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n° 06932Fiche technique18407 caractères18407
Temps de lecture estimé : 11 mn
01/01/04
Résumé:  Durant une soirée apocalyptique du mois de mars, je me retrouve seul avec ma voisine, et que croyez-vous qu'il advint?
Critères:  fh fplusag extracon voisins intermast fellation cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : Pedro
Quand le ciel vous tombe sur la tête


Dimanche 10h


Aujourd’hui, Robert Sénéchal est un homme heureux. Et oui, c’est de moi qu’il s’agit et permettez-moi de me présenter rapidement : Professeur de mathématiques, j’ai trente ans et suis depuis 8 ans l’heureux époux de Chantal.

C’est à ce qu’on me dit une belle plante, et physiquement, c’est le pied. Elle travaille elle aussi dans l’enseignement puisqu’elle est directrice d’école. Nous avons donc des sujets et des intérêts communs et sommes également en parfaite harmonie de ce côté là. Nous avons 2 gamins de 3 et 5 ans.

La maison que nous avons achetée il y a 3 ans dans la banlieue de Lyon n’a pas complètement bouleversé ma vie, mais y a apporté un piment supplémentaire, vous allez comprendre pourquoi…..


Peu après notre installation, nous avons, comme c’est la coutume dans tous les coins de France et de Navarre invité tous nos voisins, l’intronisation a été une parfaite réussite et nous avons réussi pu à peu à nous intégrer dans leur groupe. Sans être systématiquement les uns chez les autres, il faut avouer que la convivialité et la chaleur de ces 5 voisins faisaient que l’on ne refusait jamais l’occasion de se retrouver autour d’une grillade ou d’un simple apéro.

Comme les rapports étaient francs et sans arrière pensées, les vannes fusaient, les contrepèteries et les histoires étaient le lot constant de ces retrouvailles. Nous avions tous les mêmes centres d’intérêts, foot de l’OL, basket de Villeurbanne, prêts et remboursement des mensualités de la maison. , tous sauf René et Michèle, nos chers voisins retraités, grand père et grand-mère à plusieurs reprises, lui dont le seul grain de folie était d’être supporter de l’OM, (pensez donc à 50 km de St Etienne et si près de Lyon), elle toujours à veiller à tenir une maison et un jardin d’une manière impeccable ; En fait, c’était un couple vraiment tout ce qu’il y a de plus pantouflards, mais leur présence apportait un calme et une sérénité qui ne se démentaient jamais.



C’est au bout d’un mois que tout a basculé, quand je me suis aperçu que je pensais de plus en plus à cette Michèle.

Pendant trois ans je vous jure que personne n’a pu se douter de l’intérêt que je lui portais. Et personne ne peut encore imaginer que, mes désirs, mes rêves se sont réalisés cette nuit.


Cette belle blonde avait pourtant près de 35 ans de plus que moi. Jeune, elle avait dû être un superbe canon, et lorsque je l’ai vue pour la première fois en maillot, j’ai dû me retourner et regarder les plantes de sa terrasse car je ne pouvais dissimuler à son mari une grosse érection ; j’étais comme un gamin de 18 ans devant son premier amour…

Les nuits quand je baisais ma femme, j’avais de plus en plus en tête le corps de ma voisine et dès lors, je la surprenais chaque fois par ma façon bestiale de la prendre et de la remuer.



C’est donc hier, premier samedi des vacances de Pâques que je j’ai pu me retrouver en tête à tête avec Michèle. Ma femme était partie chez ses parents avec les enfants, et René s’était déplacé à Marseille pour le derby OM-PSG.

La journée avait été orageuse, et vers 22 heures les éléments se déchaînèrent. En un quart d’heure, il y avait plus de 30 centimètres d’eau dans la rue et la lumière disparut dans tout le quartier. Le silence était lourd sans télé, sans radio ; les premiers coups de tonnerre et les éclairs me firent frissonner, j’en avais la chair de poule. Le front appuyé sur la fenêtre, je regardais la pluie tomber quand un éclair d’une rare puissance me permit de voir le visage décomposé de Michèle dans sa cuisine. J’essayais aussitôt de l’appeler, mais le téléphone était lui aussi indisponible… Je me remis à la fenêtre et lui fis signe comme je pus dès que la lueur des éclairs me le permettait. Elle me vit et répondit ; je crus comprendre qu’elle me demandait par des mouvements de bras de la rejoindre..


Aussitôt, je décidai d’y aller… Le temps d’arriver chez elle, je me crus sorti tout habillé d’une piscine. Elle m’avait vu quitter ma maison et m’avait ouvert aussitôt la porte. La bougie qu’elle tenait à la main me permit de voir que non seulement j’étais en train d’inonder toute l’entrée., mais aussi qu’elle portait une chemise de nuit d’été qui me laissait deviner non seulement ses formes lourdes et sensuelles et surtout qu’elle ne portait rien d’autre dessous.


Malheureusement (?), j’étais si complètement trempé que je n’osais bouger pour ne pas souiller toute son entrée. Elle s’aperçut de mon état et m’attrapa une serviette :



Je passais dans la salle de bain, je dus me déshabiller complètement ; quand j’eus fini de m’essuyer, je mis la serviette autour de ma taille et la rejoignis dans la cuisine. La faible lueur de la bougie permettait à Michèle de me voir dans cette tenue excentrique à cette heure et en ces lieux. Elle reporta son regard vers l’extérieur.

A ce moment un coup de tonnerre plus fort retentit, provoquant un mouvement de panique chez elle, qui se retrouva près de moi. Je l’entourai de mes bras et elle se serra contre moi.



J’essayais de la calmer, je lui caressai le dos, et je sentis ses seins lourds s’appuyer sur ma poitrine ; elle se laissa aller. Je sentis mon sexe se dresser, et lorsqu’elle appuya inconsciemment son ventre sur le mien, elle eut un mouvement de recul en sentant la protubérance qui sortait de la serviette.



Elle essayait de se détacher de moi mais les coups de tonnerre assourdissants qui continuaient de plus belle lui enlevaient toute sa réflexion. Elle me mit les bras autour du cou. Je la serrai contre moi, elle ne reculait plus malgré mon état et je sentais au contraire qu’elle semblait s’accrocher de plus en plus à moi.



C’est alors que je me jetais à l’eau :



Et je l’embrassai sur le coin des lèvres



Mais Michèle n’avait pas reculé, alors je continuai



Et je commençai à lui caresser les cheveux, puis les seins. Michèle complètement bloquée ne bougeait pas. Je fis quelques mouvements de bassin tout en appuyant mes mains sur ses reins.


C’en était trop pour Michèle qui se retourna d’un coup et se servit un verre d’eau :



C’était perdu…C’est alors que la lumière revint. La serviette que j’avais autour de la taille était tombée, je m’empressai de la ramasser et de la mettre à nouveau en place. Michèle ne savait où regarder. Elle éteignit la bougie qui ne servait plus à rien. Je poursuivis :



Un énième coup de tonnerre qui dépassait de beaucoup tout ce que l’on avait entendu retentit alors. La lumière disparut encore une fois, cette fois-ci, nous étions dans le noir le plus complet… Michèle se retrouva à nouveau dans mes bras.



Alors je la serrai dans mes bras, tendrement, essayant de la rassurer ; mais je n’oubliais pas d’en profiter. Je la couvris de petits baisers sur le nez, sur la bouche, sur l’épaule. Ma main malaxait ses reins et incidemment je me retrouvai à caresser ses fesses. Michèle se serrait de plus en plus. Mes caresses se firent plus précises. Je parcourais maintenant le ventre de ma voisine et jouais avec sa toison. Petit à petit, je réussis à introduire mon majeur entre ses lèvres.



Je continuai avec 2, 3 doigts, son ventre allait et venait, son vagin devenait une véritable fontaine. Elle me grattait le dos, me faisait des câlins dans le cou. Je cherchai sa la langue, elle ne se refusa point. Le baiser dura de longues minutes.



A force de remuer, la serviette tomba une nouvelle fois. J’avais relevé sa chemise de nuit et j’appuyai de plus en plus mon sexe sur sa toison. Alors, Michèle me dit :



S’appuyant sur la table de la cuisine, elle souleva sa jambe droite et j’entrai doucement dans son intimité. Je frissonnai de pénétrer ainsi cette vulve baveuse et je me forçai à rester un long moment sans bouger ; sa langue virevoltait de ma bouche à l’oreille. Mes doigts ne restaient pas inactifs, je caressais ses seins. Elle n’arrêtait plus de gémir et sentant qu’elle était sensible de cette partie, je la retournais pour lui pétrir plus facilement. Je vivais un moment de folie.

Je me mis à titiller longuement son clitoris et je la sentis jouir, elle était de plus en plus trempée. Elle resta tendue un long moment, se retourna et m’embrassa tendrement.



Je la traînais sans cesser de l’embrasser vers sa chambre.



Nous nous étendîmes dans le lit et je commençai à lui lécher son intimité.



Je me mis en position de 69, et continuai à la sucer et à promener ma langue sur son sexe et sur son anus. J’appréciais à sa valeur ce goût de cyprine inexploité. Elle n’arrêtait plus de gémir mais sa bouche ne réagissait pas à la proximité de mon sexe.



Je n’en pouvais plus de sa candidité. Je mis ma main derrière sa nuque et la poussai vers mon sexe.



Quelle douceur, sa langue malhabile commençait à sucer mon sexe, je m’escrimais sur ses fesses et de grands " flops " se mêlaient au bruit du tonnerre. J’étais à 2 doigts de me vider dans sa bouche. Je me retins et me remis à l’embrasser sur la bouche. Je la pris en missionnaire, elle se mit dessus moi et re-jouit une autre fois.



Je la retournai sur le dos et la repris par derrière ; D’une main, je caressai son clitoris, de l’autre, je lui malaxais les seins. Comme je l’avais remarqué d’emblée, elle redevint comme une folle, mes coups de reins prenaient de plus en plus de force, nous jouîmes en même temps au bout de quelques minutes.


Elle resta de longues minutes étendue sur le ventre.



Et elle continua de me caresser le corps, mon sexe reprenait de la vigueur. Elle agita ses lèvres sur mes couilles et me lécha l’anus.



En fait je lui avais sorti un énorme mensonge. Jamais ma femme n’avait accepté ce type de rapport. Mais elle, j’avais trop envie de la prendre par tous les sens.

Un long silence s’en suivit, il était déjà 1 heure. L’orage ne s’interrompait toujours pas. Elle changea de but en blanc de conversation :



Elle essayait de faire diversion, mais je sentis que je l’avais appâté comme il faut.

Je me remis à l’embrasser, sa langue ne se refusait pas, elle me frottait le dos, descendait jusqu’à mes bourses, remontait sur mes fesses, s’arrêtait longuement sur mon anus où elle s’escrima à pénétrer un doigt. J’étais comme un fou, j’en fis de même sur son orifice et surprise, toute trempée qu’elle était, je pénétrais sans difficulté. Un doigt, deux… avec l’autre main je chatouillais son clitoris.


Je lui proposais alors d’essayer par derrière.



Elle ouvrit le tiroir de la table de nuit et en sortit un flacon. Je m’en badigeonnai les doigts et revins sur son anus.

Je la mis sur le dos, lui fis passer ses jambes sur mes épaules et commençai à lui enduire son orifice. Trente seconde après, je m’introduisis en elle, sans effort, et je commençai à la bourrer en la tenant par les hanches. Jamais je n’avais autant bandé. Je n’arrêtai pas de la limer et bien que mes bourses viennent se fracasser sur son cul, je ne pouvais décharger. Je ne sais plus combien de fois elle prit son pied. De son côté, elle hurlait tellement que je me fis la réflexion que les dieux du ciel étaient avec nous pour couvrir nos ébats.



Je pense que j’ai du éjaculer au bout d’un quart d’heure, je devais encore en avoir une sacrée réserve car je l’ai entendue se tendre et partir en même temps.



On se fit encore quelques câlins durant un petit quart d’heure ; je me décidai quand même à récupérer mes affaires et à rentrer chez moi.

Il était 1h30.



Vers 08h, j’ai été réveillé par un coup de fil. C’était Michèle.



J’enfilai une robe de chambre, 30 secondes plus tard, elle sonnait, je la fis entrer. Aussitôt elle se jeta dans mes bras, m’embrassa avec la chaleur animale que je lui avais connu cette nuit.



Ses yeux se dirigèrent vers ma ceinture, la bosse qu’elle connaissait était toujours présente. Elle s’agenouilla et commença à me faire une pipe sublime. Elle apprenait vite. Je pris un pied terrible en lui déchargeant dans la gorge.



Elle m’embrassa sur la bouche et m’obligea à avaler une partie de mon sperme.



Et comment donc !