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n° 06920Fiche technique58084 caractères58084
Temps de lecture estimé : 33 mn
08/11/03
Résumé:  Michel, Julie et Florence font un pari un peu spécial...
Critères:  fh ffh fellation intermast cunnilingu pénétratio fsodo jeu
Auteur : Marcarov      
Le Pari


Bonjour, mon nom est Michel et j’aimerais vous raconter une histoire qui m’est arrivée l’été dernier alors que je fréquentais encore l’université de Genève.

Tout à commencé un lundi matin après un cours de maths où nous sommes ressortis avec la vague impression, désormais familière, de ne rien avoir compris. C’était la pause de midi et nous nous sommes assis à un des nombreux restaurants du campus avec la ferme intention d’oublier cette humiliation et de ne plus jamais en parler. Notre groupe était composé de 4 personnes, Florence, Julie, Marc et moi, tous célibataires et inscrits dans la même section. Cela ne faisait que trois petites semaines que nous étions ensembles et nous avions encore beaucoup à discuter. Marc essayait manifestement de draguer Florence et pour ma part je n’étais pas indifférent aux charmes de Julie, 1m70, brune aux yeux pers et au regard brasillant. Elle avait tout ce qu’il fallait pour convaincre : de longues et fermes jambes, une chevelure qui lui venait à la hauteur des épaules et une paire de seins hauts-placé qui tendait au maximum sa magnifique blouse rouge. Mais tout cela n’était que secondaire à la vue de ses magnifiques petites fesses cachées par une jupe légère (on était en été) des plus sexy qui existent. Je ne laissais passer aucune occasion pour essayer de deviner ce qu’elle portait dessous mais mes tentatives furent toutes vaines car Julie faisait tout pour le cacher. Je crois qu’elle s’en était aperçu et qu’elle faisait exprès de bien me le cacher, histoire de me faire baver encore plus…


Florence était tout un autre type : elle était blonde, un peu plus grande que Julie et avec des yeux smaragdin-nattier d’allumeuse ainsi qu’un corps qui n’avait rien à envier à celui de Julie. Le plus impressionnant chez elle était sa paire de seins immense dont on devinait les tétons par transparence à travers son top blanc-rose largement échancré et un soutien-gorge blanc tendu à craquer. Elle était beaucoup moins réservée que sa copine et ne laissait passer aucune occasion pour se pencher en avant et nous présenter fièrement ce que mère nature avait accompli, ce qui faisait haleiner mon ami Marc qui était à deux doigts de devenir dingue. Marc était un peu le type d’homme dont toutes les femmes rêvent : beau, musclé, aux cheveux bruns foncés et aux yeux bleus. Il avait multiplié les conquêtes amoureuses et pouvait se vanter d’avoir couché avec au moins la moitié des filles du collège alors que beaucoup d’entre-nous étaient encore puceaux. Bon, maintenant, Marc a beaucoup changé et il regrette ces sauteries effrénées ainsi que cette succession d’infidélités et de tromperies. Il m’a dit qu’il cherchait quelqu’un avec qui se lier définitivement et sérieusement. Je crois qu’il en a marre de toutes ces relations superficielles. Il a eu ses expériences, maintenant il aimerait connaître l’amour. Je trouve que c’est une bonne idée de sa part d’autant plus que je cherche la même chose. Avec Julie, je croyais avoir trouvé la femme parfaite qui alliait beauté, humour et sérieux. Marc était aux anges avec Florence. Tout allait pour le mieux s’il n’y avait pas ces cours de maths qui nous empoisonnaient la vie !!!

J’étais indubitablement le moins bon de nous quatre en maths et je devais me battre pour atteindre avec beaucoup de peine et d’effort le minimum exigé; un peu moins et je loupais mon année…


A midi, assis au soleil sur la terrasse de notre restaurant préféré, nous en avons quand même rediscuté, malgré notre intention d’oublier pour un moment les soucis scolaires. Julie prit la parole avec un ton interrogateur :



Je répondis que j’étais limite et qu’une bonne note au prochain examen serait plus que la bienvenue…



Alors j’ai vu les yeux de Julie briller et j’ai senti qu’elle me préparait un coup pas net.



Je ne voyais pas où elle voulait en venir et répondis d’une voix un peu méfiante



Mon coeur battait terriblement vite, j’avais de la peine à garder ma constance.



Elle baissa un peu la voix, histoire de ne pas se faire remarquer par les autres gens qui mangeaient et reprit :



J’eus une légère hésitation… j’avais ma fierté et une réputation quand même…



Mmmh.. j’hésitais. La proposition était certes très intéressante et le seul fait d’imaginer ce que cette soirée pourrait bien cacher faisait naître une bosse dans mon jean. D’un autre côté j’étais quand même une sacré merde en maths et les chances que je perde étaient tout aussi grandes voire même beaucoup plus…


Voyant mon hésitation, Florence, qui avait tout entendu, intervint dans la conversation :



Je n’en croyais pas mes oreilles ! Je venais de me voir proposer une soirée avec la fille que je convoitais depuis 3 semaines et une fellation par une superbe blonde aux seins énormes et au regard d’allumeuse. Et tout ceci pendant un repas de midi en plein soleil sur une terrasse autour de 200 autres personnes.


Ne sachant que faire je cherchai de l’aide dans les yeux de Marc qui affichait un sourire qui en disait long : qu’est-ce que tu attends, mec ? Qu’une troisième fille se joigne au pari ???!!!


J’ai réfléchi pendant quelques secondes. Le silence était lourd et je sentais que ma réponse ne devait tarder sinon les filles auraient retiré leur offre.



Les filles se regardèrent et éclatèrent de rire.



Le pari fut validé et nous nous sommes séparés pour aller suivre notre option personnelle chacun de notre côté. En sortant du restaurant j’ai ressenti un léger vertige : je prenais seulement conscience de ce que je venais de faire et de l’immense enjeu qui avait été misé. J’avais une semaine avant la prochaine interrogation et plus de lacunes qu’un fromage suisse. Il me fallait trouver quelqu’un qui excellait dans ce domaine et qui serait prêt à bosser avec moi toutes les nuits et sans relâche jusqu’à l’examen final.

A priori, il n’y avait qu’une seule personne qui aurait pu faire ça : Claire !


Claire était une fille dans la vingtaine, assez petite mais mignonne avec un petit air de coquine avec ses cheveux châtains coupés courts et ses habits de lycéenne qui laissaient voir ses formes harmonieuses et équilibrées. Claire était sans doute la meilleure mathématicienne de toute l’université. Je l’ai rencontré quelque fois pendant les séances de travaux pratiques où elle sortait toujours en avance après avoir répondu avec brillance à toutes les questions. Le seul problème, c’était que je m’étais disputé avec elle il y a 2 semaines au sujet d’un devoir commun. Elle m’avait traité d’incapable et effectué tout le travail elle-même sans même me demander mon avis. J’avais trouvé ce comportement très méprisant et lui avait dit qu’un peu plus de respect lui ferait du bien et qu’en somme elle n’était pas si forte que ça ! La chose avait dégénérée et nous nous sommes insultés copieusement avant qu’elle me foute à la porte et me dise de ne plus jamais revenir chez elle…


Et bien si je voulais avoir mon ticket d’entrée pour le paradis, il fallait bien que j’y retourne, dans la caverne du loup…


On était lundi, l’examen était lundi prochain et il ne fallait perdre aucune seconde. Sitôt mes cours terminés, je me suis rendu chez elle et j’ai sonné. C’est Claire qui est venue ouvrir la porte :



Et paf ! Elle claqua la porte !


J’ai sonné à nouveau. Elle a ouvert une deuxième fois la porte en me criant dessus :



Elle a voulu refermer la porte mais j’ai coincé celle-ci avec mon pied.



Elle hésitait, je sentais que si j’insistais encore un peu j’allais gagner.



J’ai immédiatement su que j’avais un atout dans ma poche : l’économie, c’était ma branche forte. Et puis son examen était dans 2 semaines ! Elle avait donc une semaine pour m’apprendre les maths et moi une semaine pour lui aider en économie.

Je lui ai donc proposé un marché qu’elle a accepté malgré elle, jugeant l’école plus importante qu’une dispute…

Je suis donc entré et nous avons immédiatement commencé.


Claire était vraiment forte et elle savait bien expliquer. Mais quand elle vit où j’en étais, elle poussa un long soupir et alla nous chercher un café :



Cette nuit-là, je suis rentré chez moi à 2 heures du matin avec le crâne bourré de formules et de théorèmes. J’avais pas vraiment l’impression d’avoir progressé mais Claire disait qu’on était sur la bonne voie… bon, je lui faisais confiance, mais là j’étais tellement fatigué que ça m’était égal. J’eus juste encore la force de contrôler mon répondeur avant d’aller me coucher : il y avait un message de Julie.


"Salut Michel, tu n’es manifestement pas là. Tu dois être entrain d’apprendre, c’est bien. Je ne vais pas te déranger dans ce cas. Je voulais juste te dire que toute cette affaire m’a terriblement excitée. ça serait vraiment dommage si tu perdais… tu ne verrais jamais ce que je cache vraiment sous mes jupes…"


Bon, manifestement elle savait que j’essayais de voir ce qu’elle portais comme sous-vêtements. En plus, elle faisait exprès de ne pas me montrer… cela faisait partie de son petit jeu. Moi, ça ne faisait qu’augmenter mon désir et ma curiosité. Sacré Julie… Je me couchai en me jurant de ne pas perdre. Mais je sursautai en entendant une autre voix sortir du répondeur… il y avait eu un deuxième appel, qui était de Florence cette fois. Elle avait choisi un ton très mielleux et parlait très sensuellement :


"Salut mon grand. Toujours debout ? Je voulais juste te dire que je me réjouis déjà de tenir ta bite dans mes mains. Ne me déçois pas, hein ? Tu regretterais toute ta vie, crois-moi…

Ah oui, devine avec qui je suis maintenant… Avec ton ami Marc ! Je t’assure qu’il sait s’y prendre. C’était fantastique ! Dis-toi que ça pourrait bientôt être ton tour…"


Elle raccrocha et le silence envahit ma chambre. Cette salope n’avait pas perdu son temps. Marc devait être le plus heureux des hommes en ce moment. À vrai dire toute cette histoire me semble tellement irréelle ! J’ai toujours de la peine à réaliser…


C’est ainsi que je me suis endormi, emportant dans mon sommeil mes fantasmes et mes formules de maths. Mon sommeil fut lourd, mes rêves torrides et à mon réveil, l’état de mon membre en disait long sur mon plaisir…


La deuxième journée fut tout aussi belle et chaude que la première. Nous nous sommes retrouvés comme d’habitude dans le parc à côté de l’étang et des bambous, notre place préférée sur le campus. J’étais passablement fatigué par la longue nuit de travail avec Claire mais avais encore suffisamment d’esprit pour suivre la conversation. Marc et Florence étaient intimement enlacés et nous racontaient leur nuit torride de hier. Le récit était terriblement excitant et je ne tardai pas à ressentir un début d’érection. Florence s’en aperçut la première et me dit :



Je répondis avec une certaine gêne que je pensais à notre pari et que d’après ce que je venais d’entendre je ne pouvais pas rester indifférent.



Julie était assise en face de moi et elle portait sa jupe d’été super sexy qui était tout juste assez longue pour cacher l’objet de mes désirs. Mais ce jour là, quand elle se leva, elle décroisa volontairement les jambes si bien que je pus apercevoir pendant une demi seconde peut-être un petit bout de tissu blanc qui recouvrait son entrejambe. Ce n’était qu’une demi seconde et je n’eus même pas le temps de réaliser ce qui se passait qu’elle était déjà sur les jambes et qu’elle se dirigea vers moi pour me donner un petit baiser sur les joues.



Comment oublier ??? A présent je bandais dur et ma bite me faisais mal tellement j’étais excité. Saloperie de jeans, trop serrés ! Mais j’oubliai vite ma colère en suivant du regard le magnifique petit cul de Julie qui s’éloignait de nous d’un pas gracile et terriblement aguicheur.


Dans 6 jours tu es à moi, pensais-je. Si tu crois que tu as gagnée et que tu t’en tireras comme ça tu as sous-estimé ma volonté, ma petite… mais tu verras.


L’après-midi, j’avais rendez-vous chez Claire pour ma deuxième leçon de maths. Elle m’accueilli avec un large sourire et me pria d’entrer.



Je sentais qu’elle brûlait d’envie de me raconter mais qu’elle n’osait pas se lancer de peur de paraître hypocrite; hier elle me gueule dessus, aujourd’hui elle me raconte ses histoires comme à un super copain d’enfance. Tant pis, pensais-je, je ne suis pas venu ici pour écouter des histoires mais pour apprendre les maths. C’est ce que je lui dis, d’ailleurs.



Nous sommes donc montés dans sa chambre et avons commencé un nouveau sujet que je ne maîtrisais absolument pas. Claire disait que j’apprenais vite et qu’elle n’avait jamais vu travailler quelqu’un avec une telle motivation.


Pas étonnant, pensais-je. Si tous les élèves tenaient des paris comme le mien, plus personne ne manquerait ses examens…


Au bout d’une heure ou deux, nous avons fait une pause café, histoire de tenir la nuit, du moins jusqu’à 2h, comme hier. Au moment de se lever, Claire a glissé de sa chaise. Elle a tenté de s’accrocher désespérément à quelque chose et ne trouva rien d’autre que mon pantalon. Ayant connu une petite étroitesse cet après-midi dans mes jeans, j’avais pris le soin de mettre quelque chose de plus ample, histoire de disposer d’un peu de place au cas où… j’avais donc opté pour un pantalon assez large et léger et évidemment fragile. Bien trop fragile…


Le tissu se déchira et je me retrouvai avec un pantalon fendu jusqu’aux mollets qui laissait voir mes jambes nues et le bas de mon caleçon.



S’ensuivit un long silence pendant lequel personne ne savait quoi dire. Puis, nous avons tous les deux éclaté de rire.

On riait comme des fous, un de ces fous-rire qui ne semble plus vouloir s’arrêter.



Tu comptes le garder comme souvenir ? (Rire)


Elle regarda sa main et rit encore. Puis elle se reprit et me demanda :



Elle s’éloigna en poussant un petit rire étouffé et revint quelques secondes plus tard avec un jeans emprunté à son frère.



Elle ne comprenait pas où j’en voulais en venir. Je décidai donc de lui montrer ce que je pensais et ôtai le pantalon déchiré. Voyant que je me déshabillais elle dit :



Mais j’étais déjà en caleçon devant elle et enfilai le nouveau pantalon. Comme réponse je me suis contenté de sourire. Elle sourit en retour. Pendant un instant je la trouvai très belle. J’avais momentanément oublié Julie et Florence. Mais très vite je me suis souvenu que je n’étais pas venu pour rigoler et que nous avions perdu beaucoup de temps avec ce petit incident.



Ainsi s’achève le deuxième jour. Je suis rentré à 2h30 du matin et j’ai trouvé un message dans ma boîte électronique. Il était de Julie :


« Alors, ça t’a plu ? »


Je savais à quoi elle faisait allusion. Comme seule réponse je lui ai écrit que je n’avais pas eu le temps de voir mais que ce n’était pas grave car j’en verrai bien plus dans 5 jours…


Puis je me suis couché et j’ai dormi d’un seul trait jusqu’au petit matin suivant.


Le troisième jour était un mercredi. Il pleuvait et il faisait froid. Mes espoirs de voir arriver Julie en tenue super courte furent détruits définitivement quand je la vis dans le train avec son grand manteau de pluie ainsi qu’un jean bleu maine. Même comme ça elle est jolie, tout simplement à craquer.


Notre conversation concernait Marc et Florence. Apparemment ils avaient passé une autre nuit ensembles et baisés tellement fort que les voisins s’étaient plaints.



Je ne croyais pas mes oreilles. Elle venait de dire chatte ? Julie ? La réservée ? Jugeant inopportun de l’interrompre je regardai autour de moi pour voir si quelqu’un suivait la conversation. Le train était presque vide et personne n’avait entendu. J’étais rassuré. Julie continua son récit.



Une idée me traversa l’esprit.



Julie me lança un regard interrogateur et coquin à la fois.



C’est ainsi que Julie prit possession de mon appart. La nuit, quand je suis rentré de chez Claire elle dormait déjà d’un sommeil lourd, la couverture minutieusement tirée jusqu’au cou de façon à ce qu’uniquement sa tête angélique ne dépasse. J’aurais pu en profiter et tirer légèrement sur la couverture mais je réussi à me contrôler et pensai à ma promesse de cet après-midi.


Le quatrième jour fut un jeudi et je fus réveillé par la machine à café ainsi que par l’odeur exquise du pain frais et du petit-déjeuner soigneusement préparé par Julie.



J’esquissai un petit sourire et la vis disparaître par la porte un croissant à la main. Je croyais à un rêve mais non, la table était prête et le café fumait encore.


Sacré Julie.


Chez Claire j’ai eu droit à ma deuxième surprise : vous vous souvenez encore de l’histoire que Claire voulait me raconter mais qu’elle avait préféré garder sous silence ? Et bien elle s’était bien contrôlée mais maintenant que nous avions connu l’épisode du pantalon déchiré, elle considérait la chose un peu plus décontractée.



Elle avait raison, ainsi j’acceptai avec un long soupir, me voyant déjà sombrer dans les méandres logiques pendant mon samedi matin. Je tentai de penser à Julie et à Florence et à ce qui était en jeu. Après tout, il ne reste plus que 4 jours !!!


La soirée passa vite et je bouclai en un temps record 2 autres sujets d’algèbre linéaire. Au moment où je voulais partir, Claire me retint.



Je rêvais où elle venait de me dire qu’elle voulait faire l’amour avec moi et apprendre le sexe comme on apprend les maths ?



Je réfléchis un instant, après tout, elle était très mignonne dans son genre, et puis je repensai à l’épisode du pantalon déchiré… n’avais-je pas envie, après tout ?




Elle me colla un baiser un peu hâtif sur la jour et ferma la porte. Me voilà initiateur sexuel, me dis-je en rentrant chez moi. Une vierge qui veut que sa première fois soit avec moi… et juste pour plaire à un autre… quelles idées elles ont, ces filles…


Le lendemain matin je me suis donc pointé précisément à 11h chez Claire. Elle m’ouvrit la porte avec un grand sourire et dit :



Elle m’attrapa par la main et couru dans les escaliers. Arrivé dans sa chambre elle ferma la porte à clé et me montra un grand lit 2 places soigneusement rangé et qui avait l’air terriblement confortable.



Puis un grand silence s’est installé entre nous. C’était un peu spécial comme situation. Je ne savais pas quoi faire et me contentai de sourire bêtement. Claire était toujours debout près de la porte.



Bon, eh bien on était mal parti, il ne restait que 50 minutes à tout casser et elle ne savait même pas comment embrasser.



Elle s’assit timidement.



J’ai approché ma bouche de la sienne et nos lèvres se sont touchées. D’abord hésitante elle a vite compris ce qu’elle devait faire et a commencé à ouvrir un peu les lèvres et à y mettre la langue.



Elle se jeta sur moi et m’embrasse avec passion. Elle était formidablement agile, la garce ! J’avais de la peine à croire qu’elle n’avait jamais fait ça.



Elle hésita.


J’avançai ma main et la posai doucement sur ses cuisses.



J’avais commencé des lents vas et viens sur la cuisse de Claire et celle-ci manifestait son plaisir en rejetant la tête en arrière et en écartant légèrement les cuisses. Avec mon autre main, j’ai commencé à caresser ses seins à travers la chemise qu’elle portait. Alors, j’ai commencé à lui enlever sa chemise afin de faire apparaître son joli soutien-gorge noir tout en dentelle. Abandonnant son entrejambe j’empoignai ses seins et commençai à les caresser.



Voilà qu’elle prenait déjà des initiatives alors que c’était moi qui était censé lui apprendre…


Elle s’attaqua donc à mon T-shirt et dégagea mon torse avant de plonger ses mains vers ma ceinture et de dégrafer cette dernière d’un geste rapide. Puis elle marqua une petite pause avant de baisser mes pantalons et d’aventurer une main sur la bosse de mon caleçon.



Elle laissa glisser ses mains le long de mes cuisses et empoigna mon caleçon qu’elle baissa lentement, libérant peu à peu ma queue bien dure et bandée. Elle semblait aimer ce que se présentait devant ses yeux :



Joignant le geste à la parole, Claire empoigna mon sexe et commença un lent va-et-vient.



Claire possédait un don naturel pour ce genre de caresses. En moins d’une minute elle m’amena au bord de l’orgasme. Je l’avertis et lui dit que pour calmer le jeu elle pouvait prendre ma queue dans sa bouche. Elle ne se fit pas prier.


Là aussi je découvris chez elle un talent inné. Loin de me calmer, elle m’excita encore plus si bien que je du l’interrompre pour ne pas exploser dans sa bouche.



Je la fis se lever et lui enleva son jean pour découvrir un joli petit string noir qui mettait en valeur ses fesses rebondies. Je ne me privais pas de les caresser ce qui la fit se cambrer et gémir de plaisir. Ensuite je dégrafai son soutien-gorge et découvris sa paire de seins. Je songeai que cela tenait presque d’un miracle qu’une fille pareille soit encore vierge. Ses seins étaient tout simplement parfaits. Parfaitement proportionnés avec le reste de son corps, ils se dressaient fièrement et appelaient littéralement qu’on s’occupe d’eux.


J’approchai donc mes lèvres des gros tétons et commençai à les sucer comme un nourrisson. Claire ne disait plus rien. Elle respirait bruyamment et ne cachait pas son désir. Elle m’encourageait avec des gémissements de plaisir tandis que je plongeai ma main vers son intimité pour augmenter son plaisir.


Écartant le string trempé par sa mouille je glissai avec un doigt sur son sexe et caressais doucement ses grandes lèvres. À en voir l’état de ces dernières, Claire devait être aux anges. Je portai mon doigt à ma bouche et gouttai à sa mouille.



N’attendant que ça, Claire s’allongea sur le lit et écarta les jambes, m’exposant son intimité ruisselante. Pour plus de plaisir elle ferma les yeux et attendit que je vienne m’occuper d’elle.


M’installant confortablement, j’entrepris de nettoyer cette chatte offerte à mes caresses et d’envoyer ma partenaire au septième ciel. Passant et repassant sur tout son sexe je stimulais aussi son clitoris gonflé à bloc et introduisais parfois ma langue dans son vagin brûlant.


Claire se trémoussait de plaisir et avait de la peine à rester tranquille tellement son plaisir était grand.



Interrompant mon cunnilingus, je lui dis :



Reprenant mon activité je léchai une dernière fois ses lèvres avant d’aspirer goulûment son clitoris tout en enfonçant un doigt dans son vagin. Sous l’effet de cette ultime stimulation, Claire se raidit en criant.



Je reçus un flot de cyprine dans la bouche que je m’empressai d’avaler. Claire était toujours agitée de derniers spasmes de plaisir et gémissait de plaisir.



Après une minute elle avait retrouvé ses esprits et vint m’embrasser.



J’étais flatté par ce compliment mais nous n’avions pas vraiment progressé dans notre leçon. Ses parents allaient rentrer dans quelques minutes et Claire était toujours vierge.


C’est elle qui manifesta en premier son désir :



Je dirigeai donc ma queue à l’entrée de son vagin et commençai une légère poussée, tout doucement, afin de ne pas lui faire mal. De son côté elle m’aidait comme elle pouvait, venant à la rencontre de ma queue avec son bassin.


Bientôt, le passage fut libre et ma queue bien au fond de son sexe. Elle était tellement serrée que je sentais mon sexe littéralement comprimée par ses parois vaginales. Les contractions de son intimité étaient tellement fortes que j’étais au bord de l’explosion tellement elle me massait bien.



Elle jouit une deuxième fois. Je dus ressortir ma bite de son fourneau pour ne pas éjaculer. Après quelques instants elle me supplia de la bourrer.



Je la repénetrai donc et commençai un lent va-et-vient, ressortant presque de son vagin à chaque aller retour pour finalement faire disparaître complètement ma queue en elle.


Claire était aux anges et elle ne le cachait pas.


Ses gémissements devaient s’entendre dans toute la maison. Cela me fit penser à Marc et Florence, et comme ils devaient faire exactement la même chose en ce moment. Cette pensée m’excite au plus haut point. J’étais sur le point de tout lâcher.



Accélérant le rythme je ne tardai pas à atteindre le sommet de mon plaisir. D’un dernier coup je m’enfonçai au plus profond de son vagin et me vidai avec un long râle de plaisir tandis que Claire subissait un troisième orgasme.


Quelques instants plus tard, nous avons entendu la voiture des parents de Claire. Il était moins une. Juste le temps de nous habiller. Tant pis pour la toilette, Claire, dont le vagin était rempli de mon foutre, enfila son string et ses jeans et m’embrassa une dernière fois avec passion.



Ainsi s’achève le vendredi. De retour chez moi je trouve un petit billet de Julie sur mon lit :


« Suis partie en boîte, reviens tard dans la nuit. Bien révisé tes maths ? A demain. »


Tant mieux, après toute cette histoire avec Claire je ne savais plus quoi penser de ce pari…


Samedi matin le soleil était de retour. Mais je ne pouvais en profiter car j’avais rendez-vous chez Claire.


Celle-ci m’accueilli avec un grand sourire et un tendre baiser sur la bouche.



Un peu surpris je lui demandai quelques renseignements sur la soirée de hier :



Elle sourit, puis haussa les épaules.



Il ne me manquait plus que ça : un troisième pari alors que j’en avais déjà 2 en route… je ne sais pas pourquoi mais celui-ci ne me dérangeait pas vraiment. Je n’avais pas grand chose à perdre, en fait. Je gagne, je peux toujours décider, je perds, ce n’est pas si grave que ça non-plus, être l’esclave sexuel d’une débutante déchaînée du sexe, je ne vois pas où est le mal… (Rire)



Elle sourit.



C’est ainsi que nous nous sommes mis au travail. J’avais encore pas mal de problèmes mais je commençais à voir une lumière au bout du tunnel. Claire était une fantastique aide et je rentrai chez moi le samedi soir avec le sentiment de pouvoir boucler les révisions demain.


De retour chez moi je découvris Julie assise à une table avec Florence.



Les filles échangèrent un petit regard coquin. Florence reprit la discussion :



Elle se pencha vers Florence et l’embrassa sur la bouche tout en gémissant de plaisir.



Elle se levèrent en ricanant et sortirent en dodelinant du cul.



Pétasses, pensais-je ! Quelle erreur j’avais faite ! Julie n’était pas la femme parfaite comme je le croyais. Quant à Florence, c’était tout simplement une salope d’aguicheuse. Une allumeuse, rien d’autre. Quel pari stupide !


Mais il était trop tard pour faire marche arrière…


Le dimanche je rendis une dernière visite à Claire avant d’attaquer les examens du lundi. Avant de la quitter je la remerciai avec un petit baiser sur la joue.



Elle sourit et répondit que finalement je n’étais pas si mauvais en maths et que j’avais montré que j’avais du courage et de la volonté. Elle m’a proposé de laisser tomber notre pari mais je lui ai répondu que je tenais toujours mes promesses et que quoi qu’il arrive je garderai d’elle un bon souvenir…

Son dernier mot fut un "je t’aime" saccadé. Elle pleurait un peu ainsi je la pris dans mes bras pour la calmer avant de partir.


J’avais un examen de maths, quand même !


Le jour tant attendu j’étais nerveusement installé devant ma table et attendait les copies : je priai que ce soit facile, que j’aie vu le sujet avec Claire. D’ailleurs, c’était assez probable même, car Claire m’avait assurée qu’on avait absolument tout vu. Mais je ne savais pas à quel point l’enseignement de Claire ferait ses preuves… un 4.5 ! il me fallait un 4.5 ! Tant pis si je n’ai pas plus, je n’avais plus qu’une envie, en finir avec ce pari et retourner chez Claire pour lui dire que je l’aimais aussi et que j’avais remarqué à quel point j’avais besoin d’elle.


Mais avant, il s’agissait de faire un 4.5 !


Je reçus donc les feuilles et lu les questions. Il y en avait 4, dont 3 que j’avais vues samedi avec Claire et 1 que j’avais vue vaguement le mardi ou le mercredi, je ne me souviens plus.


ça devrait aller, me suis-je dit et me suis mis à l’ouvrage. 4 heures plus tard, je ressortis le coeur rassuré. Je savais que j’avais 75 % de juste, le reste, j’avais gribouillé quelques trucs mais va savoir si c’était juste !


Il ne restait plus qu’à attendre les résultats. Ne sachant que faire j’allai me promener dans le parc. Il était midi, je devais attendre jusqu’à 18h pour avoir les résultats.

Dans le parc, j’ai trouvé un petit banc où je me suis assis, pensant à tout ce que j’avais vécu pendant cette dernière semaine.

Je me jurai de ne plus jamais faire de paris avec Julie et Florence. Quel que soit le résultat ! Je me jurai aussi d’aider Claire pour son test d’économie. Elle a fait tellement pour moi que je lui dois plus que je ne pourrais jamais lui donner. En retour je lui offrirai mon amour, car c’est elle que j’aime et non Julie ou Florence. Cette pensée apaisa mon esprit qui sous l’effet de l’épuisement des ces derniers jours s’endormit dans une quiétude totale.


Lorsque je me réveillai, il était 19h00 et le parc était désert. Je me dirigeai vers le bâtiment des examens et consultai la feuille avec mes résultats.


Michel DeSilva

examen écrit de maths

97 % des points

note : 6


En bas de la page il y avait un petit mot écrit au stylo rouge.


« Félicitations ! » signé, Claire.


Je me laissai choir parterre et pleurai de joie. Enfin ! C’est fini !


De retour chez moi je tombai nez à nez avec Julie et Florence.



Elles pouffèrent de rire.



Pour seul signe je baissai mon pantalon et sorti ma queue.



Les deux filles regardèrent la copie et s’exclamèrent :



Florence regarda Julie mais celle-ci se contenta de hausser les épaules en disant :



Celle-ci s’installa donc à quatre pattes devant ma bite et voulu commencer quand je l’interrompis.



Julie ne s’attendait pas à ça et hésita un instant. Voyant que Florence avait déjà ôté son top elle me regarda avec un regard de mendiante.



Voyant qu’elles n’avaient pas le choix, les deux filles s’exécutèrent. Mon excitation était à son paroxysme ! Je voyais enfin le magnifique petit cul bien moulé dans un string en dentelle de Julie et les immenses seins laiteux de Florence. Celle-ci avait coincé ma bite entre ses seins et avait entamé un lent mouvement de va et viens. Sentir ma queue coincée dans cet étau me fit atteindre le point du non retour et j’explosai sans retenue entre les seins de Florence. Ma semence alla s’étaler sur son visage et son menton. Le reste coula sur ses seins et sur son ventre.



Comprenant ce que je voulais, Julie vient nettoyer ma bite barbouillée de sperme avec sa langue. Jusqu’à la dernière goutte ! Elle semblait aimer ça car sitôt mon sexe propre, elle s’attaqua aux seins de Florence pour remonter progressivement vers son visage. Au bout de 2 minutes, toute trace de sperme avait disparue et Julie se léchait les babines.



Julie, toujours en soutien-gorge et en string, se mit à quatre pattes sur la table et se cambra généreusement pour me faire admirer ses fesses. Je m’amusai à les tripoter et à les lécher quand soudain Florence me dit :



Pour seule réponse, Julie se contenta de porter sa main à son sexe pour se branler sensuellement tout émettant des gémissements à vous fendre l’âme.



Florence s’exécuta et se plaça derrière sa copine. Elle avait la dure tâche de préparer le petit cul de Julie afin que je puisse m’y introduire sans difficulté. Elle y mettait tout son talent et son expérience, ce qui redoubla l’intensité des gémissements de Julie.


Jugeant que le cul de Julie était maintenant suffisamment lubrifié, j’ordonnai à Florence de me sucer la bite pour lui redonner toute sa vigueur puis j’empoignai de mes deux mains les fesses de Julie que j’écartai au maximum afin de faciliter le passage.


Au bout de quelques essais je réussi à entrer en elle et commençai un long va-et-vient de plus en plus rapide au fur et à mesure que les cris de Julie s’amplifiaient.

Pendant ce temps, Florence s’était couché sur la table sous Julie et avait commencé à lui lécher le sexe en position de 69, ce qui laissait l’occasion à Julie de profiter à volonté de celui de Florence.


La situation était des plus excitantes. Le cul de Julie me faisait un bien fou ! Depuis le temps que j’en rêvais ! Me voilà récompensé de mes efforts !


Cependant je ne voulais pas déjà jouir, estimant que je n’avais pas encore profité assez de mes partenaires, j’ordonnai à Julie de venir me nettoyer la queue avant de l’allonger sur le dos et de la pénétrer violemment. Quand à Florence, elle vint s’asseoir sur le visage de Julie et ne tarda pas à crier son plaisir tellement Julie lui léchait bien la fente.


Au bout de quelques minutes, Florence explosa sur Julie, inondant de sa mouille le visage angélique de sa copine qui s’en délectait. Moi, j’étais au bord de l’orgasme et j’en avertis ma partenaire.



Sentant que la sève montait, je retournai Julie sur le dos et sortis ma queue de sa chatte. Je voulais lui arroser ses superbes fesses de ma semence d’amour.

Voyant ce que je voulais faire, Julie m’aida en frottant son cul sur ma bite prête à exploser.


Alors un formidable orgasme eut raison de moi et j’explosai entre les fesses de Julie, envoyant mon sperme entre sa raie et sur son dos. Florence vint immédiatement lécher les dernières gouttes qui perlaient encore de mon sexe avant de les amener à la bouche de Julie qui n’avait toujours pas joui.


Constatant son désir pressant, je lui léchai la chatte avec application, gouttant à son jus d’amour exquis et explorant de ma langue le moindre recoin de sa grotte.


L’orgasme de Julie fut dévastateur. Elle gueula comme une folle avant de s’affaler sur le sol, souillée de sperme et de mouille.


Voilà du bon travail, me suis-je dit. Me tournant vers les filles je leur ai dit :



Julie me regarda d’un oeil bizarre et Florence ne dit rien. Je crois qu’elles en avaient assez des paris pour le moment, elles aussi.

La matin prochain je suis allé rendre visite à Claire pour la remercier à ma manière de ce qu’elle avait fait pour moi. Inutile de dire que Claire et moi nous formons toujours un couple et que Claire a largement rattrapé son inexpérience en matière de sexe.


Un jour, alors que nous venions de faire l’amour et que nous étions couchés côte à côte sur le lit, elle me demanda pourquoi j’avais absolument voulu faire une bonne note à cet examen de maths. Elle disait qu’elle ne comprenait pas pourquoi je m’étais à ce point obstiné alors qu’un 4.5 aurait largement suffit.



Ne comprenant pas trop à quoi je faisais allusion, Claire se contenta de m’embrasser et de me regarder dans les yeux.



Marcarov.