n° 06936 | Fiche technique | 29736 caractères | 29736Temps de lecture estimé : 18 mn | 03/01/04 |
Résumé: Un jeune homme tombe sous le charme d'une voiture, et succombe à ceux de la propriétaire. | ||||
Critères: fh fplusag grosseins forêt hsoumis entreseins facial fellation fdanus | ||||
Auteur : Sabine et Guillaume (Duos d'écrivain) |
En plein milieu de l’après-midi, vers les 16 heures, je reçois un appel de ma meilleure amie : à la suite d’un imprévu, elle ne peut aller récupérer sa jeune fille à la sortie de l’université. Stéphanie est âgée de 21 ans. Gina est vraiment consternée puisque sa gamine s’est récemment fracturé le tibia et, sur des béquilles, l’étudiante doit patienter tous les jours dans un café à partir de 17 heures.
Pour ma meilleure amie, je ne peux pas refuser, il n’y a pas de problème.
Je prends garde à être bien élégante, il y aura sûrement de beaux étudiants et je sais pertinemment que je ne les laisse pas indifférent. Même si je ne compte pas… développer une occasion, je souhaite tout de même être séduisante. J’opterai pour une jupe noire descendant légèrement au-dessus du genou, une paire d’escarpins à talons hauts et un petit pull… moulant de couleur mauve. Un coup de brosse pour mes cheveux, mon maquillage est léger, mais encore parfait.
Sur la route qui me mène au centre-ville, la seule chose qui m’obsède, c’est la propreté de mon coupé SLK, mais je pense que les regards ne vont sûrement pas s’attarder sur ce genre de détails.
Lorsque je rentre dans le café, j’aperçois Stéphanie à une table, en compagnie d’un charmant étudiant. Je pensais qu’il s’agissait de son petit ami, mais elle me le présente en tant qu’un de ses amis. Ce jeune homme, sourire aux lèvres, me propose de rester cinq minutes prendre un café ou autre chose. J’ai accepté un petit café avec plaisir, qu’il est allé chercher aussitôt. Peu de temps après que ce jeune étudiant soit revenu avec mon café, il commence à me parler de ma voiture. Mais durant notre conversation je vois bien qu’il n’y a pas que la carrosserie de ma voiture qui lui plait. Il jette de petits regards sur ma poitrine joliment mise en valeur par ce petit pull mauve. Il tente de le faire le plus discrètement possible, mais j’arrive tout de même à m’en apercevoir, ce qui me fait doucement sourire.
Il était quand même temps que je ramène Stéphanie chez elle. En sortant du café, je me retourne pour faire un signe de la main, à notre jeune compagnon de table. Là j’ai bien vu que son regard se posait sur mes fesses, avant de remonter pour me faire également un signe de la main.
Vers 20 heures, je reçois un appel chez moi. C’était Stéphanie. Elle appelait de la part de son ami. Il souhaitait que je l’amène faire un tour dans ma décapotable. Très amusée, j’accepte de rendre ce service. Stéphanie me donne son numéro de téléphone. Dès que j’ai raccroché le téléphone, je l’ai appelé et lui ai donné rendez-vous chez moi dans une demi-heure.
Je décide de me changer, pour avoir une tenue confortable pour conduire, mais aussi élégante. Je décide donc de mettre un pantalon noir assez serré, et un chemisier blanc. Quelques minutes avant 20 h 30, quelqu’un frappe à ma porte.
Tout avait été si soudain ! Pendant une petite demi-heure, je m’étais interrogée pour savoir si j’avais bien fait d’accepter la requête de ce jeune inconnu ! J’allais probablement passer pour une femme facile, une chaude comme ils disent et d’être jugée ainsi, j’étais angoissée. Il fallait que je me presse, mon invité frappait une seconde fois à ma porte, mon cœur secouait ma poitrine ! Le physique de Guillaume m’obsédait et je me rendais compte qu’il ne me laissait pas indifférente. Mon cœur battait encore très vite quand j’ouvris ma porte. L’ami de Stéphanie était venu avec une bouteille de vin, mais c’était sur sa tenue que mon regard s’attardait. Sa nervosité confondit la mienne et tout de suite, je me sentis plus à l’aise. La tension était forte, Guillaume était pâle, je l’impressionnais, alors pour détendre l’atmosphère, je lui proposais de remettre à plus tard notre dégustation et, pour le moment, je lui proposais d’aller faire notre tour de voiture. Par respect, je lui confiais le volant de ma décapotable. La nuit était fraîche et idéale pour une ballade à ciel ouvert. Mon cocher maîtrisait avec beaucoup de souplesse mon auto et je me sentais en sécurité avec ce jeune homme. Au fil des kilomètres, il prenait de l’assurance et je me régalais de le regarder conduire. Il portait un jean noir et un petit polo. Je détaillais sa tenue, il n’avait pas cherché à jouer les séducteurs, il était resté lui-même et c’est ce que j’aimais chez un homme !
Un instant de silence trop persistant s’installait entre nous. Je tournais la tête vers mon conducteur : il semblait embarrassé…
Il prit finalement à gauche. Mais je n’étais pas décidée à ce que ma question reste en suspend. Je lui posai une nouvelle fois la question. Voyant mon insistance, mon jeune chauffeur décida de se garer dans cette petite rue plutôt tranquille. Il me regarda et me demanda.
Puis un silence s’installa entre nous. Ce silence a dû lui paraître interminable. J’avais trouvé sa déclaration si touchante et son regard, rempli de doute mais aussi d’envie, si attirant que je me suis laissée séduire. Je me surpris à me pencher sur lui pour l’embrasser. Lui aussi a été surpris, car il lui fallut bien quelques secondes avant de comprendre ce qui lui arrivait. Sa bouche avait enfin une réaction. Sa main desserra le pommeau de vitesse, pour se retrouver sur ma cuisse. Elle allait et venait sur ma cuisse gauche, sans tenter de toucher mon sexe. Je décollais mes lèvres des siennes, et admirais son visage. On aurait dit qu’il avait un orgasme, et sa main me caressait timidement la cuisse. Au niveau de son entrejambe le jean se soulevait. Cette bosse sous ce pantalon attirait de plus en plus mon attention. Je voulais savoir si ce jeune homme était ou pas bien équipé. Je passais ma main sur son torse, et arrivé au jean, je défis le premier bouton, puis le deuxième. Arrivé au troisième, je pus enfin dégager son sexe de tout ce tissu. En commençant à caresser son pieu, je lui demandais s’il préférait que l’on retourne chez moi, ou que l’on continue notre petit tour de voiture. Sans une seule hésitation, il voulait retourner chez moi.
Il redémarra la voiture, ma main toujours sur son sexe surexcité. Je sentais mon conducteur se crisper légèrement. Après dix ou quinze minutes de caresse sur ce sexe, un liquide chaud et visqueux coulait sur ma main. Bien que je savais ce que c’était, mon premier réflexe fut de retirer ma main. Mais maintenant je ne savais plus quoi faire de ma main souillée.
Mes doigts collaient entre eux et je prenais garde à ne pas me tâcher, mon pantalon ou la voiture avec cette semence qui sentait plutôt fort. Je me disais que Guillaume n’avait pas dû avoir de rapport depuis bien longtemps pour avoir réagit aussi vite ! Je m’interrogeais : comment un homme aussi séduisant que lui pouvait-il rester sans avoir de rapport ?! Peut-être qu’il préférait les femmes mures ? En fin de compte, il était sans doute sincère et son intention n’était pas de me baratiner ! J’ouvrais mon sac et prenais un, deux mouchoirs en papier pour essuyer mes doigts. Je sentais bien que mon conducteur était navré, mais je ne cherchais pas à l’excuser ; C’était la première fois que je me libertinais dans mon auto et pour moi, ça n’avait jamais été un lieu de débauche.
Alors que nous entrions en pleine campagne, je posais ma poignée de papiers sur le tapi et en prenais une autre pour nettoyer le jean de mon conducteur. J’ouvrais bien sa braguette et m’appliquais à lui ôter toutes ses souillures en « jouant » avec son sexe. Etait-ce le contact de mes doigts ou ma délicatesse ? Peut-être les deux, mais son sexe commençait à reprendre des proportions très intéressantes…
Soudain… … la voiture cala !!! Sur la nationale, à 80 km/h, la voiture se retrouva en roue libre et la présence d’esprit de Guillaume nous permit de ne pas nous retrouver dans le décor ! Après avoir brièvement freiné (par réflexe), je lui conseillai de rester sur la route et d’être prudent. J’allumais les Warning. Avec chance, un panneau indiquant un parking se manifesta à nous : 150 mètres ! Guillaume était mal à l’aise, j’étais crispée et j’avais oublié mon portable. La voiture indiquait 40 Km/h et nous ne devions plus être bien loin du parking. Nous guettions la bordure avec impatience et, les rétros pour ne pas risquer l’accident. Enfin !!! Un parking que j’identifiais comme très vaste se présentait à nous en… descente. Guillaume put aller garer judicieusement la voiture dans un coin sombre !
Pendant quelques instants, nous restions silencieux !
Guillaume s’exécuta et posa une main sur ma cuisse.
Le jeune homme sortit de ma voiture se dirigea vers le capot. Après avoir regarder 5 minutes le moteur de mon cabriolet, mon jeune compagnon referma le capot de ma voiture, sans trouver la panne.
Le jeune homme posa de nouveau une main sur ma cuisse, et me la caressa doucement. De la boîte à gant j’ai sorti une lampe de poche, puis on est sorti de la voiture tous les deux. J’ai tendu la lampe à Guillaume, qui la saisie et a éclairé devant nous. Ce parking était sombre, et silencieux, à l’exception de petits hululements de chouettes. Nous avons arpenté le parking de tout son long, mais il n’y avait aucune voiture, ni présence de cabine téléphonique, ou de borne de secours. Au début l’atmosphère était plutôt inquiétante, mais au fur et à mesure, je sentais l’excitation monter en moi. Et je n’étais pas la seule. Guillaume avait depuis le départ de la voiture, une main sur mes hanches, et plus on marchait et plus je sentais cette main descendre sur mes fesses.
Le faisceau de la lampe de poche éclaira un petit chemin de terre s’enfonçant dans un champ. Après une certaine hésitation nous décidions de l’emprunter. On se disait que ce chemin menait peut-être à une ferme. Mais ce chemin ne semblait mener nul part. Sans doute devait-il servir à délimiter ces deux champs de maïs. Quand j’ai vu ce gros arbre, j’ai pris la décision de nous arrêter un peu ici, car les chaussures que je portais été peu pratique pour marché sur ce genre de surface. Je me suis adossée à cet arbre, j’ai enlevé ces chaussures qui me faisaient souffrir. Guillaume est venu se planter devant moi, et m’a déposé un baiser sur les lèvres. L’atmosphère devenait de plus en plus chaude, et ça ne s’arrêta pas quand mon jeune et vigoureux compagnon me plaqua contre l’arbre, me laissant sentir son sexe dur contre moi, et posant ses mains sur le haut de mes fesses.
L’endroit manquait peut-être de sensualité, mais j’avais envie de lui. Avec ses mains, Guillaume m’enserrait un peu plus fort, je pouvais sentir son sexe durcit contre mon petit ventre. Mon jeune était l’objet de mes fantasmes. Je regardais autour de moi, mais nous étions seuls et la porte de nos envies était ouverte à l’expression de nos désirs. Il n’y avait plus de fausse pudeur, mes mains tremblaient à l’idée de toucher ce corps juvénile et je me sentais mal à l’idée de le caresser : il y avait si longtemps, mais j’avais envie de Guillaume ! A mon tour, mes mains se posaient sur ses hanches et ma bouche venait à la rencontre de la sienne… Nos souffles s’emballaient ; asphyxié, il se réfugiait dans mon cou où il reprenait ses esprits. Il posait ses mains sur mes seins, ses doigts s’emmêlaient dans mon chemisier ; il voulait à tout prix vérifier qu’il ne rêvait pas et que le relief consistant de ma poitrine n’était pas un leurre.
Il était étrange, ses lèvres entraient en contact avec le tissu de mon chemisier et sa joue frottait contre celui-ci : que faisait-il ? À cause de la rugosité de mon soutien-gorge, je sentais à peine la chaleur de son visage ; mais déjà, je sentais mes tétons être torturés dans d’étroits bonnets D. Guillaume m’excitait, il me rendait folle. Je déboutonnais son pantalon et mettais une main dans sa braguette. Pendant ce temps, il déboutonnait difficilement un à un, les boutons de mon chemisier. Arrivé à ses fins, il s’interrompait pour rester en admiration devant mon soutien-gorge blanc plein à craquer. Il poussait un petit gémissement, mes doigts avaient encerclé son membre et depuis un instant, j’avais entamé un mouvement de va et viens sur son sexe. Il écrasait mes seins à travers le soutien-gorge et « tombait » de ravissement ! Il ne semblait pas réaliser, lui et moi, un jeune homme et une séduisante blonde d’une cinquantaine d’années.
Je m’accroupissais et finissais de dégager l’objet de mes désirs. La vue plongeante sur mon buste et mes petites œuvres sur sa braguette suffirent à doubler le volume de sa verge. Il prenait ma tête, plaquait ses mains sur mes oreilles et il me forçait à engloutir mon dessert. Je proscrivais son geste, le regardait sévèrement pour lui faire comprendre que je n’aimais pas trop ça. Il s’excusa ! Je commençais à le branler, avant de diriger son gourdin tout droit entre mes lèvres peintes. Je l’avalais tout entier dans ma bouche et commençais à le lustrer sur ma langue. Quelques gouttes de liqueur me donnaient déjà un avant-goût de la rasade finale. Il ne se montrait plus dominant, il était comblé par ma langue et mes flatteries buccales au point me semble-t-il, de durcir encore plus fort quoique cela soit impossible. Je le regardais, il semblait fier de lui, fière d’être dans la bouche d’une femme d’expérience et j’étais persuadée que demain matin, il allait faire comme tous les hommes et raconter son exploit à ses amis et peut-être même à Stéphanie.
Bien qu’il soit au septième ciel dans ma bouche, j’essuyais de temps à autre quelques regards gourmands filer sur mon soutien-gorge. Soudain, il me repoussait, il semblait déjà bien à point et pour ne pas jouir tout de suite, il m’invitait à me redresser. Sans me soucier de l’endroit, je dégrafais mon soutien-gorge et, je m’exhibais fièrement devant ses yeux ébahis. Il se régalait du spectacle, hypnotisé par mes auréoles ; il voulait les sucer, mais il vint se blottir dans mes bras. À nouveau, son épée butait contre mon ventre, avant que ses doigts ne se plantent dans mes fesses.
Il collait ses lèvres contre mon mamelon droit, et commençait à me téter…
De sa main libre, il me prit le sein gauche. Il commença à me le caresser, puis à me le pétrir. Les deux sensations distinctes sur ma poitrine étaient très différentes mais aussi très agréables. Plus il jouait avec mes seins, plus sa verge se collait à moi. Il faisait frotter son érection contre mon bas ventre. J’ai écarté légèrement les cuisses pour sentir de plus près son membre sur le point d’expulser le liquide blanc et âcre. Il retira sa tête de mon sein droit pour le coller sur mon mamelon gauche, et recommença à me téter.
Un doigt de sa main droite pénétrait mon anus. À chaque fois que ce doigt entrait de nouveau en moi, je faisais avancer mon bas ventre, faisant ainsi augmentait le frottement de son épée contre moi. Puis il retira sa main de mes fesses, et sa tête de mes seins. Il attrapa mes seins par dessous, comme pour la sous-peser, puis les comprima l’un sur l’autre. Je savais où il voulait en venir. Il voulait mettre sa verge entre ma généreuse poitrine, pour pouvoir se soulager. Bien que j’apprécie que moyennement cette pratique, j’acceptai de le faire car je sentais qu’il était sur le point de jouir, et si ce n’était pas à l’aide de mes seins, ça serait sur mon bas ventre, car il continuait à se frotter contre moi. Après m’avoir embrassé entre les deux seins, je lui fis retirer ses mains de ma poitrine et je l’ai placé à hauteur de son sexe très dur. Puis j’ai comprimé mes seins sur son membre, et j’ai secoué ma poitrine. Son gland se décalottait près de mon visage, me laissant apercevoir, sur son bout rougi, une goutte blanche qui s’écoula du bout du gland, et qui finit sa course entre mes seins. Soudain un jet blanc fut expulser avec force de son sexe. Ce jet passa près de ma tête, mais sans la toucher, avant de retomber sur le sol.
Je me suis redressée, et pour atteindre que le sexe de mon jeune amant ne reprenne une forme honorable, je lui ai ordonné :
Pour la première fois, il se mit à genoux. Durant cette soirée, il n’avait jamais eu la tête aussi près de mon sexe. J’ai enlevé moi-même les boutons de mon pantalon, il n’avait plus qu’à le faire glisser. Une fois que le pantalon fut baissé, Guillaume a enfin pu découvrir ma culotte en dentelle bleue. Il a instantanément plongé sa tête sur mon sexe recouvert de ce bout de tissu. Malgré la présence de ce tissu, je pouvais sentir les baisers que Guillaume déposait sur mon sexe. Ses deux mains se sont introduites dans ma culotte, pour me la faire enlever. Voilà c’était fait, j’étais nue en pleine nature. Ça m’a donné un sentiment de liberté extrême. Mon compagnon est bien resté 30 secondes à contempler mon sexe nu. Une de ses mains est venue caresser mes poils pubiens, et soudain j’ai senti le contact de sa langue chaude sur mon intimité. Ses caresses buccales étaient dans un premier temps superficielles, puis très vite je l’ai senti en moi. Il m’écartait les lèvres et me léchait au plus profond. Je ne sais pas si c’est à cause de l’endroit, et du fait que personne ne pouvait m’entendre, mais j’étais plus expressive qu’habituellement. De ces petits coups de langue, où d’ordinaire je me serai contenté d’un petit soupir, je me suis entendu exprimer un gémissement. J’ai senti sa main se poser de nouveau sur mes fesses. Mais cette fois-ci il ne m’a pas introduit de doigt, il me les a juste caressés. Mes deux mains caressaient sa chevelure brune, exerçant de temps à autre une pression sur son crane pour lui faire comprendre de continuer, d’aller plus loin…
Après ces douces caresses sur mon sexe et mes fesses, Guillaume se releva. Au passage il me saisit ma jambe gauche au niveau du genou. Il monta mon genou à hauteur de mon bassin, et le repoussa vers l’extérieur. Et de nouveau il est venu se blottir dans mes bras. Maintenant je ne tenais que sur une jambe, et adossée sur cet arbre. J’ai saisi à pleine main le membre généreux de mon assaillant, pour déjà vérifier s’il avait repris sa forme, et puis ensuite pour le conduire jusqu’à mon sexe. Je fus soulagée de constater que les caresses que Guillaume avait pu me faire, avait suffit pour que son membre soit de nouveau d’attaque. Très doucement j’ai approché son sexe du mien.
Guillaume était au septième ciel, bouillant d’impatience, mais aussi, je le sentais quelques parts fébriles… Était-ce dû à la fraîcheur de la nuit ou le fait que j’étais plus vieille que lui et qu’il était sur le point de me pénétrer ? Pour lui, ça devait être une aubaine que d’avoir des rapports avec une femme aussi expérimenté que moi. Il laissait mes petits doigts guider son appendice de taureau vers mon sexe, je le faisais patienter en frottant son gland contre ma toison fraîchement taillée. Il adorait cette sensation d’abandon, plus que jamais, j’étais devenue sa nounou perverse. Je n’en finissais pas de le « torturer » et je passais finalement le bout de son gland contre mes grandes lèvres fraîches et humides. Guillaume me brusquait, cherchait à me pénétrer, mais il n’avait pas le bon angle ; je l’aidais et en deux coups de reins, il trouvait l’estuaire de mon sexe. Je sentais sa virilité à la porte de mon orifice en chaleur. Mon pilote me regardait, il se sentait maître de la situation, mais ce n’était qu’une illusion que je voulais entretenir. Doucement, il forçait le passage et glissait dans mon écrin. Sa verge était douce et lisse, je l’avalais en moi jusqu’à sa garde, avant qu’elle ne commence à aller - venir. Il commençait à s’exciter, ses coups de reins devenaient agressifs : il y a tellement longtemps qu’il rêvait de me posséder ! Il collait ses lèvres aux miennes, mais ses yeux étaient volontiers attirés vers mes deux obus qui s’ébranlaient sous les assauts du taureau. Soudain, il ralentissait, avant de s’interrompre : je pensais qu’il se ménageait pour ne pas se donner trop rapidement. Guillaume se retira et me retourna pour de suite me saillir en levrette ; sauvagement, il agrippa bien fermement mes hanches et il se révoltait en se servant de son pieu comme d’un marteau piqueur. Mes seins ballottaient dans tous les sens et j’aimais ça. Verbalement, je réfrénais Guillaume qui n’en avait que faire, il était bien en moi et il voulait s’y abandonner. Après cinq minutes, je commençais à réviser ma position et à l’encourager. Si bien que les grognements de mon amant commençaient à monter d’une octave, il n’était pas loin de l’extase et il s’interrompait.
Mais Guillaume était en chaleur, je sentais ses mains remonter sur mes hanches, les caresser : il avait envie de s’éterniser dans mon con comme jamais auparavant et moi, je voulais être remplie par sa semence de mâle. Je secouais les fesses pour le remettre en branle, mais je me retrouvais maladroitement en déséquilibre et tombais à terre en me désaccouplant de Guillaume. Je poussais un petit rire, je m’attendais à la complicité de mon jeune homme, mais non ! À genoux sur le sol, plus exactement à quatre pattes, je le vis saisir sa queue pour la diriger entre mes fesses… Mais comme pour me protéger, je me retournais et, avec une bouche secourable, je venais accueillir entre mes lèvres son outil. Il resta silencieux, pendant qu’au fond de ma gorge, je me faisais pardonner en l’avalant tout entier. Subitement, Guillaume se retira de ma bouche et tout en me dévisageant, il ébranla son sexe pendant que mes lèvres s’entrouvraient pour laisser ma langue à sa disposition. Violemment, il éjacula un premier jet de semence sur mon visage.
Tout en continuant à tirer sur sa tige, il essayait de viser ma bouche et ma langue qui n’attendaient que ce liquide chaud. Mon jeune amant ne visait que moyennement bien, pour un jet qui atteignait ma langue ou ma bouche, deux venaient se loger sur mon menton, mes joues, mon front et même mes seins. Lorsqu’il fût entièrement vidé, Guillaume avait beaucoup de mal à se tenir debout. Il devait penser à ce qu’il venait d’accomplir. Fier de lui, avec un sourire aux lèvres, il se laissa tomber dans le tapis d’herbe, en lâchant un soupir digne d’un taureau en rut. Je vous passerai les détails sur ce que j’ai du faire pendant ce temps avec le liquide intime de Guillaume. Allongé devant moi, je voyais bien qu’il avait eu ce qu’il voulait. Mais moi je n’étais pas totalement satisfaite. J’ai entrepris alors de réveiller le pieu de mon jeune conducteur, pour pouvoir m’empaler dessus. Avec de délicates caresses de ma part, sa verge a rapidement repris sa position de garde à vous. Elle n’avait pas la taille du début mais elle était suffisamment conséquente pour me donner du plaisir. C’est vrai que l’on peut faire plein de reproche au jeune, comme leurs inexpériences, ou leurs désirs de reproduire ce qu’ils voient dans les films, mais ils ont une capacité de récupération assez phénoménale. J’ai enjambé mon amant toujours allongé, pour me planter son membre dans mon entrejambe.
Je pouvais ainsi contrôler le rythme, du va-et-vient, accélérer quand j’en sentais le besoin, aller de plus en plus loin quand je commençais à prendre du plaisir. Et cela offrait une agréable vue à Guillaume sur ma généreuse poitrine. Et il n’a pas fait que de la regarder, il l’a aussi caressée. Et pour multiplier mon plaisir, j’ai commencé à jouer avec mon petit bouton à plaisir. Le vent nous caressait le corps, avec bien entendu des zones plus sensibles que d’autres. Je n’ai pas l’habitude d’être en tenue d’Eve en pleine nature, mais il faut bien avouer que c’est une sensation plutôt excitante. Sentir les éléments nous caresser la peau, qu’il s’agisse du vent, l’herbe ou le contact de l’écorce des arbres, est presque aussi plaisant que de se faire caresser par un homme. Et puis la vue, cette nuit était magnifique. Il m’arrive de regarder vers le ciel quand j’approche de l’orgasme, et ce soir le ciel était totalement dégager et de nombreuses étoiles étaient visibles. Je commençais à sentir une chaleur intense envahir mon corps. Cette chaleur partait du haut de ma tête, jusqu’aux derniers de mes orteils. Instinctivement, je me fis coulisser de plus en plus vite, et de plus en plus loin sur l’épée de Guillaume. Je la sentais augmenter de volume à l’intérieur de moi. Peu de temps après j’étais sur le point de jouir. Guillaume poussait des soupirs prononcés, pour ma part de petits sons de bonheur sont sortis de ma gorge. J’étais pu profiter de ma jouissance sans me retenir. Lorsque les effets de l’orgasme se sont dissipés, je me suis retirée de mon jeune partenaire, et me suis allongée près de lui. Je dois bien avouer que je n’ai pas réfléchi si lui avait atteint l’orgasme, mais pour ma défense je l’ai déjà satisfait 3 fois avant.
On est resté allongé côte à côte pendant un bon moment. Guillaume profita de ma généreuse poitrine pour déposer sa tête dessus. L’excitation retombée, le froid commença à nous envahir. Nous avons donc décidé de nous rhabiller, et de nous remettre à la recherche d’aide. Car même si nous nous sommes bien régalés, nous étions toujours bloqués sur ce parking. J’ai connu un petit problème en rassemblant mes habilles. Impossible de mettre la main sur ma petite culotte. Guillaume, avec l’aide de la lampe torche, fouillait les alentours. Ce qui est plutôt ironique quand j’ai appris bien plus tard que c’était lui qui avait ma culotte dans sa poche. Ne la retrouvant pas j’ai donc décidé de faire sans et je me suis rhabillée, sous le regard lubrique de mon amant du soir.