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Temps de lecture estimé : 15 mn
29/10/03
Résumé:  Le vaginisme empêche Josette de baiser comme elle en a envie
Critères:  fh profélève odeurs grosseins entreseins cunnilingu préservati pénétratio init
Auteur : Istvan  (Je suis un vieux rêveur qui revisite ses souvenirs)      
Josette : quand vouloir ce n'est pas forcément pouvoir


Les relations entre enseignants et étudiants dans un petit établissement ne ressemblent pas du tout à ce qu’elles peuvent être en Sorbonne. C’était en tout cas ainsi dans la toute récente antenne universitaire où j’avais débuté comme assistant. Le cadre, dans une petite station balnéaire, était agréable, et l’ambiance était décontractée. La plupart des enseignants étaient jeunes, comme moi nouveaux dans le métier, et nous côtoyions les étudiants et étudiantes aussi en dehors des locaux. Il y avait bien sûr des professeurs qui arrivaient de loin pour débiter leur cours et repartir, mais nous autres jeunes, comparant le prix d’un abonnement de train avec les loyers en morte saison, préférions, en général, loger sur place pendant le trimestre. Habitués à cette proximité, pour ne pas dire promiscuité, on se voyait, on se causait, on se draguait même, et les conseils pédagogiques pouvaient être demandés et dispensés dans la rue ou dans un café aussi bien qu’à la sortie d’un amphi.


Je n’étais donc pas autrement surpris quand, un soir du début de l’été, Josette a sonné à la porte de la petite villa où pour un loyer modique j’avais la paix de l’âme et une vue superbe sur les dunes. Stressée par ses révisions, disait-elle, elle cherchait une oreille compatissante pour y déverser ses malheurs. Je la connaissais un peu, on se croisait assez souvent en ville et à la fac, et l’année précédente elle avait même suivi un de mes cours. C’était une assez grande fille brune, maigre, presque malingre, sa figure blanche encadrée par des cheveux raides et ternes. Pas franchement laide, mais vraiment loin d’être jolie, elle semblait toujours gênée par sa grosse poitrine, et se tenait les épaules voûtées.

La séduction était loin de mon esprit. Me voyant plutôt en sage pédagogue, grand frère ou bon copain, je l’ai invitée à rentrer. J’ai été à la cuisine chercher deux canettes, et on s’est installés dans mon salon, tous les deux face à la mer qu’on distinguait, au-delà des dunes, scintiller au soleil couchant. Moi allongé sur mon sofa, elle sur une chaise à ma droite, un peu en retrait, on aurait dit une psy et son client, sauf que nos rôles étaient inversés. Josette a parlé, moi je l’ai écoutée. Au bout d’un moment j’ai été chercher d’autres bières. Comme je l’avais vue plusieurs fois dernièrement en compagnie d’un de mes collègues, je me suis demandé si elle ne subissait pas une déception amoureuse, mais je me suis abstenu de lui poser des questions, et la conversation est restée sur le plan de ses études. La conversation d’ailleurs n’a pas été longue à s’enliser dans le silence. Josette arrachait par petits bouts l’étiquette de sa bouteille maintenant vide, et moi je me demandais si, ayant vidé son sac, elle n’allait pas se décider à partir. Humainement je ne pouvais pas la mettre dehors, mais on n’allait pas s’éterniser comme ça dans le crépuscule. Je n’avais pas envie d’une autre bière, Josette ne disait plus rien depuis un certain temps, et je me demandais ce qu’on foutait là.


Finalement, j’ai réagi. Sans vraiment réfléchir, je me suis levé, plutôt brusquement, comme si je venais de prendre une décision, alors qu’en réalité c’était un réflexe animal : j’étais resté trop longtemps immobile, il fallait que je bouge. Me voyant debout devant elle, Josette s’est levée aussi, et on s’est ainsi trouvés face à face. Je lui ai souri, machinalement, puis j’ai été frappé, fasciné, par son regard. Un regard absent ou absorbé. Elle avait les yeux vides, et fixes, comme voilés, et la figure comme molle, les lèvres entrouvertes. En un mot, le regard du désir.

Sans être un Apollon ou un Adonis, il m’était déjà arrivé de voir ce regard flou et fondant. Je l’ai revu depuis, et j’espère le revoir encore. Le regard de celle qui n’ose le dire mais qui appelle silencieusement le mâle, en l’occurrence moi.

Sans un mot je lui ai pris les mains et je l’ai attirée vers moi. Quand je l’ai enlacée, elle a fondu dans mes bras. Ses mains se sont nouées derrière mon cou, ses jambes ne paraissaient plus la porter. Un instant, j’ai pensé qu’elle allait tomber dans les pommes, mais elle a levé la tête pour chercher mes lèvres. J’étais hésitant, je ne voulais tout de même pas profiter d’une faiblesse de cette jeune femme dont j’étais en quelque sorte moralement responsable ; on a sa conscience professionnelle, sans parler de tous les emmerdes possibles si la situation tourne mal. Mais Josette dardait sa langue dans ma bouche, je sentais ses gros seins contre moi, et les mouvements de son bassin devenaient franchement lascifs. Lui tenant l’épaule de ma main gauche, je me suis penché pour passer mon bras droit sous ses genoux et je l’ai soulevée. Elle me tenait toujours par le cou, et elle a niché sa tête dans le creux de mon épaule. Elle s’est mise à me lécher le cou et les frissons me descendaient par l’échine tout droit dans la bitte.


Je l’ai portée dans ma chambre, je l’ai posée sur mon lit, toute molle et abandonnée, tournant la tête pour poser un baiser dans le creux de ma main quand je lui ai caressé les cheveux, souriant vaguement quand j’ai déboutonné son chemisier, soulevant le buste pour que je dégrafe son soutif, soulevant les fesses pour laisser passer la jupe et la culotte. Au fur et à mesure que je la déshabillais je m’étais débarrassé de mes vêtements à moi. Josette m’a tendu les bras, m’a tiré. J’ai eu juste le temps de saisir un préservatif avant de me trouver couché sur elle, qui me serrait entre ses gros seins. Je l’ai embrassée, nos langues se sont entremêlées. Josette a écarté les jambes et d’une main sur mes reins elle m’invitait à la pénétrer.

Mademoiselle est pressée, me suis-je dit, et répondant à son insistance, j’ai posé ma bitte encapuchonnée à l’entrée de son con, faisant confiance au lubrifiant pour faciliter le passage. Quéquette ! Et c’est la mienne qui a souffert ! Rien à faire. Au premier coup de reins, j’avais l’impression de me heurter contre un mur. Pourtant, mon sexe n’est pas démesurément grand, et de toute façon, n’importe quelle femme possède un vagin qui pourrait laisser passer la tête d’un bébé. Le mec qui pourrait se vanter de cette dimension-là, la porno n’en voudrait pas, c’est chez les forains qu’il devrait essayer de se montrer. Prenant appui sur mes mains, je me suis redressé pour contempler le visage de ma conquête rétive. Dans la pénombre, je n’en distingue pas grand-chose, mais j’ai l’impression qu’elle ne va pas bien, et un sanglot étouffé confirme cette idée. Serait-elle encore pucelle et prise de remords ?



Elle renifle.



Je lâche ces énormes mamelles pour chercher la poire de ma lampe de chevet. Ses seins sont grands, blancs, mous. Ils couvrent ses côtes, mais leur écartement découvre une grande largeur de peau au milieu. Les pointes sont grandes et roses. Je taquine le bout du sein droit, l’autre est un peu loin. Josette tend timidement la main pour saisir ma bitte. Je constate que j’ai débandé et que la capote est partie quelque part dans le lit.



Cédant à ma curiosité, je passe outre à la délicatesse et prononce le nom du collègue.



Elle pouffe.



Une pensée fugitive me traverse l’esprit, mais je la chasse aussitôt. Si cette fille est paralysée quand une bitte cherche à pénétrer son vagin, elle doit pas être partante pour une pipe. De mon bras gauche je la serre un peu plus contre moi. J’arrive à toucher le sein gauche par le chemin détourné. Même si je n’arrive pas à la tirer, ç’aura été une expérience de coucher avec une paire de nichons pareils. La pression de ses doigts se fait plus insistante. Je me laisse faire. Son pouce cueille la goutte au bout de ma bitte, fait le tour de la couronne. Ses doigts me serrent. J’ai l’impression d’une fille qui est tout de même fascinée par la bitte malgré qu’elle ne puisse pas la prendre en elle. Pensée émouvante et attendrissante. Je tourne la tête et on s’embrasse, longuement, profondément. Sa langue me fouille la bouche, elle se met à haleter, et sa main sur ma bitte se fait plus fébrile. Ma jouissance me surprend. Tout d’un coup j’ai les fesses qui se serrent, un spasme me décolle le bassin du matelas, et je me vide à grandes giclées.

Josette fait un mouvement pour dégager son bras droit. De sa main gauche elle tient toujours ma bitte, et de son pouce elle continue sa caresse, étalant du sperme sur mon gland. Elle passe la droite sur un sein.



J’ai l’impression qu’elle veut parler cru pour compenser son incapacité à prendre le sexe d’un type en elle.



Que répondre, sinon que ça va et qu’on est bien là ensemble. Josette n’a pas arrêté de jouer avec ma bitte. Je lui flatte les seins, les soupèse. Je me mets à genoux, à califourchon sur elle et je les prends, les serre ensemble, mets ma tête entre ses deux polochons. Je sens l’odeur de mon sperme sur les seins et sur son ventre. Je fais le tour des deux seins avec mes paumes. Je ne suis pas un dingue des grosses poitrines, mais quand on en a une devant soi, autant en profiter un max. Je sens que je ne suis pas loin de rebander. Vais-je tenter de la cravate de notaire avec ses mamelles? Mon égoïsme ne va pas si loin. Avant d’en arriver là, je vais quand même essayer quelque chose pour elle.



Je me penche et commence à picorer sa poitrine et puis son ventre de petits bécots. Je descends tout doucement, je ralentis encore quand je sens ses poils sous mon menton, puis j’arrive dans sa toison. Elle sent la pisse. Les révisions et les examens passent avant l’hygiène corporelle, c’est évident. Josette, heureusement, ne remarque pas mon sursaut de dégoût ; elle s’est crispée.



Je lève la tête et tends les mains pour empoigner ses seins.



Je baisse la tête et je me m’applique à lécher consciencieusement sa foufoune broussailleuse et puante. Petit à petit je m’y fais. Je dégage son clitoris, ce qui provoque un bref soupir. Je passe et repasse ma langue sur ses grosses lèvres, dures et serrées. À force, je les sens mollir. Quand enfin je réussis à les écarter un tout petit peu, je referme la bouche, creuse les joues et suce très fort pour faire couler ma salive. Puis je reviens à la tâche, la langue chargée de salive. Après un moment, j’ai l’impression que ce qui humecte les nymphes auxquelles enfin j’arrive, ce n’est pas seulement ma salive. La cyprine de Josette commence à couler. Elle confirme son état par un roucoulement ; ses doigts fouillent mes cheveux, et elle commence à onduler légèrement du bassin.



Ben oui, pendant que je faisais minette, j’ai eu le temps de réfléchir. Et je crois qu’il vaut mieux que Josette ne subisse pas l’assaut du mâle dans la position du missionnaire. Je lui dis que je vais me mettre sur le dos. En m’étendant, je tends le bras pour prendre une deuxième capote, et je déchire l’enveloppe.



Josette n’est tout de même pas à l’aise. Un petit rire lui échappe.



Josette rit encore.



Josette a fini de me mettre le préservatif. Elle est maintenant à genoux, penchée en avant, sa main gauche prenant appui sur mon épaule pour se maintenir en équilibre. Elle tient ma bitte entre le pouce et l’index de sa main droite. Très lentement, elle passe mon gland le long de ses grosses lèvres. Ses mouvements me sont cachés par ses seins qui pendent et me frôlent le torse, mais je sais, d’une pression d’un côté de la couronne puis de l’autre, qu’elle écarte les lèvres. Je n’ose pas bouger. Si tout à l’heure elle ne m’avait pas branlé jusqu’à l’orgasme, je serais déjà en train de décharger entre ses doigts, avec des jets puissants qui feraient danser le petit réservoir au bout de la capote. Je me mords la lèvre. Josette a les yeux fermés. Pour elle je n’existe qu’en tant que ce sexe qu’elle promène si lentement à l’entrée du sien. Je sens sur mon gland la caresse de ses nymphes. On y est presque. Josette se raidit et bloque sa respiration. Un souci m’empoigne : j’espère qu’elle n’a pas l’hymen trop solide. Mais non. Je sens la chaude humidité de sa vulve, une petite, toute petite résistance. Un petit cri de Josette, et ma verge est progressivement avalée par un con étroit mais ouvert. Josette descend tout doucement, je pousse en elle, et nos pubis se rencontrent.



Elle s’affale sur moi, écrase ses gros seins contre ma poitrine, plaque sa bouche sur la mienne.



Je la trouve bien naïve et bien optimiste; ça m’étonnerait fort que cette fille qui était tout à l’heure coincée par le vaginisme puisse se transformer immédiatement comme ça en une bombe sexuelle multiorgasmique. Et puis, d’après mon expérience, une femme peut plus facilement jouir quand elle est dessus. Enfin, c’est elle qui veut. J’obtempère : je plaque mes deux mains sur ses fesses pour garder mon sexe en elle — c’est pas le moment de déconner, me dis-je — et repliant la jambe gauche, je pousse du coude et du talon.


Josette couine, fait « oh oui, oh oui » et commence à onduler du bassin. Je voudrais, ne serait-ce par simple orgueil, faire de mon mieux pour elle. Je m’applique à nous imposer un rythme raisonnable, que je pourrai tenir un certain temps, et, guettant sa figure, j’essaie de trouver le bon angle de pénétration pour faire pression sur son clitoris. Doucement, fermement, je fais coulisser toute la longueur de ma bitte en elle. Quand je pousse, je sens que je tire ses lèvres et je vois à ses yeux que Josette sent la houle monter en elle. J’espère que les bruits de mon sommier fatigué ne vont pas la troubler. Ses mains qui, au début, me caressaient le dos sont maintenant descendues et elle appuie sur mes fesses à chaque coup de reins. Elle commence à haleter bien fort, et puis elle ouvre tout grands les yeux et crie.

Elle me regarde mais elle ne doit pas me voir. Maintenant, je suis en train de la pilonner, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et puis c’est mon tour de crier. Je me soulève sur les mains et je me déverse. Josette me prend la tête entre ses mains et me couvre la figure de baisers.



Je m’écroule à côté d’elle. Discrètement, j’attrape un kleenex et je fais avec la capote pleine un petit paquet que je laisse tomber sur le sol. Juste à temps, car voilà que Josette veut reprendre ma bitte en main. Elle tâte mes burnes, les soupèse, puis reprend mon pénis.



Elle pousse un grand soupir.



Josette s’étire et se tourne sur le flanc, laissant traîner derrière elle sa main droite qui veut maintenir le contact avec mon sexe.



Je n’ose pourtant pas ôter ma main pour éteindre, et je tarde à m’endormir de mon tour. Je me sens à la fois fier, et gêné. Fier, parce que cette fille, j’ai réussi à la pénétrer et à la faire jouir. Gêné, parce que je n’ai aucun sentiment pour elle. Physiquement, je ne la trouve pas terrible, et sur le plan de la personnalité, elle m’est indifférente. Bien sûr, je l’ai désirée, comme je serais arrivé à désirer n’importe qui du moment qu’il y avait un trou poilu entre deux cuisses, mais je n’avais pas du tout envie que cela continue.


Au réveil cependant, malgré mes sentiments confus, je n’ai pas été long à bander au contact de ses fesses maigres, ce dont Josette s’est rendu compte à son premier mouvement.



Josette se met au-dessus de moi et prend un sein dans chaque main. Elle se penche pour cracher sur ma bitte puis, appuyée sur ses coudes, elle entreprend de serrer ma verge entre ses gros nichons. Je l’ai déjà dit, je crois : je ne suis pas une force de la nature, et mon sexe disparaît entre ces deux masses de chair, bien au fond, les seins resserrés autour. Je regarde les deux bouts roses, et puis je regarde Josette dans les yeux. Elle serre et relâche méthodiquement et rythmiquement, et sur sa figure je lis une expression de concentration intense. Je sais qu’elle veut que je jouisse fort, elle ouvre la bouche, baisse la tête pour encore me lubrifier de sa salive.

Je suis fasciné pas ses seins, par le spectacle de cette pauvre fille reconnaissante qui veut me tirer le plaisir que je lui ai fait goûter cette nuit. Ma première giclée de sperme la surprend : à ce contact sur la joue, elle recule la tête, puis se repenche en avant juste à temps pour recevoir un deuxième jet sur les lèvres. Elle lèche, et fait la grimace. Malgré mon peu de goût pour mon propre liquide, je lui prends la tête pour l’embrasser sur la bouche, puis je lui passe une serviette et l’expédie vers la douche pendant que je nous prépare du café.

Au petit déjeuner, Josette me paraît préoccupée, soucieuse. Toujours gêné moi-même, je ne dis rien à part des banalités du genre lait ? sucre ? miel ou confiture ? Puis avec un grand soupir elle me regarde enfin dans les yeux.



J’ai fait de mon mieux pour ne pas trahir mon soulagement, et lui ai souhaité bonne chance, et bonne bourre !