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n° 06878Fiche technique80653 caractères80653
Temps de lecture estimé : 43 mn
14/10/03
corrigé 30/05/21
Résumé:  Fulvia attire son jeune amant avant que celui-ci se rende à son travail et l'oblige à lui faire l'amour...
Critères:  fh fplusag fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Salvatore  (Homme cinquantaine follement amoureux de "La Femme")      
Ardeurs matinales




Fulvia se réveilla soudain sans que le radio-réveil réglé sur six heures n’ait vibré. La première chose qu’elle se rendit compte en dehors de l’obscurité qui régnait dans sa chambre, c’est de l’étrange émoi sexuel qui lui humidifiait la vulve. Surprise de se retrouver dans le noir elle alluma sa lampe de chevet pour lire l’heure sur le cadran de son radio-réveil. Quatre heures lui indiqua l’afficheur digital ; Encore deux heures avant d’atteindre l’heure à laquelle elle se levait pour se préparer avant de rendre à son travail.


Éteignant la veilleuse, la jeune femme se pelotonna sous les draps, étonnée de s’être réveillée sitôt, mais surtout extrêmement troublée de sentir le désir lui tarauder le bas-ventre la faisant mouiller abondamment. Du plus secret de son vagin bizarrement en fusion une chaude liqueur en sourdait imbibant ses grandes lèvres sexuelles comme au soirs de ses plus forts désirs, lorsque dans le secret de son lit elle calmait le brasier qui lui consumait le bas-ventre, soit à l’aide de ses doigts devenus experts dans l’art des palpations, soit à l’aide de l’un de ses innombrables godemichés. Alors, les images de son rêve lui revinrent peu à peu en mémoire : dans ce rêve étrange et terriblement érotique, Guillaume son jeune voisin et nouvel amant depuis la veille lui faisait l’amour.


Avec émotion Fulvia se souvint que dans ce songe insolite, elle se trouvait à genoux entièrement nue au centre de la cuisine, qui la veille avait accueilli ses débauches sexuelles. Ses seins volumineux, du fait de leurs poids, ballottaient doucement sous elle, s’entrechoquant mollement. Guillaume, son jeune amant s’était également agenouillé derrière elle, face à ses fesses rondes et larges et qui se tendaient dans une offrande des plus érotique du fait de sa position. L’ayant fermement saisis par les hanches, le jeune homme lui avait enfoncé son long membre viril dans la chatte, la perforant profondément. Avec des grognements de contentement il lui avait alors pistonné le vagin avec frénésie, la secouant rageusement mais lui procurant une indicible volupté. Chaque coup de boutoir que ce dernier assénait à sa croupe rougie par les chocs répétés la projetait en avant, l’obligeant à avancer à quatre pattes sur le sol carrelé.


Mais à se remémorer ainsi les scènes érotiques de son rêve ne fit qu’accroître chez l’ardente italienne le brasier qui lui consumait les entrailles, et devant cet afflux de sécrétions bouillonnantes qui lui inondait la vulve et lui irradiait le sexe, elle s’empressa de glisser une main entre ses cuisses moites, cherchant à atteindre l’épicentre de son plaisir. Immédiatement son majeur habitué à de telles explorations trouva son clitoris effrontément dardé, petite excroissance de chair à la jointure de ses grandes lèvres sexuelles. Frissonnante de délice à la pensée du plaisir qu’elle allait s’octroyer, Fulvia entreprit alors de se branler adroitement, comme elle le faisait si souvent depuis quelques temps. Du bout du doigt, elle commença par agacer son bouton de chair érogène, se procurant de longs frissons voluptueux qui lui irradiant le bas-ventre se propageaient par ondes successives dans ses reins et dans sa lourde poitrine, faisant gonfler ses vastes mamelons.


Se calant confortablement sur le dos, jambes largement écartées, genoux repliés, comme si elle s’offrait à un amant invisible, l’invitant à venir s’installer entre ses cuisses moites de désir, la sensuelle italienne entreprit alors de se caresser intimement afin d’apaiser le brasier qui lui consumait le vagin. Réunissant son index à son majeur de la main droite elle les enfonça profondément à l’intérieur de sa faille sexuelle veloutée et ruisselant d’un nectar onctueux. Dans un souple mouvement du poignet, elle se pistonna la vulve, faisant coulisser ses deux doigts accolés à l’intérieur de ses replis charnels gorgés de jus ; tachant par ce subterfuge de calmer ses sens affolés et de ce fait de se procurer un certain apaisement sexuel.


Longuement dans l’obscurité et le silence de sa chambre, Fulvia se masturba sensuellement, lentement, dans un va-et-vient tout en douceur de ses doigts englués, se plaisant à maintenir son désir en l’état où il était. De fréquentes vagues de plaisir lui parcouraient cependant le corps, lui procurant une sublime jouissance.


Alors que sa main droite s’activait entre ses cuisses grandes ouvertes, la jeune femme remonta la gauche jusqu’à sa lourde poitrine, que la position étendue écrasait mollement, pour la caresser, la palper fiévreusement. Passant d’un sein à l’autre, elle agaça ses tétons qu’elle fit rouler en les écrasant sous sa paume, avant de les saisir entre le pouce et l’index pour les pincer délicatement tout en les tirant, étirant par ce fait ses volumineuses mamelles aux mamelons gonflés.


Se laissant emporter par le plaisir qui insidieusement devenait de plus en plus intense à l’intérieur de ses entrailles liquéfiées, Fulvia songea à se lever pour aller chercher un de ses innombrables godemichés rangés sous ses vêtements intimes dans un des tiroirs de sa commode. Mais pour cela il aurait fallu qu’elle cesse de se branler, et étant par trop avancée dans son plaisir solitaire elle n’eut pas le courage d’abandonner sa sensuelle caresse. Au contraire, sentant la jouissance enfler dans son bas-ventre, elle accéléra le va-et-vient de ses doigts à l’intérieur de sa chatte transformée en un véritable cloaque. Un affolant bruit de clapotis s’élevait d’entre ses cuisses écartées et crevait le silence nocturne de la chambre, rendant sa masturbation encore plus excitante.


Percevant la montée du plaisir à l’intérieur de son sexe en ébullition, Fulvia cessa de se triturer les seins qu’elle pressait fébrilement depuis un moment, pour glisser sa main gauche sur son pubis à l’abondante toison crépue. Là, elle la laissa descendre jusqu’à la fourche de ses jambes pour atteindre la commissure de ses grandes lèvres sexuelles entre lesquelles son index et son majeur de la main droite allaient et venaient dans un rythme souple et de plus en plus rapide. Habituée à ce genre d’attouchement du fait de son célibat forcé, la jeune femme n’eut pas à tâtonner pour trouver rapidement son clitoris déjà fort érigé hors de son nid douillet. Aussitôt alors que le plaisir l’envahissait irrémédiablement, elle frotta son majeur gauche sur son bouton d’amour orgueilleusement gonflé, se procurant une puissante vague de plaisir qui tel un raz de marée la submergea toute.


Polarisant sa pensée sur son séduisant voisin qui était devenu son amant quelques heures plus tôt et surtout sur sa prodigieuse virilité qui lui avait procuré une telle volupté, Fulvia accéléra le va-et-vient de ses deux doigts accolés à l’intérieur de sa chatte transformée en un véritable lac interne, tandis que de l’index de sa main gauche elle s’acharna sur son clitoris dardé et fort irrité. Des flammes brûlantes lui parcoururent les entrailles, la faisant se cambrer frénétiquement sur sa couche, comme si tout son corps avait été traversé par un puissant courant électrique.


Le bas ventre complètement embrasé par les langues de feu qui le traversait, Fulvia éprouva le besoin de jouir le plus rapidement possible afin d’éteindre ce brasier qui lui consumait le vagin. Se saisissant de son traversin elle le plaça entre ses cuisses parcourues de spasmes nerveux avec lesquelles elle le serra fortement avant de pivoter rapidement sur elle-même afin se retrouver à plat-ventre sur son lit. Alors comme si elle avait chevauché son jeune amant, elle agita vivement ses hanches et sa croupe rebondie, frottant rageusement sa vulve gorgée de miel onctueux contre le polochon, irritant presque son clitoris exacerbé contre le tissu de l’oreiller. Bloquant frénétiquement le traversin contre son ventre parcouru de spasme voluptueux, elle le chevaucha longuement, essayant de s’imaginer qu’elle faisait l’amour à son jeune amant :



Sous le frottement incessant de son bouton d’amour dardé contre la toile du polochon, la sensuelle italienne ne tarda pas à ressentir les prémices de la jouissance. Une houle puissante et totalement incontrôlable vint agiter son bas-ventre, tandis qu’un feu intérieur lui dévorait les entrailles. Emportée par les vagues de plaisir qui lui parcouraient les reins, la jeune femme, dont la vulve en feu débordait de lave incandescente accéléra encore les frottements de sa chatte ruisselante contre l’oreiller. Très vite un invincible orgasme l’envahit, la tétanisant des pieds à la tête, la cambrant brusquement sur son lit. Le visage enfoui dans les draps, elle laissa échapper les râles de volupté que lui arrachait la magistrale jouissance.


Haletante, brisée, la jeune femme demeura ainsi immobile, serrant convulsivement son oreiller contre son ventre agité de contractions, appréciant cet instant merveilleux qui suit l’orgasme où plus rien ne compte, où tout son corps semble flotter dans un univers irréel. Et c’est dans cette position, chevauchant le polochon humide de ses sécrétions vaginales que le sommeil s’empara d’elle.



Lorsque la sonnerie du réveil résonna dans le silence de la chambre, tirant Fulvia des bras de Morphée, la jeune femme à demi somnolente demeura d’abord étonnée en constatant qu’elle tenait serré son traversin entre ses jambes et ses bras, l’enlaçant fiévreusement comme s’il s’était agi d’un amant imaginaire. Puis se réveillant totalement, elle se remémora sa nuit agitée suite à ses rêves particulièrement érotiques. Troublée par cette épreuve, elle se leva sans bruit, afin de ne pas réveiller son père handicapé qui dormait dans la chambre voisine, et filant jusqu’à la salle d’eau elle entreprit de faire sa toilette matinale.


Installée sous la douche tiède, Fulvia ne pouvait empêcher son esprit d’analyser ce rêve particulièrement affolant sexuellement qui l’avait poussé à se caresser jusqu’à l’orgasme libérateur au beau milieu de la nuit. Avec émotion elle songea aux instants voluptueux passés avec Guillaume son si séduisant voisin, et nouvel amant. Après plusieurs mois d’abstinence forcée, le jeune homme avait déclenché en elle une formidable jouissance qui avait comblé ses sens torturés par une trop longue chasteté. Mais ce qu’elle avait particulièrement apprécié chez ce garçon beaucoup plus jeune qu’elle, c’est la douceur avec laquelle il lui avait fait l’amour, la tendresse qu’il avait déployée pendant tout le temps qu’il l’avait prise, la laissant le chevaucher comme elle le désirait. C’est vrai qu’une fois qu’elle avait attiré le garçon chez elle, elle l’avait pratiquement violé, ne lui laissant pas tellement l’initiative des opérations, mais malgré cela Guillaume s’était comporté en amant prévenant, retardant au maximum son propre plaisir pour lui procurer une magistrale jouissance.


Tout en songeant à son jeune amant, Fulvia avait continué à savonner son corps aux courbes sensuelles, passant et repassant le gant de toilette savonneux sur ses seins volumineux, s’attardant sur ses larges mamelons bistres au centre desquels ses tétons s’étaient lentement érigés. Une étrange sensation de bien être au niveau de sa poitrine ramena la jeune femme à la réalité. Constatant avec étonnement que le désir avait de nouveau envahi ses entrailles, elle laissa descendre une main curieuse le long de son ventre ruisselant d’eau, qu’elle glissa entre ses cuisses. Là elle tâtonna d’un doigt inquisiteur entre les grandes lèvres de sa vulve afin de constater l’intensité de son désir. Elle ne fut qu’à demi-surprise en constatant que son bouton de chair émergeait fièrement de son nid d’amour, dans l’attente d’une caresse précise.


Frottant délicatement du bout du doigt son clitoris érigé, Fulvia tenta de comprendre ce qui lui arrivait, de s’expliquer cette soudaine recrudescence du désir dans son corps qui habituellement la laissait tranquille plusieurs semaines après une aventure amoureuse, avant de réclamer de nouveau sa part de sensualité. Or depuis la veille ses sens ne cessaient de l’agresser, sollicitant un apaisement qu’elle ne réussissait pas à leur accorder malgré les nombreuses caresses qu’elle se dispensait. Suite à ces instants de volupté qu’elle avait réussi à s’octroyer la veille, après un interminable jeun sexuel, quelque chose d’inhabituel s’était déclenché en elle. Tel un cancer lui rongeant les entrailles le désir avait pris possession de ses organes ; au point que quelques heures après s’être fait jouir sur sa couche, ses sens réclamaient un nouvel apaisement qu’elle savait ne pouvoir leur donner. Si son esprit ne pouvait oublier son jeune amant qui lui avait prodigué une si grande joie, son corps, et plus particulièrement son vagin réclamait la présence de ce merveilleux membre viril qui l’avait si agréablement fouillé.


Affolée par ce feu interne qui de nouveau embrasait son sexe, Fulvia songea aux moyens d’éteindre ce brasier qui lui consumait les entrailles. Certes dans un des tiroirs de sa commode se trouvait sa collection de godemichés, mais vu l’état de tension dans lequel se trouvait son vagin, la jeune femme réalisa que ses artifices sexuels de plastique ne réussiraient pas à apaiser ses sens en ébullitions ; seul le membre viril de Guillaume pourrait parvenir à étancher l’abondante source qui bouillonnait dans les replis de sa vulve.


Une idée soudaine germa dans l’esprit enfiévré de la volcanique jeune femme. Elle savait pour l’avoir déjà épié à plusieurs reprises derrière son judas, que Guillaume quittait son logement autour des six heures et demi pour se rendre à son travail. Si elle réussissait à l’attirer chez elle, comme elle l’avait fait la veille, au moment où il descendrait l’escalier, elle savait qu’elle n’aurait pas grand mal à forcer le jeune homme à lui faire l’amour et de ce fait, calmer ce brasier qui la consumait. Sitôt sa décision prise, Fulvia coupa l’eau de la douche, puis essuyant son corps tourmenté par l’ardent désir qui le faisait frémir, elle se précipita dans sa chambre pour y choisir la tenue avec laquelle elle avait l’intention d’accueillir son jeune amant.


. . . . . . . . .


A l’étage au-dessus, Guillaume s’était réveillé au son de la musique de « RTL 2 » sur lequel son radio-réveil était réglé. Après un moment de semi-conscience, le jeune homme réalisa qu’il était l’objet, comme souvent cela lui arrivait au réveil, d’une phénoménale érection. Amusé par cet état, il porta une main curieuse en direction de son bas-ventre pour saisir son membre viril raide et superbement gonflé. Fier de son arrogante virilité matinale, il laissa coulisser ses doigts refermés en anneaux autour de sa verge fièrement bandée, repoussant voluptueusement son prépuce mobile, libérant son gland dilaté. Confortablement allongé dans la tiédeur des draps le jeune homme commença alors à se masturber lentement, dans un mouvement nonchalant du poignet en laissant sa pensée vagabonder, songeant à sa sensuelle voisine dont il était devenu l’amant la veille.


Vingt-quatre heures plus tard, le jeune homme n’en revenait toujours pas de la chance qu’il avait eue de voir son fantasme se réaliser. Depuis plus d’un an qu’il habitait cet appartement, il ne s’était pas passé un jour sans qu’il ne croise cette femme aux charmes certes opulents, mais tellement sensuels ; depuis ses hanches larges et évasées, sa croupe joliment rebondie et surtout sa lourde poitrine qui tendait d’une manière infiniment alléchante les corsages qui la cachaient, tout dans ce corps féminin bien en chair l’attirait. Bien qu’ayant atteint la quarantaine sa sensuelle voisine possédait ce charme que seules les femmes mûres possédaient. Même si l’âge l’avait quelque peu enveloppé ; Guillaume comme beaucoup d’homme était attiré par ce genre de femme mature bien en chair, dont chaque mouvement, chaque geste témoignaient de leur sensualité.


Dès qu’il l’avait rencontré sa sensuelle voisine pour la première fois, Guillaume avait ressenti un désir insensé pour cette femme aux formes épanouies : elle gravissait l’escalier devant lui et le jeune homme avait pu suivre à quelques centimètres de ses yeux le balancement affolant de sa croupe ronde et haute que moulait avec précision affolante une jupe courte et étroite. Si étroite que le jeune homme avait pu discerner les contours du slip qui se dessinaient en relief sous le tissu tendu. Pendant tout le temps que dura la montée de l’escalier, Guillaume n’avait pu détacher son regard de l’affolant postérieur féminin qui tel le balancier d’une horloge oscillait de droite à gauche, dans un balancement terriblement érotique.


Arrivée au premier étage où elle habitait, la jeune femme s’était retournée pour le fixer avec un sourire complice, si bien que Guillaume s’était demandé si la perverse n’avait pas exagéré volontairement le balancement de ses hanches afin de l’exciter et peut-être l’inviter à se montrer plus entreprenant. Depuis ce jour le souvenir de cette croupe émouvante n’avait cessé de le hanter, lui faisant même regretter de n’avoir pas ce jour-là tenter sa chance. Plus d’une fois la vision de sa voisine aux appâts généreux était venue hanter ses nuits, laissant des traces suspectes sur ses draps le matin.


Mais l’heure avançant inexorablement, Guillaume abandonna sa douce masturbation pour se lever et effectuer sa toilette. Son petit déjeuner avalé, il quitta enfin son logement pour se rendre sur le chantier où l’attendait son « tracto-pelle». Mais comme il atteignait le premier étage, encore sous le coup de son excitation matinale, il ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil en direction de l’appartement de son ardente voisine et amante depuis la veille. Étonné, il constata que la porte était entrebâillée et comme il allait passer devant, il aperçut dans l’entrebâillement de l’huis entrouvert, le visage de Fulvia qui semblait l’épier. Comme il ralentissait le pas surpris, une des mains de la jeune femme apparut, lui faisant signe de s’approcher. Tout heureux de l’initiative érotique de sa sensuelle partenaire, il s’empressa de franchir la distance le séparant de sa fougueuse maîtresse.

A peine eut-il pénétré dans le corridor, que Fulvia referma précipitamment la porte et se colla étroitement à lui :



Comme la femme s’était étroitement collée à lui, pareil à un pied de lierre autour d’un arbre, Guillaume posa ses deux mains sur les hanches féminines évasées qui s’agitaient en ondulations voluptueuses contre son bas-ventre. Immédiatement il sentit sous ses doigts impatients crisser la fine texture du vêtement qui recouvrait les appâts rebondis de sa maîtresse. Tirant doucement le délicat tissu à lui, il devina très vite sous ses paumes la chair tiède et élastique des fesses rondes et étonnamment fermes de sa partenaire.


Sous cet attouchement qui la fit vibrer, Fulvia laissa échapper un petit gémissement en se collant encore plus étroitement contre son jeune compagnon, écrasant le membre viril gonflé de ce dernier avec son pubis bombé.


Pris du désir soudain de contempler son ardente maîtresse, Guillaume repoussa doucement cette dernière de son corps, la plaquant contre le mur du corridor où il la maintint à bout de bras, afin de l’examiner à son aise. Ce qu’il découvrit le ravi au plus haut point, accentuant un peu plus le désir qui l’avait saisi au contact du corps chaud et langoureux de son impétueuse maîtresse : Celle-ci portait une mini-chemise de nuit extrêmement courte et si vaporeuse qu’elle en était translucide.


La gorge nouée par ce qu’il distinguait Guillaume fixa la jointure des cuisses charnues de sa partenaire où une abondante toison noire et bouclée moutonnait, recouvrant la totalité du pubis et une partie du bas-ventre en un pelage ample. La nuisette était retenue sur les épaules rondes de la femme par deux larges bretelles de dentelle rouge qui se terminaient en un décolleté en carré qui laissait entrevoir une bonne partie des lourdes mamelles à la chair brune, entre lesquelles une croix en or scintillait au bout d’une fine chaîne. Les larges mamelons bistres étaient si mal protégés par le tissu diaphane que Guillaume s’aperçut immédiatement de la raideur des bourgeons de chair qui se dressaient déjà orgueilleusement :



Bien que sachant pertinemment qu’elle n’avait rien d’une Miss France avec son corps aux formes un peu trop généreuses et que ce compliment était surtout dû à l’ardent désir que ses généreux appâts faisaient naître chez le jeune homme, Fulvia accepta néanmoins l’éloge avec un certain plaisir. Sous le regard concupiscent avec lequel Guillaume la détaillait, elle perçut dans ses reins arqués, un long frisson de volupté, tandis que dans les tréfonds de son sexe la source chaude qui lui humidifiait la vulve s’accrue subitement. Impatiente de sentir contre son corps le corps musclé de son jeune amant, elle tenta de se coller de nouveau contre lui. Mais avant qu’elle ait pu faire un mouvement, Guillaume, d’un geste plein de douceur avait repoussé les bretelles de sa nuisette diaphragme de ses épaules rondes. La fine lingerie glissa doucement le long de son corps avant de s’écrouler à ses pieds.


Entièrement nue, le corps parcouru de frissons sensuels, les seins douloureux, le bas-ventre frémissant, le sexe brûlant de désir, Fulvia fixa son jeune amant dans une invite langoureuse :



Béat d’admiration, statufié, Guillaume ne pouvait détacher ses yeux du corps terriblement voluptueux de son ardente maîtresse. Tout chez la pulpeuse italienne lui plaisait ; les épaules rondes et veloutées, l’opulente poitrine qui du fait de son ampleur tombait mollement sur le torse étroit, lui donnant encore un peu plus de volume ; la taille quoique légèrement empâtée faisait encore illusion du fait des hanches larges en forme d’amphore qui l’affinait, le ventre délicatement arrondi se couvrait d’une pilosité si touffue que Guillaume songea en la fixant à une fourrure d’astrakan, qui prenant naissance à quelques centimètres au-dessous du nombril bien dessiné, se perdait en une pointe bouclée entre deux cuisses charnues, véritables colonnes de chair supportant le temple de la féminité.


Incapable de résister plus longtemps à l’envie qu’il avait de palper les lourds fruits de chair qui oscillaient doucement, comme pour l’inviter à venir les palper, Guillaume s’empara avec émotion des lourdes mamelles gonflées et à la texture si moelleuse, sur lesquelles il referma ses doigts. Le cœur battant, il pressa voluptueusement les masses chaudes et élastiques, les caressant à pleines paumes, les soupesant, les resserrant l’une contre l’autre, leur donnant la forme d’un cornet de glace surmonté de ses deux boules. Habilement il entreprit d’agacer les tétons qui se dressaient fièrement au centre de leurs aréoles granuleuses, les pinçant délicatement entre ses doigts refermés en pince.


Sous cet attouchement terriblement excitant, Fulvia gonfla sa poitrine afin de mieux offrir ses seins dilatés aux mains habiles qui les trituraient si sensuellement. Une douce chaleur prenant naissance au plus intime de ses mamelons boursouflés, se répandait dans tout son corps, provoquant d’interminables frémissements au creux de ses reins et une douce chaleur dans son bas-ventre. Entre ses cuisses, un véritable ruisselet s’écoulait maintenant de sa chatte palpitante. Désirant alors sentir sur ses mamelons douloureux une caresse plus délicate, elle quémanda d’une voix plaintive :



Ne demandant pas mieux, le désirant aussi fort que sa compagne exaltée, Guillaume se pencha sur l’un des seins énormes et gonflés de sève de la belle italienne. Jamais encore lors de ses quelques aventures amoureuses, il n’avait contemplé une telle poitrine, forte, opulente, lourde mais ferme malgré tout. Avec délectation il saisit le téton déjà durement raidi entre ses lèvres. Retrouvant ses instincts de nourrisson, il entreprit de téter sa sensuelle amante, s’acharnant voluptueusement sur le bourgeon de chair, le pinçant entre ses lèvres avant d’aspirer le mamelon boursouflé dans sa bouche gourmande, comme pour en extraire le lait nourricier. Maintenant les deux globes de chair rapprochés l’un de l’autre, emprisonnant entre eux la fine croix dorée, il passa d’un téton à l’autre. Aspirant et suçant alternativement les bourgeons de chair durcis par le plaisir, il réussit à arracher des petits gémissements de bonheur à sa compagne, qui les mains crochetées dans ses cheveux lui appuyait fermement le visage contre ses lourdes mamelles gonflées, l’encourageant à poursuivre sa voluptueuse caresse.


Profitant que sa volcanique amante se cambrait toute afin de mieux offrir ses solides appâts à ses baisers, Guillaume lâcha un des seins qu’il maintenait pressé pour laisser descendre sa main droite le long du ventre à la chair frémissante, sans pour autant cesser de flageller de sa langue le bourgeon de chair qu’il tenait aspiré dans sa bouche. Très vite ses doigts rencontrèrent l’épaisse toison boulée qui tapissait le pubis bombé de l’ardente italienne, dans laquelle il fourragea avec délice, éprouvant un indicible plaisir à déranger les innombrables bouclettes rêches.


Sans avoir à effleurer bien longtemps, il trouva la sente étroite, tapie parmi au sein de l’épaisse forêt pubienne. Laissant son doigt suivre le sillon humide, en direction de l’ouverture cachée qui une fois dénichée donnait accès aux profondeurs de la vulve féminine, Guillaume buta sur le merveilleux bouton de chair émergeant de son abri vulvaire, épicentre des plaisirs féminins. Délaissant momentanément son excursion digitale en direction de la grotte sexuelle convoitée, lieu de son exploration initiale, le jeune homme s’attarda sur le clitoris arrogant, le frottant doucement de sa phalange, le titillant délicatement, l’agaçant subtilement encore un peu plus.


Sous les différentes caresses que son jeune amant prodiguait aux zones particulièrement érogènes de son corps, Fulvia sentit l’intérieur de ses entrailles s’enflammer irrémédiablement. Le plaisir prenait possession de son sexe affolé. Toutes les terminaisons nerveuses de son vagin en fusion se trouvaient exacerbées. Il lui fallait un apaisement sexuel le plus rapidement possible. Gémissant de bonheur elle agrippa la main qui harcelait son bouton d’amour pour la pousser en direction de l’ouverture de sa vulve palpitante, afin que le jeune homme la pénètre de ses doigts à défaut de son membre. Il lui fallait sentir un corps coulisser dans sa chatte afin que la jouissance qu’elle sentait sur le point de jaillir du fond de ses entrailles torturées, explose enfin, la libérant de cette exaltation amoureuse. Lorsqu’elle sentit la bouche de son jeune amant abandonner ses seins aux mamelons dilatés pour glisser le long de son ventre en des baisers pleins de sensualité, elle comprit l’intention du garçon. Et lorsque les lèvres butineuses vinrent brouter l’épais gazon couvrant son pubis, elle s’empressa d’écarter ses jambes tremblantes afin de dégager l’accès de la chaude vallée de son sexe ruisselant.


Lorsque la langue diabolique de son jeune partenaire s’infiltra dans les chairs moites de sa chatte, après avoir lutiné un instant son clitoris exacerbé, Fulvia ne put étouffer la plainte de béatitude que la caresse lui arracha, au risque de réveiller son père qui dormait encore, à quelques pas de là. Ruisselante de désir, elle s’abandonna à ce baiser particulier et tellement affolant. Agrippant la chevelure de son cavalier à genoux à ses pieds, elle lui plaqua sauvagement le visage contre son sexe enflammé, et remuant frénétiquement ses hanches, elle frotta rageusement sa vulve béante et son clitoris enflé contre la bouche et le nez du jeune homme.


Le bas du visage enfoui dans les chairs liquéfiées de la chatte abondamment velue de son ardente voisine, Guillaume, tel un jeune chiot assoiffé, entreprit de fouiller l’intérieur de la vulve embrasée de sa langue, lapant les sucs chauds et savoureux qui en sourdaient, s’enivrant des senteurs qui s’échappaient du sexe féminin transformé en un véritable marécage. Par moment, suite aux mouvements désordonnés de sa partenaire bouleversée, son nez venait s’écraser sur le clitoris rubicond, faisant tressauter violemment Fulvia.



Souhaitant lui-même, depuis qu’il était entré chez sa volcanique voisine et amante, enfoncer son membre terriblement gonflé dans le vagin de celle-ci, Guillaume se libéra des cuisses nerveuses qui lui comprimaient les joues pour se redresser. Là pris d’un désir soudain, il attira le visage de sa sensuelle maîtresse afin de coller sa bouche trempée de cyprine odorante aux lèvres de cette dernière, éprouvant un plaisir pervers à faire déguster à la femme le goût épicé de ses propres sucs vaginaux, sans se douter que cette dernière connaissait depuis longtemps les saveurs intimes de son sexe.


Nullement rebutée par ce baiser dans lequel elle retrouvait les bouquets de ses secrétions intimes qu’elle connaissait si bien, Fulvia accepta cette embrassade en s’accrochant fébrilement au cou de son compagnon à l’aide de son bras gauche. Et tout en se laissant fouiller la bouche par la langue agile de Guillaume, elle lança sa main droite en direction du bas-ventre de ce dernier, curieuse de connaître en quel état d’excitation il était. Là, bien qu’elle se soit attendue à ce qu’elle allait trouver, elle éprouva une joie immense et une nouvelle bouffée de désir quand ses doigts se refermèrent à travers le pantalon sur l’énorme protubérance qui déformait le tissu. Ne pouvant exprimer son envie irrésistible, étant bâillonnée par les lèvres de son fougueux amant qui lui explorait la bouche de sa langue souple et agile dans un baiser plein de passion, elle s’attaqua nerveusement à la fermeture du pantalon du jeune homme alors que ce dernier lui pétrissait fiévreusement les fesses, les lui écartant largement l’une de l’autre, les pressant passionnément à pleines mains.


Percevant les efforts que sa compagne effectuait pour lui dénuder le bas-ventre et libérer l’objet de ses désirs, Guillaume qui depuis qu’il avait découvert la tenue extrêmement légère et totalement impudique dans laquelle sa sensuelle voisine l’attendait, bandait comme un mulet, s’empressa de lui venir en aide, fier de lui montrer la force de son désir. Se reculant légèrement du corps envoûtant, il déboutonna rapidement la ceinture de son pantalon, fit glisser tout aussi rapidement la fermeture Éclair de sa braguette. Le Jeans tomba à ses pieds. Pour repousser son slip déformé, Fulvia, trop impatiente mêla ses efforts aux siens et en un rien de temps, il fut dénudé de la taille aux pieds. Libéré son membre viril affreusement gonflé et d’une raideur exemplaire se dressa au bas de son ventre, oscillant doucement.



Redécouvrant la longue virilité de son jeune amant, qui vingt-quatre heures plus tôt lui avait procuré un tel plaisir, Fulvia sentit son cœur s’emballer. Saisissant avec passion le membre viril masculin qui se dressait orgueilleusement dans sa main, elle le pressa tendrement, percevant avec émotion l’organe sexuel palpiter doucement contre sa paume :



Elle s’était rendue compte que le fait d’appeler un chat, un chat excitait au plus haut points ses partenaires du moment, qui bizarrement n’auraient pas admis ce genre de langage pervers dans la bouche de leur épouse, même au moment les plus torrides de leur union. Singularité de l’âme masculine !!!

Comme elle maintenait son partenaire par l’organe qui faisait toute la différence entre un homme et une femme, elle attira ce dernier à elle :



Et pour mieux se faire comprendre de son amant, l’ardente italienne, du fait de sa petite taille, se haussa sur la pointe des pieds afin de faire glisser le gland dilaté contre sa fente que le désir humidifiait avec abondance, la rendant accueillante.


Percevant la chaleur du sexe féminin contre l’extrémité sensible de sa virilité douloureusement tendue, Guillaume, que la nudité de son amante, joint aux encouragements érotiques que celle-ci lui prodiguait d’une voix chaude, excitaient au plus haut point, plia légèrement les genoux afin de placer le dôme dilaté de son membre viril face à l’entrée béante de la vulve ruisselante de désir.

Sentant le gland volumineux frôler l’ouverture secrète de son ventre, Fulvia, rendue impatiente par l’attente, encouragea alors son amant à la pénétrer :



N’attendant que ce moment là, aussi impatient d’enfoncer sa verge gonflée dans cette chatte bouillonnante que Fulvia l’était de sentir cette même verge pénétrer sa vulve palpitante, Guillaume se redressa vivement, introduisant la totalité de sa longue virilité dans le puits féminin. Le bout arrondi et dilaté de son membre écarta les chairs gorgées de jus avant de percuter le fond du vagin torride. Comme la veille, le jeune homme éprouva une intense émotion en percevant la chaleur incandescente des muqueuses féminines embraser sa verge extrêmement sensible ; comme si son membre se trouvait plongé au cœur même d’une fournaise. Un étrange bien être sexuel l’envahit.


Sous la violence de la pénétration et du fait de sa petite taille, Fulvia se sentit littéralement soulevée de terre. Son corps profondément empalé se trouva maintenu à quelques centimètres du sol par le long membre masculin raide et dur fiché dans son ventre. Cette pénétration, malgré sa brusquerie lui procura un tel plaisir qu’elle ne put retenir un gémissement de bonheur. S’accrochant désespérément au cou de son partenaire, les pieds battant l’air, elle lâcha dans un murmure :



Plaquant son ardente voisine gémissante contre le mur, Guillaume que le compliment érotique sur la longueur de sa virilité rendait fou d’orgueil, saisit à pleines mains les fesses de la sensuelle italienne, pour maintenir cette dernière à bonne hauteur afin de lui forer les entrailles de son épieu charnel.

Se sentant solidement maintenue par son robuste partenaire, Fulvia s’empressa d’encercler les hanches de celui-ci de ses jambes nerveuses, s’écartelant encore davantage du fait de sa position. Il lui sembla que la longue verge déjà profondément plantée en elle, s’enfonçait un peu plus dans son vagin, lui percutant le col de la matrice :



Maintenant fermement sa chaude partenaire par les fesses, Guillaume entreprit alors de la faire glisser de bas en haut le long de sa longue verge, qui pareil à un piston dur et tendre à la fois coulissa avec facilité dans la chatte abondamment lubrifiée. Sous les frottements extrêmement voluptueux de ses chairs intimes le long de la colonne de chair enfouie au plus intime de son corps, Fulvia se laissa emporter par la jouissance qui depuis le matin liquéfiait sa vulve affamée. Le visage enfoui dans le cou de son remarquable amant, ronronnante, telle une chatte comblée, elle laissa ce dernier mener le ballet érotique à sa guise, se contentant de se concentrer sur le plaisir qu’elle sentait monter dans ses entrailles labourées :



Bloquant sa sensuelle maîtresse contre le mur et la maintenant fermement par les fesses qu’il pressait avec ardeur, Guillaume accéléra ses coups de reins comme le lui demandait la sensuelle italienne, plongeant avec vigueur sa longue virilité dans la vulve ruisselante d’un jus bouillonnant. Tel un assaillant désirant défoncer la porte d’une citadelle à l’aide d’un bélier, il s’acharna dans les chairs féminines brûlantes, dispensant de formidables coups de boutoir dans la chatte chaude et accueillante.


Chaque pénétration de la longue verge à l’intérieur de sa vulve abondamment lubrifiée, provoquait chez Fulvia un choc d’une rare volupté, du au gland dilaté de son compagnon qui venait lui heurter violemment le col de l’utérus ; cette percussion déclenchant dans ses entrailles enflammées des centaines d’ondes voluptueuses qui se propageaient ensuite dans tout son corps par vagues successives. Incapable de se contenir sous la puissance du plaisir qui lui irradiait le bas-ventre, sentant la jouissance l’envahir inexorablement, la sensuelle italienne encouragea son partenaire à l’amener rapidement à l’extase finale :



Le visage couvert de sueur, Guillaume tenta d’accélérer encore la cadence de ses reins. Haletant, les doigts durement crochetés dans la croupe tendue de sa chaude partenaire, il s’acharna dans le sexe féminin béant et débordant de cyprine. Chaque coup de boutoir qui le projetait à l’intérieur de la vulve accueillante plaquait durement son bas ventre contre l’entrecuisse de sa compagne accrochée à son cou, provoquant un choc bruyant, qui joint aux coups sourds que provoquaient les heurts du dos de Fulvia contre la cloison à laquelle elle était accolée résonnaient bruyamment dans le corridor. Se rappelant la présence du père de sa partenaire dans une des pièces proches, le jeune homme songea avec appréhension que le bruit qu’ils faisaient allait inévitablement réveiller l’infirme. Mais comme il s’apprêtait à faire-part de ses craintes à sa volcanique amante, celle-ci dans un râle étouffé lui planta les dents dans le cou tout en lui labourant les omoplates de ses ongles. Au brasier soudain qui lui englua la verge, Guillaume comprit que son ardente maîtresse venait d’atteindre l’orgasme qu’elle espérait tant.


Appréhendant que le père de sa partenaire ne perçoive les gémissements de sa fougueuse descendante, le jeune homme jeta un coup d’œil autour de lui, cherchant un endroit plus éloigné de la chambre de l’handicapé. Derrière lui, faisant face à la salle à manger se trouvait la cuisine où la veille l’ardente italienne l’avait attiré et pratiquement violé. Maintenant toujours la femme qui haletait dans son cou, par les fesses, la gardant parfaitement empalée sur son dard toujours aussi raide, il se dirigea vers la pièce où la veille ils avaient fait l’amour pour la première fois.


Se sentant ainsi transportée dans une position terriblement excitante, Fulvia resserra l’étreinte de ses jambes autour de la taille de son jeune amant, éprouvant un réel plaisir à ressentir les oscillations de la longue verge dans son vagin, au rythme du déplacement de son jeune amant. Comme ils franchissaient ainsi accolés le seuil de la cuisine, prenant soudain conscience de la présence proche de son père, la jeune femme glissa à l’oreille de son partenaire :



Ne pouvant lâcher sa fanatique maîtresse qu’il maintenait par les fesses, Guillaume repoussa l’huis du pied, avant de s’approcher de la table de cuisine sur laquelle il installa sa compagne sans pour autant retirer son membre toujours aussi raide, du sexe féminin poisseux.


Sentant la fraîcheur des carreaux de faïence sous sa croupe quelque peu meurtrie par l’intense malaxage dont elle avait été l’objet durant tout le temps leur accouplement, Fulvia lâcha le cou de son partenaire pour poser ses mains derrière elle sur la table, de façon à écarter son torse de celui de son partenaire :



Mais tout heureuse à l’idée que son jeune amant allait rester encore un moment avec elle, elle chassa de son esprit ce sentiment pour ne songer qu’aux moyens qu’elle avait de le remercier pour tout le plaisir qu’il lui avait procuré. Se concentrant sur son corps et plus particulièrement sur son sexe empli par le membre viril gonflé, elle força ses muscles vaginaux à se contracter autour de la verge durcie, pour presser celle-ci.


Alors qu’il se penchait sur les seins volumineux de sa sensuelle maîtresse, pour en téter les bourgeons érigés, Guillaume ressentit une étrange sensation au niveau de son membre viril fiché profondément dans le vagin féminin. Extrêmement surpris, il abandonna son action pour analyser ce qui se passait au niveau de son membre viril. Comme animé d’une vie propre, le sexe féminin se contractait par spasmes continus, enserrant et relâchant alternativement par pressions terriblement voluptueuses son dard gonflé. C’était comme si la sensuelle italienne le branlait et le suçait à l’aide de son vagin. Se redressant, il fixa sa compagne d’un air émerveillé.



Le corps tendu, Fulvia se força à activer les muscles de son vagin, les comprimant fortement pour aussitôt les relâcher, massant ainsi de ses parois vaginales la totalité de la verge qui lui emplissait la vulve. Cette caresse particulière lui avait été expliquée par une collègue de travail, une Marocaine, qui la détenait elle-même de sa mère. Intéressée par cet aspect érotique de procurer du plaisir à un homme, Fulvia avait tenu le soir même à l’essayer. S’étant enfoncé deux doigts dans la chatte, elle avait, ainsi que lui avait expliqué la Marocaine, relâché entièrement son vagin, comme si elle avait voulu uriner, pour aussitôt forcer ses muscles vaginaux à se contracter pour bloquer cette miction fictive.


Lorsqu’elle avait senti ses chairs intimes presser doucement ses deux doigts, elle s’était alors imaginé tout le plaisir qu’elle pourrait donner à ses amants, après un entraînement poussé. Aussi chaque soir s’exerça-t-elle afin de donner plus de puissance à ses muscles vaginaux. Au bout de quelques semaines, elle était parvenue à acquérir une force suffisante, lui permettant de presser fortement et de maintenir n’importe lequel de ses godemichés dans sa vulve, tout en se déplaçant d’une pièce à l’autre. Son initiatrice marocaine lui avait avoué qu’elle était capable d’écraser littéralement une banane épluchée à l’aide de ses muscles intimes. Fulvia n’en était pas arrivée à ce stade, mais lorsqu’elle avait utilisé les contractions de son vagin avec un amant de passage, celui-ci avait tellement été surpris par ce massage vaginal inattendu et terriblement voluptueux, qu’il avait instantanément déchargé sa semence, incapable de retenir son éjaculation. Lésée par ce jaillissement précoce, Fulvia avait par la suite toujours choisi le moment crucial pour pratiquer son art.


Cependant sous le massage vaginal extrêmement sensuel dont était victime son gland sensible, Guillaume, dont l’excitation était à son comble, repoussa sa trop ardente partenaire, la forçant à s’étendre sur la table de la cuisine. Là, il l’obligea à replier ses jambes de part et d’autre de son torse, ses genoux enserrant ses seins volumineux. Écartelée à même la table aux carreaux de faïence, les mains passées derrière ses genoux pour maintenir ses jambes largement écartées, Fulvia dans un sourire radieux s’offrit aux désirs du jeune homme sans ce soucier de ce que sa position avait obscène. La maintenant par les hanches, Guillaume entreprit alors dans un mouvement souple et ample des reins, de fouiller la vaste chatte brûlante de son soc de chair durci. Véritable expert, il entama un lent va-et-vient, enfonçant entièrement sa verge dans le corridor vaginal suintant de cyprine, pour la retirer presque complètement aussi lentement. Il réitéra son mouvement de piston à l’intérieur de la chatte bouillonnante plusieurs fois. Fulvia mouillait avec une telle force que son membre viril s’enfonçait dans les chairs gorgées de jus avec une facilité déconcertante et dans un affolant bruit de clapotis, lui procurant un ravissement savoureux.


Sous le forage profond de son vagin palpitant, Fulvia ne tarda pas à ressentir de nouveau des élancements voluptueux dans tout le bas-ventre, comme si des ondes électrostatiques se propageaient dans ses entrailles, lui procurant un plaisir grandissant. Sentant la jouissance l’envahir de nouveau, alors que son partenaire semblait se retenir, la sensuelle italienne, les mains crispées à la pliure de ses genoux, encouragea son partenaire à accélérer sa cadence dans un râle d’impatience :



Penché sur le corps offert de sa chaude amante, Guillaume accéléra alors ses coups de reins, pressé subitement de jouir à son tour. Le silence de la cuisine fut rompu par les halètements des deux amants. Subissant les violents coups de boutoir de son fougueux amant, Fulvia, malgré son désir de ne pas extérioriser son plaisir du fait de la présence proche de son père, ne pouvait s’empêcher de faire-part de son ravissement à son partenaire, l’encourageant d’une voix rauque



Mais comme elle s’abandonnait en gémissant à la jouissance qu’elle sentait naître dans ses entrailles pour la seconde fois, Fulvia sentit soudain l’énergique virilité s’échapper de sa chatte dégoulinante et lui frapper les fesses :



Aussi surpris que sa partenaire, de cette éjection, Guillaume s’empressa de replacer son gland dans l’ouverture spongieuse du sexe féminin :



Pressé d’en terminer, sentant la délivrance proche, le jeune homme reprit ses déhanchements saccadés, pilonnant furieusement le vagin embrasé, arrachant des râles de bonheur à sa partenaire transfigurée. Mais pour la seconde fois son membre viril rendu glissant par l’abondance des sécrétions vaginales s’échappa de nouveau de l’antre sexuel féminin gorgé d’humeurs visqueuses.



Reculant légèrement, Guillaume se saisit de sa verge gluante de cyprine afin de la diriger encore une fois dans la vulve extraordinairement écumeuse, mais le spectacle terriblement obscène que lui offrait la volcanique italienne l’affola au plus haut point. Un soudain désir pervers lui traversa l’esprit. Du fait de sa position écartelée, les jambes repliées de par et d’autre de son torse, Fulvia lui offrait une vision particulièrement indécente : sa chatte aux longs poils bruns trempés et collés par le déluge qui s’échappait de ses entrailles, était demeurée grande ouverte après l’éjection de sa verge et lui offrait la révélation affolante de ses chairs roses et luisantes de mouille. À quelques centimètres de l’ouverture vaginale, tapie dans la longue raie des fesses largement écartée, le minuscule orifice anal attira plus particulièrement l’attention de Guillaume. Une envie irraisonnée de forcer cet anus plissé et couronné d’une faible toison brune saisit le jeune homme. Mais ne sachant comment sa partenaire accepterait un tel désir, il se contenta de frôler du bout de sa verge l’affolante pastille luisante des sécrétions vaginales qui s’étaient écoulées de la vulve barattée.


Sentant le bout arrondi de la virilité de son partenaire venir buter contre son anus, Fulvia présuma que le jeune homme, rendu impatient par le désir, tâtonnait à la recherche de sa vulve :



Mais sentant l’effleurement persister contre la corolle de son orifice secret, elle comprit soudain ce que son jeune amant désirait sans vraiment oser lui demander. Les battements de son cœur s’accélérèrent brusquement : des quelques amants qu’elle avait eus jusqu’à ce jour, très peu lui avait demandé ce genre de pénétration. Les rares fois ou elle avait du subir ces intrusions anales, elle en avait gardé un souvenir mitigé ; d’abord une forte douleur au niveau de l’anus, suivi, il est vrai d’un certain plaisir au bout d’un certain temps. Comprenant que si elle voulait garder quelques temps ce nouvel amant qui lui avait fait connaître une si grande volupté elle se devait de lui accorder ce qu’il désirait sans oser lui demander, elle décida de lui venir en aide :



Tout heureux que sa partenaire lui propose ce qu’il n’osait solliciter, n’en croyant pas ses oreilles, Guillaume s’empressa d’acquiescer :



Au cours de ses différentes relations amoureuses, Fulvia avait appris combien un homme pouvait se sentir pétri d’orgueil lorsque sa compagne de joutes sexuelles le complimentait sur la grosseur ou la longueur de son membre viril. Elle avait toujours été étonnée de constater combien un homme pouvait tirer une fierté arrogante de l’apparence de son sexe !


Comme elle l’avait avoué à son partenaire, Fulvia avait, malgré ses nombreuses aventures sexuelles avec différents partenaires, une expérience peu prononcée pour le coït anal ; aussi étonnant que cela paraisse, peu de ses amants lui avaient imposé cette pénétration hors nature. Aussi sentant le gland mafflu de Guillaume s’appuyer avec insistance contre son anus, elle s’efforça de relâcher au maximum les muscles de son sphincter anal afin de faciliter la volumineuse pénétration dans son étroit conduit. Mais malgré cette précaution, le bout arrondi de la verge de son jeune amant butait désespérément contre son anus resserré. Impatiente, désirant passer ce cap qui elle le savait allait lui causer une certaine douleur le plus rapidement possible, elle interpella le jeune homme :



Décidant alors de forcer cette bague charnelle qui résistait à ses poussées, et puisque sa compagne l’incitait à le faire, Guillaume crocheta ses mains dans les cuisses repliées de cette dernière et lançant fermement son bas-ventre en avant, tout en attirant la croupe féminine à lui, il força son membre viril tendu à l’extrême à se frayer un chemin entre les fesses largement disjointes de la chaude italienne. La fine corolle de chair plissée résista encore un peu, puis brusquement céda sous la forte poussée, avalant d’un coup la longue verge gonflée. Emporté par son élan, Guillaume se retrouva fiché dans les entrailles resserrées de son ardente maîtresse qui sous la brutale pénétration poussa un long gémissement de douleur.


Malgré l’intense désir qu’elle en avait, Fulvia ressentit une légère souffrance au niveau du rectum lorsque le gland volumineux de son jeune compagnon força son anus étranglé pour s’enfoncer profondément à l’intérieur de ses intestins :



Incapable de contenir l’intense émotion qui l’étreignait, Guillaume, ne se souciant pas des recommandations de sa partenaire grimaçante, agita ses reins, entamant un lent mouvement de va-et vient, faisant coulisser avec délice son piston de chair dans le conduit anal resserré de sa volcanique partenaire. Puis pris par la fougue de sa jeunesse, ne songeant qu’à son propre plaisir il accéléra sa danse érotique, pistonnant de plus en plus fougueusement les intestins de son amante.


Fulvia, après la légère douleur que lui avait occasionnée le défoncement de son petit orifice, peu habitué à être embouti par un pal de cette grosseur, n’avait cependant pas tardé à ressentir un certain bien être sous le va-et-vient régulier du long pal de chair à l’intérieur de ses entrailles. Certaine que son jeune amant n’allait pas tarder à éjaculer, tant ce dernier se démenait avec vigueur entre ses fesses meurtries, en laissant échapper des grognements saccadés et de plus en plus rapprochés, et désirant atteindre un troisième orgasme avant que son compagnon ne lâche sa semence au fond de ses intestins, la chaude italienne s’empressa de lancer une main entre ses cuisses largement disjointes afin de se branler, dans le but d’accélérer la montée du plaisir dans son bas-ventre. Habituée depuis longtemps à ce genre d’expédient, elle trouva immédiatement son clitoris monstrueusement gonflé, qui tel un promontoire rocheux jaillissait d’entre ses grandes lèvres sexuelles. Alors d’un doigt entraîné par des années de pratique, elle entreprit d’agacer ce bouton de chair, épicentre de ses plaisirs solitaires.


Très vite sa masturbation clitoridienne, jointe au pistonnage sauvage de son cul élargi, amena la sensuelle italienne aux limites extrême de l’orgasme. Abandonnant son bourgeon de chair extrêmement gonflé, elle plongea son index et son majeur accolés dans sa chatte transformée en véritable cloaque, dans laquelle elle les agita vivement au même rythme que la puissante queue qui naviguait dans son cul. Là, c’est sans surprise mais avec une énorme excitation qu’elle perçut sous ses doigts, à travers la mince paroi séparant son vagin de ses intestins, la présence volumineuse de la virilité qui l’enculait avec frénésie.



Comprenant le désir de son compagnon, Fulvia, délaissant sa masturbation, plaça adroitement ses doigts à l’intérieur de sa vulve débordante de cyprine afin de presser à travers la fine cloison séparant ses deux orifices naturels, la grosseur qui lui distendait l’anus, frottant langoureusement ses phalanges le long de la masse qui s’agitait.



Déjà terriblement excité par frottement de son membre viril gonflé dans l’étroite collerette anale de sa partenaire, Guillaume sous cette masturbation interne ne put contenir plus longtemps le plaisir qu’il sentait sur le point d’exploser depuis un instant. Tel un animal blessé, dans un grognement inhumain il s’abandonna alors à la jouissance. Par longs jets puissants et copieux il lâcha sa semence virile dans le cul féminin si accueillant, chaque éjaculation lui arrachant un râle de plaisir. Sous ce lavement d’un genre spécial Fulvia, s’imaginant son amant se vidant de son sperme épais dans ses intestins, sentit un véritable raz de marée la submerger et pour la troisième fois elle connut un formidable orgasme. Se mordant les lèvres pour retenir la plainte amoureuse qui allait s’en échapper et qui aurait pu alerter son père encore couché dans la chambre proche, elle se cambra littéralement sur la table de la cuisine où son partenaire l’avait cloué de son long pieu de chair.


Dans un dernier sursaut de tout son corps tétanisé, Guillaume s’écroula sur le corps agité de sa partenaire, enfouissant son visage entre les seins volumineux, moites d’une sueur érotique, baisant presque religieusement la croix qui s’y trouvait.


Béate de bonheur, Fulvia, dans un geste de passion extrême appliqua ses deux mains sur le crâne du jeune homme qui venait de si bien la combler sexuellement après tant de mois d’abstinence. Poussée par la tendresse qu’elle ressentait pour le jeune homme elle murmura, plus pour elle que pour le garçon :



Éperdu de gratitude envers cette femme qui lui avait permis de réaliser l’un de ses fantasmes, Guillaume aveuglé de reconnaissance ne put que répondre d’une voix sourde :



Alors pour la première fois, les deux amants unirent leurs lèvres dans un baiser plein d’affection réciproque. Leurs langues se nouèrent dans un ballet fait de tendresse et d’amour, leurs salives parfumées se mêlèrent en une liqueur enivrante. La première Fulvia abandonna son baiser pour murmurer d’une voix dolente :



Se redressant, Guillaume retira lentement et comme à regret son membre ramolli d’entre les fesses féminines rougies par les chocs répétés de son bas-ventre. Libérée du pal de chair qui l’épinglait sur la table, tel un papillon, Fulvia sauta à terre en se frottant les fesses :



Comme il s’apprêtait à se réajuster, Guillaume jeta un coup d’œil navré en direction de sa verge souillée par quelques taches brunâtres du plus mauvais effet. S’apercevant de la gêne de son jeune partenaire, Fulvia s’empressa de venir à son secours.



Se laissant tomber à genoux aux pieds du jeune homme intrigué, elle saisit le membre viril taché entre ses doigts, pour d’une langue habile le nettoyer entièrement des traces qu’avait laissé le coït anal, sous le regard effaré de Guillaume. Une fois qu’elle eut consciencieusement léchée et sucée l’organe masculin qui venait de lui donner tant de bonheur, Fulvia l’abandonna pour se redresser :



Récupérant sa fine chemise de nuit qui traînait sur le sol de l’entrée, elle en couvrit son corps sensuel moite de plaisir.



S’étant installé sur une des chaises entourant la table qui avait servi d’autel de sacrifice, sur lequel il avait empalé sa si sensuelle voisine, Guillaume suivit du regard cette dernière qui s’agitait dans la minuscule cuisine, pour leur préparer un café. Son attention étant plus particulièrement portée sur les hanches évasées de la volcanique italienne et surtout sur sa croupe ronde et encore extraordinairement ferme, séparée en son milieu par la longue et profonde raie des fesses entre lesquelles il s’était généreusement épanché quelques minutes plus tôt.


La fine chemise de nuit vaporeuse, extra courte que Fulvia avait remis après leurs ébats érotiques ne cachait rien des excitants appâts féminins au jeune homme. Et lorsque dans ses déplacements, la belle italienne lui faisait face, Guillaume ne pouvait détacher ses yeux de la lourde poitrine si séduisante ; les volumineux seins qui l’avaient tant fait fantasmer depuis des mois lui apparaissaient dans leur nudité entière, sans qu’aucun soutien de quelque sorte qui soit ne les protège. Libérées de toutes entraves les opulentes mamelles, entre lesquelles une croix en or brillait doucement, ballottaient doucement sur le torse gracile de la femme, dans un mouvement plein de sensualité. Les larges mamelons bruns au centre desquels se dressait un téton boursouflé, laissaient leurs empreintes rondes et sombres sous le fin tissu de la nuisette si courte qu’elle ne pouvait dissimuler la pointe brune de l’épaisse toison qui tapissait le bas-ventre de l’envoûtante italienne, avant de se perdre entre les cuisses pleines et charnues, véritables piliers d’un temple dédié au dieu Eros.


A contempler ainsi sa maîtresse aux généreux appâts, Guillaume ne fut pas plus étonné que ça en sentant dans son slip, les prémices d’une nouvelle érection. Son envoûtante voisine, lui paraissait plus excitante ainsi, vêtue de sa nuisette extrêmement courte et quasiment transparente que si elle s’était trouver entièrement nue ; la lingerie particulièrement érotique mettait plus en valeur les courbes et les creux de son corps sensuel, qu’il ne les cachait.


Comme Fulvia s’approchait de la table pour y déposer deux tasses, Guillaume, dont le membre viril avait de nouveau repris de la vigueur, la saisit par les hanches pour l’attirer sur ses genoux. Se laissant faire, la femme entoura le cou de son jeune partenaire de ses bras nus et dans un mouvement plein d’amour elle colla ses lèvres à celle de son jeune amant pour un baiser rempli de passion. De nouveau leurs langues se cherchèrent, se frôlèrent, se nouèrent dans un ballet plein de sensualité. L’une crochetant habilement l’autre pour l’attirer dans son antre propre, pour aussitôt se laisser vaincre et se retrouver prisonnière de la bouche adverse.


Mais alors qu’elle mettait toute son ardeur et sa passion dans son baiser, distillant habilement sa salive suave entre les lèvres de son partenaire, Fulvia sentit les mains de ce dernier lui frôler les fesses que sa fine nuisette ne parvenait pas à protéger. Un long frisson lui parcourut l’échine sous cet attouchement, tandis que tout son corps se couvrait de chair de poule, ses mamelons se gonflaient de nouveau de désir, ses tétons momentanément détendus se redressaient subitement. Jamais encore un homme ne lui avait procuré une telle sensation en lui palpant les fesses comme le faisait Guillaume.



Affolée, Fulvia se rendit compte avec effroi que le jeune homme l’avait marqué plus profondément dans sa chair et dans son esprit qu’aucun autre homme ne l’avait fait jusqu’à présent. Un sentiment de panique la saisit ; il ne fallait surtout pas qu’elle s’attache à lui, si elle ne voulait pas souffrir lors de leur séparation, qui elle le savait ne pouvait qu’être inéluctable, même si Guillaume lui avait, dans un moment de béatitude sexuelle déclaré qu’il l’aimait. L’amour leur était interdit du fait de leur grande différence d’âge. Seul quelques mois de relations sexuelles pouvait être possible entre eux. Désirant reprendre ses esprits, elle s’arracha à regret des caresses ensorceleuses de son jeune et habile amant :



Déçu par cette dérobade soudaine de la part de sa si sensuelle partenaire dont la croupe chaude contre sa cuisse avait fait renaître une nouvelle érection, aussi manifeste que la précédente, Guillaume, se consola en fixant avec plaisir les fesses rondes et mouvantes qui se balançaient d’une manière terriblement suggestive à chaque pas que la femme faisait. Entre elles le long sillon les séparant, l’affolait plus particulièrement.


La cafetière brûlante à la main, Fulvia se rapprocha de la table, et avec beaucoup de précaution afin de ne pas se brûler, elle versa le café fumant dans les tasses. Mais alors qu’elle s’appliquait à sa tâche, elle sentit soudain son jeune amant se plaquer contre son dos, ses mains emprisonnant ses hanches rebondies. Un long frisson l’immobilisa quand elle sentit ces mains d’une douceur extrême remonter lentement jusqu’à ses seins gonflés qu’elles empoignèrent tendrement pour les presser avec passion, tout en titillant adroitement ses tétons encore gonflés. Mais ce qui l’affola davantage encore, lui procurant un frémissement de tout son être : ce fut le contact bien connu de cette excroissance, qui malgré l’épaisseur du tissu du pantalon, lui heurtait les fesses, essayant de se glisser entre elle.



Et comme pour mieux se rendre compte du nouvel état d’excitation de son jeune amant, elle entreprit d’onduler des hanches dans une sensuelle danse du ventre, frottant sa croupe charnue à cette protubérance opportune.



Reposant la cafetière fumante sur la table, elle pivota vivement sur elle-même, échappant ainsi au contact terriblement affolant de dard rigide contre sa croupe. Fébrile, elle activa ses doigts sur le pantalon refermé :



Fixant avec envie le gland cramoisi qu’elle avait largement décalotté, elle lâcha admirative :



Comme Guillaume jetait un regard inquiet en direction de la pendule murale, Fulvia comprit qu’il allait lui falloir abandonner l’idée de faire de nouveau l’amour avec son si merveilleux amant, abandonner l’idée de sentir ce pieu de chair s’enfoncer dans son vagin pour y lâcher sa chaude semence.



Vivement, Fulvia repoussa le slip qui risquait de la gêner dans sa caresse, libérant entièrement la verge raide et tendue de son jeune amant. Emue, la sensuelle italienne demeura un instant immobile à contempler ce magnifique pal de chair qui oscillait doucement à quelques centimètres de son visage, fixant plus particulièrement l’énorme gland rose, au centre duquel le minuscule orifice semblait l’inviter à venir le baiser, merveilleux orifice duquel allait jaillir cette lave blanche au goût si particulier. Alors telle une prêtresse païenne adorant le Dieu Priape, elle saisit la longue verge entre ses deux mains refermées, et se penchant sur elle, en un geste d’adoration, elle entreprit d’une langue agile, d’honorer le gland turgescent, le léchant amoureusement sur toute sa surface congestionnée.


Terriblement excité par la situation, Guillaume s’abandonna aux agréables attouchements dont sa virilité était l’objet, fermant les yeux afin de mieux ressentir les sensuels baisers que lui dispensaient les lèvres ferventes de sa compagne. À la douce chaleur humide qui soudain entoura le tiers supérieur de sa verge, il comprit que son ardente maîtresse venait d’engloutir l’extrémité de son membre dans sa bouche, qu’elle activa en un lascif va-et-vient, lui procurant un bien être des plus agréable. Debout, sa tasse de café à la main, il laissa la sensuelle italienne œuvrer à sa guise le long de son pénis palpitant. Les lèvres veloutées, coulissant le long de son gland irrité et repoussant son prépuce mobile ne tardèrent pas à lui procurer une douce volupté.


Tout à sa moelleuse caresse buccale, Fulvia se souvint soudain d’un article qu’elle avait lu un jour dans une revue érotique, elle ne savait où, sur l’art de rendre une fellation plus excitante. Décidant que le moment ne pouvait être mieux choisi pour mettre en pratique ce qu’elle avait appris ce jour là, elle recracha le gland qu’elle suçait.


Surpris par cet abandon, Guillaume baissa son regard en direction de son bas-ventre pour savoir ce qui se passait ; ce fut pour voir son amante se saisir de sa tasse où le café récemment servi fumait encore et en boire une gorgée avant de replonger sur son membre oscillant.


La bouche emplie de café brûlant, la sensuelle italienne goba à nouveau le gland dilaté de son jeune compagnon aux anges, en prenant garde de ne pas avaler le liquide qu’elle garda au fond de son palais. Une fois ses lèvres hermétiquement refermées autour de l’imposante verge, elle entreprit de la sucer lentement, ainsi qu’elle l’aurait fait avec un sucre d’orge, la prenant entièrement dans sa bouche, afin que l’extrémité gonflée de la longue queue vienne tremper dans le café brûlant qui stagnait au fond de sa gorge.


Sentant son gland à la chair délicate s’enfoncer dans un magma brûlant, Guillaume poussa un feulement de plaisir. Surpris par cette nouveauté, il n’en apprécia pas moins l’érotisme. Avalant précipitamment la gorgée de café, Fulvia recracha la virilité trempée pour s’enquérir auprès de son compagnon :



De nouveau elle attrapa le membre tendu entre ses lèvres pour le sucer avec une passion gourmande. Chaque fois que sa sensuelle maîtresse avalait sa verge au fond de sa bouche, Guillaume avait l’impression que son gland dilaté plongeait dans une bouillie en fusion et une onde de plaisir lui envahissait le bas-ventre. Deux ou trois fois, Fulvia dut reprendre une gorgée de café afin de continuer sa brûlante fellation, plongeant son jeune amant dans une intense euphorie.


La verge aussi raide qu’une barre d’acier et le gland prêt à exploser, Guillaume ne tarda pas sentir le plaisir l’envahir, monter à l’assaut de ses bourses gonflées, lui crisper le bas-ventre. Se rendant compte qu’il accédait à l’orgasme libérateur, il se cambra brusquement, libérant son gland congestionné de la trop voluptueuse bouche féminine.



Prise d’un désir pervers, Fulvia saisit vivement la longue verge frémissante de la main droite, tandis que de la gauche elle approchait sa tasse du gland congestionné. Dirigeant le membre viril frissonnant en direction du récipient en opale ou fumait un restant de café, elle le maintint fermement attendant l’éjaculation qu’elle sentait imminente.


Remuant des hanches afin de frotter son membre viril prêt à exploser entre les doigts féminins qui l’enserraient, Guillaume poussa soudain un grognement d’animal blessé, tandis que la jouissance le pliait en deux. Telle des salves de mitraillette son sperme liquoreux jaillit en rafales de son méat dilaté, pour aller s’écraser en gerbes blanchâtres dans la tasse que Fulvia maintenait, éclaboussant le café de traînées laiteuses.


Lorsque enfin son jeune amant eut entièrement déchargé sa précieuse semence, lorsque du gland tressautant les derniers jets jaillirent avec moins de vigueur, Fulvia s’empressa de lécher d’une langue gourmande les derniers résidus blanchâtres qui s’accrochaient encore au bourgeon de chair calmé. Puis portant son regard brillant de lubricité vers son jeune complice essoufflé qui la fixait fasciné, elle porta sa tasse où le sperme épais et copieux était venu se mélanger à son café :



Toujours à genoux aux pieds de son jeune amant, elle ingurgita avec délice le singulier mélange, alors que Guillaume prenant tout à coup conscience de l’heure se hâtait de se rajuster.

Sur un dernier baiser les deux amants se séparèrent enfin, devant chacun rejoindre leurs lieux de travail….





*** Lire « Ardente voisine I »





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