n° 06884 | Fiche technique | 18161 caractères | 18161Temps de lecture estimé : 11 mn | 18/10/03 |
Résumé: Nathalie se donne de plus en plus facilement pour mon grand bonheur | ||||
Critères: fhh extracon extraoffre cocus fsoumise voir exhib fmast hmast fellation cunnilingu 69 ecriv_c | ||||
Auteur : Nic Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Nathalie Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Suite à nos premières expériences très réussies, nous avons voulu continuer. Nous évoquions pourtant jamais ce sujet ; Pourtant quelques sourires complices, quelques regards vers son sexe imberbe nous a rappelé toute cette soirée de grands plaisirs.
Un soir, à la faveur de l’intimité de notre lit conjugal, nous avons repris notre discussion. Nathalie me déclare alors son envie de recommencer une soirée avec Jacques et ses amis. Je ne sais que répondre. L’envie me taraude aussi mais je redoute de la perdre. Je la mets en garde :
Cette diablesse me connaît trop bien ; il m’est alors difficile de résister à sa demande.
Le lendemain, dans la journée elle est parvenue à le joindre. Il s’est évidemment montrer très enthousiaste à l’idée de nous rencontrer à nouveau d’autant plus que Nathalie l’avait invité à prendre le café pour le samedi suivant.
Vers 14h30, Nathalie était partie emmener les enfants à leurs activités lorsque Jacques est enfin arrivé un magnifique bouquet de fleurs à la main. Je l’ai fait entrer et lui ai proposé un café agrémenté d’un cognac. C’est à ce moment que Nathalie est arrivée dans le salon. Jacques, toujours gentleman s’est levé. Elle s’est approchée de lui. Très lentement tout en me regardant dans les yeux elle s’est laissée embrasser sur la bouche longuement.
Le message était clair ! Je l’avais à nouveau « perdue ». Jacques s’est rassis et nous avons repris notre discussion. Nathalie nous a laissé quelques minutes.
Nathalie nous rejoint à cet instant. Elle a entendu la fin de notre conversation et nous sourit tendrement. Je m’aperçois qu’elle s’est changée : elle est à présent en robe, bas et talons hauts. Jacques lui demande de venir s’asseoir près de lui, ce qu’elle fait docilement. Nous continuons à deviser tout en buvant notre cognac.
Jacques tout en me parlant, demande à mon épouse de venir s’asseoir sur ses genoux. La discussion continue et je vois la main de notre invité qui commence à caresser le bras nu de Nathalie. Elle me regarde, me sourit ; elle est heureuse dans les bras de cet homme.
Jacques prend son verre, boit un peu, puis le porte aux lèvres de mon épouse qui boit à son tour. Je suis dans un état d’excitation incroyable et nous n’en sommes qu’au début !
Jacques lui déboutonne le haut de sa robe, puis sa main en écartant le bustier ainsi ouvert, libère un sein. Je regarde ce spectacle fasciné attendant la suite.
Jacques me parle de notre maison, je ne l’écoute plus, mon attention se portant exclusivement vers cette main qui caresse, vers ces doigts qui font rouler ce téton, qui le tirent, le pincent. Mon érection est douloureuse dans mon pantalon. Je n’ai qu’une envie : me caresser.
Nathalie apprécie visiblement la caresse et se détend complètement. Ce petit jeu dure quelques minutes puis Jacques dit tout en m’adressant un clin d’œil :
J’ai cru que j’allais jouir dans l’instant. Ce diable d’homme me volait ma femme, ma vie. Je devenais l’invité.
Répondit-elle tout en se levant pour nous remplir généreusement nos verres. Elle se penche, ses seins lourds sont complètement sortis de sa robe. Son décolleté me dévoile son corps jusqu’à ses cuisses. Elle porte sa chaîne autour de la taille mais pas de culotte…
Après avoir rempli nos verres elle me regarde en souriant. Je l’aime à la folie !
Puis ma tendre épouse se blottit à nouveau dans les bras de notre invité qui aussitôt reprend ses caresses.
La discussion a alors pris un tour plus sérieux lorsque Jacques nous a déclaré avec beaucoup de douceur et de tact :
Nous nous sommes longuement regardés avec mon épouse. Au bout de quelques secondes je me suis rappelé de ses paroles : « …Ton plein accord… ».
J’ai alors pris la parole.
Jacques s’est alors tourné vers Nathalie. Mon épouse lui a alors souri, puis l’a embrassé tendrement lui témoignant ainsi son accord.
Celui-ci devant cette situation très érotique n’a pu cette fois éviter de se laisser entraîner par son envie. Jacques, généralement très maître de lui, presque flegmatique, semblait alors très excité, embrassant mon épouse avec passion, tout en caressant son corps, pétrissant ses cuisses. Je ne pus résister plus longtemps, et baissais mon pantalon pour me masturber.
Jacques demande alors à Nathalie de venir me prendre dans sa bouche. Elle se lève et s’agenouille devant moi. Sa bouche sensuelle s’ouvre et gobe la totalité de mon sexe d’un seul coup.
Jacques regarde la scène en souriant. Je vois une bosse imposante dans son pantalon.
Nathalie me suce divinement, je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends Jacques lui dire :
A ces mots j’éjacule dans la bouche de ma femme qui ouvre des yeux immenses. Elle ne sait que dire, que faire, à part avaler !
Nathalie me regarde. Je lui souris et lui chuchote : « vas-y si tu le veux, ça m’excite tu sais. »
Elle se relève, m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime à la folie. Je suis très fier d’elle.
Jacques est déjà debout son manteau à la main. Pendant que Nathalie va chercher le sien il me dit :
Puis je les raccompagne à la porte et après un dernier baiser, je laisse partir ma femme avec Jacques.
Je restais seul dans notre maison vide. Toutes les pièces exhalaient le doux parfum de Nathalie me laissant encore plus seul et encore plus excité.
Je me suis donc occupé des enfants leur expliquant que maman était partie faire des courses. Par bonheur notre baby-sitter était disponible ce soir-là, aussi lui ai-je conseillé de dormir à la maison ignorant à quelle heure nous rentrions. J’ai pu donc régler tous les problèmes d’intendances rapidement. Je suis resté un long moment dans notre chambre conjugale attendant avec impatience le coup de téléphone. Puis après m’être occupé des enfants et m’être préparé, j’ai attendu avec beaucoup d’impatience le coup de téléphone de Nathalie ou de Jacques.
C’est lui qui m’a appelé vers 19 heures 30. Sans aucun autre détail il me donnait rendez-vous vers 20 heures 30 chez lui.
Dans un état d’excitation et d’énervement incroyables je suis arrivé un peu en avance. Nathalie et Jacques m’attendaient. Je regarde mon épouse. Elle porte une robe noire à large décolleté et surtout arbore un sourire radieux. Sa tenue était très provocante, et surtout pleine de promesses…
Après un apéritif très copieux, Jacques me remercie pour la merveilleuse après midi passée avec mon épouse avec un sourire énigmatique.
Le souvenir de Nathalie sans dessous au moment du café s’est ravivé dans ma mémoire…
Je regarde ma femme. Elle me rend mon regard avec un léger sourire.
Jacques tout en me regardant ajoute :
Il pose alors sa main sur le canapé, le majeur pointé vers le plafond alors que Nathalie docilement, sans un regard pour moi, s’approche, soulève le bas de sa robe et s’assoit sur cette main, sur ce doigt.
Je ne reconnais plus ma femme, mais la voir soumise ainsi m’excite.
Jacques continue de parler de choses et d’autres interrompu parfois par de petits soupirs de Nathalie.
Au bout de quelques minutes Jacques me regarde et dit :
Nathalie docilement se lève et attend près de lui.
Nous sortons rapidement et prenons la voiture de Jacques.
Nathalie prend place à côté de lui.
A un feu rouge Jacques regarde Nathalie qui se rapproche de lui et l’embrasse longuement presque amoureusement.
Nous arrivons enfin à notre destination : un parking désert faiblement éclairé. La voiture arrêtée, Jacques allume le plafonnier du côté de mon épouse. Un silence pesant tombe dans la voiture ; nous savons tous ce qui va se passer. Quelques secondes ont suffi pour qu’un premier homme s’approche lentement. Jacques caresse la cuisse de Nathalie tout en chuchotant à son oreille. Je ne peux entendre ce qu’il dit mais je vois mon épouse respirer profondément et soupirer, signes de son trouble.
Le voyeur est là près d’elle. Alors lentement, tout en continuant de lui parler, Jacques déboutonne complètement la robe de Nathalie afin d’exhiber son corps. L’homme a sorti son sexe et se caresse à quelques centimètres de ma femme, séparés seulement par la vitre.
Jacques demande à Nathalie de se caresser ce qu’elle fait sans aucune gène. C’est un homme d’une bonne quarantaine, assez laid. Jacques demande à Nathalie d’ouvrir sa portière, permettant ainsi à l’homme de toucher mon épouse qui se laisse faire. Sa main pétrit ses seins avec rudesse, maladroitement, puis descend jusque vers la vulve de Nathalie. Jacques donne un préservatif à Nathalie. Le message est clair…Sous mes yeux éberlués je vois ma tendre épouse mettre le préservatif dans sa bouche et enfiler la capote sur le sexe tendu de cet homme. J’ignorais totalement qu’elle était capable de cela ! Elle entreprend alors une fellation sous le regard goguenard et les commentaires salaces de l’homme.
Rapidement celui ci se tend et jouit dans un râle dans la bouche de Nathalie. Nous repartons le laissant là à attendre d’éventuelles autres voitures.
Jacques regarde Nathalie avec beaucoup de tendresse.
Nous nous garons devant un club privé situé dans le centre de notre ville. La soirée n’est donc pas terminée. Je ne sais que penser, mais cette situation m’excite et j’ai envie de continuer.
L’ambiance est feutrée, des tables sont disposées tout autour d’une piste de danse. Il n’y a pas beaucoup de monde : quelques couples dansent, plusieurs hommes seuls disséminés dans la salle les observent.
Nous nous installons à une table et nous dégustons une bouteille de champagne. Nos sens se réchauffent rapidement. Nathalie a les yeux qui brillent de bonheur…
Jacques lui demande d’aller au bar s’asseoir. Dans un sourire elle se lève et s’installe au bout du bar dans une demi-pénombre.
Jacques me rappelle alors les règles que nous nous sommes fixés : Nous pouvons arrêter ce jeu à tout moment.
Ses paroles me rassurent et je regarde Nathalie avec amour assise sur un tabouret haut, souriante, les jambes croisées, dévoilant ainsi largement une jambe à la vue de tous. Elle est belle, désirable, je suis fier d’elle, d’être son mari !
Au bout de quelques minutes un couple s’approche d’elle et lui offre une consommation. Elle accepte en riant. Elle boit encore. Devant la réaction de Nathalie, l’homme rapidement s’enhardit : il pose une main sur sa cuisse. Mon épouse, lui sourit tout en le regardant. Il se rapproche d’elle et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Il profite alors pour lui donner un baiser dans le cou.
Ma tendre Nathalie renverse sa tête en arrière comme une invitation. L’homme passe derrière Nathalie, la prend par la taille et doucement tourne le tabouret afin de placer mon épouse en face de la femme. Tout doucement celle-ci se rapproche et pose sa main sur la cuisse nue de Nathalie.
Mon épouse se tourne sa tête vers nous ; du coin de l’œil j’aperçois Jacques lui sourire, comme un ordre muet lui intimant de continuer.
Alors Nathalie regarde la femme et très doucement approche son visage, sa bouche. Pour mon plus grand plaisir je vois ces deux femmes s’embrasser tendrement, longuement.
La situation m’excite énormément, quel homme n’a jamais rêvé de voir cela ?
Toujours avec beaucoup de douceur, la femme attire Nathalie vers une espèce d’alcôve située tout au fond du club. Jacques, le mari et moi les suivons sans un mot.
Tout en s’embrassant, lentement la femme ouvre la robe de Nathalie et commence à caresser son corps. Jacques et moi ne bougeons plus admirant ce spectacle d’une rare tendresse, d’une rare délicatesse. Les deux femmes se déshabillent mutuellement. Elles s’embrassent, se lèchent, se mordillent ; petit à petit les caresses se font plus précises, plus franches. Mon sexe me fait mal mais je n’ose rompre l’harmonie de cet instant en le libérant. Pas un mot d’échangé, seulement des soupirs, des petits cris de bonheur et des respirations haletantes.
Elles se retrouvent bientôt tête bêche. La femme est la première à poser sa bouche sur le sexe de sa partenaire, Nathalie semble hésiter une seconde puis tout doucement pose ses lèvres sur la vulve luisante d’excitation de cette femme totalement inconnue. Avec toujours beaucoup de douceur elles se lèchent, se pénètrent avec leurs langues, s’aspirent, se goûtent, se délectent de leurs sécrétions. Le spectacle qui nous est offert est merveilleux. Dans un parfait synchronisme ces deux corps se tendent une dernière fois dans un orgasme simultané.
Le mari, Jacques et moi restons silencieux un long moment les laissant récupérer. Elles se cajolent tendrement puis Nathalie lève enfin son regard brillant vers nous, comme si elle venait juste de se rappeler notre présence. Elle respire le bonheur. Dieu qu’elle est magnifique, que je l’aime !
Elle rit doucement et dit :
Nathalie, entièrement nue, se relève et se dirige vers nous. Mon cœur s’arrête presque. Je la désire tant.
Regardant Jacques elle s’arrête devant lui et lui dit :
Jacques lui prend la main, l’attire vers lui et l’embrasse.
Il lui dit seulement :
Elle se rhabille rapidement et tous les deux nous sortons du club.
Nous rentrons en taxi pour récupérer ma voiture dans un silence total.
Une fois seuls en voiture, elle me dit tendrement.
Puis comme pour me rassurer définitivement je lui demande :
Je suis très fier d’elle, de notre couple. Sa réponse est tout ce que je voulais entendre, aussi ajoutais-je simplement :