n° 06904 | Fiche technique | 23070 caractères | 23070Temps de lecture estimé : 14 mn | 30/10/03 |
Résumé: Je découvre grâce à une lettre anonyme que ma femme me fait cocu avec notre voisine. | ||||
Critères: h fh ff fbi extracon cocus voisins voir photofilm fellation cunnilingu anulingus 69 fist fdanus fsodo | ||||
Auteur : Pantxo92 |
Comme d’habitude, en rentrant le soir, je ramasse le courrier dans la boite à lettres de notre pavillon de banlieue parisienne. Comme d’habitude, il y a surtout des factures, de la pub, mais ce soir, une lettre attire particulièrement mon attention.
Sur l’enveloppe, figurent seulement mon nom et mon prénom. Aucune adresse n’est inscrite et elle n’est pas timbrée. C’est évident, elle a été déposée directement dans la boîte.
Je l’ouvre rapidement. Elle ne contient qu’un feuillet plié en deux que je déplie en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
" T’es cocu ! "
Voilà ce que j’y lis. Et pas moyen de reconnaître l’écriture de son expéditeur, elle a été rédigée en découpant des lettres dans des journaux.
Une chape de plomb me tombe sur les épaules.
Il est impossible que ma chérie me trompe, pas elle, pas ma Françoise adorée. C’est sur, il s’agit d’une mauvaise plaisanterie ! Après quinze ans de vie commune, de parfaite entente dans la vie de tous les jours et notamment au lit, non, c’est impossible.
Voilà ce que je ressasse en rentrant à la maison, l’air plus que songeur et renfrogné.
Françoise est dans la cuisine en train de préparer le dîner. Je m’approche d’elle, lui enserre la taille et l’embrasse dans le cou. Elle frisonne et se colle à moi, ses fesses écrasant mon entrejambe.
Elle se retourne, m’enserre de ses deux bras autour de mon cou, colle son ventre et ses seins contre moi et écrase ses lèvres sur les miennes.
Je lui rend son baiser, caressant son dos en la maintenant plaqué à moi. Soudain, elle se détache de moi.
Nous sirotons tranquillement notre apéritif au salon en regardant les infos à la télé, puis passons à table, dialoguant de choses et d’autres. Françoise paraît identique aux autres jours.
Plus j’y pense et plus cette lettre me semble issue d’un personnage félon, à mille lieues de la réalité. Soudain Françoise m’annonce :
Je crois palper une intonation un peu fausse dans sa voix lorsqu’elle prononce cette dernière phrase et elle a les yeux plus pétillants que d’habitude. Ce n’est pas le peu d’alcool que nous avons bu qui peut lui donner ce regard. C’est sur, elle ment. En m’annonçant son congé au dernier moment, elle était sure de son coup, sure que je ne pourrait pas me libérer. Elle a programmé une rencontre avec son amant. Peut-être va-t-elle l’amener ici et, pourquoi pas, dans notre lit !
Françoise, l’air triste, me gratifie d’un petit baiser et monte se coucher. Je reste seul dans le salon.
J’en suis maintenant sur. Elle va me tromper demain et, en plus, chez nous. Si ça se trouve, ça arrive depuis très longtemps et, sans cette lettre anonyme, je serais, comme tous les cocus, le dernier à être prévenu !
Il faut que je sois sur de ce que je suppose.
J’allume mon ordinateur et règle l’angle de prise de vue de la web-cam pour qu’elle enregistre le salon et surtout le canapé. Même s’ils forniquent dans la chambre, ils passeront bien d’abord un moment dans le canapé. Voilà, tout est réglé. J’éteins l’écran et laisse l’unité centrale en veille.
Plus que 24 heures à patienter pour être fixé sur la fidélité de ma chérie. J’avale un Lexomil et monte me coucher à mon tour.
Le lendemain matin, j’abandonne Françoise, toujours au lit, et allume la web-cam. L’enregistrement peut commencer. Puis je pars au travail, la tête emplie de mille questions.
Je quitte le bureau plus tôt que prévu et rentre peu après 17 heures. Comme je ’en doutait, Françoise n’est pas là. Elle doit être en train de prendre le thé chez sa mère et ne rentrera pas avant au moins une heure. Un regard circulaire dans le salon ne permet pas de remarquer de changement et je me rue sur mon ordinateur. Je me place au début de l’enregistrement du film et commence à le visionner. Au début, rien, seulement le salon vide. Puis je vois Françoise aller et venir en peignoir, faisant du rangement et du ménage. La matinée se passe ainsi, puis, plus rien, un grand blanc, pendant lequel elle devait être en train de faire sa toilette, de déjeuner.
Peu après 14 heures, l’image est toujours la même, sans mouvement, mais une petite musique douce se fait entendre, entrecoupée de bruits d’eau, provenant sûrement de la salle de bains.
Tout à coup, je vois apparaître Françoise devant la caméra. Elle s’affaire à replacer les coussins sur le canapé. Elle, qui ne porte que des dessous plutôt stricts, pas toujours très bandants, apparaît en string, porte-jarretelles, bas à résilles et soutien-gorge à balconnets. Elle est vraiment superbe ainsi et ses seins débordent de son soutien-gorge qui paraît beaucoup trop petit pour contenir sa poitrine généreuse.
Il est évident qu’elle attend son amant, plus rien ne peut m’en faire douter désormais. Je ne peux pas quitter l’écran des yeux, anxieux et désireux de voir la suite, de savoir avec quel homme ma chérie me trompe.
Quelques minutes plus tard, j’entend la sonnerie de la porte d’entrée, puis l’ouverture de celle-ci et le bruit d’un baiser sonore.
Enfin, Françoise réapparaît dans le champ de vision de la caméra. Elle a enfilé une robe et tient son amant par la main. Je ne vois que cette main, mais celle-ci est fine, avec de longs doigts couverts de bagues et bijoux. J’entends des bruits de baisers, des miaulements entrecoupées de quelques mots :
Françoise fait un pas en arrière, attirant vers elle son amant, ou plutôt son amante, et je reconnais immédiatement Alexandra, notre voisine d’en face. Cette belle brune de 35 ans environ, mère au foyer, toujours en jean et pull, jamais maquillée, m’apparaît en jupe et corsage presque transparent, largement ouvert sur sa petite poitrine. Elle semble ne rien porter en dessous et elle s’est fardée d’un maquillage discret mais enjôleur et de boucles d’oreille.
Je n’en reviens pas. Ma Françoise est gouine ! Bon, elle aurait pu me tromper avec un homme ! Mais c’est avec une femme. Je me sens moins toucher dans mon orgueil de mâle. J’ai souvent fantasmé sur l’idée de voir Françoise avec une autre femme et ai de plus en plus envie de connaître la suite de leurs ébats.
Françoise et Alexandra se tiennent debout devant le canapé, leurs deux corps collés l’un à l’autre et leurs lèvres soudées en un long baiser où leurs langues s’entremêlent. Leurs mains explorent inlassablement le corps de l’autre.
Puis Françoise s’assied sur le bord du canapé et attire Alexandra entre ses jambes écartées qui font remonter sa jupe sur le haut de ses cuisses. Je vois parfaitement le haut de ses bas à résilles et la tâche blanche de son string. Elle glisse ses mains sur les cuisses de son amante, les remontent lentement sous sa jupe et englobe ses fesses. Alexandra a basculé son bassin en avant et le visage de Françoise se rue sous sa jupe.
J’entends les bruits de succion sur la culotte et les gémissements d’Alexandra qui ondule du bassin. Elle a posé ses mains sur la tête de ma femme et la force à la lécher. Françoise dégrafe la jupe d’Alexandra et je vois apparaître ses fesses moulées dans une culotte blanche à dentelles. Les mains de ma femme s’insinuent sous la culotte et, tout en continuant de la lécher, malaxe les deux globes musclés.
Alexandra ne reste pas inactive et entreprend de défaire, un à un, tous les boutons de la fine robe de Françoise qui en fait maintenant de même avec le corsage de son amante. Elles se retrouvent bientôt toutes deux presque nues.
Je peux apprécier la plastique du corps de ma voisine. Elle est plutôt du style " gros cul, petits seins ", mais très désirable. Ses petits seins semblent bien fermes et les tétons fripés pointent, attendant des plaisirs qui ne sauraient tarder.
Françoise se lève. Leurs vêtements volent dans le salon et elles se jettent dans leurs bras l’une de l’autre. À nouveau, leurs lèvres se soudent et leur baiser semble interminable. La forte poitrine de Françoise est comprimée contre celle plus petite d’Alexandra. Elles ont chacune une cuisse encastrée entre celles de l’autre et s’écrase mutuellement la chatte.
Soudain, les choses s’accélèrent. Alexandra fait sauter le clip du soutien-gorge de Françoise et elle se penche sur les grosses mamelles de son amante pour la téter. Puis leurs quatre mains se ruent sous les culottes pour les baisser. Les deux femmes se retrouvent nues l’une en face de l’autre. Seule Françoise est vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles.
Françoise force sa voisine à s’allonger sur le canapé et vient s’installer tête bêche sur elle. Les deux femmes ont maintenant le visage enfoui entre les cuisses de l’autre et j’entends distinctement leurs gémissements et les clapotis des langues sur les chattes trempées.
Elles sont absorbées par leur plaisir mutuel et explosent rapidement dans un premier orgasme sonore. Puis elles se retrouvent assises sur le canapé, la jambe de l’une posée sur la cuisse de l’autre, un bras autour du cou, pendant que leur autre main caresse une cuisse, un ventre, un sein. Elles se regardent amoureusement, un large sourire illuminant leur visage et restent ainsi, sans dire un mot, savourant ce moment intense. Puis leurs lèvres se rejoignent en un baiser fougueux, mêlé de leurs cyprines respectives.
Alexandra se lève et se met à genoux entre les cuisses de Françoise qui se tient avachie sur le canapé. Avec ses mains, elle force Françoise à s’ouvrir en grand et sa tête plonge vers la chatte luisante.
La vision de ces deux femmes qui se donnent du plaisir m’excitent au plus haut point et je bande comme jamais. Je sors ma queue de mon pantalon et, regardant la suite de leurs ébats, me branle lentement.
Alexandra gratifie Françoise d’un cunnilingus magistral. Apparemment, elle a l’air experte en la matière. Ses mains s’activent sur les cuisses, le ventre, les seins de Françoise qu’elle malaxe, écrase sur son thorax, en pinçant et étirant les gros bouts fripés.
La main droite d’Alexandra prend maintenant possession de la chatte de Françoise qui essaie d’écarter encore plus ses cuisses pourtant largement ouvertes. Un, puis deux, puis trois doigts pénètrent son vagin que j’imagine brûlant et détrempé. Les yeux fermés, le tête rejetée en arrière, les seins pointés vers le plafond, ma chérie gémit sans discontinuer.
Un quatrième doigt vient retrouver les trois autres et seul le pouce reste en dehors de la chatte de Françoise. La main va-et-vient à l’intérieur de son vagin et elle oscille du basin en rythme avec les mouvements du poignet d’Alexandra.
Françoise se pince les tétons en les étirant vers le haut. À un moment, elle englobe son sein droit et l’attire vers son menton. Elle a baissé la tête et se lèche le mamelon.
Alexandra la branle toujours de ses quatre doigts fichés au plus profond de son vagin et de son pouce sur son clito, tandis que sa langue parcourt ses cuisses, son ventre et son pubis aux poils taillés très courts.
Mon excitation est à son comble et je dois ralentir ma masturbation pour ne pas éjaculer tout de suite.
Soudain, le pouce d’Alexandra quitte le clito de Françoise et vient se replier au milieu des quatre autres doigts. J’écarquille les yeux et me rapproche de l’écran pour mieux voir. Non, ce n’est pas possible, elle ne va pas réussir à lui mettre toute sa main au fond du vagin !
Françoise agrippe les lèvres de son sexe luisant de mouille et les écarte pour qu’Alexandra la pénètre mieux. Le poing de celle-ci pousse sur l’orifice dilaté de ma femme et je le vois petit à petit disparaître au fond de sa grotte. La main reste quelques instants immobile, le temps que Françoise s’habitue à ce volume qui la remplit, puis Alexandra commence à faire aller et venir son poing, le ressortant presque pour le faire aussitôt pénétrer jusqu’au poignet.
Françoise sent l’orgasme monter en elle. Elle attrape son clito entre le pouce et l’index, le pince énergiquement et hurle son bonheur. Puis elle retombe exténuée dans le canapé, le souffle court, en continuant à gémir doucement.
Tandis qu’Alexandra ressort lentement sa main de la chatte de ma chérie et se lèche les doigts, Françoise ouvre les yeux.
Françoise lèche les doigts d’Alexandra goulûment, les faisant entrer et sortir comme s’il s’agissait d’une queue.
Alexandra s’assied sur le ventre de mon épouse et elle ondule du bassin pour frotter sa chatte luisante sur son ventre et ses seins. Ma chérie a toujours les jambes écartées et je vois distinctement sa chatte luisante, restée béante après l’intromission du poing de son amante.
Je me branle plus énergiquement et décharge en longues giclées salvatrices dans mon mouchoir.
Je sursaute et me retourne.
Françoise est derrière moi. Je ne l’avais pas entendue rentrer. Elle est peut-être là depuis un moment, en train de se revoir sur l’écran et de me voir me branler.
Ces mots sont sortis de ma bouche avec une telle rapidité que Françoise éclate de rire devant ma franchise.
Puis elle se jette sur moi pour m’embrasser fougueusement.
Nous nous ruons sur le canapé, lieu de leurs étreintes saphiques et, tout en nous embrassant, nous nous déshabillons mutuellement.
Ma chérie a gardé ses sous-vêtements et je l’admire dans son string, ses jambes gainées de bas à résilles. Elle quitte mes lèvres pour se pencher sur mon entrejambe et faire regrossir ma queue dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux, le dos, les fesses et glisse un doigt sous le mince morceau de tissu incrusté entre ses fesses. Avec mon index, je pratique de petits mouvements circulaires sur son anneau et essaie de l’insinuer dans son derrière. Elle répond en ondulant du bassin et en poussant sur mon doigt qui disparaît bientôt dans son petit trou serré. J’y fais quelques va-et-vient pour le dilater. J’ai très envie de la prendre par derrière et je sais qu’elle aime beaucoup ça.
Puis je lui retire son string et approche ma main de sa chatte. Elle me la repousse vivement.
Ces mots crus, inhabituels dans sa bouche, m’excitent encore plus.
Elle s’exécute immédiatement et je plonge ma langue entre ses fesses. L’odeur est un peu acre mais j’adore ça. Elle a enfoui sa tête dans les coussins, se tient très cambrée et ronronne sous mes coups de langue. D’une main glissée entre ses jambes, elle me branle lentement.
Je me relève et lui attrape les deux hanches. C’est elle qui pose mon gland sur son petit trou et pousse dessus en reculant son bassin. Je ne bouge pas et la laisse s’empaler toute seule sur ma queue rigide. Elle est tellement excitée que le gland puis toute ma queue se retrouve rapidement en elle. Elle reste quelques secondes immobile, le souffle coupé, puis reprend ses mouvements de va-et-vient. Je la maintiens toujours fermement aux hanches et ses fesses claquent contre mon ventre. Le salon est empli de ses gémissements et de mes râles de bûcheron. Je sens la jouissance monter dans ma queue et, au moment où j’explose en elle, je lâche ses hanches pour agripper ses seins qui oscillent en cadence, en frottant sur le canapé, et pince énergiquement les bouts. Ça déclenche immédiatement son orgasme et elle hurle son plaisir.
Nous restons quelques instants immobiles, reprenant notre souffle et ma queue ramollie quitte son derrière.
Nous prenons une bonne douche réparatrice avant de dîner.
A suivre