n° 06895 | Fiche technique | 17927 caractères | 17927 2901 Temps de lecture estimé : 10 mn |
29/01/23 corrigé 29/01/23 |
Résumé: Une réception a priori banale se transforme en une nuit de plaisir | ||||
Critères: ff extracon grosseins fépilée fête fetiche intermast cunnilingu | ||||
Auteur : Fétichic et Florence libertine |
Florence jette un dernier regard dans la glace de la salle de bain afin de vérifier que rien ne cloche.
Cette soirée sera une bouffée d’oxygène dans sa vie de couple qui devient un peu plus monotone de jour en jour. Terminé les petits repas au restaurant, les virées en amoureux, Marc ne s’occupe plus d’elle comme avant. La dernière sortie remonte à la nuit des temps et les soirées se passent le plus souvent devant la télé. Alors, quand il lui a proposé de se rendre à la réception organisée pour le départ de son patron, elle a accepté tout de suite.
Malheureusement, elle connaît déjà quelques collègues de son mari, dont les épouses, plus âgées qu’elle, ne l’amusent pas beaucoup, et le repas risque d’être un peu ennuyeux, mais tout est bon pour éviter une nouvelle soirée canapé.
À bientôt 35 ans, Florence est une superbe fille, un visage aux traits fins, de longs cheveux bruns, des yeux bleus, un corps splendide entretenu par une pratique régulière de la gymnastique, une poitrine pas trop grosse, mais bien ferme, et son meilleur atout, des jambes magnifiques. Enfin une femme qui attire les regards aussi bien masculins que féminins.
Toujours très féminine, et à la pointe de la mode, elle a revêtu pour cette soirée une robe simple, mais très décolletée, qui laisse deviner un adorable soutien-gorge en dentelle. Comme ses jambes sont encore bien bronzées, elle a décidé de ne pas mettre de bas, par contre, elle porte une paire d’escarpins à hauts talons cachant à peine ses pieds fins, mais forçant la cambrure du mollet, ce qui lui fait une silhouette qui, ce soir, ne passera pas inaperçue. C’est ce qu’elle veut, car elle a besoin de se sentir désirée, d’autant que Marc ne lui a fait aucun compliment sur sa tenue, mais ça, elle s’en doutait un peu.
L’organisateur de la fête a réservé une salle dans un château entouré d’un immense parc, comme il fait encore chaud en ce mois de septembre, les invités peuvent déambuler entre l’intérieur, la terrasse et la pelouse. Il y a déjà beaucoup de monde quand Florence et Marc pénètrent dans la salle, et après les saluts et les présentations d’usage, le couple navigue parmi les invités. Pas mécontente du tout, Florence constate que beaucoup de regards se perdent dans son décolleté ou le long de ses jambes, certains hommes osent un sourire, et elle se dit que si elle n’était pas accompagnée, elle aurait déjà été courtisée. Cette pensée lui donne une bouffée de chaleur, c’est vrai qu’au niveau relations sexuelles ce n’est plus l’euphorie des premiers jours, et les contacts charnels lui manquent énormément, elle s’en rend compte ce soir.
Florence lui emboîte le pas, ils rejoignent un homme qui doit avoir à peu près la quarantaine.
Marc le présente comme son meilleur collègue et s’étonne de ne pas voir sa jeune épouse.
Une fille que Florence n’avait pas remarquée se retourne alors. La femme de Jean-Pierre est très belle et elle dégage une sensualité extraordinaire qui fait naître chez Florence des sensations qu’elle n’a pas ressenties depuis longtemps.
Les présentations sont faites. Christine tend une main aux longs ongles parfaitement peints. Le contact est très sensuel, d’autant plus qu’en lâchant la main de Florence, elle laisse traîner ses doigts qui lui caressent la paume, tout en plongeant son regard dans le sien d’une manière très appuyée.
Florence rougit et se dit que cette femme est en train de la charmer. Elle la détaille un peu mieux et constate qu’elles ont les mêmes mensurations et que leurs silhouettes sont parfaitement identiques, à la différence que Christine porte de longs cheveux blonds. Elle est vêtue de ce que l’on pourrait appeler une microrobe qui cache à peine une poitrine plus qu’avantageuse, et dévoile de longues jambes nues galbées par des escarpins à talons vertigineux.
Leur hôte a organisé un énorme buffet et des tables sont dispersées un peu partout dans la salle. Après avoir rempli leurs assiettes, les deux couples se dirigent vers une table un peu à l’écart, les deux femmes se retrouvent assises l’une en face de l’autre.
La conversation file bon train, passant des anecdotes du bureau aux sujets un peu plus sérieux. Florence y participe vaguement, son attention focalisée sur Christine avec qui elle échange des regards et des sourires qui commencent à enflammer son bas-ventre.
Tout à coup, Florence sursaute, le pied de sa voisine a touché le sien et le contact se fait de plus en plus appuyer. Christine lui sourit tout en participant à la conversation comme s’il ne se passait rien. Florence se demande jusqu’où elle va oser aller et attend la suite avec impatience, pour une fois qu’il se passe quelque chose d’intéressant. Après un long moment sans qu’aucune des deux n’ait bougé, Christine retire son pied, ce qui provoque une grande déception chez Florence, mais, pas pour longtemps, car maintenant, c’est complètement déchaussé que Florence repasse à l’attaque, et avec les orteils, lui caresse la cheville et le dessus du pied. Florence s’affole et regarde autour si personne ne remarque leur petit manège, mais là où elles se trouvent le dessous de leur table est assez dissimulé et elles ne risquent pas d’être vues.
Les deux hommes s’éloignent, les laissant seules.
En disant ces mots, ses orteils tentent de s’infiltrer entre le cuir de l’escarpin et le pied de Florence forçant celle-ci à se déchausser. Les deux pieds nus se rejoignent et les orteils se mélangent, provoquant chez Florence de douces sensations.
Des sensations qui la ramènent plusieurs années en arrière, quand elle était amoureuse de la fille avec qui elle partageait une chambre à l’université. Elles faisaient souvent l’amour et passaient de longs moments à se lécher les pieds, ce qui lui donnait toujours des orgasmes puissants.
Ces souvenirs lui rappellent également combien les plaisirs charnels lui ont manqué ces derniers temps, et qu’elle se sent prête à toutes les folies avec cette femme délicieuse.
Florence se penche sous la table et peut enfin voir le pied qui la caresse, un pied extrêmement fin aux ongles ornés d’un rouge carmin. Les deux jambes s’écartent un peu plus, et son regard se pose sur un sexe complètement lisse dont les lèvres gonflées commencent à briller d’humidité.
Florence est paniquée, mais la situation commence à l’exciter. Elle ne se sent pas exhibitionniste, mais elle ne peut ignorer le liquide qui commence à lui tremper le string, donc elle a tout intérêt à l’enlever.
Le plus discrètement possible, elle glisse une main sous sa robe, et d’un doigt, elle écarte l’élastique de sa culotte. En soulevant une fesse et puis l’autre, elle se débarrasse de son sous-vêtement qui glisse le long de ses jambes.
Pour la deuxième fois, elle se plie sous la table, le ramasse prestement et le glisse dans son sac à main. Quand elle reprend sa position bien droite sur sa chaise, elle est rouge de honte. Christine la regarde d’un air satisfait et se laisse aller un peu plus en arrière.
Sous la table, le pied de Christine reprend son exploration et écarte les deux jambes de son amie. Avec une douceur infinie, elle caresse l’intérieur des cuisses en passant de l’une à l’autre. La sensation est extraordinaire, la plante du pied est si douce que les caresses sont comme du velours. Il ne faut pas longtemps à Florence pour que ce petit traitement lui fasse monter des ondes de plaisir. Maintenant, elle se moque complètement de ceux qui l’entourent et n’a qu’une envie, c’est que les orteils qu’elle a pu admirer tout à l’heure la pénètrent sans plus attendre. Comme si sa douce amie lisait dans ses pensées, elle avance un peu plus son pied et les orteils écartent doucement les grandes lèvres du sexe trempé et commencent une lente masturbation. En positionnant son pied de travers, Christine peut faire pénétrer trois doigts dans le vagin et son amante, et en même temps agacer le clitoris avec le pouce. La masturbation s’accélère et l’orgasme libère enfin Florence qui se mord les lèvres pour ne pas hurler de bonheur.
Les deux filles tentent de reprendre une position descente. Florence est trempée de plaisir et de sueur.
Elles se lèvent et partent à la recherche de leurs époux. Florence a encore de mal à tenir sur ses jambes, et elle s’aperçoit que le feu qui la brûle est loin d’être éteint.
Elles trouvent leurs maris discutant avec quelques collègues de bureau à l’autre bout de la salle.
Sans poser de questions, il tend le trousseau à sa femme et reprend la discussion. Les deux filles sortent de la demeure et se dirigent vers le parking qui, par chance, est un peu éloigné du bâtiment et suffisamment dans l’ombre.
Elles atteignent la voiture, une grosse berline que Christine déverrouille d’une pression sur la télécommande. Elles montent les deux à l’arrière, et une fois le plafonnier éteint, elles tombent dans les bras l’une de l’autre. Le premier baiser qui les unit est des plus passionnel, elles se mangent littéralement la bouche, les langues s’enroulent, les dents s’entrechoquent, elles s’embrassent comme si leurs vies en dépendaient.
Tout en se léchant les lèvres, elles entreprennent de quitter le peu de vêtements qui leur reste. Chacune dégrafant le soutien-gorge de l’autre, elles se caressent les seins avec passion.
Christine est enfoncée dans la banquette, ses deux pieds déchaussés en appuis sur les dossiers des sièges avant. Dans cette position, elle est complètement écartelée, offrant sans aucune pudeur son sexe et son anus à sa nouvelle copine. Florence sait que son amie attend avec impatience qu’elle y plonge sa langue, mais elle préfère faire durer le plaisir et commence à lui sucer les seins. Sa poitrine était déjà gonflée par le plaisir et la sensation de cette langue qui lui tire les tétons transporte Christine sur une autre planète. Quand la bouche qui la rend folle atteint son ventre et prend possession de son nombril, une vague de plaisir lui perfore les reins.
La poitrine de Florence n’est pas particulièrement imposante. Mais quand elle est très excitée, comme ce soir, ses tétons prennent une taille inhabituelle, et deviennent durs comme de la pierre. En prenant un sein dans une main, elle entreprend de masturber sa compagne en faisant glisser son mamelon sur le clitoris, en passant par les grandes lèvres, qu’elle écarte largement, pour finir par forcer son anus déjà bien lubrifié. Les aller-retour se succèdent de plus en plus rapidement, son sexe coule comme une fontaine, et Christine à l’impression que ce sein va la pénétrer complètement. Ses cris sont maintenant plus forts. Florence sent sa complice au bord de la jouissance, et pour la finir en beauté, elle plonge la tête entre ses cuisses et tout en glissant un doigt dans son anus, son autre main pénètre son vagin et sa langue gourmande s’enroule autour de son clitoris. Christine explose dans un orgasme qui la transporte de longues secondes dans un autre monde.
Elle met plusieurs minutes à reprendre ses esprits, tellement la jouissance a été intense. Elle embrasse Florence passionnément, et sa bouche part à la rencontre du sein qui lui a donné tant de plaisir. En savourant la poitrine de son amie, elle y retrouve le goût de son sexe, sa propre odeur la rend folle et elle déguste les mamelons avec une fougue extraordinaire. La réaction ne se fait pas attendre et Florence ressent de nouveau le plaisir l’envahir.
Christine continue la découverte de ce corps délicieux et explore de la langue et des lèvres chaque centimètre carré.
En arrivant vers les pieds qu’elle trouve admirables, Christine lèche avec gourmandise la voûte plantaire. Florence, adorant ce genre de caresses, se laisse complètement posséder par la bouche qui lui tète les orteils un à un en même temps qu’une langue agile s’enroule autour de chacun d’eux. Pendant qu’elle câline amoureusement les pieds de son amante, les mains de Christine partent en direction du sexe détrempé et déjà bien ouvert de celle-ci. Elle y rentre facilement trois doigts et avec le pouce lui masse le clitoris. Avec ce petit traitement, Florence ne se maîtrise plus et se laisse submerger pour la deuxième fois de la soirée par un orgasme qu’elle peut enfin savourer sans se retenir.
Elles essaient, tendrement enlacées, de reprendre leur souffle.
Elles se rhabillent et retouchent leur maquillage qui a un peu souffert de leurs étreintes et se dirigent vers la salle de réception.
Heureusement, personne ne s’est aperçu de rien et la soirée se poursuit encore quelques heures pendant lesquelles les deux nouvelles amies ne se quittent plus.
Sur le chemin du retour, Florence est perdue dans ses pensées.
Le pauvre, s’il savait à quoi elles allaient s’occuper ! Et en songeant à leur prochaine rencontre, elle en salive de bonheur.
Elle somnola le reste du trajet et en repensant au sexe lisse et doux de Christine, elle décida de prendre rendez-vous dès demain chez son esthéticienne pour une épilation intégrale.