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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/11/03
Résumé:  Une femme découvre son attirance pour la sodomie et le plaisir qu'elle en retire. Histoire vraie.
Critères:  fh fsodo init ecriv_f
Auteur : Justine Mai      
Une sexualité singulière



Bonjour à tous les fidèles lecteurs de revebebe. Ayant beaucoup fantasmé sur vos histoires, et n’ayant pas d’expérience hors du commun à raconter j’ai préféré m’abstenir jusqu’ici. Mais j’ai envie de partager avec vous tous la singularité de ma sexualité. En effet étant quelqu’un que l’on peu qualifier de timide, je n’en ai jamais parler. Avant d’entrer dans le vif du sujet, je vais me décrire et vous brosser sommairement mon environnement.


Pour commencer, je m’appelle Justine et j’ai 23 ans. Je suis étudiante en maîtrise de droit et je vis à Toulouse. Physiquement, j’ai quelques atouts jugés intéressants par la gente masculine. Je mesure 1,68m pour 52Kg, je suis mince et sportive, je fais beaucoup de danse depuis très jeune. Et la pratique de ce sport à modelé mon corps. J’ai de longues jambes, un derrière mignon et ferme, un ventre plat et des seins trop petits à mon goût. Je pense d’ailleurs très sérieusement à les faire gonfler un peu. Un petit 85B… Bref, hormis ce détail, j’aime plutôt bien mon corps. J’ai la peau très claire, les yeux presque noirs et les cheveux châtains foncés. Je n’ai jamais apprécié mon visage bien que l’on me dise très mignonne. Je n’aime pas mon nez et je trouve mes yeux trop enfoncés. Cela me donne un regard dur parfois. Passons. J’habite Toulouse dans un petit appartement en centre ville particulièrement agréable. Juste un peu trop bruyant. Mais on s’y fait. Je vis seule. J’ai pas mal de copines mais uniquement deux vrais amies. Je sors assez régulièrement en boite ou dans des bars à concert. Je n’ai pas de mec attitré, j’aime trop ma liberté. Je ne suis pas une folle de sexe mais je n’arrive pas à m’en passer très longtemps. J’aime beaucoup mes petits plaisirs solitaires mais rapidement cela ne me suffit plus. Je n’ai pas vraiment beaucoup de mal à trouver un mec, par contre les bons coups sont particulièrement rares. Pardonnez moi messieurs mais je n’en ai pas rencontré beaucoup dans ma vie qui m’aient fait grimper aux rideaux. En gros, je pense être une jeune femme tout à fait dans la norme. J’ai tout de même une singularité. Déjà toute jeune, je me masturbais beaucoup. Par beaucoup, j’entends au moins deux fois par jour, parfois bien plus. Là n’est pas le sujet. Mais lors de mes séances d’autosatisfaction, j’ai toujours énormément aimé me caresser entre les fesses. Ou alors introduire toutes sortes d’objets dans mon derrière. J’avais déjà affreusement honte de me toucher et de me donner du plaisir mais alors là c’était pire que tout. Pourtant, j’étais irrémédiablement attirée par mon derrière et ces intromissions et caresses me procuraient un plaisir bien plus grand que les pénétrations vaginales.


Le temps a passé, j’ai perdu mon pucelage relativement tôt et j’ai eu un certain nombre d’amants par la suite. De toutes ces expériences, je n’ai jamais pu atteindre l’orgasme par la pénétration. Seules les caresses ou le cunnilingus arrivaient à me faire décoller. J’étais toujours obnubilée par mon derrière. Je rêvais secrètement de me faire prendre les fesses sans jamais oser le demander. Et de toute façon, la morale s’y opposait farouchement. Puis, un jour vers l’age de 19 ans, j’ai rencontrer un mec. Doux, calme, très caressant. Christophe. Un très bon coup. Il était un virtuose de la minette. Et en plus il pouvait pratiquer pendant des heures sans jamais se fatiguer. Il n’était pas comme la majorité des hommes à bâcler les préliminaires pour passer immédiatement à la pénétration. Non, lui au contraire adorait me faire jouir avec sa langue ou avec ses doigts selon l’endroit et le moment. Il me pénétrait bien entendu mais sans se presser. Aucune précipitation. Ce n’était pas le genre de garçon qui s’énerve comme un malade pendant trente secondes et puis dès qu’il à lâché le lest s’endort comme une masse. Nous en avons toutes connu je pense… Non, lui prenait milles précautions et ne rendait pas les armes avant que sa partenaire n’ait eu sa part de bonheur.


Donc, j’ai rencontré ce garçon lors d’une soirée étudiante qui clôturait les partiels. Nous sommes rentrés ensemble chez lui et nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit. J’étais aux anges et je décidais de le revoir. C’était à chaque fois meilleur que la fois précédente. Nous sommes restés ensemble près de trois mois et un soir après de torrides préliminaires, il m’a prise comme à son habitude. Puis, il m’a demandé s’il pouvait passer par derrière. Sur le moment j’étais outrée d’une telle demande et j’ai vivement protesté. La morale et l’éducation sont mes pires ennemies maintenant, mais à l’époque je n’étais pas aussi coulante. Le temps a passé et je pensais de plus en plus à son sexe planté dans mes fesses. J’en mourrais d’envie et je me maudissais de mon refus. Comme il était souvent en déplacement durant la semaine, nous ne nous voyions pratiquement que le week-end. Et en son absence, je me caressais en l’imaginant me prendre par derrière. Je suis même allée jusqu’à entrer dans un sex-shop pour acheter un gode. Je jouais avec très souvent et je me le mettais dans les fesses. J’adorais les sensations qu’il me procurait. J’arrivais à jouir rien que par son intermédiaire. Chaque fois que Christophe rentrait je crevais d’envie de lui demander. J’avais envie qu’il me sodomise à fond. Je croyais devenir folle. Cela à duré quelques semaines et un vendredi soir j’avais préparé un bon repas, une jolie table et une bouteille de champagne. Je m’étais habillée hyper sexy voir même un peu provoc et je l’ai attendu. J’avais la ferme intention de perdre mon pucelage anal le soir même. Il est arrivé vers 21H00. Lorsqu’il est entré dans mon appart, il a tout de suite vu la table, l’ambiance tamisée et mes fringues. Tout cela était plutôt inhabituel.


« _ On fête quelque chose et j’ai oublié ? » demande t il un peu étonné.

« _ Non, pas du tout j’avais juste envie de passer une soirée agréable avec toi. » lui dis je en lui sautant au cou.


Nous nous sommes embrassés tendrement, ses mains me caressaient par dessus ma minuscule robe. Il s’est frayé un chemin jusque dans ma culotte. J’avoue qu’il y régnait une température et une humidité anormalement élevée. Je fondais littéralement sous ses caresses. Il m’a faite jouir juste du bout des doigts debout dans l’entrée de l’apart. Je le récompensais du plaisir qu’il m’avait offert par une petite gâterie dont j’ai le secret. Bref, la nuit s’annonçait brûlante. Sur ce, il est allé prendre une douche. Je virevoltais dans la cuisine peaufinant les moindres détails. Christophe s’était douché et changé. Il a débouché la bouteille de champagne et nous avons trinqué. Le champagne me grise assez rapidement. Je me sentirais plus libre comme cela. Nous bavardons tranquillement de la semaine qui vient de s’écouler. Son boulot, mes études. Classique. Le dîner se passe à merveille, pour une fois je ne l’ai pas fait cramer. Nous arrivons au dessert, une autre coupe de champagne bien frais. Je quitte ma chaise pour aller m’asseoir sur ses genoux. J’ai le vin particulièrement amoureux. C’est pour cela que dans les soirées je ne bois quasiment rien. Je l’embrasse goulûment, il me rend mon baiser. Ses caresses reprennent, il fait glisser les bretelles de ma robe et trouve facilement le chemin de ma poitrine. D’autant plus facilement que je ne porte pas de soutien-gorge. Mon excitation monte de plus en plus. Lui, il prend le temps. Il me caresse, embrasse chaque centimètre carré de ma peau. Mes épaules, ma nuque, il descend sur mes seins. J’adore lorsqu’il prend mes tétons entre ses lèvres et qu’il les pince légèrement en les faisant rouler. Ça me rend folle.


C’est moi qui accélère le mouvement en retirant ma robe. Je garde mon string car je sais qu’il adore le retirer lui même. C’est comme si il redécouvrait mon intimité à chaque fois. Enfin c’est ce qu’il m’a expliqué. Je suis debout à côté de lui, il m’embrasse les seins pendant que l’une de ses main se pose sur mon intimité bouillante. Il ne force pas la mince barrière de dentelle. Il fait durer le plaisir. Il me caresse. Enfin, ses doigts entrent en moi. Ouiiii. Que c’est bon. D’autorité, je m’agenouille devant lui et je m’attaque à se ceinture puis aux boutons de son pantalon. Il lève les fesses pour me facilité la tache. J’ouvre son caleçon et son sexe bandé en jaillit. Je le caresse doucement mais ne résiste pas très longtemps à l’envie de le prendre dans ma bouche. Son sexe est chaud , il vit dans ma bouche, il palpite sous ma langue. Il bande bien dur maintenant. Je le délaisse un instant et je viens m’y asseoir dessus. Dos à Christophe, j’écarte mon string et je m’empale sur son pieux. Mon vagin était parfaitement lubrifié, je le reçois d’un seul trait. Il est un peu étonné, car habituellement je suis plutôt passive. Mais là, le champagne aidant, c’est moi qui prends les commandes. Je monte et descends sur son phallus en gémissant. Je ne simule absolument pas, j’aime bien sentir un sexe dans mon ventre, je trouve cela agréable mais c’est tout. Pas l’ombre d’un orgasme. Je le chauffe à blanc. Puis, je penche la tête en arrière sur son épaule et au creux de son oreille je lui dis :


« _ Tu te souviens ce que tu m’a demandé l’autre jour ? » Et sans le laissé répondre je continue : « _ Et bien j’ai très envie que tu me le fasses. Prends moi les fesses maintenant. » Je ne bouge plus, lui non plus. Il ne dit rien comme assommé. J’attends. Il se décide enfin à parler :

« _ Tu es sure ? C’est ce que tu veux ? »

« _ Oui, totalement sure, j’en meurs d’envie. Prends moi par derrière. » insistais je.


Il me fait lever, me débarrasse de mon string. Il termine de se déshabiller. J’ai le cœur qui bât à toute vitesse. J’ai un peu peur de la douleur mais j’ai tellement envie de le sentir en moi. Je suis décidée et rien ne me fera reculer. Il vient se coller contre moi dans mon dos. Il m’embrasse la nuque tout en me caressant les seins. Puis il me fait pencher en avant le ventre plaqué contre l’accoudoir du canapé. Il s’accroupit derrière moi et je sens sa langue sur mon derrière. Ce contact m’électrise. Il tourne autour de mon petit trou et tente d’y pénétrer. Un doigt plonge dans mon vagin et en ressort la seconde d’après pour venir forcer mon anus. Son doigt me pénètre vite rejoint par un second et plus tard par un troisième. Il me lubrifie avec mon jus intime. Je le laisse faire, je suis au ciel. Ses doigts se retirent et il se relève, son gland vient se poser sur mon derrière.


« _ Fais doucement. » lui dis je dans un souffle.


Je suis au bord de l’évanouissement. Son sexe dur force mais je m’ouvre suffisamment pour le recevoir. Il entre en moi. Je ne ressent aucune douleur. Il fait tout doucement, par paliers. Et ne voyant aucune réaction négative de ma part, il continue sa progression. Bientôt, il me pénètre de toute sa longueur. Il ne bouge plus, comme attendant un signe pour commencer son œuvre. C’est beaucoup mieux qu’avec mon gode chérie. Mon plaisir est permanent depuis qu’il à commencer à s’occuper de mon séant. Je ne contrôle plus rien, j’ai un orgasme fulgurant et à répétition. J’ai le souffle coupé, la gorge noué. Le plaisir en est douloureux tellement il est puissant. Je ne saurais dire combien de temps s’est écoulé. Je reprends mes esprits, enfin, juste assez pour lui demander de continuer.

« _ Vas y… » lui dis je d’un voix a peine audible. Mais il m’a entendue et il démarre de lents et amples va-et-vient allant presque jusqu’à se retirer. Oh oui, j’attendais ça depuis toujours. Tous mes rêves étaient largement en dessous de la vérité. Je jouis non stop, décharges sur décharges. Je dois crier ou hurler je ne sais plus bien. C’est terrible, c’est merveilleux. Jamais je n’ai eu autant de plaisir, même sa langue ne fait pas mieux. Je crois mourir à plusieurs reprises. Christophe conserve son calme et ses mouvements lents.

« _ Accélère, plus vite. » lui ai je crié.


Il comprit à ce moment là qu’il ne fallait plus réfléchir mais agir. Agir tout de suite. Devenir plus bestial que cérébral. L’intensité augmente tellement que je reçois de grands coups de boutoir. Il me pilonne littéralement. J’aime ça et je lui dit. Il râle, enfin, je crois. Mes yeux se révulsent. Je n’y vois plus rien. Tant pis. Son bas ventre viens buter violemment sur mes fesses. Il ne ménage pas ces efforts. Je ne l’ai jamais vu dans cet état. Mais c’est bon, trop bon. J’aime trop ça. Il se déchaîne totalement. Il accélère encore. Mes jambes ne me tiennent plus. Je m’affale sur le canapé. Il reste en moi. Je ne suis plus qu’une poupée désarticulée. Le plaisir devient ma religion. La jouissance ma langue maternelle. Je donne de la voix. Je perçois mes hurlement comme s’il était émis par une étrangère. Je sors de mon corps. Je défaille. Ma jouissance devient insoutenable, intolérable. Je jette l’éponge, je veux que ça s’arrête. Mes cris de jouissance deviennent des cris de douleur. Heureusement, il est aussi à bout de souffle et je reçois sa semence brûlante au fond de mes entrailles surchauffées. Sentir le fruit de sa jouissance couler en moi provoque une nouvelle vague de plaisir. Comme de l’acide déversé dans mon ventre, je me cabre un instant et retombe. Une terrible douleur, telle une crampe me déchire le ventre. Il se fige. Je m’écroule.


Je perds connaissance un moment. Je ne sais combien de temps. Ma tête bourdonne, mon souffle est court, j’ai des picotements dans les mains. Ma vue troublée revient peu à peu. Je reprends contact avec la réalité. Il s’est retiré sans que je m’en rende compte. Je ressens un grand vide. Je ne bouge toujours pas. Il vient près de moi, je sens sa présence. Ma respiration se rétablit, mes battements cardiaques ralentissent. La douleur disparaît. Tout redevient normal. J’ouvre les yeux et le regarde en souriant. Il me sourit aussi. Il ne dit rien. Il respecte mon silence. Merci.


Ce fût mon premier orgasme anal. Et mon premier orgasme tout court. Nous avons souvent recommencé de faire l’amour de cette manière peu orthodoxe. J’ai souvent réussi à jouir aussi profondément. Pas à tous les coups naturellement, le plaisir féminin est ainsi fait. Mystérieux. J’ai lu beaucoup de choses sur la sodomie et tous les médecins, sexologues et autre blouses blanches s’accordent pour dire que la zone autour de l’anus est une zone érogène. Mais il affirment aussi qu’un orgasme ne peut être provoqué uniquement par une pénétration anale. J’ai aussi lu le témoignage d’autres rares femmes qui tout comme moi n’atteignent l’orgasme que par la sodomie. Aujourd’hui, j’ai 23 ans et je continue à m’éclater de cette manière. Je n’en ai plus du tout honte et il m’arrive de le demander ouvertement à mes partenaires. Et tous sont ravis. L’anus d’une femme est le saint Graal de l’homme. Et le posséder revient à toucher au saint des saints. Privilège accordé par si peu de femmes. Pour terminer, je dirais que j’ai une sexualité parfaitement épanouie. Je ne vois plus Christophe, il est parti travailler en Afrique. Je butine à droite à gauche. J’aime la nouveauté. J’ai toujours mon gode fétiche et je m’en sers toujours.


Si vous souhaitez m’envoyer vos commentaires, vos expériences en la matière. Et si par le plus grand des hasards une fille qui se reconnaît dans mon témoignage lit ce récit, surtout qu’elle n’hésite pas à me contacter. Je serai heureuse de pouvoir échanger nos expériences.



justine_mai@yahoo.fr