n° 06926 | Fiche technique | 19427 caractères | 19427Temps de lecture estimé : 12 mn | 29/12/03 corrigé 25/04/22 |
Résumé: Cédric, le photographe qui developpe les photos de Bernard fait un jour une étrange découverte... | ||||
Critères: fh fhh extracon magasin voir exhib photofilm lingerie fellation cunnilingu 69 fgode préservati pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Bernard_Photographe (Bernard - Photographe amateur) |
Pour une fois, cette aventure, je ne l’avais pas cherchée, non, elle me tomba du ciel grâce à mon photographe et ami Cédric
Il me demanda un beau jour de 1994 si je voulais bien m’occuper d’une femme qui le « harcelait » ! Je demandai des explications, interrompues plusieurs fois par des clients, et j’appris qu’une cliente, un jour, lui apporta une pellicule… une fois développée, il comprit qu’elle avait cherché à se photographier nue elle-même, mais surtout sa féminité : les seins, le bas-ventre ou les deux ensembles, et même les cuisses écartées.
Mais tout était flou, mal cadré, et il m’expliqua que lorsqu’elle revint, il se permit de lui parler en « pro ». Elle fut un peu gênée, il la mit à l’aise et elle avoua qu’elle était peintre amateur et voulait faire des nus. Il offrit en tout bien tout honneur de la photographier lui-même et proposa ses prix, elle allait y réfléchir. Elle lui téléphona pour donner son accord, ils convinrent d’un rendez-vous et il put lui faire une dizaine de photos – y compris très ouverte – mais chacun garda ses distances. Elle revint payer, très satisfaite du travail, mais toujours gênée lorsqu’ils les commentèrent ensemble.
Ils furent dérangés par des clients et j’appris après, par brides, à chacune de mes visites que cela évoluait.
La chose la plus importante fut qu’un peu après cette première séance, elle l’appela pour lui dire qu’elle n’avait jamais posé pour des photos, à plus forte raison nue, mais que ça lui avait beaucoup plu parce qu’il était resté distant, et que s’il voulait, elle était d’accord pour en faire d’autres et prit un nouveau rendez-vous entre midi et deux heures, en extérieur. Elle accepta de poser, visage masqué, dans un jardin public désert en montrant ses seins, ses fesses et sa minette. Je ne vis pas ces photos, hélas, mais il avait eu pendant les poses un voyeur qui avait profité du spectacle… il ne lui en parla qu’après.
Elle prit un autre rendez-vous pour une séance dans son arrière-boutique, et là, elle se donna à lui, très excitée par le fait de poser et de savoir que la fois d’avant un voyeur avait été présent. Je n’eus pas trop de détail, mais à partir de là, elle l’appela et multiplia ses visites… Il faut dire que c’est un beau gars, bien plus jeune qu’elle.
Il me parla aussi d’un midi où ils flirtèrent dans la voiture sur un parking de grande surface et qu’un camion militaire, avec trois jeunes à bord, s’arrêta à proximité. Ils partirent vers une baraque de sandwich et Cédric vint garer sa voiture juste devant le camion avec l’accord d’Odette qui découvrit alors le plaisir d’être exhibée devant des inconnus ! Ils profitèrent du spectacle sans intervenir, restant discrets.
Après s’en être amusé un peu, Cédric fut agacé par ses relances, ses appels, et ce fut à ce moment-là qu’il m’en parla :
Il lui parla de moi, disant que je cherchais un modèle, sans plus, et un rendez-vous fut organisé un matin à 11 h 30 dans l’arrière-boutique.
J’arrivai un peu en avance pour préparer mon matériel et ranger un peu. Le local servait de studio de prise de vue avec un papier en fond, il y avait un canapé, un tout petit couloir, une porte le séparait de la boutique et, justement, Cédric arriva pour me dire qu’il venait de voir sa voiture.
Deux minutes plus tard, j’entendis la porte, une voix de femme, celle de Cédric, j’étais curieux de voir cette inconnue, jusqu’où ira-t-elle ?
Les voix se rapprochèrent, et la voilà qui franchit la porte. Elle était brune, petite et très sympa. Cédric me la présenta, on se serra la main, et lui repartit car il y avait du monde. Je la remerciai d’accepter de poser pour moi. Tout d’abord, elle répondit d’une voix douce qu’il me faudrait de la patience et que je devrais la guider car elle était débutante.
Puis elle me dit qu’à 14 h 30, il fallait qu’elle reparte. Il était midi, je commençai à la viser, telle qu’elle était là, debout, en jupe et chemisier, en train d’enlever sa veste…
Je la fis s’asseoir sur un tabouret, je la visai et remarquai la lisière d’un bas.
Gentiment, elle retroussa un peu sa jupe, je la visai en disant que c’était très joli, puis je lui demandai d’ouvrir un peu les genoux. Elle me laissa découvrir son entrecuisse en deux ou trois poses de plus en plus ouvertes.
Je lui demandai de se lever, de me tourner le dos en relevant la jupe, et je découvris une jolie paire de fesses bien présentées dans ce body noir et transparent. Je la complimentai.
Je la fis se tourner et la visai, devinant quelques poils sous le body. Puis je lui fis ouvrir le chemisier et, à nouveau, la complimentai car son buste semblait très bien. Elle rétorqua :
Après quelques vues en body, la voilà qui se tourna, fouilla dans son sac, me montra ce qu’elle avait et enleva carrément le body. Je la trouvai très appétissante, je l’aidai à agrafer le soutien-gorge et elle se retourna. C’était un balconnet et elle avait un téton dehors !
J’avançai un doigt :
Elle rigola quand je le poussai dans le bonnet et je la sentis frissonner. Je fis encore quelques vues puis je lui fis sortir les seins des bonnets, lui demandant de se toucher les bouts pour les grossir. Elle le fit, et quand je proposai de l’aider, elle accepta ! J’en touchai un de mes doigts, puis je me penchai et le léchai carrément.
Je dis cela en lui prenant les seins dans les mains.
Je ne la laissai pas répondre et lui suçai carrément un téton, et là, elle me pressa la tête contre elle et respira plus fort. Je me reculai pour poser mon appareil juste au moment où Cédric arriva pour dire qu’il s’absentait un quart d’heure et lui demander si tout allait bien. Elle répondit que oui mais qu’elle aurait souhaité qu’il reste. Quand je recommençai à caresser ses seins, elle me dit qu’il était charmant et qu’elle était amoureuse de lui. Je l’embrassai dans le cou et, d’un coup, elle tourna son visage et sa bouche trouva la mienne ! Je fus surpris, en plus elle me dit :
Elle m’embrassa à nouveau, je la caressai partout, je la sentis encore frissonner et elle se frotta à moi très sensuellement. Je lui caressai les fesses sur puis sous la culotte, et bientôt on se retrouva enlacés sur le canapé. Je lui caressai la vulve sous la culotte, elle était déjà toute mouillée et elle réagit en écartant les cuisses en grand pour m’inciter à continuer, tandis qu’elle tâtait mon sexe sur le pantalon. Je lui demandai si je pouvais la lécher, ce fut un oui « urgent » et je me retrouvai entre ses cuisses, écartant sa culotte pour découvrir un sexe velu, blond, et très rouge lorsque je commençai à le toucher.
J’adore découvrir une chatte, aucune ne ressemble à une autre, celle-ci était charnue. J’écartai les poils pour trouver des lèvres très longues – j’adore ça – je tirai dessus mais, impatiente, elle tira ma tête pour la plaquer sur son intimité. Je me souviens d’un goût un peu salé, de son bassin qui ondulait et se poussait sur ma bouche, puis d’un orgasme fulgurant en une vingtaine de secondes !
Elle me remercia, me disant que ça l’avait excitée de poser… Je lui dis vite que cela commençait à peine et qu’elle pouvait donc continuer à s’exciter. Je repris vite mon appareil. Elle tira elle-même sa culotte sur le côté pour une photo, écarta ensuite ses lèvres, s’exhiba totalement, et visiblement avec grand plaisir. Et elle me le dit d’ailleurs :
Je lui répondis que oui, elle poursuit…
Et justement, Cédric revint. Il franchit le couloir.
Cédric sourit, puis annonça qu’il devait partir livrer un appareil, il avait oublié. Odette, déçue, lui dit qu’il exagérait, qu’elle espérait passer un moment avec lui. Elle se leva, se colla à lui et l’embrassa. En fait, c’était prémédité, il me l’avait dit, ne voulant pas poursuivre cette relation. Moi, je lui dis que c’est dommage, que j’aurais pu les photographier, et pendant ce temps, Odette lui ouvrit la braguette :
J’insistai, moi aussi, j’arrivai seulement à faire deux ou trois vues de fellation puis il partit. Cela aurait pu tout casser, mais je la consolai en la caressant, en l’embrasant, puis à nouveau en la léchant.
Au bout de quelques minutes, elle me repoussa et dit qu’elle avait envie de faire comme Cédric, et en quelques instants je me mis à poil. Elle m’attendit en se caressant, puis elle toucha mon sexe, délicatement, le caressa, le masturba. Je lui dis :
Elle approcha sa bouche, le lécha comme un cornet de glace, puis mon gland disparut. C’était un régal de douceur, je la complimentai en lui faisant quelques vues, puis elle me dit :
Elle ne répondit pas, s’activant sur mon sexe, puis je la poussai sur le canapé et me plaçai sur elle en soixante-neuf. Quelle coquine, cette femme ! je la sentis tenter de prendre le plus possible de mon sexe dans sa bouche, moi je relevai les cuisses, j’écartai sa fente au maximum et la léchai de son clitoris à son petit trou. Je lui enfonçai un puis deux doigts pour la masturber, elle apprécia en soulevant son bassin, puis je glissai délicatement un autre doigt dans son anus sans aucun refus de sa part… tiens, tiens !
Puis on fit une pause et je lui fis mettre alors deux bananes factices que plusieurs femmes déjà avaient appréciées. Sans hésiter, elle en humecta une, je fis une photo, puis l’introduisit dans sa chatte trempée, facilement.
Elle se masturba avec et je la pris dans diverses positions, puis je lui fis remarquer qu’il y en avait une autre ! Elle la mouilla aussi, je lui proposai de se mettre les deux dans la chatte car elle semblait assez large. Elle essaya avec mon aide et, bientôt, elle avala les deux ! Quelle vision sublime ! Et puis je lui dis qu’elle semblait avoir un petit trou très souple, que deux doigts ne lui posaient pas de problème. Je l’entendis encore me répondre :
J’étais étonné et elle m’expliqua qu’il l’avait préparé déjà avant avec ses doigts, mais pas avec son pénis. Elle avait donc attendu cet acte comme un cadeau de mariage et cela s’était vraiment passé très bien. Elle me donna des détails surprenants : son mari ayant prévu un petit jeu de glaces dans leur chambre (ils vivaient ensemble) afin qu’elle puisse voir la dilatation progressive de son anus pour la pénétration. Sa première sodomie lui fit à peine mal et elle put avoir un orgasme, autant par le fait de « se voir » que de prendre ce sexe en elle.
Je lui demandai si son mari l’avait poussé à l’échangisme et si elle connaissait la double pénétration :
Et d’un coup, elle me sortit :
J’étais ravi mais je lui demandai juste de se sodomiser avec une banane ! Elle le fit sans aucune difficulté et s’enfila l’autre banane dans le trou voisin… j’immortalisai cela.
Elle ôta les bananes, s’asseyant au bord du lit pour me branler en détaillant mon pénis, puis sa bouche s’en approcha. Un régal, une douceur incroyable, tout en lenteur, puis tout se précipita : je la caressai, on se mit en 69, puis on inversa nos positions. Je la masturbais avec une banane puis les deux, c’était fou comme elle était réceptive, et active aussi !
Je me dis en la regardant que Cédric me faisait un beau cadeau avec cette femme, qui, sans être une beauté, avait beaucoup de charme, un joli corps et une sensualité débordante. J’en profitais un maximum et elle aussi, puis vint le moment de la pénétration :
Et comment que je voulais la prendre ! La capote fut vite mise et elle s’offrit sans détour, d’abord les cuisses très ouvertes au bord du canapé, elle guida mon sexe dans le sien. J’étais à genoux sur le tapis, juste à hauteur, ses pieds dans mon dos, je pouvais lui caresser ses beaux seins dont les tétons étaient devenus énormes. Elle haletait, se poussait sur moi, et j’eus du mal à me retenir, je voulais faire ce que j’adore faire : résister au maximum puis lui arroser les seins, ou mieux, le visage.
Je m’approchai de son visage et lui dis ce que j’aimerais faire ; curieusement, elle me répondit qu’on ne lui avait jamais fait…
On utilisa différentes positions pour se donner le plus de plaisir possible, dont la levrette, bien sûr. Et de voir son petit orifice me tenta ! Tout en la prenant, j’y glissai mon pouce :
Que c’était beau d’entendre ça ! Je tentai tout de suite de m’y glisser, mais je sentis que je risquais d’éjaculer ; j’essayai de penser à autre chose, très difficile, et tentai encore, mais c’était trop fort et je reportai ça à un autre jour car l’heure tournait. On se retrouva, je ne sais comment, moi assis sur le canapé, et elle en travers de moi, ses fesses à demi nues sur moi, sur le dos. J’admirai encore cette chatte très rouge que j’écartai de mes doigts et je lui demandai de se faire jouir. Je lui posai une main sur la chatte et elle commença à se masturber.
Très excitée, pendant que je lui malaxais les seins, elle fut bientôt secouée de spasmes et cria son plaisir. En même temps, je ressentis une chaleur envahir mon ventre, trois ou quatre saccades arrivèrent, un délice, une femme fontaine comme j’en avais connu quelques-unes. Cela redoubla mon excitation, je me mis vite à califourchon sur son buste. Elle regarda fixement mon sexe que je branlais, et très vite mon sperme fusa sur son buste, son cou, son menton… Le paradis, quoi ! Elle fut surprise et me sourit.
Je fis vite quelques photos car il fallait qu’elle parte, hélas ! On se rhabilla, ravis de tout cela, en convenant d’un rendez-vous à Marseille pour des photos en plein air, et on se sépara. J’attendis Cédric pour tout lui raconter en attendant les photos…