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n° 06898Fiche technique32144 caractères32144
Temps de lecture estimé : 19 mn
29/10/03
Résumé:  Notre chère amie
Critères:  ffh jeunes freresoeur copains fellation 69 pénétratio fsodo init
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message
Anne Isabelle


Isabelle est devant sa glace. Elle est en mini bikini, Un peu mince, les seins manquent encore un peu de volume mais elle ne désespère pas. Elle vient d’avoir dix huit ans, et pourtant elle n’est pas encore comme sa mère qui elle, est si bien dotée ! Ce maillot si sexy, elle vient de se le payer un prix fou avec le restant de ses étrennes. L’ennui, c’est qu’elle ne pourra le mettre qu’avec les copains, et encore ! Parce que si ses parents la voyaient comme ça… la crise ! Mais elle est tellement heureuse qu’elle va le montrer à son frère Jean. Lui, avec ses vingt ans, c’est un homme, il appréciera. Surtout qu’il est vachement beau et bien bâti et si c’était pas son frangin…

Elle entre en coup de vent dans la chambre. Oh la vache ! Il est sur son lit, un livre à la main en train de se branler. Surpris, il se recroqueville en chien de fusil et reste sans voix.



Jean reste muet, ne sait que dire. Que faire ? Pourvu qu’elle n’aille pas le raconter partout.



Ils restent sur l’expectative, puis Isabelle quitte son soutif. Ses seins blancs restent bien fermes, comme deux moitiés de melons. Elle baisse le bas de maillot et son frère peut voir sa petite toison brune, mais surtout ses fesses bien rondes. Il avait débandé, mais cette vue le remet en forme. Il s’allonge à nouveau et reprend sans effort sa masturbation.

Isabelle est heureuse. Elle voit un mec se faire plaisir, elle s’est mise nue devant un garçon, et ça elle en rêvait depuis longtemps, tant pis si c’est son frère. Elle s’assied à côté de lui, leurs cuisses se touchent. Sa main se pose sur celle, active, de Jean. Après quelques secondes, il lui laisse l’initiative. Il caresse les hanches puis le petit cul ferme. La peau est douce, duvetée. Ce contact déclenche son plaisir et il jaillit sur le poignet et la cuisse de sa sœur.

Elle est surprise du peu de temps qu’il lui a fallu pour le faire jouir. Elle part dans la salle de bain se laver. Mais avant, du bout de la langue elle goûte ce sperme qu’elle n’avait jamais vu. La saveur est bizarre, pas terrible, mais ça doit être une question d’habitude.

Elle met un polo long, sans culotte et retourne voir Jean. Lui s’est mis en short.



Les parents d’Anne habitent à côté de chez eux. Le lendemain, Isabelle comme tous les soirs va travailler avec elle, elles sont en terminale. Et elle lui parle comme convenu avec Jean. Anne réagit comme prévu. Quant son amie lui révèle les conditions, elle bondit :



Anne est songeuse, elle est tentée parce qu’elle ne connaît rien aux hommes. D’ailleurs il n’y en qu’un dont elle rêve, c’est Jean, mais elle ne l’avouera jamais, c’est comme son frère. Avec Anne par contre, c’est différent. Elles ont déjà fait pas mal de choses. À douze ans, quand la poitrine d’Isabelle a commencé à bourgeonner, Anne a voulu toucher, elle qui n’avait rien. Et petit à petit, les caresses se sont précisées, et elles ont trouvé du plaisir à se tripoter. Mais elles n’ont pas viré gouines, et si une caresse entre fille est bien agréable, c’est insuffisant.



Isabelle rentre chez elle et décide avec son frère de la tactique à adopter le lendemain. Elle fera jurer à Anne le secret, puis lui dira la vérité, elle verra bien comme elle réagit

L’après midi, Anne arrive, impatiente de connaître l’histoire, mais ne veut pas donner suite. Et quand elle questionne son amie, celle-ci lui dit la vérité. Elle est choquée, scandalisée. Mais, en réfléchissant, au fond, elle n’est qu’à moitié surprise. Elles sont toujours ensemble, quel garçon aurait-elle pu connaître sans qu’elle le sache ?

Isabelle lui propose de le faire venir en invoquant une aide dans leur travail, on verra à ce moment là. Elle lui impose d’aller elle-même le chercher.

Elle frappe à la porte. Jean attend ce moment avec impatience :



Anne est à la fois heureuse et effrayée d’avoir franchi le pas. Maintenant elle va être confrontée à Jean. Isabelle – jubilant intérieurement – lui demande :



Quelques secondes après il entre dans la pièce. La sœur, d’un air contrit, « avoue » à Jean qu’elle a révélé leur secret à Anne.

Irrité et confus ( !) il peste contre les femmes qui ne peuvent pas tenir leur langue.

Anne intervient jurant que jamais elle ne dirait un mot. Isabelle ajoute :



Anne écoute, stupéfaite, veut protester mais aucun mot ne sort de sa bouche. Jean lui demande :



Hésitante, elle se décide quand même, mais dit :



Cette dernière hésite un instant, mais l’idée de voir son frère et sa copine nus la décide. Elle quitte son tee-shirt, baisse son pantalon et se retrouve en sous-vêtements. Bien qu’il ait déjà vu sa sœur, Jean l’admire toujours et sa queue bouge dans son slip. Il quitte son jean et une belle bosse apparaît.

Anne est restée immobile au début, mais vu la tournure des choses et avec un peu de retard, quitte son polo. La vue de ce corps dans cette tenue, bien qu’il l’ai déjà apprécié à la piscine, dans ces circonstances, fait bander Jean. D’autant que sa sœur a quitté son soutif puis se baisse pour finir son strip-tease. Devant l’hésitation des son amie à poursuivre, elle vient à son secours en lui dégrafant le soutien-gorge. Anne porte ses mains à sa poitrine, mais Jean qui baisse son slip lui fait perdre toute pudeur. Son amie en profite pour dégrafer la jupe de son amie et lui descendre sa culotte lentement en la caressant au passage.

Ils se trouvent tous trois tout nus, Jean bandant comme un taureau, Isabelle regardant alternativement son frère et son amie, et Anne, comme absente fixant le sexe dressé.

Pour un début c’est pas mal se dit Jean en comparant les filles. Le tableau est magnifique. Sa sœur est assez détendue et rassure Anne en lui caressant les épaules puis les seins. Celle-ci se blottit contre elle.

Le garçon s’assied sur le lit, invitant les filles à s’allonger près de lui.

Isabelle fait coucher son amie, celle-ci se retrouvant près de Jean. Elle lui met la main sur la hanche et remonte lentement jusqu’à la poitrine. Lorsque son amie lui caresse les seins, Anne lui rend bientôt la pareille. Jean se soulève sur le coude et admire le tableau. Il pose délicatement sa main sur la hanche. Anne tressaille, mais laisse faire. Et progressivement la main monte, enserre un téton. Elle le masse, les doigts saisissent le bout et le pincent doucement. Anne halète, Isabelle qui a laissé les seins à son frère, met la main plus bas et frictionne doucement l’entre jambe. Les cuisses serrées au début, s’écartent et l’on entend le souffle oppressé annonçant la montée du plaisir. Tout à coup Anne se serre contre Isabelle et gémit longuement : elle jouit. Jean en profite pour enserrer les deux seins et mordiller le cou devant lui. Son sexe se trouve entre les fesses, il le fait coulisser et brutalement jouit à son tour, décharge, inondant le dos d’Anne. Elle est surprise comprend soudain qu’elle n’est pas la seule à prendre son pied. Cette glaire qui lui colle, c’est le sperme, elle ne pensait pas le connaître si vite.

Jean se lève et va se doucher. Puis regagne sa chambre émerveillé de ce qui vient de se passer, estimant que c’est un bon départ.


Au lycée Anne ne travaille plus. Elle était une bonne élève. Maintenant elle oublie de rendre des devoirs. Son amie comprend qu’elle est très marquée par ce mercredi. Elle en parle à son frère.

Jean s’effraie de cette réaction. Il demande à Isabelle qu’Anne passe le voir. Elle vient un soir à la sortie des cours, espérant une suite agréable aux jeux de la dernière rencontre.

Il lui parle en grande personne. D’accord pour poursuivre les jeux, mais à deux conditions : garder le secret, mais aussi travailler en classe car sinon ses parents s’inquièteront pour le bac et auront vite fait de la faire parler. Aussi, plus de rencontre jusqu’au bac. Anne affolée comprend l’importance de l’enjeu. Si elle veut connaître les plaisirs de l’amour, mais surtout garder Jean, il lui faut travailler.

Pendant deux mois, pas de rencontres frivoles.

Début juillet. Les filles ont réussi le bac. Tout va bien.

Les familles doivent partir en vacances l’une courant juillet l’autre en août. Mais en attendant les « jeunes » restent ensemble.

Le premier jour où ils sont libres., Anne arrive. Elle porte un chemisier blanc et une jupe bleue marine, la tenue d’une élève sage. Elle se précipite dans la chambre d’Isabelle. Celle-ci toute nue se dore sur la moquette devant la baie grande ouverte. Elle lui dit :



Elle bondit vers la chambre et entre sans frapper. Jean en slip est en train de ranger des dossiers. Elle lui saute au cou, l’embrassant sur les joues puis glisse vers les lèvres. Comprenant l’invitation, il les lui taquine avec le bout de la langue, puis pénètre dans cette bouche vierge de tous baiser. Ce n’est pas du grand art mais la spontanéité de la jeune fille l’enchante. Par dessus la jupe, il lui caressa les fesses et fait remonter le tissu. À sa grande surprise, il ne sent pas de culotte.



Elle écarta son chemisier dévoilant ses seins nus.


Jean est à la fois surpris et heureux. Il la prend gentiment dans ses bras et la fait asseoir sur son lit. Devançant ses intentions, Anne quitte son corsage et sa jupe. La sage collégienne qui venait d’entrer s’est transformé en femme en chaleur. Elle s’allonge et attend son amoureux. Devant un tel spectacle, Jean perd la tête. Il quitte son slip et s’allonge contre elle. Son sexe vient s’incruster dans la fourche moussue, le gland agacer le clitoris. L’antre d’amour est toute humectée. Il suffit d’un tout petit mouvement pour dépuceler Anne. Il se contente de se frotter doucement contre elle, ne voulant pas brusquer les choses. Il lui lèche la poitrine, mordillant les tétons pendant que ses mains pétrissent les petites fesses.

Le bruit de l’ouverture de la porte les fait sursauter. Isabelle, nue les contemple.. Elle éprouve un sentiment de jalousie : son frère lui appartenait, c’est elle la première qu’il a vu nue.



Jean est enchanté de continuer le jeu sexuel à trois. Mais Anne haït sa copine. Elle est venue la déranger au moment où Jean allait devenir son amant.

Le jeune homme comprend cette déception et reprend ses caresses. Il pousse son couple vers le mur afin que sa sœur puisse elle aussi participer. Isabelle s’allonge et son amie se retrouve entre les deux. Pendant que Jean l’embrasse et lui caresse les seins, Isabelle entreprend avec le doigt de taquiner le bouton. Et bientôt la source se met à suinter ; un doigt inquisiteur vint taquiner l’ouverture et s’enduit de ce suc. Un deuxième vient le rejoindre puis le remplacer et le premier se dirige vers la rosette proche. Les deux tentent de s’introduire. Une petite avancée sur le devant, mais difficultés à l’arrière. Et c’est pourtant celui-ci qui progresse en premier. L’intéressée sursaute devant cette agression mais continue a sucer la langue de son amoureux. Ce dernier comprenant qu’il se passe des choses importantes en bas décide d’en profiter. Il abandonne les seins et pivotant, se retrouve à embrasser de nouvelles lèvres. Isabelle maintient sa prise arrière puisque son frère s’occupe de l’avant. Et l’un avec les lèvres butine le bouton, lèche les lèvres, sa langue s’infiltrant profondément pour y recueillir le miel, l’autre titillant du bout du doigt la partie la plus charnue.


Anne voit arriver devant son visage l’engin qui l’a tant fait rêver. Elle hésite, puis ose y porter la main. Son amie lui murmure de le branler. Timidement, elle obéit et voit apparaître un boule, ce doit être le gland. La tentation est trop forte, elle y dépose un baiser. Sa langue titille la petite fente. La réaction de l’organe lui fait comprendre que l’on apprécie. Puisque Jean lui fait tant de bien avec sa langue, elle va lui rendre la pareille. Et comme pour une boule de vanille, elle se met à la lécher. Estimant que le traitement est encore incomplet elle prend la queue en main, la fait entrer dans sa bouche, le mordillant doucement. Elle plane sur un nuage, le bas de son corps atteint le septième ciel et elle a la bite pour elle. Et c’est l’explosion. Elle décolle aspirant autant que sa bouche lui permet le sexe de Jean. Cette fellation, bien qu’imparfaite, est également le déclenchement pour lui. Il explose longuement dans la bouche

Surprise et réveillée par ce jaillissement imprévu, Anne gorgée de foutre, sort en courant pour cracher dans le lavabo et se rincer la bouche. Jean est catastrophé : il est allé trop vite, elle est dégoûtée. Toutefois, il ne l’a pas violée. Isabelle comprend que les choses sont allées un peu loin pour un début. Elle se précipite à la suite de son amie. Son frère s’essuie et part les rejoindre. Mais elles ont fermé la porte et il les entend murmurer.

Il s’enferme dans sa chambre ne sachant comment renouer contact avec les filles, surtout Anne. Il a probablement gâché ses chances.

Pourtant, après quelques minutes, Isabelle entre. Elle a enfilé un polo trop long.

Elle s’assied à côté de son frère. Ils se regardent et lui dit :



Un petit grattement sur la porte prévient Jean qu’Anne était là,. Au lieu de lui dire d’entrer, il se lève ouvre doucement ; elle aussi a enfilé un polo. Il la prend dans ses bras, la porte sur le lit. À voix basse, il s’excuse de l’avoir polluée, salie. Elle le regarde surprise et lui dit :



Jean est étonné, mais surtout rassuré du tournant que prend l’affaire. Ils restent blottis l’un contre l’autre. Jean se sentait de plus en plus attachée à cette fille, il ne veut surtout pas lui faire des promesses qu’il ne tiendra pas. Elle, par contre, se sent gagnante, elle estime qu’elle l’a conquis, qu’il est à lui.

Alors lentement, avec des mots choisis, il lui explique qu’ils ont encore de nombreuses années d’études, cela mène loin ; ils sont trop jeunes pour s’engager, mais qu’ils peuvent rester amis et profiter de leur jeunesse.

Et au contact de ce jeune corps, Jean sent que la chair est faible, ou plutôt qu’elle est ferme. Sa queue a repris sa rigidité au contact de sa voisine. Celle-ci le sent et sourit : Il ne m’en veut pas pense-t-elle, sans songer un instant que ce n’est pas la tête qui commande chez son partenaire. Elle soulève son tee-shirt et lui demande :



Anne se soulève, ôte son vêtement. Elle enjambe son partenaire allongé sur le dos. Elle offre sa poitrine aux baisers, avec sa main saisit l’organe et l’utilise pour gratter son bouton. Elle halète, lâche l’engin qui resta en place légèrement enfoncé dans ce nid douillet. S’appuyant sur ses bras elle avance l’un puis l’autre de ses seins devant la bouche avide. Elle est aux anges et son plaisir grandit quand elle sent que la queue se remet à exciter son clitoris. Jean aussi apprécie et réalise qu’une troisième personne entre dans le jeu. Puisqu’elle veut participer, autant utiliser ses talents. Il lui dit :



Voyant qu’elle est acceptée dans la partie, la nouvelle venue, de la langue nettoie le buisson, taquinant l’épée et le bouton, remontant jusqu’à la rosette. La source suinte à nouveau. Il ne fallait pas laisser perdre ce jus et d’un doigt qu’elle mouille elle reprend son investigation culière. Lentement, son index glisse de plus en plus, jusqu’à la paume dans ce nouveau tunnel. Elle le tourne lentement, n’ose pas le retirer de peur de ne pouvoir le replacer. Puis elle tente et voit que cela était bon puisque la réaction est un léger balancement des fesses.

Anne n’a plus de force dans les genoux et son centre de gravité s’abaisse lentement mais sûrement sur le pieu qui la taquine. Et bientôt Jean se rend compte qu’il la pénètre. Il veut la soulever, mais celle-ci maintient la pression, terminant seule son dépucelage. On lui avait dit que c’était un moment terrible ; c’est vrai, mais pas dans le sens indiqué. Certes un passage douloureux mais dans un tel moment de bonheur. Elle reste immobile un moment. Puis d’elle-même provoque le balancement introduisant et ressortant cette outil tant convoité. Elle plane dans un mélange de douleur et de plaisir, elle est femme !

Son amant explose en elle, puis, soudain réalise les conséquences que peut avoir sa jouissance. Fataliste, il reste en elle. Elle s’affale, le serrant dans les bras, pleurant et riant à la fois : elle a ce qu’elle est venu chercher avec l’amant désiré.

Jean se dégage et lui dit :



Les deux amants partagent la baignoire, se savonnent mais le nettoyage consciencieux de leurs parties intimes est en réalité une nouvelle façon de faire l’amour. Et c’est tout naturellement que la bête de l’homme se réveille et que la chatte de la femme l’accueille plus facilement grâce à ce savonnage minutieux.

Séchés, ils se câlinent encore mais Anne doit rentrer chez elle, l’horloge a tourné trop aujourd’hui.

Ils ne se retrouvent que le lundi. Après ce seront les vacances qui les sépareront quelques temps.

À peine la voiture de la mère partie, Anne sonne à la porte. Il est posté, la main sur la poignée et elle tombe littéralement dans ses bras. Isabelle regarde ce couple et espère qu’il l’admettront encore dans leurs jeux amoureux. La chambre de Jean les accueille et c’est sa sœur qui ferme la porte derrière elle. Elle les regarde se déshabiller l’un l’autre, lentement dans un rite voluptueux Il fait glisser le soutif, caressant au passage les demi citrons. Il descend la culotte enserrant ces fesses fines et musclées. Elle abaisse le slip couvre de baisers le sexe adoré. Seule dans son coin, Isabelle se dénude. Les amants s’allongent mais lui laissent une petite place dans le lit, preuve qu’ils l’autorisent à participer à leurs ébats.

Leurs lèvres se joignent, celles de l’amant descendent sur les seins, posant de petites touches tout autour. Puis il butine les pointes qui se dressent. Impatiente elle se saisit de son sexe et se tourne pour pouvoir y goûter. Il se retrouve devant ce buisson qu’il a défriché. Cette bouche rose comme l’autre l’attire, il mordille le bouton, glisse un doigt puis deux dans la fente. Il voit un doigt féminin qui s’approche de sa bouche, pénètre avec les siens dans ce divin conduit : sa sœur entre dans la danse. Ses lèvres, proche des siennes, il lui cède la place. Elle lui suce le doigt enduit de cyprine; libéré il l’utilise pour tenter lui aussi de forcer le puits encore vierge. C’est un peu difficile, mais il y parvient. L’ondulation de la croupe lui fait savoir qu’il est admis.

Anne après sa première fellation, elle a essayé chez elle, sur une banane comment réaliser une succion parfaite. Elle s’applique, perd parfois ses moyens car en bas, c’est la fête. Elle a décidé d’avaler ce que lui donnerait Jean. Aussi aspire-t-elle du mieux possible.

Tous deux sentent monter un plaisir incroyable, plus contrôlé que la première fois, mais aussi plus puissant. Ils essaient de ralentir l’explosion, prolonger leur plaisir, mais il les surprend. Elle part la première et son cri de bonheur est étouffé par le jaillissement du sperme sur son palais. Elle avale tout et Isabelle profita du liquide qui se déverse de son con.


Les deux amants se rejoignent et unissent leurs lèvres goûtant leurs sucs mélangés. Isabelle de son coté, frustrée, boude un peu. Gentiment Anne l’embrasse sur la bouche lui faisant apprécier les sucs mêlés. Puis elle glisse jusqu’à sa fourche et lui rend les honneurs que son amie lui avait prodigué. Jean s’empare des seins de sa sœur, et, leur offre un hommage équivalent à celui donné à sa maîtresse. Ils prennent tous deux plaisir à faire éclater un cri de jouissance de celle qui les a unis.

Ils reposent ensuite, souriants chacun appréciant le bonheur du moment. Ils se lèvent nus, et sans même se laver, vont boire un verre d’eau fraîche.

Ils retournent au lit. Anne veut reprendre leurs joutes car elle se doute qu’il y a encore beaucoup de choses à apprendre. Pourtant Jean est encore novice, mais il a vu tellement de films porno qu’il connaît toute les techniques, même s’il ne les a pas pratiquées.

Tous trois, ils s’embrassent, mêlant leurs salives, la sœur avec le frère, l’amant et sa maîtresse, les amies ensemble. Les mains glissent sur les corps se disputent un sein ou la trique. Mais Isabelle ne veut pas d’un rapport inceste. Elle veut goûter à tous les autres plaisirs, apprendre par amie interposée, toutes les possibilités offertes par l’amour.

Les fesses d’Anne attirent dans la rue le regard ambigu de tous, hommes ou femmes. Isabelle a tenté avec succès une approche succincte de Sodome chez son amie. Elle veut voir si un épieu aussi volumineux que celui de son frère peut se frayer un chemin.

Jean, transmission de pensée ou simple désir normal, songe aux mêmes approches. Mais comment aborder l’obstacle.


Anne est l’objet de toutes les attentions de la fratrie. L’une par-devant la câline, l’autre par derrière lui malaxe les seins, mordille son cou et son sexe trouve une vallée accueillante entre ses fesses. Isabelle se retourne et présente sa fourche à la bouche de son amie. Celle-accepte avec joie. Et elle taquine le bouton pendant que sa comparse lui rend la politesse. Jean continue ses caresses par derrière. Les jambes écartées d’Anne permettent à Isabelle de déborder ses léchages jusqu’à l’anus. Au passage, elle fait une politesse à la queue de son frère. La mouille et la salive graissent le cul et la bite. L’approche du plaisir la rendant inconsciente de ce qui se prépare, elle ne réagit pas à ces manœuvres. Toutefois lorsque le gland se presse contre sa rondelle, elle se raidit et dit « non… ». Patiemment Jean frotte l’extrémité contre ce puits, sa sœur s’active sur la face avant, plongeant deux doigts au plus profond du vagin. Il murmure à l’oreille « détends-toi mon amour ». Ce mot a un effet magique, il lui a dit « amour », elle s’abandonne.

Poussant doucement, quelques millimètres de l’engin pénètrent. La langue d’Isabelle virevolte toujours autour du champ de bataille. Un effort un peu plus grand arrache un cri à la suppliciée et fait entrer le gland en entier. Elle cesse alors toute résistance et subit son sort. Lentement le bassin arrive au contact des fesses : elle est enculée !

Jean est aux anges, serré dans ce boyau tout neuf. Il a réalisé son fantasme, sodomiser une fille, celle qu’il a dépucelée. Mais par ailleurs il craint de l’avoir perdue à jamais, car elle ne supportera pas l’idée d’avoir été traitée ainsi : avaler son sperme, être dépucelée puis sodomisée. Tant pis il est trop bien.

Isabelle en oublie presque de rendre hommage à son amie. Elle est stupéfaite que son frère soit arrivé à faire entrer sa queue entière et surtout qu’Anne ait pu supporter ce supplice avec un aussi petit cul. Elle a tout eu alors que c’est elle qui se croyait la plus délurée.

Jean remue lentement malgré la compression que subit sa queue. Il ne peut tenir longtemps et explose dans les entrailles de sa maîtresse. Mais la jouissance n’est pas partagée. Anne attend douloureusement, avec impatience que se retire cet instrument de torture. Lorsqu’elle sent le sperme se déverser, elle se dit que son amant va débander et la libérer. Et c’est ainsi que cela se termine.

Anne reste prostrée, à plat ventre, la tête entre les bras et les douces paroles de Jean ne la font pas bouger. Isabelle se retire, laissant les amants régler leurs problèmes. Elle se sent un peu vengée de celle qui lui a pris son frère.


Anne se lève, sans une parole, s’enferme dans la salle de bain. Après un long temps, elle sort toute habillée et quitte la maison sans un mot.

Deux jours plus tard elle part en vacances avec ses parents sans qu’ils se soient revus. Jean est désespéré du mal qu’il lui a fait. N’ayant pas d’adresse de vacances, il se promet de s’excuser au retour d’Anne.

La famille part à son tour au mois d’août pendant quand Anne et ses parents rentrent.

De retour, Jean va sonner à la villa de sa maîtresse, mais elle est fermée. Se renseignant, il apprend que le père d’Anne a eu une promotion inespérée et a accepté immédiatement de rejoindre son nouveau poste. Ils étaient partis avec leurs meubles « Eh bien justement, la veille que vous rentriez ».


Jean ne peut oublier ce qui s’est passé. La pensée d’Anne et surtout de ce qu’il lui a fait subir l’obsède.

Avec sa sœur, ils n’ont plus jamais parlé de cette aventure. Leurs relations sont normales en apparence, mais quelque chose est cassé, ils n’ont plus que des rapports polis, plus de secrets entre eux. Isabelle se sent aussi responsable car c’est elle qui a tout manigancé




Car Anne est revenue. Jean ne l’avais jamais oubliée, son souvenir l’obsédait, il regrettait le mal qu’il lui avait fait. Mais elle aussi pensait à lui, qu’à lui, elle en rêvait malgré les outrages subis. Et c’est Isabelle se sentant coupable, qui a longuement cherché, puis retrouvé son amie. Elle n’en a rien dit à son frère. Elle est allée la voir, pour lui demander pardon. Elles se sont expliquées et un jour Jean les a vu arriver ensemble