je prends mon temps, je me baisse plus que de coutume. Je passe un minuscule string, un top moulant et une jupe courte qui laisse voir mes jambes bronzées. Une fois habillée, je sors comme si rien ne s’était passé.
Nous arrivons en boîte Pierre et Yves saluent presque tout le monde, nous offrent le champagne. Nous dansons sur plusieurs style de musiques. Au moment des slows Pierre m’invite. Il me tient serrée. Ses mains sur le haut de mes hanches. Je sens son sexe qui durcit au fur et à mesure, il me regarde dans les yeux. Ses mains descendent sur mes fesses, il me caresse un peu puis se serre encore un peu. Sa main droite remonte sur ma hanche puis sous mon bras, avec son pouce il me caresse un sein, puis joue avec un de mes tétons qui se durcit à son contact. Un peu affolée je regarde Lydia, elle a les yeux fermés et embrasse Yves goulûment, elle ne peut me voir. J’écarte un peu les jambes, Pierre en profite pour y glisser son genou.
Tandis qu’il me dit cela sa main qui est sur mes fesses passe entre mes cuisses et un doigt caresse les abords de ma fente. Je serre les dents et murmure un oui profond. Je me sens trempée.
Nous quittons la piste de danse et partons avec Lydia et Yves dans une autre boîte. Yves conduit avec la tête de Lydia sur son épaule. Nous sommes derrière avec Pierre, il a mit sa main sur ma cuisse et remonte lentement. Avec un doigt il me caresse le clitoris, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Yves nous regarde dans le rétroviseur. Je m’en moque, j’ai trop envie d’être caressée pour me soucier de ma pudeur.
C’est dans un état de tension extrême que j’arrive en boîte. L’ambiance y est plus feutrée, nous avons droit à un salon privé et nous commandons une nouvelle fois du champagne. Pierre ferme le rideau. Lydia me regarde et me sourit.
Elle me murmure à l’oreille
Je suis tendue comme un arc. Je prends la main de Lydia et la mets sur ma chatte trempée. Je n’ai envie que de plaisir, je ne cherche même pas à comprendre ce qui m’arrive.
Lydia me caresse aussitôt, elle m’embrasse, sa langue s’enroule autour de la mienne. Elle quitte ma bouche pour me sucer les seins, elle agace mon clito avec son majeur. Je gémis. Lydia descend encore, je lève mon bassin pour qu’elle m’ôte ma culotte. Elle se jette voracement sur ma chatte et me lèche la fente, je me trémousse sur mon siége en gémissant. Pierre s’est levé il me présente son sexe
Je m’empresse d’enrouler mes doigts autour de sa verge. Je le branle un peu, il est dur comme du bois. Il a le sexe épais. Je le lèche, l’embrasse puis l’emboutit comme si c’était la chose la plus précieuse que je possède. Je lui suce les boules. De temps à autre je reprends ma respiration car Lydia me broute le minou de plus belle. Quant à Yves, il "doigte" Lydia qui s’est mis à quatre pattes, je crois même qu’il lui a mis un doigt dans le cul. La belle se trémousse sous la caresse.
Mon premier orgasme monte comme une vague qui roule sur la plage. Je le sens venir en moi, chercher une sortie et soudain exploser dans ma tête, je gémis longuement et m’arque boute sur le siège, je n’ai guère le temps de me reprendre que Lydia vient m’embrasser. Le pourtour de sa bouche est luisante de mouille. Elle me caresse les cheveux tout en me roulant une pelle d’enfer, puis elle me quitte pour sucer Yves. Je m’allonge vers Pierre qui est assis maintenant. Je reprends ma fellation tandis que Pierre me caresse doucement la nuque. Il semble apprécier ma bouche. Sa main passe derrière moi, et me caresse le dos, elle descend plus bas. Je tends mon cul pour que sa caresse soit plus vite sur mon sexe. Il m’introduit un doigt dans la chatte. Il me caresse longuement. Je soupire. Son majeur caresse mon clito. Il enduit son doigt de mouille et me lubrifie la rondelle. Je me tends encore plus, je suis folle, folle d’envie, j’ai envie de tout. C’est la première fois que cela m’arrive. Il mouille mon anus de plus en plus et appuie doucement. Son doigt rentre tout seul, j’aime ça, ça me rend hystérique.
Je l’embrasse à pleine bouche pendant qu’il me fouille le cul. Il se retire pour me glisser un doigt dans la chatte et un dans le cul. Il me lime avec ses deux doigts, je suis pendue à son cou.
Pendant ce temps Yves a couché Lydia sur l’autre sofa, il lui a relevé les cuisses et il lui bouffe la chatte et le cul. Je le pousse me mets à quatre pattes et prends sa place. Lydia est rasée comme moi, elle mouille abondamment. Je lui glisse deux doigts dans la chatte et lui aspire le clitoris. Elle grogne de plaisir en suçant Yves qui l’encourage
Pierre est à genoux derrière moi, je sens son sexe recouvert d’une capote contre le mien, il entre en plusieurs poussées avec douceur, j’apprécie ce geste galant. Il commence un va vient long presque douloureux tellement j’aimerai qu’il me prenne fort.
Nous avons atteint tous les quatre l’orgasme en même temps. Je me retourne et embrasse Pierre.
Au retour, Pierre et Yves portent Claude et le couchent dans notre lit.
Je rejoins Lydia, Pierre et Yves dans la chambre de cette dernière. Nos amis prennent congé non sans nous avoir prodigué quelques caresses.
Nous éclatons de rire ensemble. Et nous nous mettons au lit, pas aussi sagement qu’on pourrait l’imaginer.
Nous avons revu nos amis, mais ils sont restés très discrets. Puis la vie à repris son cours, sauf que je vois beaucoup plus souvent Lydia…Et que nous sortons quelques fois ensemble, parfois Claude vient avec nous mais ceci est une autre histoire…….