n° 06880 | Fiche technique | 24198 caractères | 24198Temps de lecture estimé : 14 mn | 14/10/03 |
Résumé: Randonnée sauvage et rencontre de 2 jeunes gens avec 2 filles aguéries et très joueuses... | ||||
Critères: grp jeunes vacances hsoumis fdomine voir exhib noculotte hmast entreseins facial jeu | ||||
Auteur : Catchme (Auteur amateur avide de sensations érotiques circonstanciell) |
DEBUT de la série | Série : Camping sauvage Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
LE DECOR - LES PERSONNAGES - LES CIRCONSTANCES
Marc et moi venions d’avoir 18 ans.
Nous nous étions connus en camping avec nos parents et partagions l’amour de la nature, sans doute du au fait que nous venions chacun d’une grande ville.
Nous étions restés en contact et avions même planifié de nous revoir l’année suivante afin de partir, pour la première fois (!) sans nos parents en vacances sauvages dans le Vercors.
Nos parents étaient très inquiets et nous très excités!
Lorsque nous nous sommes retrouvés, nous avions tout prévu: tente canadienne ultra légère avec armature en fibre de verre, réchaud, cartouches, nourriture en sachets, gourde, duvets, etc.. Et carte IGN + boussole pour l’excursion sauvage dans des endroits supposés inexplorés.
Nous sommes partis d’un refuge où de nombreux autres passionnés de la nature avaient dormis; nous avions remarqué ces deux jeunes filles de type suédoises, très blondes, aux cheveux très long et lisse qui avaient dormis dans une chambre non loin de nous.
Tout le monde les avait remarquées en fait!
Mais cela n’avait pas été plus loin qu’un simple coup d’œil, trop affairé par notre départ vers l’aventure!
Nous nous sommes mis en route sous une chaleur accablante de cet été 2003 et avons tout de suite bifurqué vers des chemins peu usités afin d’y trouver le calme et la solitude, en direction des sommets.
Au fur et à mesure que nous progressions, les promeneurs devenaient de plus en plus rare. Nous nous sommes arrêtés pour la pose déjeuner sur un joli promontoire qui dominait la vallée; de là nous pouvions voir plusieurs sections du sentier qui serpentait que nous avions emprunté et là, surprise, nous pouvions apercevoir la silhouette d’un couple de marcheurs à environ une heure de marche de notre endroit. Nous ne pouvions distinguer que deux personnes, rien de plus.
Nous avons commencé à grignoter lorsqu’un monsieur âgé descendait le sentier en direction de la vallée; nous voyant, il a immédiatement engagé la conversation comme c’est l’usage entre promeneurs; je remarquais qu’il avait une paire de jumelle et lui demandais si je pouvais lui emprunter une minute.
Je fis mine de regarder la vallée mais très vite je dirigeais mes yeux vers le sentier en aval et tout à coup repérais mes deux promeneurs qui marchaient dans notre direction.
Là, mon cœur se mis à palpiter lorsque je reconnus les deux "suédoises"! Elles étaient sublimes! Elles avaient de grosses chaussures de marche, de grosses chaussettes, l’une portait un short jean et l’autre une jupe en toile ouverte sur le côté avec les deux pans recouverts afin de faciliter les mouvements et toutes les deux portaient des bustiers sans manches qui dévoilaient leurs épaules et leur ventre plat, mais surtout des casquettes américaines à longue visière et des lunettes de soleil foncées qui leur donnaient un look ravageur! On aurait dit 2 James Bond girls échappées d’un film! Elles étaient à tomber par terre!
Le vieil homme me demanda si j’avais trouvé quelque chose d’intéressant à voir; Je lui bredouillais quelque chose et lui rendais aimablement ses jumelles.
Il repartit et très excité, j’annonçais la nouvelle à Marc qui sembla tout aussi excité que moi; elles n’étaient pas à plus d’une demi-heure et nous décidâmes de les attendre en prolongeant notre "festin".
LA RENCONTRE
Faisant mine de ne pas les avoir vu arriver, elles passèrent derrière nous et…. S’arrêtèrent.
Le dialogue s’engagea, banal mais très amical. Elles n’étaient pas farouches. Elles s’appelaient Maréva et Gabrielle. Les voyant de près, nous réalisâmes alors à quel point elles étaient belles, sculpturales et très musclées. Elles avaient 25 et 26 ans et ce qui ressortit rapidement de la conversation, c’est qu’elles nous dominaient largement par leur maturité! Du haut de nos 18 printemps à peine affranchis, et puceaux encore que nous étions, nous ressemblions de deux jeunes gamins naïfs!
Le mot qui me revenait constamment à l’esprit était "assurer": elles assuraient! Elles avaient à n’en pas douter une grande expérience de bourlingueuses et les quelques allusions à notre jeune age… Laissaient aussi à penser qu’elles avaient quelques longueurs d’avance en matière sexuelle!
Bref, la conversation qui ressemblait plus à celle d’une grande sœur s’adressant à son petit frère nous conduisit néanmoins à s’accorder de faire un bout de chemin ensemble.
Et après avoir avalé quelques fruits et pris une bonne rasade d’eau fraîche, elles se remirent en route sans même regarder si nous étions prêts!
Nous avons alors marché une bonne heure en file indienne dans un sentier étroit qui montait le plus souvent; je me trouvais en 3 ème position, juste derrière elles et au gré des obstacles ou grandes marches à franchir, j’étais aux premières loges! Le barda que nous transportions, elles et nous, était assez lourd et les franchissements hauts demandaient une gesticulation… Lente laissant tout loisir d’admirer leurs beaux muscles en action! Mais aussi de voir s’arrondir leurs fessiers jusqu’à la limite de rupture du petit short en jean de la première et jusqu’au large échancré de la jupette de la deuxième qui, ainsi, révélait la blancheur de sa culotte de coton!
J’avais les yeux écarquillés et il n’était pas rare que je trébuche pour ne rien louper du spectacle! Marc se tordait le cou pour voir au-dessus de mon épaule et nos cerveaux échafaudaient déjà des idées malsaines!
Tout d’un coup, Gabrielle qui était juste devant moi, s’arrêta net et je lui rentrai dedans; j’étais confus et m’excusa; Elle dit " Ecoutez"; il y avait un bruit de rivière ou de torrent à proximité.
Nous avons alors quitté le sentier et nous sommes dirigés vers ce torrent à travers les broussailles et les rochers.
LE BAIN EROTIQUE
Nous avons alors découvert un endroit magnifique, très encaissé mais avec un torrent entouré d’immenses rochers, avec une poche d’eau calme dans un bras bordé d’une petite plage de galets.
L’accès était périlleux et nous décidâmes de laisser descendre nos sacs à dos au bout d’une corde afin d’être plus à l’aise pour rejoindre la petite plage. Les filles, plus aguerries et plus sportives passèrent les premières. Nous les regardâmes manœuvrer avec agilité, leurs tignasses blondes rejetées en arrière, leurs épaules nues en action et leurs muscles bandés au maximum.
Puis, ce fut notre tour et tout en descendant, elles nous guidèrent dans nos prises….et ne manquèrent pas de nous complimenter sur nos petits culs d’adolescents! Il faut dire qu’en short et suspendus à la paroi juste au-dessus d’elles, nous ne pouvions guère nous dissimuler!
Une fois en bas nous prîmes quelques instants pour admirer l’endroit.
Puis, nous décidâmes de planter nos tentes pour la nuit; nous nous sommes écartés d’elles afin de ne pas les déranger et le travail fini, nous sommes allés tâter l’eau.
La chaleur étant ce qu’elle était, la froideur de l’eau ne semblait arrêter personne! Les filles furent les premières à vouloir se baigner. Par contre, aucun de nous n’avions prévu de maillot de bain… Nous nous sommes alors résolus à rester en sous-vêtements et alors que nous nous surveillons du coin de l’œil ( avide! ), nous avons retiré nos T-shirt et nos shorts pour nous retrouver en slip. Les filles ont fait de même, le sourire aux lèvres, parfaitement consciente de l’effet qu’elles produisaient sur nous!
Elles ont lentement retiré le mini short pour l’une et la jupette pour l’autre, puis leurs brassières pour se retrouver en slip et en SG. Leur corps étaient magnifiques et nous n’arrivions pas à nous détourner le regard, lorsqu’elles se jetèrent à l’eau en courant!
Telles des scandinaves qui brisent la glace pour se baigner, elles semblaient complètement insensibles à la froide température du torrent. Crânement, nous avons voulu faire de même, mais nous avons dû rentrer dans le bain petit à petit sous leurs rires sarcastiques!
Le bras du torrent décrivait une grande courbe où des eaux plus calmes permettaient de nager tranquillement. Bientôt, nous avons joué à nager les uns après les autres et l’ambiance insouciante dégageait une telle chaleur que nous en avions oubliés la faible température de l’eau. Nous avons joué à nous éclabousser avec de grandes gerbes d’eau, à nous attraper par les pieds, à se cacher, bref nous nous amusions beaucoup. Nous sommes ressortis pour nous reposer et nous allonger et sécher sous ce soleil de plomb.
Puis un quart d’heure plus tard, les filles ont proposé d’y retourner et comme à leur habitude, elles se levèrent d’un bond et plongèrent.
Le temps de nous lever, elles étaient déjà dans l’eau! Nous les suivirent de nouveau mais lorsque nous nageâmes vers elles, qu’elle ne fut pas notre surprise! Elles avaient retiré leur SG! C’est pour les faire sécher nous expliquèrent-elles et c’est plus confortable dans l’eau. Vous n’avez rien contre demandèrent-elles candidement? Oh que non! Faites comme chez vous!
Dans l’eau nous ne pouvions que deviner leurs formes, mais que c’était excitant! Je ne voulais pas rater le moment où elles devraient sortir de l’eau! Mais Marc suggéra une idée qui allait nous combler de bonheur! Il y avait un gros rocher qui surplombait le bras calme du torrent et il suggéra que nous plongions d’en haut. Il faisait bien 4 à 5 mètres de haut mais pour l’escalader en sortant de l’eau n’était pas si facile car plutôt abrupte.
Je pensais qu’elles seraient gênées de sortir de l’eau à notre vue dans cette tenue topless, mais au contraire, elles étaient enthousiasmées et… Passèrent les premières!
Elles s’agrippèrent à une première prise et tirèrent de toutes leur forces pour s’extraire de l’eau. Leurs opulentes poitrines ruisselantes d’eau apparurent alors à nos yeux éblouis!
Elles s’élevèrent alors doucement hors de l’eau et leur postérieures firent à leur tour une apparition! Leurs slips en coton, tous trempés, étaient devenus à moitié transparents et c’est le souffle court que nous contemplions un tel spectacle.
Leurs fesses rebondies qui se trémoussaient devant nos yeux exorbités et leur dos cambrés sur lesquels leurs longs cheveux dégoulinaient propulsaient en avant leur fermes poitrines aux tétons tout dur de la fraîcheur de l’eau… Malgré la température, je sentais inexorablement mon sexe se gonfler! Le spectacle était d’un érotisme trop puissant pour que mon jeune sexe de 18 ans puisse rester de marbre; et Marc était semble t-il dans le même état!
Elles escaladèrent prestement le rocher et s’assirent fièrement sur le promontoire… attendant notre tour!! Je priais le ciel pour que ma verge reprenne des dimensions plus décentes et je commençais mon ascension aux côtés de Marc… Une fois sortis de l’eau, nos slips arboraient une méchante bosse mais à mon grand soulagement, du promontoire, elles ne pouvaient rien voir… Cela nous laissait une minute pour refroidir nos ardeurs. Du moins si rien d’autre ne venait contrarier ce scénario… Car arrivé à mi-chemin, voyant nos hésitations à trouver une prise, les deux filles s’approchèrent du bord pour nous guider…. Mais dans quelles positions!!!
L’une était à quatre pattes pour avancer son visage plus en avant et ses seins ronds et plains se ballottaient sous elle et juste au-dessus de nous! Quant à Maréva, elle était assise tout au bord, les genoux ramenés sur sa poitrine et les mains autour, offrent ainsi sa vulve rebondie bien en saillie sous le tissu mi-transparent à notre regard!! Nos queues se redressèrent comme jamais et c’est avec nos slips en forme de tente que nous sommes arrivés sur le promontoire, ivres de honte et d’excitation!
Les filles nous jetèrent un regard amusé mais très appuyé ce qui ajouta à nos sentiments mêlés…
De mon coté, Maréva avait réussit à renfiler son sous vêtement jusqu’au genoux; alors je n’hésitais pas à plonger pour l’attraper et le tirer vers le bas, apercevant au passage sous l’eau mais très subrepticement… Son sexe!! Je le tenais fermement et voyant qu’elle allait le perdre, elle se jeta à son tour sur moi et … Agrippa sauvagement le mien qu’elle tira dans tous les sens jusqu’à ce qu’il se déchire et libère mon gros sexe tout bandant!
Pendant ce temps, pour se venger Gabrielle en faisait autant avec Marc et bientôt nos sous-vêtements se perdirent par petits bouts au fond du torrent! Nous nous sommes alors retrouvés tous les quatre complètement nus à nous regarder en rigolant.
Maréva, pliée de rire dit " Qui veut encore plonger?"
Marc et moi nous sommes regardés, tout rouges, ne sachant pas quoi faire; d’un côté si on ne remontait pas sur le rocher, elles n’iraient pas non plus et nous perdrions peut-être une occasion unique de les voir entièrement nues pendant tout le temps de l’escalade; mais, d’un autre coté, on allait devoir s’exhiber, et sous quel angle! Et avec nos érections à tout rompre, c’était si embarrassant, si humiliant!
J’eus alors une idée lumineuse! Je suggérais: "OK; Marc et moi allons monter sur le rocher; mais vous attendrez que nous ayons plongé pour que vous montiez à votre tour"!
Elles ne s’attendaient pas à ça mais trouvaient que c’était juste… Et acceptèrent!!!
Ils ne restaient plus qu’à prendre notre courage à deux mains et à.. Le faire. Leurs yeux gourmands et leurs ricanements ne nous aidaient guère mais après maintes hésitations, nous avons agrippé une prise et nous sommes … Extraits de l’eau…
Lorsque nos fesses leurs sont apparues, nous avons entendu quelques gloussements de satisfaction mais lorsque nous avons dû largement ouvrir nos jambes pour aller chercher une prise lointaine, nos couilles se sont totalement dévoilées à leur regard lubrique et j’en failli lâcher prise et retomber! Ma queue toute dressée devant moi me gênait terriblement car je ne pouvais m’approcher de la paroi comme il aurait fallu. Au moins, pensais-je, si elles voient mon cul et mes couilles, ma queue, entre mon bas ventre et le rocher était à l’abri de leur regard! Mais les satanées diablesses se positionnèrent latéralement pour ne rien manquer!
C’est ainsi, que, complètement nus et le sexe pulsant à l’horizontal sous les regards perçants de deux superbes blondes nues elles aussi, je grimpais tant bien que mal, le souffle court et l’esprit barbouillé de honte et de plaisir. J’atteignais péniblement le promontoire et aidais Marc à se relever; c’est alors qu’en le tirant, au moment ou nous étions debout, il perdit légèrement l’équilibre et s’affala sur moi; afin d’éviter la chute, je le rattrapais sous les aisselles mais un court instant, nos corps se sont plaqués l’un contre l’autre, poitrine contre poitrine et … Sexe contre sexe! Nos queues se sont entrechoquées et les filles poussèrent une sorte de cri d’effroi devant cet incident ô combien évocateur! Nous étions extrêmement gênés et le temps de reprendre nos esprits et de se positionner pour sauter, les filles eurent tout le temps d’admirer, et notre plastique, et notre état en leur faisant face, debout, les jambes légèrement écartées, nos queues bien droites, juste au-dessus de leurs têtes! Rien, strictement rien de notre anatomie n’avait pu leur échapper!
Nous avons sauté ensembles dans une immense gerbe d’eau, bien soulagé de mettre fin à ce supplice et bien content de
A ce stade, Marc et moi fomentions les plus fous espoirs!
Très vite, nous avons repris nos esprits à l’idée du spectacle qui allait nous être donné !
Et c’est avec un beau sourire narquois que nous les avons vivement encouragé à se mettre…en piste.
Nullement déconcertées ni le moins du monde embarrassées, elles commencèrent leur escalade révélant de nouveau leurs superbes poitrines et leur splendides culs tout ronds, tout fermes mais, cette fois…plus rien pour nous cacher quoique se soit ! Et c’est le souffle coupé que nos yeux se portèrent sur leurs croupes rebondies et qui s’ouvraient au gré de leurs mouvements plus ou moins…ouverts de leurs jambes !
Le spectacle était hallucinant ! Leurs beaux corps musclés se contorsionnaient autour des obstacles, leur dos cambrés, leurs chevelures se balançant de droite et de gauche, caressant leurs reins, leurs seins pointés en avant et effleurant la paroi, leurs moules s’ouvrant et se refermant sans retenu aucune au fur et à mesure de leur progression ! Hallucinant !
Une fois en haut en bien moins de temps que nous en avions mis, elles se relevèrent, se firent face et se donnèrent…une accolade ! Comme pour se féliciter mutuellement de leur exploit sans doute, mais aussi et certainement pour faire allusion à notre propre accolade accidentelle ! Des frissons remontèrent tout le long de ma moelle épinière devant ces deux filles nues s’écrasant leurs seins les uns contre les autres !
Elles avaient probablement ressenti une forte émotion en voyant Marc et moi dans la même position et plutôt provocatrices dans l’âme, elles voulaient sans doute voir nos réactions en retour !
Marc et moi balbutions " Mais…mais que font-elles ? " Puis elles plongèrent aussi gracieusement que la première fois, nous laissant bouche bée.
LA FRUSTRATION
Elles ne réapparurent que de longues secondes plus tard et…. Pratiquement au bord de la plage ! Elles allèrent s’envelopper rapidement dans leurs serviettes pour se sécher et à notre plus grande surprise et déception, nous ne verrions plus rien d’autre de la journée ! Nous sommes alors sortis piteusement de l’eau, les verges bien hautes et le moral bien bas mais le plus dur était de devoir débander ! A notre âge et après une telle aventure érotique, c’était un supplice insupportable !
Nous avons bien essayé quelques tentatives main sans succès alors pour se venger et avant qu’elles ne s’enferment dans leur tente pour se rhabiller, nous leur avons subtilisé leur SG et les avons jetées dans le torrent !
Les filles nous ont alors snobés et nous ont demandés d’aller jouer ailleurs et de préparer du feu pour le dîner au lieu de nous faire des idées ! Nous n’en revenions pas de nous être fait allumer comme ça jusqu’à ce point et d’avoir à remballer nos ustensiles tout neufs qui ne demandaient qu’à être étrenné !
A contre cœur, nous nous sommes donc rhabillés mais, nous n’avions aucun vêtement de…rechange, donc pas de slip sous nos shorts ! Non seulement cela devait être inconfortable, mais nous aurions à faire attention à nos positions !
Nous avons retrouvé les filles autour du feu pour dîner ; elles portaient exactement les mêmes vêtements qu’en venant, sauf qu’elles n’avaient pas remis de SG…. Ce pourrait-il qu’elles n’en ait pas prévu en rechange non plus ? Et quand était-il du reste ? L’idée qu’elles ne portaient pas non plus de culottes nous valu une nouvelle montée de sève fraîche dans nos bourses et raviva notre verge débandée !
Nous nous contorsionnons pour essayer de voir sous la jupette de Gabrielle ou dans l’entrebâillement du short en jean de Maréva mais devant notre petit jeu agaçant, elles nous invitèrent à le stopper sans autre avis !
Si l’humeur de la soirée était restée bon enfant, les filles, cependant, par quelques remarques bien placées nous firent comprendre que les jeux d’eau et autres étaient terminés pour aujourd’hui.
Nous avons donc trouvé le sommeil bien difficilement. Marc et moi avions prévus de dormir en slip mais n’en ayant plus, nous avons passé la nuit à poil, sur nos duvets du fait de la chaleur épouvantable.
Je ne pouvais cesser de repenser à cette journée incroyable et ces fortes émotions érotiques que j’ai ressenti jusqu’à en avoir mal aux couilles et alors que ma queue se redressait à ces pensées lubriques, je m’aperçus à la lumière de la lune, que Marc bandait aussi fort que moi et qu’il se masturbait ! Je fus très impressionné par la taille de son membre, que j’avais certes vu dans l’après-midi, mais mes yeux étaient assez naturellement attirés par d’autres formes (..) , Et par l’ardeur qu’il mettait à activer sa main sur toute sa longueur !
Il pensait sans doute que je dormais !
J’étais très troublé devant sa jouissance montante et les images de l’après midi eurent vite fait d’entraîner, à mon tour, ma main sur mon sexe bandant et qui bavait d’impatience. Il s’en aperçut et me lança " Co. Comment ? Tu ne dors pas ? " Je lui répondis que je ne pouvais pas m’empêcher de repenser aux filles et à ce qu’elles nous ont fait subir ; il m’avoua être dans le même état et plutôt que de nous cacher chacun d’un coté, nous nous sommes assis sur nos talons, face à face. Je me branlais devant lui sans aucune pudeur et il s’astiquait son manche sans plus de retenu ! Je n’en revenais pas ! Comment aurais-je pu imaginer faire ça devant quelqu’un d’autre, de surcroît…un garçon ! Il est vrai que la nuit était peu illuminée mais la lueur de la lune en révélait suffisamment…. Je ne savais plus ce qui m’excitait tant et mon esprit se troublait : était-ce l’expérience unique d’aujourd’hui avec ces deux blondes sculpturales…sans doute…quoi d’autre ?…..Marc, nu devant moi en train de se branler ? Pourvu que non …
Après tant d’excitation, il ne nous fallut pas longtemps pour que nous giclions…l’un sur l’autre en plus !
J’essuyais son sperme tandis qu’il faisait de même avec le mien…je ne ressentais même pas de la gêne…j’étais content pour lui et il me répondit d’un sourire…et nous nous sommes enfin endormis profondément.
à suivre