n° 06906 | Fiche technique | 28412 caractères | 28412Temps de lecture estimé : 17 mn | 02/11/03 |
Résumé: Une jeune femme fait l'education sexuelle d'un homme de 39 ans... | ||||
Critères: fh fhh hplusag hagé campagne caférestau ecriv_f | ||||
Auteur : Véronique D (Jeune femme de 35 ans très bourgeoise...) |
Avec mon mari, nous faisons du vélo, et parfois de très longues randonnées. C’est lors de l’une de ces randonnées dans le Limousin que cette histoire m’est arrivée. Nous étions partis pour 150 Km, c’était l’été, il faisait beau et vraiment très chaud. Je dirais même qu’il faisait lourd. Nous avions parcouru environ la moitié de la distance lorsqu’un violent orage nous a surpris. Le vent s’est levé accompagné d’une averse de grêle qui a rendu l’air glacial. Nous étions trempés et transis de froid n’ayant prévu aucun vêtement de pluie.
Effectivement, 1 Km plus loin, nous sommes arrivés dans un petit village, plutôt un hameau d’ailleurs où il y avait une épicerie de village qui faisait office de café. Mon mari m’a laissée là, il en avait bien pour au moins 3 heures avant de revenir me chercher.
J’ai commandé un chocolat pour me réchauffer, mais je continuais à grelotter. Il n’y avait pas grand monde dans le café. À part le patron, il n’y avait que 2 hommes attablés à la seule autre table, le plus vieux devait avoir dans les 60 ans et le plus jeune dans les 40 ans. Peut-être le père et le fils… De temps en temps, je sentais leurs regards posés sur moi. Il faut dire que j’étais en cuissard cycliste donc très moulant et que mon maillot trempé collait à ma poitrine, en faisant ressortir les courbes pleines. C’est vrai que je ne me suis pas présentée… Je m’appelle Véronique, j’ai 35 ans, je mesure 1m72, je pèse 65 Kg et je fais du 95B de tour de poitrine.
C’est le plus vieux des 2 clients qui m’a adressé la parole le premier.
Je l’ai regardé de plus près, c’était un paysan au visage buriné mais avenant, il avait l’air gentil et sympathique, aussi, j’ai accepté le verre que « Pierrot » le patron a posé sur ma table.
J’ai trempé mes lèvres dans le verre et aussitôt, un liquide brûlant est descendu dans ma gorge m’arrachant une quinte de toux. C’était vraiment fort, certainement une de ces eaux de vie locales, d’ailleurs, la bouteille n’avait pas d’étiquette… J’ai attendu un peu avant de prendre la 2ème gorgée et la même chaleur m’a envahie.
C’est toujours le plus ancien qui parlait, le plus jeune n’avait pas encore ouvert la bouche mais continuait à me regarder à la dérobée. Il semblait timide et quelque peu emprunté.
Et le 2ème verre est arrivé sur ma table, je ne l’ai pas refusé. Je l’ai bu lentement et la même chaleur est venue me réchauffer. Ça commençait à aller un peu mieux, je n’avais presque plus la chair de poule. Par contre, j’avais la tête qui tournait un peu.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, peut-être que l’eau de vie m’a rendue confiante, mais j’ai accepté de les suivre. Comble d’imprudence, je n’ai même pas demandé au patron de prévenir mon mari au cas ou…
Leur 4L était garée devant le café, je me suis installée à l’arrière le temps de rouler jusqu’à leur ferme. C’était une jolie ferme limousine située au bout d’une petite route en impasse. Pendant le trajet, j’avais appris que le plus âgé s’appelait Julien et que son fils (j’avais bien deviné) s’appelait Léonard. Lui avait 62 ans et son fils 39.
La maison était proprette avec une grande salle qui occupait tout le rez-de-chaussée et une immense cheminée où, bien que l’on soit en été, un feu brûlait.
J’ai suivi Léonard à l’étage dans une chambre où il ouvrit une armoire pour en sortir un soutien-gorge, une culotte, une jupe un chemisier et un pull. Tout cela sentait un peu le renfermé, mais ces vêtement étaient secs.
C’était la première fois que j’entendais sa voix. Elle était chaude et douce mais on sentait comme une grande timidité. Il a pris ma main et m’a accompagné jusqu’à la salle de bain. Etait ce encore l’effet de l’eau de vie, mais j’ai eu un frisson au contact de cette main large et puissante, une main de paysan, calleuse, rompue au travail des champs.
Toujours cette voix chaude et ensorceleuse… La porte de la salle de bain ne fermait pas bien, tant pis. Je me suis déshabillée et je me suis glissée sous la douche. L’eau très chaude m’a fait un bien fou, je me suis laissée aller, les yeux clos sous le jet brûlant. Quand j’ai rouvert les yeux, j’ai vu dans la glace du lavabo que Léonard m’observait par la porte entrouverte de la salle de bain… Nos regards se sont croisés et il s’est éloigné. Ce regard m’avait donné encore plus chaud et tout en laissant couler la douche sur ma tête, j’ai écarté les jambes et glissé 2 doigts dans ma fente que j’ai trouvée humide. Et c’est en pensant aux mains de Léonard, que je me suis caressée. Le plaisir est venu assez vite et je me suis séchée et habillée. Effectivement, Julien avait raison, les vêtements de sa femme m’allaient à merveille.
Je suis descendue rejoindre les 2 hommes et je me suis attablée avec eux autour de la grande table. Julien avait sorti 3 verres et une bouteille elle aussi sans étiquette. Encore de l’eau de vie sans doute. Il nous a servi une grosse rasade de ce breuvage. Il était du même tonneau que celui du café, tout aussi fort mais plus parfumé.
C’est Julien qui a parlé et Léonard a baissé les yeux avant de les relever et de me regarder bien en face. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai posé ma main sur la sienne à travers la table et j’ai commencé à la caresser. Nos regards ne se sont pas quittés, j’ai senti Julien qui souriait. Je me sui levée et je suis passée derrière Léonard toujours assis à table. J’ai posé mes mains sur ses épaules. Elles étaient fortes, musclées puissantes. J’ai aussitôt senti une grosse chaleur m’envahir et mon minou a recommencé à devenir humide. J’ai massé ces épaules puissantes et ma main droite est descendue vers son poitrail, d’abord sur la chemise de grosse toile puis sous le tricot de peau. Ma main s’est promenée sur le torse velu à la recherche du téton et quand je l’ai trouvé, je l’ai un peu trituré jusqu’à ce qu’il s’érige. Pendant ce temps, Léonard avait saisi main gauche et avait commencé à l’embrasser doucement en remontant sur mon bras. J’étais maintenant très excitée.
Julien continuait à nous regarder avec le même sourire aux lèvres. Je me demande dans quelle mesure leur eau de vie n’était pas aphrodisiaque…
Et Léonard m’a pris par la main pour remonter l’escalier jusqu’à sa chambre. Curieusement, le papier peint était moderne et la chambre lumineuse malgré les gros nuages noirs encore bien présents dehors.
Il s’est exécuté non sans avoir enlevé ses gros souliers. Je me suis mise à califourchon sur son ventre ou plutôt ses abdominaux parce qu’il était plutôt musclé le Léonard. J’avais donc les jambes écartées (merci la jupe plissée) autour de ce corps puissant et j’avoue que je mouillais déjà beaucoup. J’ai défait lentement tous les boutons de sa chemise que j’avais sortie de son pantalon. J’ai fait de même avec son tricot de peau et j’ai glissé mes 2 mains dessous. Que c’était bon de promener mes mains sur ce poitrail velu et puissant. J’ai pris ses pectoraux à pleines mains et je les ai caressés comme s’il s’était agi d’une paire de seins. Léonard ne bougeait pas, il se laissait faire. Je lui ai demandé de se redresser pour enlever sa chemise et son tricot de peau. De nouveau allongé, j’ai pu me pencher pour l’embrasser dans le cou puis toujours en le couvrant de petits baisers, je suis descendue sur ses épaules, ses bras, son torse, son plexus, ses abdominaux, son nombril. Pour lui embrasser le nombril, j’ai du reculer un peu et j’ai senti une énorme bosse au niveau de mes fesses, j’ai ressenti comme une décharge électrique à ce contact. Je me suis redressée et j’ai lentement enlevé le pull et le chemisier ne gardant que le soutien-gorge. Il n’était pas bien sexy le soutien-gorge mais il mettait quand même mes seins en valeur. J’ai pris les mains de Léonard et je les ai posées sur mes seins. J’ai senti qu’il tremblait, je suis sure que c’était la première fois. Il a empoigné mes seins dans ses grosses mains et les a serrés à travers le soutien-gorge.
Avec des gestes doux, il l’a enlevé et j’ai senti la chaleur de ses mains directement sur ma peau. Une nouvelle décharge m’a parcourue. C’est maintenant avec des gestes délicats qu’il caresse mes seins les découvrant et en parcourant le galbe de ses doigts.
Joignant le geste à la parole, j’ai guidé ses doigts pour qu’ils prennent mes tétons et s’en occupent.
J’ai eu un orgasme puissant, fruit de la caresse de Léonard, de la situation et peut-être aussi de l’eau de vie… Je me suis affalée sur son torse et il m’a pris dans ses bras, ses mains caressant mon dos. J’ai recommencé ma ronde des baisers mais je ne me suis pas arrêtée au nombril. Il avait un parfum fort, musqué, celui des travailleurs. Non qu’il ne fut pas propre, mais un vrai parfum d’homme. Arrivée à la ceinture, je l’ai ouverte et j’ai défait un à un les boutons de sa braguette découvrant une très belle bosse sur laquelle j’ai posé ma main. C’était chaud, vivant. J’ai d’abord caressé cette bosse à travers le slip, doucement, m’attardant sur le frein. Léonard gémissait doucement, il avait repris mes seins en main et les caressait comme je lui avait montré, avec une grande douceur.
Ila soulevé son bassin et j’ai pu enlever son pantalon, son slip et… ses chaussettes. J’ai alors commencé à embrasser ses pieds (décidément il était vraiment propre ce garçon…) J’ai pris son gros orteil dans ma bouche et j’ai simulé une fellation le faisant aller et venir dans ma bouche prélude à une autre fellation que j’avais bien l’intention de lui administrer. Puis, je suis remontée en embrassant les mollets, en m’attardant derrière les genoux, ces zones érogènes si souvent oubliées. J’ai continué en passant par les cuisses, là aussi en m’attardant sur l’intérieur avec mes doigts puis avec mes lèvres agaçant les testicules avec mes cheveux. J’ai posé une main sur son sexe et de l’autre j’ai pressé délicatement ses testicules. Je sentais Léonard tressaillir à chaque nouvelle caresse prêt à exploser.
Enfin, ma bouche est arrivée au sexe de Léonard que j’ai parcouru de doux baisers le décalottant de la main. J’ai pris son gland dans ma bouche et lentement, je l’ai fait pénétrer jusqu’à ma gorge. Je sentais qu’il ne tiendrait pas longtemps, je sentais son sexe vibrer dans ma bouche. Il avait un sexe pas très long mais épais. Sentant qu’il allait venir, je me suis empalée jusqu’à la luette sur son sexe et il a joui dans ma gorge, de longs jets de sperme chaud ont inondé ma gorge. J’ai eu l’impression qu’il n’en finissait pas de jouir, son corps était parcouru de soubresauts, j’avais du mal à le garder dans ma gorge tellement il bougeait. Au même moment, j’ai eu un autre orgasme. Enfin, il s’est calmé et j’ai pu remonter me blottir contre sa poitrine.
Ce qu’il fit, découvrant mon minou avec sa toison brune bien taillée.
Et joignant le geste à la parole, j’ai posé mon majeur sur mon clitoris et j’ai commencé à me caresser sous les yeux ébahis de Léonard.
J’ai continué à écarter mes grandes lèvres avec mes doigts et Léonard penché sur mon sexe a commencé à me caresser. Quelle étrange situation, déflorer un homme de 39 ans alors que j’aurai du être sur la route en vélo. Léonard est un élève doué, sa caresse était douce et précise à souhait, j’ai senti que le plaisir montait et lui aussi.
Léonard n’était plus du tout timide maintenant. J’ai senti son doigt qui appuyait plus fort et plus vite sur mon clitoris. J’avais presque mal tellement le plaisir qui montait était fort. J’étais grande ouverte, le sexe trempé et cet homme qui me caressait si bien qui avait compris si vite comment caresser une femme. J’ai eu un orgasme formidable, je ne savais plus ou j’étais.
Son sexe était de nouveau dressé, j’ai commencé à le caresser avec ma main.
Je me suis allongée et j’ai écarté les jambes.
Il est venu tout contre moi et j’ai senti son sexe à l’entrée de ma grotte, impatient. J’ai alors glissé ma main entre nos 2 corps et j’ai empoigné son sexe pour le présenter devant mon vagin.
Son sexe remplissait bien le mien, il s’est d’abord immobilisé au fond de moi avant d’entreprendre un lent va-et-vient. J’aime que l’on me fasse l’amour lentement, j’aime sentir le sexe me pénétrer puis ressortir pour m’envahir à nouveau. Je sentais le sexe de Léonard grossir en moi. J’avais envie qu’il aille encore plus loin aussi, j’ai noué mes jambes dans son dos et j’ai senti son sexe buter sur mon utérus. La pénétration était totale, il ne pouvait pas aller plus loin. De nouveau, j’ai senti le plaisir monter, encore plus violent que les fois précédentes. Je sentais que Léonard aussi était proche du plaisir aussi je me suis mise à venir à sa rencontre en avançant le bassin à chaque coup de boutoir. Nous avons joui ensemble, emportés par un maelström de plaisir. J’ai senti son sperme jaillir loin en moi, inonder mon vagin. J’ai failli défaillir de plaisir, de félicité partagée avec cet homme que je ne connaissais pas 2 heures avant et qui s’est révélé un formidable amant.
Et il m’a embrassée, un baiser passionné. Je lui ai rendu son baiser, lui aussi m’a fait jouir de façon extraordinaire. Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre nous caressant le visage ou échangeant un baiser. C’est là que je me suis aperçue que Julien nous regardait depuis le couloir.
Julien s’est approché, un peu embarrassé de s’être fait surprendre en voyeur.
Julien est entré dans la chambre et s’est approché de moi. J’étais toujours nue, je me suis assise au bord du lit et j’ai baissé sa braguette, son pantalon est tombé sur ses chevilles. J’ai baissé son slip pour découvrir un joli sexe en érection, pas mal pour un sexagénaire. J’ai pris ses bourses dans ma main puis, je me suis agenouillée devant lui. Je sentais le sperme de Léonard couler entre mes cuisses. J’ai approché ma bouche de son sexe, ça sentait l’homme, comme Léonard, mais aussi un peu l’urine. Je l’ai pris en bouche et j’ai commencé une fellation. Le sexe de Julien était bien dur, juste un peu plu fin que celui de Léonard. Sentant que le plaisir approchait, j’ai arrêté mon va-et-vient.
J’ai vu un large sourire illuminer le visage de Julien pendant que l’incompréhension se lisait sur celui de Léonard.
Le visage de Léonard est devenu tout rouge, mais son sexe a repris de la vigueur avec une très belle érection. J’ai fini de déshabiller Julien et j’ai découvert que lui aussi avait du être un athlète en son temps. Il est venu s’allonger sur le lit, son sexe avait un peu diminué de taille mais après quelques coups de langue bien placés, il reprit toute sa santé.
Je suis montée sur le lit et me suis positionnée à califourchon au-dessus de Julien. Léonard a pris le sexe de Julien en main et l’a maintenu pendant que je descendais m’empaler. Je sentais le sexe de Julien coulisser à l’intérieur du mien déjà bien lubrifié par le sperme de Léonard mais aussi par ma cyprine de nouveau abondante à l’idée de cette double pénétration. J’étais empalée, à genou de par et d’autre de Julien, je me suis couchée sur lui cambrant les reins pour présenter mon anus du mieux possible à la pénétration de Léonard. Décidément plus timide du tout, c’est avec sa langue que Léonard est venu lubrifier mon petit trou. Une langue pointue et inquisitrice à laquelle j’aurai bien aimé offrir une virginité hélas déjà perdue… Léonard est venu s’allonger sur moi et c’est lui même qui est venu présenter son sexe à mon œillet.
J’ai senti le gland de Léonard pousser sur mon anus qui s’est doucement ouvert. J’ai ressenti une légère douleur puis le gland a été absorbé comme par une ventouse.
Et c’est d’une seule poussée que Léonard s’est enfoncé en moi m’emplissant complètement. Je sentais les 2 sexes en moi, celui du père et du fils juste séparés par une fine membrane. C’est moi qui ait donné le tempo en bougeant le bassin d’avant en arrière. Les 2 hommes se sont accordés à merveille pour pousser et ressortir ensemble, vagues d’un océan, flux et reflux d’une mer de plaisir. Lentement mais puissamment, le plaisir est monté en nous, je sentais le sexe des 2 hommes grossir encore. Le premier, Julien est venu et s’est répandu en moi, suivi de près par Léornard ce qui a déclenché chez moi un orgasme extraordinaire et c’est sans retenue que j’ai crié mon plaisir prise en sandwich entre ces 2 hommes.
Nous sommes restés comme ça un long moment, digérant le plaisir commun qui nous avait unis. Et puis, il a fallu se séparer, Léonard s’est retiré, puis Julien. Tous 2 ont embrassé et léché mon corps offert une dernière fois sous toutes ses coutures.
Il était temps maintenant de retourner à une vie plus ordinaire. Nous sommes redescendus, mes vêtements avaient fini de sécher devant le feu et c’est sans pudeur que je me suis rhabillée avec mes vêtements de vélo. Léonard m’a demandé si je pouvais lui laisser ma culotte et c’est bien volontiers que j’ai accédé à sa demande. Je l’ai gratifié en plus d’un doux et long baiser. Avant de retourner au café, j’ai pris soin de leur demander leur numéro de téléphone. On ne sait jamais des fois que mon mari s’absente et qu’ils puissent se déplacer jusqu’à la maison. Je leur ai aussi demandé s’ils savaient élaguer les arbres… Ils savent !
Ils m’ont ramené dans la 4L jusqu’au café mais ne se sont pas attardés. Peu de temps après, mon mari est arrivé. Nous avons mis mon vélo dans la voiture et nous sommes rentrés à la maison. Contrairement à d’habitude, je n’étais pas très loquace, j’avais des images plein les yeux, et certainement pas des images de vélo…
Véronique
Veronique.delalande@caramail.com