n° 06931 | Fiche technique | 25388 caractères | 25388Temps de lecture estimé : 14 mn | 01/01/04 |
Résumé: Marie n'a jamais conçu de tromper son mari mais souffre de cette fidélité. Un jour, ses certitudes et sa résignation vont voler en éclat. | ||||
Critères: fh extracon médical intermast fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Lumière |
Assise dans la salle d’attente, elle rêvassait. La journée avait été chargée et, en cette fin d’après-midi, elle ressentait encore plus cruellement la fatigue qui l’abattait depuis quelque temps. Son amie Popie, l’avait quasiment contrainte, la veille, à aller consulter.
Popie était sa meilleure amie, sa confidente, son soutien, son soleil. Elle adorait Popie, sa jeunesse, son dynamisme. Elle lui enviait son rayonnement et sa personnalité. Elle était si belle, Popie, d’une beauté et d’une sensualité qui l’émerveillait et la troublait confusément ; elle admirait son réel pouvoir sur les hommes – pouvoir dont Popie ne se privait pas …
Son amie avait, certes, raison de lui recommander ce médecin, mais elle se mettait le doigt dans l’œil quant aux causes véritables de son mal. « Tu es à côté de la plaque, ma pauvre, songea-t-elle. Si tu savais ! C’est la déprime qui me pompe, et certainement pas une maladie grave ; mon mal, c’est un mal de vivre. Je ne t’en ai jamais parlé ; à quoi bon t’importuner avec mes soucis, toi qui es la joie personnifiée… »
En fait, c’était cette curiosité insidieuse, de plus en plus fréquente, de plus en prononcée en faveur d’autres hommes qui la rongeait, elle, la femme fidèle par excellence. Rien que d’y penser, une vague de culpabilité l’envahit. Au bout d’une douzaine d’années de mariage, d’horribles mais si délicieux cauchemars venaient visiter son sommeil avec de plus en plus d’insistance… D’autres lèvres, d’autres mains, un autre corps, une autre… le terme l’horrifia autant que l’image qu’elle chassa sur-le-champ avec un sentiment de honte. Elle ne pouvait imaginer rompre le lien de confiance la liait à son mari. Rien n’y pourrait faire, rien ne pourrait l’aider.
En fait, Marie n’attendait pas grand chose de cette visite chez le médecin que lui avait recommandé Popie avec tant d’insistance. Comme d’habitude, ce serait une formalité banale avec prescription d’anxiolytiques à la clé. Bah, ça ne pouvait faire de mal : Contenter sa copine et parler avec quelqu’un. Rien de plus. Son problème demeurerait entier en sortant.
La porte du cabinet tout à coup s’ouvrit et ce fut le choc. Elle eut un coup au cœur..
Qu’il était beau ! Un homme dans la quarantaine, grand, svelte, souriant. Il avait un regard direct, perçant, qui la cloua sur place.
Machinalement, elle le suivit et s’installa en face de son bureau comme il l’y invita, sans cesser de le dévisager, hypnotisée.
Elle garda le silence quelques secondes, enfin elle commença à parler. Elle lui raconta tout.
Marie fut stupéfaite : comment avait-il pu deviner …? Elle n’avait rapporté que sa vie quotidienne, sa fatigue et ses problèmes de routine familiale et…conjugale, sans évoquer de troubles physiques. Elle attendit la suite d’un air interrogatif.
Il leva illico la main en signe d’apaisement :
Elle se déshabilla avec un peu de gêne, mais aussi avec une secrète émotion, face à un si bel homme, alors qu’il s’affairait au lecteur cd. Son regard revint vers elle. Sans savoir ce qui la piqua, elle adopta une posture de bravade, droite, face à lui, seins dressés et offerts, ses yeux dans les siens. Il rit :
Elle ferma les yeux. Il s’assit à côté d’elle. Elle perçut sa présence rapprochée, elle huma le parfum de son eau de toilette. Elle ferma les yeux, se laissant aller. Lorsqu’il posa ses mains sur son dos, elle tressaillit violemment.
Ses doigts effleurèrent son dos. Contact léger et soyeux. Elles suivaient la colonne vertébrale, remontaient jusqu’à la nuque, s’arrêtaient dans les cheveux, descendaient vers les tempes, revenaient aux omoplates, glissaient vers les hanches. Cette caresse la combla de bien-être. Elle vida son esprit. Elle se sentit féline. Pour un peu, elle aurait ronronné. La musique d’ambiance instillait espace et calme. Il releva son changement d’attitude :
Ses gestes se firent légèrement plus appuyés. Une torpeur bienheureuse l’envahit. Elle savoura particulièrement les caresses sur la nuque, les joues, les épaules. Mais moins que celles du dos. Les doigts remontaient et descendaient le long de la colonne vertébrale, pour s’arrêter à l’élastique de sa jupe. Elle regretta presque de n’être pas plus… dévêtue. Elle commença à se sentir bizarre. À la torpeur s’ajouta une douce chaleur montant de son ventre. Des pensées inavouables germèrent dans l’abandon de sa rêverie. Elle perçut le parfum discret de son eau de toilette, elle perçut le souffle tout proche de sa respiration, elle prit conscience de sa virilité. Tout cela la troubla profondément. Il interrompit le massage.
Il appuya sur la télécommande de la chaîne et une musique plus insistante envahit la pièce.
Ses mains se posèrent d’abord sur son ventre, le malaxant avec douceur, puis remontèrent vers le cou et la gorge, avant des descendre vers ses seins, hésitantes puis les englobant délicatement. Leur pression augmenta progressivement. En même temps, ses pouces effleurent les mamelons. Marie les sentit durcir. Lui aussi. Il les prit entre les pouce et l’index et les roula avec délicatesse. Marie se sentit bouillir.
Mais le médecin, avec la même concentration, continua sa caresse en plantant son regard dans le sien :
La pression des caresses augmenta encore. La poitrine se trouva emprisonnée dans des mains actives et expertes. Il baissa la tête et sa joue vint frôler les mamelons durcis. Marie laissa échapper un mouvement involontaire du bassin qui souleva son ventre.
Tandis qu’une main titillait le bout de ses seins, l’autre redescendit vers le ventre et du bout des doigts repoussa d’un cran l’élastique de la jupe. La respiration de Marie s’accéléra : se fit sifflante à travers sa bouche entrouverte.
Marie n’osa pas, se retint, mais elle pressentit que l’excitation qui la gagnait allait lui poser des problèmes. Elle eut peur d’elle-même, de ne plus arriver à se contrôler. Elle prit conscience que ses principes s’évanouissaient devant ce savant massage. Elle ressentit la montée d’une moiteur insidieuse dans son slip de coton. Son souffle s’accéléra encore. Les caresses continuaient, impitoyables.
Marie crut défaillir. La main gauche du médecin se posa sur son genou puis remonta lentement sous sa jupe en caressant l’intérieur des cuisses. Elle se raidit, les refermant par un réflexe machinal.
Il se pencha vers elle, son visage presque à toucher le sien :
Le silence de Marie – un lourd silence…- lui répondit. Yeux brillants, lèvres entrouvertes, elle aspirait l’air en sifflant. Elle se raidit encore en sentant la main prendre possession de sa chatte à travers le tissu.
Mais la volonté n’y était plus. Une autre se dessinait, gonflait comme un océan. Elle n’avait jamais rien connu de plus commun que son mari lui caressant la chatte par jeu ou par routine. Exceptionnellement jusqu’à l’orgasme… Mais cette fois-ci, elle sut qu’elle échappait au sempiternel conjugal. Elle souhaita être branlée et jouir en toute liberté : elle s’effraya de l’audace et de l’énormité de cette pensée. Elle écarta néanmoins les cuisses. Il la félicita :
Il le pinça légèrement entre ses doigts.
Il lui tira la jupe vers les chevilles et la laissa choir au sol. Puis il saisit l’élastique du slip et fit lentement glisser le coton le long de ses jambes. Marie cacha ses yeux derrière sa main, morte de confusion autant que d’excitation. Le regard du médecin était rivé sur sa chatte.
Son doigt alla et vint en un geste régulier de haut en bas dans la fente. Marie respira encore plus fort, crispa ses mains et releva légèrement son bassin. Lorsque le doigt lui toucha le clitoris puis le titilla de plus en plus vite, elle crut défaillir. Le plaisir lui tenaillait le sexe, la sortant de ses gonds :
Sa masturbation s’accéléra encore. Marie ne se retint plus et laissa échapper des gémissements. Il se pencha brusquement vers elle et lui intima :
Marie ne put se retenir. Elle mouilla comme une fontaine tandis que l’orgasme la tétanisa. Jamais on ne l’avait branlée ainsi, elle crut exploser de plaisir.
Le médecin la regarda avec un sourire et déclara :
Marie n’eut plus la tête à protester. Mais il insista en prenant la télécommande :
Éperdue, Marie le fixa. Jamais elle n’en aurait le courage. Il sut alors ce qu’il fallait faire. Il tourna à moitié Marie vers lui et approcha son visage de son sexe.
J’attends votre ordre ; si vous avez envie d’être léchée, il faut le dire. C’est la thérapie qui le veut.
Voulez-vous qu’on en termine là ? Demanda-t-il calmement en relevant son visage ?
Elle reçut la caresse comme un électrochoc. Et l’accompagnement sonore ne fit qu’accentuer ses sensations : une femme en train de jouir, gémissements et cris, au rythme de coups de boutoirs. Marie se sentit encore plus électrique. Cette langue s’avérait démoniaque ; elle fit sauter un à un les verrous d’un plaisir sauvage trop longtemps ignoré. Marie le sentit irradier de son intimité ruisselante dans tout le corps. Elle devint folle d’excitation. Sa tête s’agita frénétiquement de gauche à droite. Marie ne se contrôlait plus. Ses cuisses serrèrent la tête de l’homme qui lui bouffait la chatte.
Elle se savait inondée, et elle sentit trois doigts pénétrer dans son vagin avec une facilité déconcertante puis entreprendre un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Une nouvelle vague de sensations la submergea. C’était presque meilleur qu’une queue bien dure. Elle sut qu’elle allait totalement perdre le contrôle de soi. Dans les haut-parleurs, la femme criait une litanie d’obscénités sous les coups de bite qui la défonçaient. Les mots crus s’imprimaient dans la tête de Marie, épousaient ses pensées ; elle les fit siens. Mais ce qui rendit Marie complètement folle et déclencha le second orgasme, ce fut lorsque l’extrême bout de la langue titilla son clitoris à une vitesse folle. Marie lâcha son plaisir comme un ouragan en s’arc-boutant sur le banc d’auscultation, puis s’effondra telle une poupée de chiffon. En ouvrant les yeux, elle découvrit le médecin souriant, penché vers elle.
Ses doigts continuèrent leur lent mouvement de va-et-vient. Marie serra ses cuisses pour mieux les ressentir.
Marie sut qu’elle n’avait plus le choix. L’excitation la reprenait, énorme, sous l’effet du piston des doigts dans sa chatte. Son bassin s’agita à nouveau. Elle céda, et ce fut comme une délivrance :
Marie fut stupéfaite. Il exhiba près de son visage un membre de longueur normale mais d’une grosseur inaccoutumée
Il lui mit le membre dans la main. Il était chaud, dur et tendre à la fois, comme velouté.
Marie eut une seconde d’hésitation, puis posa ses lèvres sur la verge maintenant dressée ; et sans qu’elle sut ce qui lui prit, elle la prit en bouche. Elle suça avec délice, faisant aller sa tête d’avant en arrière, les doigts crispés autour de la hampe. Il prit sa tête entre ses mains, et accompagna son geste en lui titillant l’intérieur des oreilles avec ses index. La bouche pleine, Marie pompa de plus en plus vite, serrant presque les dents. Sa langue mena un bal de caresses circulaires autour l’énorme objet qui emplissait sa bouche. Il s’enfonça plus profondément. Elle crut étouffer ; elle le sentit se retirer.
Il lui caressait lentement la fente de haut en bas avec sa queue qu’il dirigeait d’une main sûre. Plusieurs fois, il feignit la pénétration par un simulacre de poussée ce qui excita Marie au plus haut point. Des de tremblements agitèrent ses cuisses. Elle se tortilla et supplia :
Imperturbable, il continua la caresse. Marie en devint folle :
Sourd à ses suppliques, il lui frotta le clitoris avec le membre dur. Alors elle n’y tint plus. Elle se plaqua contre lui de toutes ses forces en donnant des coups de violents coups de bassin. Et elle sentit l’énorme bite la pénétrer d’un coup. Avec une violence inouïe, il la défonça sur un rythme endiablé, sans lui laisser le temps de se remettre.
Marie cria de plaisir ; des jappements de bonheur, montèrent de sa gorge.
Ouuuiiiii… encore… encore… défoncez-moi… c’est boooooon !
Cette queue la rendait folle. Elle la sentait dans sa chatte, dure comme du béton dans son impitoyable va-et-vient de marteau-pilon. Toutes ses pensées se cristallisèrent sur sa soumission à cette bite infernale : jouir, jouir, jouir ! Plus rien d’autre ne compta que ces coups de boutoir profonds et violents. Elle gémit sans interruption, jappa, bafouilla des mots sans suite, tenta de s’empaler plus avant sur le membre énorme. Un premier orgasme la fit crier, il lui plaqua la main sur la bouche ; le second suivit derechef… Le rythme s’accéléra encore.
Marie perdit tout sens de la réalité. Ses pensées se figèrent dans sa tête lorsqu’elle sentit la longue et chaude giclée de sperme exploser dans son ventre. Elle perdit conscience….
Le visage souriant de son amie apparut au-dessus d’elle lorsqu’elle rouvrit les yeux.
Popie se mit à rire :
Popie s’interrompit :
Marie fixait la verge encore dressée de Jacques, elle sentit remonter le désir. Les mains de Jacques s’aventurèrent entre ses cuisses et recommencèrent à la caresser. Marie ferma les yeux. Elle fut à peine surprise lorsque Popie l’embrassa sur la bouche et lui malaxa tendrement les seins. Elle se détendit, ouvrit ses lèvres et ses cuisses puis s’abandonna…