n° 06876 | Fiche technique | 14215 caractères | 14215Temps de lecture estimé : 9 mn | 14/10/03 |
Résumé: Ma collègue est bien sage, mais attention aux dérapages lors d'une rencontre avec ma femme. | ||||
Critères: ffh collègues fellation cunnilingu fdanus pénétratio | ||||
Auteur : Fanfanlabise (Homme marié et quelque peu libertin) Envoi mini-message |
Cela fait bientôt deux ans que nous voyageons ensemble avec Christine et c’est toujours avec grand plaisir que nous nous retrouvons sur le quai du train le soir en sortant du travail.
Christine est une petite brunette qui me fait de plus en plus d’effet par le charme qu’elle dégage, non pas vraiment par son physique mais par sa personnalité.
C’est une fille mystérieuse quant à sa vie sentimentale mais je sais sans lui avoir ouvertement demandé, qu’il n’y a aucun homme dans sa vie. Allez donc savoir pourquoi ?
J’aime à la belle saison la voir revêtir des jupes qui me laissent entrevoir ses cuisses lorsque nous sommes assis l’un en face de l’autre. Je ne me cache pas non plus pour regarder, et je m’amuse alors à provoquer chez elle des gestes de fausse pudeur doublés le plus souvent d’un sourire.
Nous avons alors des discussions sur la féminité, et la manière qu’ont les femmes d’afficher leur sensualité. Je sais maintenant que ce type de discours ne la gêne pas avec moi, et bien au contraire elle en rajoute.
Je me suis surpris plus d’une fois à rêver que je tendais la main jusqu’à sa cuisse sans jamais oser passer à l’acte. Je sais que ce geste risquerait de détruire cette confiance entre nous et tous mes fantasmes s’effondreraient du même coup.
Ce vendredi soir, je décide de franchir le pas et d’aller un peu plus loin dans cette relation en lui proposant de passer à la maison. Mon épouse fut surprise de me voir accompagné et je fis les présentations. Clara eut un large sourire lorsqu’elle entendit « Salut c’est moi, Christine est avec moi » car même sans mettre un visage sur ce nom, elle savait très bien les désirs secrets que je nourrissais.
Clara aussi est pleine de fantasmes et les femmes ne la laissent pas indifférente, et surtout lorsqu’elles me plaisent également. Nous avons entre nous cette complicité qui rend les choses du sexe faciles et qui fait qu’elle devine aisément mes arrières pensés.
Je fais les présentations le plus naturellement du monde, Clara adopte un large sourire qui lui est immédiatement rendu et elle est visiblement heureuse de cette visite impromptue.
Nous installons Christine le plus confortablement possible, Clara à ses côtés de façon à faire plus facilement connaissance. Mon épouse est très à son aise et visiblement s’entend à merveille avec notre visiteuse.
Christine fait partie de ces personnes avec lesquelles on se sent bien dès les premiers instants et les voir toutes les deux discuter comme deux vieilles copines me remplit de joie. Je me contente pendant de longues minutes, à faire le service en les écoutant, je passe les verres, les remplis lorsqu’ils sont vides, et je commence à penser que ce serait très agréable si notre amie acceptait de rester chez nous pour le dîner.
Allez, je me lance :
Christine marque quelques instants d’hésitation.
Je m’y attendais, et j’avais déjà pensé à un contre. La raccompagner en voiture aurait pu constituer une solution mais après quelques verres, ce n’était pas raisonnable. Après tout nous avons de la place chez nous pour coucher une personne de plus et même deux.
Elle semble gênée par cette proposition et c’est Clara qui finit par avoir le dernier mot avec un grand sourire en guise d’approbation.
J’avais gagné la première manche et j’ai maintenant tout mon temps pour faire monter la température.
Lorsque les verres furent vidés, Clara s’excusa et alla se rafraîchir dans la salle de bain.
A son retour, ma femme est très sexy dans une tenue qui met bien en valeur ses jambes et la rondeur de ses seins.
Je pense que tout le monde commence à être un peu grisé par l’apéro et nous affichons tous les trois de larges sourires une fois réunis autour de la table. Les quelques plats simples puisque concoctés dans l’urgence défilent, la bonne bouteille de Bordeaux à pris une sérieuse claque alors que Clara ne boit d’habitude que très peu de vin et la discussion oscille du sérieux à l’humour.
Il est grand temps de quitter la table, nous débarrassons vite fait et nous nous installons comme tout à l’heure. Pourtant il me semble que quelque chose a changé depuis, est-ce l’humeur plus joyeuse, ou tout simplement la nuit qui est tombée ? L’ambiance il est vrai, est plus chaude par un éclairage discret invitant presque à l’érotisme.
Je n’y tiens plus, et me voilà en train de sortir ma première bêtise de la soirée :
Je sors l’appareil de son tiroir et je commence à faire une photo…
C’est un instant magique, Christine prend la main de Clara et le simple bisou se transforme en l’espace d’un instant, en baiser enflammé sur les lèvres. Je suis suspendu à ma photo, incapable de faire quoi que ce soit avec cet objet entre les mains qui désormais m’encombre et que je ne tarde pas à poser sur la commode.
C’est un grand moment de silence, je ne peux que regarder sans oser intervenir de peur de troubler cet instant audacieux, lorsque soudain la voix de Clara me rappelle à la réalité !
Cette invitation est une joie et je m’assoie à une certaine distance en laissant notre amie entre Clara et moi.
Elles n’ont pas attendu longtemps pour commencer une séance de caresses sous les vêtements et je décide de laisser faire, me contentant de regarder et d’attendre la suite. Je me sens admis, mais en aucun cas maître du jeu alors je me délecte de cette vision torride en adoptant une attitude totalement passive même si ma tête est en ébullition et sur le point d’exploser.
C’est fou de constater à quelle vitesse les événements s’accélèrent lorsque le pas est enfin franchi. Il suffit d’un instant d’égarement, un instant où l’on fait un acte qui dépasse l’entendement pour que tout bascule.
Christine allonge sa tête sur mes genoux et Clara dégrafe un à un tous les boutons de son corsage. Maintenant que Christine m’a fait signe d’allégeance, je ne puis que laisser mon instinct faire ce qu’il me dicte. Mes mains se promènent sur son visage, son cou, sa poitrine avec toute la douceur dont elles sont capables. Sa peau est aussi douce que je l’imaginais et je suis impatient de voir Clara dénuder les seins que l’on devine bien ronds sous les bonnets de son soutien-gorge.
D’une main maladroite Christine tente de déboutonner Clara qui de sa main restée libre l’aide à parfaire son ouvrage.
Impatient, et après de longues minutes à caresser la dentelle et à passer puis repasser sur les tétons durcis de ses seins , je me faufile enfin jusqu’à l’agrafe du soutien-gorge de Christine et la fait sauter. C’est merveilleux, je peux enfin glisser mes mains dessous et sentir cette peau si agréable au toucher. Je commence à bander vraiment dur devant ce spectacle, à tel point que la tête de Christine posée sur mes genoux me gêne, et je dois me décaler pour être enfin à mon aise.
La jupe de Christine est totalement ouverte sur le côté et ne demande plus qu’à tomber. Elle se laisse faire, elle semble s’abandonner totalement sous nos caresses touchant de sa main ce qu’elle rencontre comme une cuisse, un bras, un sein…
Elle ouvre les jambes instinctivement pendant qu’une main glisse sur sa cuisse. C’est celle de Clara qui entreprend de découvrir la moiteur de sa culotte.
Clara me regarde d’un air complice qui m’invite à suivre le même trajet qu’elle. Christine a une jolie culotte très sexy, bleu clair tout comme le soutien-gorge déjà tombé sous nos assauts. On y devine une large tache humide, qui témoigne de ce qu’elle est en train de ressentir. Je passe mes doigts dessus, frôle, appuie, nous la voyons se crisper, les yeux clos, et émettant un petit râle discret de plaisir.
Je suis très bien placé pour glisser la main dans sa culotte qui laisse entrevoir une petite touffe brune bien régulière. Ma main s’aventure, passe l’élastique, rencontre ses poils, et au moment même où elle atteint le haut des lèvres de son sexe, Clara fait glisser la culotte le long de ses cuisses.
C’est l’extase, Christine est entièrement nue sous nos yeux et Clara finit d’enlever les derniers vêtements qui sont encore sur elle, pendant que je m’affaire à faire tomber les miens.
Nous ne sommes pas très bien sur ce canapé et après nous être consultés, je prends Christine dans mes bras et la transporte dans notre chambre.
Elle et surprise que je la porte et son sourire me fait comprendre que cela rajoute à son plaisir. Je la pose délicatement sur le lit et nous la rejoignons.
Nous avons plus de place et Christine change son attitude. Elle était très excitée et bien décidée à nous rendre avec force toute la jouissance dont elle est l’objet.
Son premier geste est pour moi en avalant mon gland et en me massant les couilles d’une main douce que je n’aurais jamais imaginée aussi vicieuse que délicieuse.
Elle est à quatre pattes et pendant qu’elle s’occupe de me faire durcir encore un peu plus, elle présente son cul à Clara qui n’en fait qu’une bouchée. Au bout d’un moment je fais comprendre à Christine que ce serait bien de changer si nous voulons qu’il me reste quelques forces pour la suite.
Bien décidé de lui rendre le plaisir qu’elle vient de me faire, je la fais s’allonger car j’ai hâte de savourer son minou d’amour. C’est avec Clara que je dois compter, elle s’installe au-dessus de Christine, le minou bien dégoulinant au-dessus de son visage et me regarde lécher la fente de notre petite chérie qui commence sérieusement à se dandiner dans tous les sens.
Elle aussi lèche goulûment la fente de Clara, que j’entrevois se pincer les lèvres sous l’effet du plaisir qui monte.
Notre Christine semble totalement abandonnée à la jouissance. Je sens de ma main disposée sous ses fesses, son jus qui coule littéralement et lubrifie jusqu’à son cul.
Clara prend le relais de sa langue avide, et maintenant ce sont avec mes doigts, que je fouille sa chatte tout en me caressant le sexe de ma main libre.
L’un de mes doigts caresse son anus depuis quelque minute et je l’enfonce doucement dans son petit trou.
Je peux deviner que Clara est, elle aussi en train de se faire fouiller le vagin pendant qu’une langue lui parcourt la fente.
Le résultat ne se fait pas attendre, c’est Christine la première qui se raidit, elle est secouée de spasmes et je sens ses orifices se contracter sur mes doigts plusieurs fois avant qu’elle ne se relâche.
Clara suit dans la foulée, sans doute stimulée par l’orgasme que venait d’avoir Christine.
Elle s’effondre sur Christine, le minou collé à sa bouche et la tête plongée entre ses cuisses.
Le temps de souffler quelques minutes :
Dans mon état d’excitation je ne vais pas être long à me vider.
Clara s’installe sur moi, Christine attrape mon sexe, le suce un peu et le guide jusque dans la chatte de Clara.
Elle me caresse les couilles pendant que je m’enfonce profondément dans mon épouse et c’est divin.
Christine prend la place de Clara, ma bite glisse le long de ses fesses jusque dans l’ouverture de son sexe. Dès le début, je sens qu’elle me serre énormément le gland et néanmoins je rentre en elle sans effort avec une sensation sublime.
Christine semble adorer, elle se met à provoquer des va-et-vient que j’amplifie à ma guise.
Je ne tarde pas à ressentir les prémisses de l’orgasme, je ne peux plus m’arrêter et je jouis en elle avec elle.
Nous sommes restées de longues minutes ainsi emboîtés avec Clara tout contre nous en train de nous masturber.
Je ne sais pas si nous avons beaucoup dormi cette nuit-là mais une chose est sûre, nous ne nous sommes pas arrêtés là.